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Frédéric Mahé

Frédéric Mahé

Né en 1955, Ecole Vétérinaire puis Arts Déco, vingt ans dans l’industrie pharmaceutique, quelques passages dans l’édition et la clientèle. Expérience variée : marketing, recherche, pharmacovigilance, formation (international), communication et rédaction. Je vis à la campagne où j’exerce le beau métier d’Inspecteur en hygiène alimentaire au service de l’Etat. Je donne par ailleurs des cours de communication à l’Ecole Vétérinaire de Nantes, et je suis également illustrateur / auteur de BD pédagogiques dans un magazine technique.

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  • Premier article le 05/05/2006
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Derniers commentaires



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 2 mars 2007 16:23

    J’avoue que je ne pensais même pas à vous Mister Mage, et je vous prie de croire que je n’ai pas désiré que ma prose ne vous atteigne en votre opinion ni votre personnalité. Oui, toutes les opinions ont droit de cité, même les bêtises, mais avouez sans mentir à moins de confirmer que toutes ne sont pas forcément prioritaires à exprimer. Ce que de droit.



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 1er mars 2007 11:40

    je serais assez d’accord moi aussi pour signer ça et l’envoyer à nos mousquetaires du PAF. Comment on fait ?



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 1er mars 2007 07:42

    Je suis atterré par la tournure que prend cette discussion. Engueulez vous donc pour vous passer les nerfs avec votre vrai voisin, en chair et en os, je sais pas, moi, vous avez sûrement ça sur votre palier, ou dans la rue, ça vous changera. Par clavier interposé, c’est moins risqué, je sais, mais ça fait un peu minable. Cette égomanie me fatigue. Pourquoi ne pas parler du sujet de l’article, au lieu de tout ramener à son cas particulier à soi ?

    Bon, j’essaie d’apporter ma contribution au débat : Agoravox est encore au stade expérimental, malgré les apparences, il n’est pas sorti tout armé de la tête de Carlo, vu que ce journal est fait par nous, mais avec ses règles. Et ce n’est pas fini, tous les jours une nouvelle évolution apparaît. Il est donc inutile de se balancer des grands principes à la figure (pardon, à l’icône), il suffit de faire des constats et d’avancer au fur et à mesure avec des mesures (transitoires par nature) qui n’obèrent pas trop l’avenir.

    Je constate pour ma part que :

    - les fils sont remplis de commentaires qui n’en sont pas, vu qu’ils prennent l’article comme prétexte et non comme raison d’être ; cela est-il gênant ? Oui, ne serait-ce que pour la lecture. Oui aussi pour les commentaires agressifs (ou du moins ad hominem) car si nous voulons construire une communauté de « Journalistes Citoyens », faudrait déjà être un peu citoyen. La discussion perpétuelle sur les diplômes de Demian West, ou les agaceries (mômeries) entre Truc et Machin, ça suffit, non, mais vous avez quel âge ? Pour limiter l’abus trollatoire, Carlo a proposé et mis en place un système imparfait, mais réversible, et qui fonctionne globalement (à part quelques froissements d’ego, voir ci-dessus, ouiiin j’ai été replié, etc.)

    - Il existe en effet plusieurs types d’articles : certains sont « à court terme » (en langage journalistique on dirait « chauds »), liés à une actualité à faire circuler rapidement, et à commenter aussi vite, huit jours après, ce n’est plus pertinent : la sortie d’un film, la dernière connerie de Ségo ou Sarko ou Calibayrou ou etc. D’autres articles sont « froids », invitent au recul et à la réflexion, ce sont plutôt des articles « magazine » (par exemple, cet article). Pourquoi ne pas les séparer dans la présentation et leur donner une vie d’échelle différente, comme suggéré plus haut ? Ce serait une excellente mesure, cela assainirait les débats, car on juge pas avec célérité une affaire demandant réflexion.

    - soyons honnêtes avec nous-mêmes : nous ne nous connaissons pas, juste des icônes, des pseudos, et quelques textes (ou posts), quelques articles. Comment juger de la compétence des auteurs ? Que sais-je de la qualification de Talleyrand ou de Marsupilami à discuter de tel ou tel point (ou de telle I.P.) ? E. Mourey est-il compétent pour placer l’Atlantide à Gergovie ? Et celui qui le critique (ci-dessus) est-il compétent ? Beaucoup de commentaires vous balancent leur certitude en pleine face, comme ça, sans que ce soit vraiment argumenté, ni que nous puissions nous faire une idée de qui parle, et au nom de quoi. Je serais partisan d’identifier plus clairement les intervenants, car si on ne parle jamais qu’en son propre nom, certains connaissent mieux certaines choses que d’autres, c’est même un des buts d’Agoravox que de faire circuler leurs opinions (vous savez, l’intelligence collective, etc.).

    - remarque complémentaire : toute attaque, tout jugement, quelqu’il soit, visant le rédacteur et pas ce qu’il écrit devrait être bannie par le modérateur, et pas seulement si c’est « insultant ». Ça nous priverait de pas mal de posts concernant Demian, et peut-être qu’il en souffrirait, mais ça éclaircirait bien les choses.

    - le professionalisme : très peu d’entre nous sont professionnels de l’écriture, encore moins du journalisme, et cela condit à des textes parfois hasardeux (remarquablement peu, au passage), à des recoupement insuffisants, à des opinions mal ou imparfaitement détaillées. Eh ben c’est comme cà, je n’y vois pas d’inconvénient. Faut-il se professionaliser ? Je ne crois pas que ce soit une voie si intéressante que ça, en fin de compte. On pourrait juste encorager les auteur à davantage citer leurs sources, ce serait déjà une grande avancée, mais demander à des amateurs de rédiger comme des professionnels conduirait automatiquement à faire faire Agoravox par des professionnels, ce que justement nous voulons éviter, n’est-ce pas ? La journée du 24 sera une très bonne occasion de débattre de ce point, et je l’attends avec impatience.

    Bon voilà, c’est tout pour ce coup-ci. Merci à PIerre R. pour cet article.



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 28 février 2007 14:33

    « Il apparaît clairement, à travers la campagne présidentielle, qu’un des leviers de croissance et de création d’emplois est la création d’entreprises innovantes. Etant un professionnel de ce secteur, entrepreneur-dirigeant de société de biotechnologies, il me semble important d’identifier certains freins et dysfonctionnements dans ce secteur, peu connus du grand public, mais qui font des ravages au près des entrepreneurs dans ce secteur, à savoir le rapport de force entre certains fonds d’investissements en capital-risque qui entrent au capital de ces sociétés et les entrepreneurs mais aussi busines angels qui ont pris tous les risques à la base. »

    Vous écrivez en pure langue de bois entrepreuneriale, on n’y comprend rien. Le fond de votre article est intéressant, mais on dirait qu’il a été écrit par Thierry Breton. Vous pourriez nous le faire en français courant ?



  • Frédéric Mahé Frédéric Mahé 27 février 2007 15:37

    Merci pour cet article qui fait un point assez juste sur un n-ième « phénomène de société ».

    pierrarnard a raison de souligner les autres dépenses de carbone liées au transport. L’exemple qu’il donne est encore bénin : la plupart des gigots d’agneaux surgelés premier prix viennent de Nouvelle-Zélande ! Les 4x4 sont la partie émergée de l’iceberg, plus visisble parce que 90% de la population habite en ville et que ces gros trucs censément ruraux en plein embouteillage frisent le ridicule.

    En bref, une dépense peu significative, mais hautement signifiante. Le 4x4 me fait penser au Megaceros, ce cervidé disparu car victime de ses bois géants, très efficaces pour battre les autres mâles en concurrence pour les femelles, mais très malcommodes en zones boisées. Après le réchauffement planétaire de l’époque (et donc l’extension des zones oisées), pfouit ! Disparu, le Megaceros !

    Vous avez remarqué que plus l’essence augmente, plus on commercialise une nouvelle sorte de voiture qui consomme plus ? Dans les années 70 après les chocs pétroliers, on faisait des toutes petites voitures, puis sont venus les modes des camping-cars, des monospaces, et maintenant c’est l’invasion des 4x4, comme si on était au Kenya. Megaceros du gasoil, le 4x4 est le dernier avatar de l’envie de consommer visible. Quand le litre sera à 5 Euros, on sortira des mini-camions de 3 tonnes, qu’on nous pésentera comme hyper-commodes pour aller pique-niquer.

    Tout ça est un peu ridicule et nous détourne des vraies solutions : ferroutage, transports en commun, etc. A noter d’ailleurs qu’après avoir tous signé le pacte de Nicolas Hulot, la main sur le coeur, plus aucun candidat à la présidentielle ne parle des investissements pour le ferroutage : vous voyez bien que tout le monde s’en fout. Laissons les Megaceros chromés disparaître par maladaptation, ils tomberont tout seuls. Et continuons à manifester pour « économiser » le carbone sur les vrais postes de combustion, transports en premier

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