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Dilettante

Futur thésard, ou futur paysan coupé du monde, au choix. Etre en devenir de toutes manières...

Tableau de bord

  • Premier article le 19/03/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • Dilettante 19 juillet 2007 23:53

    Les lecteurs ont dû interpréter l’« historicité des Evangiles » comme « historicité de la vie de Jésus-Christ racontée par les Evangiles ». La confusion est compréhensible, surtout lorsque l’on n’a pas suivi depuis un certain temps la démarche d’Emile Mourey. D’où certains hors sujet.

    A leur décharge, j’ai eu beau comprendre l’objet de l’article, j’ai eu du mal à suivre entièrement la démonstration. Ma connaissance imparfaite des Evangiles y est sans doute pour beaucoup, mais j’aurais apprécié d’avoir des repères plus parlants. C’est le genre d’articles où il faut réfléchir avant de comprendre, ce à quoi on n’est plus habitués ;)

    N’oublions pas tout de même de décerner un point Godwin à Demian West pour sa référence à Hitler ! Et saluons sa fidélité aux dogmes et aux institutions qui les servent ! (Bon, je taquine, mais je n’oublie pas qu’il y a du vrai dans ce qu’il dit)

    Pour en venir au sujet de l’article, difficile d’évaluer sa pertinence quand on ne connaît pas bien la période et les textes associés. J’apprécie toujours autant la réflexion d’Emile Mourey, mais dans cet article plus que dans les précédents, je crains les rapprochements abusifs.

    Flavius Josèphe mentionne-t-il les dix toparchies d’Archélaos ? Avez-vous pris en compte dans votre lecture de Flavius Josèphe les passages suspectés apocryphes ? (Tiens, d’ailleurs, je me demande ce qui les rend suspects)

    Quoi qu’il en soit, Emile, je vous souhaite bonne continuation dans vos recherches !



  • Dilettante 10 juillet 2007 17:41

    D’accord pour une pensée à toutes les victimes de jugements iniques.

    Maintenant, ayons également une pensée pour tous les juges qui ont agi en conscience dans des situations difficiles, et aussi pour ceux dont les jugements ont satisfait chacune des parties. Merci à ceux là.



  • Dilettante 10 juillet 2007 15:43

    A vous entendre, les jugements sont motivés soit par la sensibilité humaine, soit par la vanité.

    Et la loi dans tout ça, c’est juste un prétexte ? L’exemplarité, l’ordre public, l’équité, c’est juste pour décorer ?

    Cet article est une caricature.



  • Dilettante 9 juillet 2007 20:23

    Ni les cartes perforées, ni les logiciels open source ne sont de bonnes alternatives, car toutes deux laissent encore la place à trop d’incertitude. Je vais tenter d’expliquer cela pour les logiciels open source, c’est aussi valable pour les cartes perforées.

    Tout d’abord, pour vérifier qu’un code source fait bien ce qu’on attend de lui, il faut pouvoir le comprendre, et seule une minorité de la population en est capable. Les labels et certificats d’organismes indépendants n’ont aucune valeur pour celui qui choisit de ne faire confiance à personne, de ne croire que ce qu’il voit. Si des gens ont besoin de personnes compétentes pour comprendre ce que fait le programme, alors il y a toujours un risque de fraude bien plus élevé que par la méthode habituelle.

    D’ailleurs, le fait d’être open source n’est pas une contrainte suffisante : c’est un détail mineur, mais si le code n’est pas parfaitement commenté, documenté, ou certaines sections sont incompréhensibles, seuls les plus motivés et les plus compétents sauront le comprendre.

    Cela va sans dire, il faut aussi que la totalité du code soit open source, et qu’il ne fasse pas appel à des routines ou des pilotes de périphériques dont la source n’est pas accessible.

    Mais le plus important, c’est qu’il faut être sûr que le programme qui tourne dans la machine est bien celui qu’on y a mis. Il est très facile concevoir une machine de sorte qu’elle ait le comportement promis jusqu’à ce qu’un évènement interne ou externe lui fasse exécuter un programme caché à la place du programme officiel. Nul besoin de briser les sceaux : une connexion sans fil ou une minuterie peuvent très bien faire l’affaire. Ou alors on peut très bien faire s’exécuter le programme attendu, jeter son résultat à la poubelle et le remplacer par celui de notre choix. Les possibilités sont immenses, autant au moment du vote qu’au moment du décompte ! J’insiste sur le décompte, car c’est à mes yeux là que se trouve toute la différence entre la méthode manuelle et informatique.

    Il faut donc d’une part être capable de garantir à chaque instant que le programme exécuté est bien celui qu’on attend (ce qui est loin d’être évident), d’autre part être capable de garantir que la machine sur lequel il tourne n’aura pas de comportement irrégulier (un hardware open source en quelques sortes...), et je ne cite qu’un échantillon des contraintes à respecter.

    Il existe des réponses à ces contraintes, qui passent souvent par un contrôle par internet. Là encore, ça réduit l’universalité du système de vote et de contrôle.

    L’idée des machines à voter open source part d’un bon sentiment, j’y étais moi-même favorable à une époque, mais techniquement, ça ne supprime que peu d’obstacles à leur adoption. Surtout, je vois d’un mauvais oeil le principe de devenir tributaire d’un moyen technique pour exercer l’une de nos principales libertés, lorsque ce moyen technique est loin d’être universel, lorsque son mode de fonctionnement est inaccessible au profane et lorsque seul un petit nombre d’organisations est capable de fournir la technicité requise.

    Mais pourquoi utiliser une machine à voter ? Le dépouillement est fastidieux, mais aisément contrôlable, et c’est un moyen pour le citoyen de participer au fonctionnement de la société, donc de prendre un peu plus sa vie en main s’il le souhaite. Le désintérêt que l’on dit croissant pour ces évènements ne doit pas nous pousser à en abandonner le contrôle.

    Qu’est-ce que deux heures dans un quinquennat ?



  • Dilettante 6 juillet 2007 00:48

    Mm... Les chiffres étaient écrits en quelle langue ? Dans un contexte en quelle langue ? Parce que 43-70, lu à l’envers, donne 07-34, à comparer aux dates -73 - 4 ! Sans doute le rédacteur n’était-il pas familier de la langue qu’il utilisait !

    Dans le même genre, les Chantiers de l’Atlantique ont un jour commandé des plaques d’acier de plusieurs tonnes chacune, représentant chacune une lettre géante. Ces plaque étaient destinées à orner un paquebot en construction. La commande a été sous-traitée en Turquie, et un quiproquo s’est probablement produit, si bien qu’ils se sont retrouvés avec les plaques commandées mais inversées verticalement... smiley

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