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Accueil du site > Tribune Libre > GARDASIL augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées confirmée (...)

GARDASIL augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées confirmée sur analyse des registres officiels des cancers

Résumé de l’expérience des pays qui ont largement vacciné contre le HPV : confirmation de l’augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées

 

Gérard Delépine chirurgien cancérologue 2 octobre 2019

 

 Lutte contre la désinformation mondiale

 Devant la nouvelle offensive du gouvernement et de ses affidés pour imposer l’obligation chez filles et garçons du vaccin contre le virus humain papilloma, en présentant les données de façon fallacieuse, il nous a paru opportun de faire un nouveau point sur les résultats publiés dans les registres officiels des cancers dans les pays qui ont largement vacciné leur population. 

 

 Infection n’est pas cancer
 
 En effet les fake news publiées dans les grands médias confondent volontairement ou non (entre ignorance et corruption ?) l’efficacité du Gardasil sur les infections (sans gravité et de disparition spontanée dans la grande majorité des cas ) et prévention du cancer du col utérin postulant que le cancer est toujours dû au virus, ce qui est faux. Nous nous en sommes expliqués antérieurement à plusieurs reprises.

 

Evaluation honnête et scientifique de l’effet du Gardasil sur les populations vaccinées

L’efficacité d’un politique nationale de prévention d’un cancer doit être jugée non pas sur les petits échantillons d’essais thérapeutiques mais, en vie réelle, sur l’évolution de l’incidence de ce cancer dans l’ensemble de la population concernée, telle qu’elle apparaît dans les registres officiels des cancers.

Les registres des cancers officiels et disponibles

A ce jour seulement quatre pays qui pratiquaient le dépistage cytologique et disposaient de registres nationaux du cancer ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 80% dans la population ciblée avec un recul suffisant : l’Australie, la Grande Bretagne, la Suède et la Norvège.

 

En Australie

 la campagne vaccinale a débuté en 2007 chez les adolescentes, avec un taux de couverture proche actuellement de 80%. Depuis cette date l'incidence standardisée monde des cancers invasifs dans la population globale ne baisse plus (7,2 en 2019 contre 6,8/100000 en 2006), démentant la propagande permanentes des médias qui claironnent l’éradication future des cancers du col dans ce pays en diffusant des prédictions statistiques reposant sur des hypothèses fausses.

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 De plus, il est paradoxal de constater que l'incidence des cancers invasifs du col augmente dans les classes d'âge de femmes vaccinées. Ainsi, dans la tranche d'âge des femmes de 20-24 ans (vaccinées à 80% entre 14 et 18 ans), l'incidence est passée de 0,7 en 2007 à 1,5 cas/100.000 en 2014. Chez les femmes âgées de 25 à 29 ans (vaccinées en rattrapage lorsqu’elles avaient entre 19 et 23 ans) ces chiffres ont augmenté également, de 5,9 en 2007 à 8,2/100.000 en 2014. De même pour les 30-34 ans (qui ont subi des vaccinations de rattrapage jusqu’à l’age de 26 ans en 2007) dont l’incidence a augmenté de Plus de 30% (de 9,9 en 2007 à 13,2 en 2014) augmentation statistiquement significative.

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 A l’opposé, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer diminuer -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même moins 31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).

 

En Grande Bretagne

 la campagne de vaccination a débuté en 2008, en obtenant une couverture de plus de 85% d'adolescentes. Depuis sur l’ensemble de la population exposée au cancer du col (femmes de plus de 20 ans) l’incidence standardisée a augmenté, passant de 12.6 en 2007 à 14.1 en 2016

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A partir de 2011 les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin chez les femmes de 20 à 24 ans (vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans) qui ont vu leur risque de cancer (incidence lissée sur 3 ans) augmenter de 70% en 2 ans de 2,7 à 4,6 en 2013-2015)

 

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Celles de 25 à 29 ans qui avaient entre 17 à 23 ans au moment de la campagne de vaccination ont vu leur risque de cancer doubler entre 2007 et 2015 (de 11 à 22) Or c'est dans ce créneau d'âge que l'on retrouve toutes les femmes ayant pu recevoir une vaccination tardive (vaccination dite de "rattrapage" après 16 ans)A l’opposé, l'incidence du cancer a globalement diminué chez les femmes les plus âgées, non vaccinées (moins 20% dans le groupe des 35-49 ans).

 

En Suède

le vaccin Gardasil a été introduit en 2006 et le programme de vaccination des préadolescentes mis en route en 2010 pour atteindre une couverture approchant les 80% avec un "rattrapage" des plus âgées (jusqu’à 18 ans). Depuis l’incidence (standardisée Monde) du cancer du col de l'utérus, qui s’était stabilisé jusqu’en 2011, a augmenté de 23% passant de 6,69 en 2011 à 8,6 en 2016.

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Cette augmentation globale est principalement due aux femmes de 20 à 24 ans en 2016, (vaccinées pour plus de 80% d’entre elles) qui ont vu leur incidence lissée sur 3 ans plus que doubler, passant de 1.49 en 2007-2009 à 3.73 en 2014-2016 ainsi que le montrent les données et graphiques publiés par Nordcan (registre des cancers scandinaves) ; cette augmentation est statistiquement significative.

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Dans ce pays, comme en Australie et en Grande Bretagne, aucune augmentation n’est notée dans la population âgée de plus de 50 ans, non concernée par la vaccination HPV.

 

La Norvège

 a suivi une politique similaire de vaccination. Depuis le registre du cancer Nordcan montre une augmentation de l’incidence standardisée monde du cancer invasif du col de l’utérus de 25% sur l’ensemble de la population (de 8.99 en 2007 à 11.31 en 2015). 

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Dans le groupe d’âge le plus vacciné (les 15-24 ans en 2016 qui avait entre 9 et 18 ans en 2010) une augmentation importante d’incidence lissée sur trois ans est apparue à partir de 2013 de 0.84 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016 ainsi que le montre ce graphiques et ces données NORDCAN

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Et la recherche des inversions de tendance (break point analysis) montre que c’est trois ans après le début de la campagne de vaccination que cette augmentation significative est apparue

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Cette progression inattendue, précoce et significative du nombre de cancers du col dans tous les pays où la population jeune est largement vaccinée interroge à juste titre d’autant qu’en France, peu vaccinée, l’incidence du cancer du col a largement baissé durant la même période rendant cette maladie rare d’après les critères de l’OMS (incidence inférieure à 6/100000).

 

 

Source : Santé France- Inca

 

Etude initiale du laboratoire permettait d’anticiper ces résultats

 

L'étude pivot de Merck concernant l'évaluation initiale du Gardasil et destinée à la FDA avait inclus des personnes (dénommées "non naïves") qui avaient été contaminées préalablement par des souches virales oncogènes (en particulier 16 et 18). Les résultats de ce sous-groupe avaient retrouvé une augmentation (de 26%) de l'apparition de lésions dysplasiques du col par rapport au groupe non vacciné. Le fait de vacciner des femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle pourrait probablement augmenter le nombre de lésions précancéreuses sévères.

 

AUGMENTATION DU TAUX DE CANCER DU COL CHEZ LES VACCINEES/ CONSEQUENCES

Quelles que soient les raisons de cette augmentation paradoxale mais indiscutable (données officielles des registres nationaux des cancers) des risques de cancer dans tous les pays dans les groupes d’âge qui ont été largement vaccinés justifie :

1°) une information loyale de la population en ne prétendant plus que ce vaccin prévient le cancer et en informant des effets secondaires parfois graves (cf ANSM et OMS).

2°) Le principe de précaution impose de ne plus vacciner les femmes ayant déjà commencé leur vie sexuelle

3°) le même principe de précaution doit faire récuser toute obligation vaccinale anti HPV d’autant que la charge pour les finances publiques serait très importante (200 à 400 millions d’euros chaque année en France). Les ventes mondiales actuelles sont de cinq milliards €/an, somme colossale.

4°) Des études subventionnées par l’état, indépendantes des firmes pharmaceutiques sont indispensables et urgentes pour établir  si ce vaccin est réellement susceptible de prévenir le cancer chez les jeunes filles n’ayant pas eu de rapport sexuel ou s’il l’augmente comme chez les plus âgées, afin d’adopter les recommandations actuelles aux faits avérés.

Le refus des agences, autorités sanitaires et politiques, dûment alertées, engendrerait leur responsabilité personnelle et celles des experts en particulier ceux liés aux firmes comme le montre le procès actuel du médiator.

 


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40 réactions à cet article    


  • Clocel Clocel 5 octobre 2019 09:21

    Une pensée pour Claire Séverac, qui a compris et qui est partie, trop tôt.

    Que la terre te soit légère...


    •  Adibou Adibou 5 octobre 2019 10:31

      "

      La Société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale (qui regroupe gynécologues et pathologistes s’intéressant aux affections du col utérin), dont le congrès s’est tenu ce jeudi, a tenu à mettre les choses au clair. Non, le Gardasil et le Cervarix ne provoquent pas de cancers, selon la société savante. Relier l’augmentation du nombre de cancers du col de l’utérus dans certains pays à la vaccination « n’a scientifiquement aucun sens », estime son président, Jean Gondry, chef de service gynécologie au CHU Amiens-Picardie, cité par France inter. Pas de risques de sclérose en plaques

      Pour étayer ses soupçons sur les vaccins contre le papillomavirus, l’ex-député Gérard Bapt brandit les registres officiels sur le cancer de quatre pays : l’Australie, la Grande-Bretagne, la Suède et la Norvège. Il assure que dans ces pays, où jusqu’à 80 % des jeunes filles sont vaccinées, le nombre de cancers chez les 20-24 ans repart à la hausse. Les données épidémiologiques sont bien réelles, mais elles datent de 2014, relève Jean Gondry. Or, le vaccin a été mis en place en 2007. Les jeunes filles vaccinées à l’âge de 11 ou 12 ans ne pouvaient donc pas avoir 20 ans au moment de l’enquête, d’autant plus que la maladie met environ dix ans à se déclarer, rappelle le médecin. "

      https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/cancer-des-gynecos-denoncent-des-intox-sur-le-gardasil_2056870.html


      • njama njama 5 octobre 2019 11:39

        @Adibou
        Les jeunes filles vaccinées à l’âge de 11 ou 12 ans ne pouvaient donc pas avoir 20 ans...
        Le Dr Jean Gondry prend un raccourci commode qui masque le fait que des adolescentes de 9 à 16/17 ans, et des jeunes femmes de 18 ans et + ont été vaccinées sur la même période. Son argument est pauvre et fragile il ne peut résister aux registres des vaccinations.

        d’autant plus que la maladie met environ dix ans à se déclarer,...

        une affirmation qui ne mange pas de pain, son hypothèse est-elle documentée ? il me semblait avoir lu qu’auparavant la plupart des cancers utérins se déclaraient surtout chez des femmes d’un certain âge au-delà de la trentaine


      • njama njama 7 octobre 2019 15:28

        Je sous-estimais l’âge médian au diagnostic de ce type de cancer puisqu’il se situait à 51 ans suivant le CSHPF Conseil supérieur d’hygiène publique de France (ancien organisme consultatif français placé auprès du ministère chargé de la Santé, créé en 1848 ... et supprimé par la loi de santé publique de 2004).
        L’Inserm donne le même âge médian d’après des données Eurocare
        « L’âge médian au diagnostic est de 51 ans et le pic d’incidence est observé à l’âge de 40 ans. Par ailleurs, le taux annuel de mortalité est faible (moins de 5/100 000) pour les femmes de moins de 70 ans. Globalement, le taux annuel de mortalité a également diminué au cours des 20 dernières années ;le taux standardisé sur la population mondiale était estimé à 1,9/100 000 en 2000 »
        http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/117/?sequence=13
        Le Canada donne l’âge médian de 47 ans
        https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/82-624-x/2015001/article/14095-fra.htm

        L’observation statistiques d’une augmentation significative de diagnostics de lésions ou de cancers utérins chez des femmes plus jeunes est donc pour le moins insolite et un signal inquiétant !
        Puisque l’apparition d’un cancer utérin mettrait entre 2 et 3 décennies minimum le Dr Jean Gondry devrait se préoccuper de trouver une autre explication


      • njama njama 5 octobre 2019 10:55

        Si ce vaccin peut prémunir contre certaines infections HPV, le présenter comme un vaccin contre le cancer est une grande escroquerie planétaire.

        La tromperie, ou sa tentative, est punie d’un emprisonnement de deux ans et d’une amende de 300 000 € (article L. 454-1 du Code de la consommation).
        L’amende peut être portée à 600 000 € et l’emprisonnement à cinq ans si la tromperie, ou sa tentative, a lieu dans l’une des circonstances aggravantes suivantes :
        - à l’aide de poids, mesures et autres instruments faux ou inexacts ;
        - à l’aide de manœuvres ou procédés tendant à fausser les opérations de l’analyse ou du dosage, du pesage ou du mesurage, ou tendant à modifier frauduleusement la composition, le poids ou le volume des marchandises, même avant ces opérations ;
        - à l’aide d’indications frauduleuses tendant à faire croire à une opération antérieure et exacte.
        L’amende peut être portée à 750 000 € et l’emprisonnement à sept ans si la tromperie, ou sa tentative :
        - a eu pour conséquence de rendre l’utilisation de la marchandise dangereuse pour la santé de l’homme ou l’animal ;
        - a été commise en bande organisée.
        Le montant des amendes encourues peut être porté proportionnellement à l’avantage tiré du manquement à 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel du professionnel, calculé sur les trois derniers chiffres d’affaires annuels connus à la date des faits.

        En outre, la peine d’interdiction d’exercer l’activité en cause ou certaines activités professionnelles ou commerciales peut être prononcée.

        https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Publications/Vie-pratique/Fiches-pratiques/Tromperie


        • Désintox Désintox 5 octobre 2019 12:12

          Si vous avez fait de nouvelles découvertes médicales, merci de soumettre un article à une revue scientifique internationale où il sera validé (ou non) par vos pairs. Personne n’est à même de le valider ou de le réfuter sur Agoravox.

          Agoravox n’est pas une revue scientifique. La publication ici de résultats scientifiques originaux est forcément une imposture.


          • njama njama 5 octobre 2019 12:36

            @Désintox

            Pourquoi présenter des chroniques médicales sur Agoravox et autres sites non spécialisés ? Une question récurrente !
            par delepine, lundi 21 janvier 2019
            ...
            Publier sur Libération, l’Obs ou l’Express est-il plus garant de qualité ?"
            ...
            https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/pourquoi-presenter-des-chroniques-211839


          • GerFran 5 octobre 2019 14:25

            @Désintox

            Le rédacteur en chef du Lancet, Richard Horton, a écrit :

            « Nombre de publications scientifiques, peut-être bien la moitié, pourraient être fausses »

            http://www.thelancet.com/pdfs/journals/lancet/PIIS0140-6736(15)60696-1.pdf

             

            - De la même façon, la rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, le Dr Marcia Angell, a écrit :

            « Il n’est tout simplement plus possible de croire à nombre d’études cliniques publiées, ou de compter sur le jugement de médecins respectés ou de procédures médicales établies. Je ne prends pas de plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et avec réticence au cours de mes vingt ans en tant que rédactrice du New England Journal of Medicine. »

            http://www.nybooks.com/articles/2009/01/15/drug-companies-doctorsa-story-of-corruption/

             


          • Garibaldi2 5 octobre 2019 14:35

            @njama

            L’un n’empêche pas l’autre. Si le Docteur Delépine est en mesure de prouver la dangerosité du Gardasil, alors elle dois publier également dans une revue scientifique, alerter l’ordre, et éventuellement informer le procureur de la république qu’il y a mise en danger de la vie d’autrui, voire empoisonnement.


          •  Adibou Adibou 5 octobre 2019 15:05

            @Garibaldi2

            En effet c’est très suspect tout ça ..


          • njama njama 5 octobre 2019 15:10

            @Garibaldi2
            Je ne suis pas dans les petits papiers de(s) Dr Delepine, Nicole et Gérard, peut-être transmettent-ils copies de leurs publications aux « autorités sanitaires » (ANSM, HAS, ministère, Conseil de l’ordre), ou à leurs confrères ?
            en tout cas ils publient très ouvertement leurs recherches et conclusions tirées de documents publics sur différents médias, livres, web, conférences internationales,...

            Si le Docteur Delépine est en mesure de prouver la dangerosité du Gardasil,...

            A ce stade la dangerosité du Gardasil (augmentation du nombre de cancers, effets secondaires graves, infertilité, handicaps sévères...) ou la balance bénéfices/risques ne sont pas le principal du sujet, lequel est qu’il est « paradoxal » de prétendre que les Gardasil 4 ou 9 ou Cervarix diminueraient l’incidence du nombre des cancers utérins, puisque tous les chiffres actualisés dans différents pays où le taux de couverture vaccinale a atteint 80 % ou plus...montrent précisément l’inverse !!!
            Si toutefois vous auriez une explication raisonnable sur cet « effet paradoxal » n’hésitez pas à nous la faire connaître, en commentaire ou par un article, nous y prêterons la plus grande attention, évidemment.


          • Garibaldi2 5 octobre 2019 17:01

            @njama

            S’il y a augmentation du taux de cancers de l’utérus dans le groupe des personnes vaccinés, c’est peut-être une coïncidence, mais l’article indique clairement qu’il y a une relation de cause à effet (mais n’explore pas d’autres pistes, comme la prise d’autres médicaments, ou un changement de comportement sexuel,...).

            Si en plus il y a des effets secondaires graves, infertilité, handicaps sévères, alors que le vaccin ne vise pas à guérir d’une pathologie mais à se prémunir de sa survenue, nous serions bien alors dans le cas d’un empoisonnement et d’une fraude, dans le cas où ce serait le vaccin lui-même, qui en plus de ces effets secondaires, provoquerait l’arrivée d’un cancer.

            Si le nombre de cancers augmente dans le groupe des vaccinés et que d’autres raisons sont exclues, la conclusion est simple : le vaccin peut provoquer le cancer et ne pas se vacciner n’entraîne pas de risque particulier. Donc il y a bien mise en péril de la vie d’autrui.

            La docteure Irène Frachon s’est adressée à de nombreuses agences de pharmacovigilance pour dénoncer les danger du Mediator. Le docteur Gérard Delépine en a-t-il fait de même pour le Gardasil ?

            Je ne retire rien de ce que j’ai écrit.


          • Désintox Désintox 5 octobre 2019 19:09

            @njama
            Une « chronique médicale » est un article de vulgarisation, destiné à informer le public de résultats scientifiquement bien établis. C’est ce que fait Michel Cymes dans ces chroniques, par exemple.

            Ce n’est pas du tout le cas de cet article. L’auteur conteste les effets positifs d’un vaccin qui sont pourtant admis par la communauté scientifique internationale et notamment par l’OMS.

            L’auteur conteste ces conclusions. Il ne s’agit donc pas d’un article de vulgarisation, mais d’un article qui se veut scientifique. Le lieu de publication est donc une revue scientifique internationale, avec un comité de lecture qui évaluera le caractère sérieux ou non de ces données, et pas une tribune citoyenne comme Agoravox, où personne n’est en mesure de le valider.

            Publier des idées scientifiques non validées sur des sites qui ne sont pas faits pour cela contribue à propager de fausses informations. C’est particulièrement dommageable notamment en matière de vaccination, car cela pourrait dissuader à tort des gens de faire vacciner leurs enfants.

            D’une façon générale, je pense qu’il faut s’opposer à la publication de faux articles scientifiques sur Agoravox. Si quelqu’un publie un article décrivant un moteur perpétuel, ce n’est pas grave. Par contre, en matière de vaccination ou de climat, c’est une autre affaire.


          • leypanou 5 octobre 2019 19:26

            @Désintox
            D’une façon générale, je pense qu’il faut s’opposer à la publication de faux articles scientifiques sur Agoravox 

             : et qui décide que l’article est un faux ?

            Dites-moi combien de fois a-t-on vu des débats contradictoires à la télé sur les 2 sujets que vous mentionnez ?

            Vous croyez que tous ceux qui ne partagent pas votre position sont tous des charlatans ?


          • njama njama 6 octobre 2019 14:11

            @Désintox
            L’auteur conteste ces conclusions.


            Non je dirais plutôt qu’il constate que les résultats des vaccinations en terme d’incidence ne correspondent pas à ceux escomptés.

            Le seul critère d’efficacité d’un vaccin a toujours été évalué par rapport à une baisse de l’incidence de la pathologie (même si d’autres facteurs ont pu la favoriser en bruit de fond). Or cette baisse de l’incidence n’est pas au rendez-vous puisqu’il se passe l’inverse dans les notifications des registres du cancer de l’Australie, la Grande Bretagne, la Suède et la Norvège. Voilà un signal qui devrait alerter !
            Je serais très curieux de savoir ce que Michel Cymes pourrait trouver à redire sur ces simples évidences. Qu’il ne se prive pas de commenter cet article sous réserve d’un droit de réponse de l’auteur G. Delepine.

            L’OMS n’est pas le Ministère de la Vérité, elle affirme aujourd’hui que les infections HPV seraient responsables de 99 % des cancers du col de l’utérus, or de nombreux faits cliniques démentent catégoriquement cette allégation. L’OMS financée de plus en plus sur fonds privés s’avère être au fil des ans l’instrument de lobbyistes. Je récuse personnellement une quelconque autorité d’une telle institution, fut-elle internationale, seulement habilitée à émettre des « recommandations » et en aucun cas à prescrire quoi que ce soit à qui que ce soit.


          • njama njama 6 octobre 2019 15:35

            @Garibaldi2
            Laissons de côté pour l’instant les effets secondaires graves (EIG) qui ne sont pas le principal de l’article. Il y a une hypothèse que ni l’auteur, ni le Dr Jean Gondry, ni vous-même n’évoquaient qui pourtant aurait dû nous sauter aux yeux, mais nous sommes en général tellement aveuglés devant le mythe des supposées vertus de la vaccination...

            HAS / COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 avril 2007
            (Page 9/18) Persistance de l’immunité :
            La période d’observation est actuellement limitée à 2 ans dans les études de phase III chez les jeunes femmes et à 18 mois dans les études chez les adolescents. La durée exacte de la protection induite après les 3 doses prévues, dans le cadre du schéma vaccinal, n’a pas été établie.
            (Page 11/18) En l’état actuel du dossier, les données suivantes ne sont pas établies :
            - le maintien de l’efficacité vaccinale au-delà de 5 ans
            - l’efficacité en termes de prévention des cancers du col de l’utérus

            - l’immunogénicité dans les populations d’immunodéprimés à haut risque d’infection évolutive à HPV
            - l’interaction éventuelle avec d’autres vaccins que le vaccin hépatite B, en cas d’administration simultanée

            https://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/ct-4029_gardasil.pdf


          • njama njama 6 octobre 2019 18:03

            @Garibaldi2

            Une explication du « paradoxe » mis en évidence par le Dr G. Delepine qui me paraitrait plausible serait que l’immunité conférée par les vaccins anti-hpv serait non seulement relative (faible efficacité) mais aussi de courte durée  celle-ci n’ayant jamais été évaluée du moins à ma connaissance , les personnes vaccinées par excès de confiance n’ayant plus, peu ou beaucoup moins recours aux contrôles réguliers classiques par frottis méthode qui a largement fait ses preuves.
            EVENTS REPORTED TO VAERS AFTER HPV VACCINES THROUGH July 14, 2018

            ...
            Abnormal Pap Smear (frottis du col anormaux) : 673
            Cervical Dysplasia (displasies du col de l’utérus) : 264
            Cervical Cancer (cancer du col de l’utérus) : 139
            ...
            https://sanevax.org/wp-content/uploads/2018/08/HPV-adverse-events-July-2018.png


          • njama njama 7 octobre 2019 00:00

            @Garibaldi2

            HAS COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 avril 2007
            Page 9/18
            Persistance de l’immunité :
            La période d’observation est actuellement limitée à 2 ans dans les études de phase III chez les jeunes femmes et à 18 mois dans les études chez les adolescents. La durée exacte de la protection induite après les 3 doses prévues, dans le cadre du schéma vaccinal, n’a pas été établie.
            Page 11/18
            En l’état actuel du dossier, les données suivantes ne sont pas établies :
            - le maintien de l’efficacité vaccinale au-delà de 5 ans
            - l’efficacité en termes de prévention des cancers du col de l’utérus

            - l’immunogénicité dans les populations d’immunodéprimés à haut risque d’infection évolutive à HPV
            - l’interaction éventuelle avec d’autres vaccins que le vaccin hépatite B, en cas d’administration simultanée

            https://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/ct-4029_gardasil.pdf


          • Hypatie Hypatie 8 octobre 2019 10:04

            @Désintox
            Vous n’avez donc jamais appris à réfléchir par vous-mêmes ? Donner accès à l’information, c’est avant tout permettre à tout un chacun de se faire sa propre idée, de consulter les sources et de comparer les discours, les analyses. Bref, c’est autrement plus actif que d’être assis devant son téléviseur à accepter, sans broncher, la sainte parole audiovisuelle d’un animateur qui n’affiche pas ses conflits d’intérêt.


          • colibri 13 octobre 2019 14:40

            @Désintox
            merci de soumettre un article à une revue scientifique internationale où il sera validé (ou non) par vos pairs.

            vous rigolez ou quoi ?
            les instance officielle HAS et compagnie , OMS compris sont à la solde des lobbyes pharmaceutiques ,
            les médecins qui ont une autre expérience que celle décrétée officiellement sont évincés même avec toutes les preuves possible , c’est un monde de requins ,
            la seule chose qui peut faire s’écrouler le système ce sont les scandales sanitaires et la prise lors de la prise de conscience du public .


          • colibri 13 octobre 2019 14:44

            2JECT2S@Garibaldi2
             elle dois publier également dans une revue scientifique, alerter l’ordre, et éventuellement informer le procureur de la république qu’il y a mise en danger de la vie d’autrui, voire empoisonnement.

            Vous êtes bien naif , ils se tiennent tous par la barbichette les experts inféodés à l’industrie pharma qui véhIcule un dogme officiel ,
            et ceux qui peuvent témoigner du contraire sont éjectés du système 


          • JFCO JFCO 4 mars 2023 08:18

            @njama

            Les conflits d’intérêts dans les périodiques médicaux

            « Dans ce qu’on appelle l’ère de la responsabilité, les rédacteurs en chefs continuent à ne rendre de comptes à personne, tels des rois.

            Tout ce qui entoure les périodiques médicaux est corrompu, car les propriétaires font de l’argent en restreignant l’accès aux recherches importantes, financées le plus souvent par les deniers publics. »

            Richard Smith, ancien rédacteur en chef, BMJ"


          • JFCO JFCO 4 mars 2023 08:22

            @leypanou

            LE DOUTE

            Les fabricants de vaccins emploient (directement ou indirectement) des quidams qui portent parfois le nom de Désintox. Quand une recherche rigoureuse a montré qu’un produit est dangereux, une foule d’études de piètre qualité sont produites pour affirmer le contraire (voir ce qu’il en a été avec l’Hydroxychloroquine et l’étude du Lancet), ce qui confond la population parce que comme en attesteront les journalistes « les chercheurs ne sont pas d’accord entre eux ». Cette industrie du doute est très efficace pour distraire les gens et entretenir l’ignorance des torts. Les fabricants de vaccins achètent du temps, augmentent leurs profits, pendant que des personnes continuent à être victimes d’effets indésirables, voir de mourir.


          • njama njama 5 octobre 2019 12:30

            En 2007 la FDA (Food & Drug Adminstration) publiait sur son site dans un document que les infections HPV ne causent pas le cancer du col de l’utérus, même celles causées par des HPV dits à « hauts risques », mais que seules les infections HPV « persistantes » peuvent éventuellement induire des lésions précancéreuses au niveau du col de l’utérus.

            La FDA a retiré le document de ses publications, ou a changé l’adresse pour le ranger dans un placard (?), le lien repris pourtant dans de nombreux articles US ne fonctionne plus

            http://www.fda.gov/ohrms/dockets/dockets/07p0210/07p-0210-ccp0001-01-vol1.pdf

            réponse du site > FDA Page not found

            mais comme rien ne se perd vraiment sur Internet le document FDA “Reclassification Petition for Human Papillomavirus (HPV) DNA, Nested Polymerase Chain Reaction (PCR) Detection” published March 7, 2007. se retrouve sur web.archive.org (il faut faire un copier-coller du lien et supprimer l’espace entre http et ://www... pour qu’il fonctionne)

            https://web.archive.org/web/20110926180322/http ://www.fda.gov/ohrms/dockets/dockets/07p0210/07p-0210-ccp0001-01-vol1.pdf

            ou ici : https://www.naturalnews.com/downloads/FDA-HPV.pdf


            • njama njama 5 octobre 2019 12:55

              Page 8
              Based on new scientific information published in the past 15 years, it is now generally agreed that identifying and typing HPV infection does not bear a direct relationship to stratification of the risk for cervical cancer. Most acute infections caused by HPV are sel-limiting [1, 4-7]. It is the persistent HPV infection that may act as a tumor promoter in cancer induction [8-11]. Identifying and typing HPV is an important tool for following patients with persistent HPV infection. Repeated sequential transient HPV infections, even when caused by « high-risk » HPVs, are characteristically not associated with high risk of developping squamous intraepithelial lesions, a precursor of cervical cancer.

              A woman found to be positive for the same strain (genotype) of HPV on repeated testing is highly likely suffering from a persistent HPV infection and is considered to be at high risk of developing precancerous intraepithelial lesions in the cervix. It is the persistent infection, not the virus, that determines the cancer risk.

              The FDA has accepted the above interpretation of current medical science, as reflected in its March 31, 2003 announcement on aproval of the digene HC2 High-Risk HPV DNA Test while making the following public statements on record [I].

              « The FDA today approved expanded use of a laboratory test detect the presence in women of human papilomavirus (HPV), one of the most common sexualily transmitted infections. »

              « The HPV DNA test does not test for cancer, but for HPV viruses that can cause cell changes in the cervix. If left untreated, these changes can eventually lead to cancer in some women. »

              « Most women who become infected with HPV are able to eradicate the virus and suffer no apparent long-term consequences to their health. But a few women develop a persistent infection that can eventually lead to pre-cancerous changes in the cervix. »

              « ...most infections are short-lived and not associated with cervical cancer. »


            • njama njama 5 octobre 2019 12:57

              Page 10
              « Historically, HPV testing [15] was introduced to compensate for the poor sensitivity and specificity of the Pap smear cytology often used as a diagnostic tool for borderline precancerous lesions. The only FDA approved Digene Hybrid Capture 2 (HC2) assay is commonly used to determine if a cervicovaginal lavage sample harbors »high-risk« HPVs [16], as an adjunctive test for evaluation of the cytologically borderline cases [17-19]. However, it is now recognized that persistent infection of a »high-risk« HPV, not the HPV virus itself, is the pivotal promoter incausing cervical precancerous lesions and cancer [7-10].
              Most of HPV infections, even caused by »high-risk« genotypes, are transient with normal Pap cytology in sexually active young women [1, 3-6]. In 93% of the initially infected women, the same viral type is not detected upon re-examination four menstrual cycles later [20]. The median duration of positivity detectable by PCR for a specific HPV type in these young women is 168 days [21]. Multiple »high-risk« HPV infections do not constitute a higher risk for the development of cervical neoplasia when compared with single high-risk HPV infection [22]. For the development and maintenance of a high-grade squamous intra epithelial lesion (SIL), the risk is greatest in women positive for the same genotype of HPV on repeated testing [7-9]. Viral load is not a useful parameter to predict high-grade SIL [23]. High-grade SIL is often associated with a viral DNA load lower than that observed in less severely affected cells [24] »


            • popov 5 octobre 2019 14:58

              @njama

              Bonjour et merci pour le lien.
              Comment faites-vous pour retrouver un article sur web.archive.org ?
              Je vois que l’adresse comprend 2 parties séparées par « / » :
              https://web.archive.org/web/20110926180322
              2 l’adresse originale

              En tapant la première adresse, on se retrouve sur https://web.archive.org
              En tapant la seconde adresse (sans l’espace entre http et ://www) sur la barre de recherche au coin supérieur droit, on obtient une longue liste d’articles, mais je ne vois pas celui qu’on obtient en utilisant directement le lien que vous donnez.


            • njama njama 5 octobre 2019 15:52

              @popov
              Comment faites-vous pour retrouver un article sur web.archive.org ?
              un zeste de persévérance et d’obstination parce que je me dis qu’il n’a pu disparaître corps et bien, que l’article ou le document subsistait qq part « en cache ». Je suis parti du lien (devenu mort) publié dans diverses revues US. En général cela ne me prend pas trop de temps, l’intuition peut être ?
              Il faut faire un copier simultané des 2 adresses [ 

              https://web.archive.org/web/20110926180322/http ://www.fda.gov/ohrms/dockets/dockets/07p0210/07p-0210-ccp0001-01-vol1.pdf

              ], le coller dans la barre d’adresse, et supprimer l’espace entre http et ://www

              avant de lancer la recherche. En principe ça marche.
              Sinon j’ai indiqué un autre lien naturalnews.com qui renvoie au même document de la FDA


            • popov 5 octobre 2019 16:43

              @njama

              Merci. Oui, votre lien fonctionne quand on retire l’espace de l’adresse que vous avez donnée.

              Je voulais aller plus loin : comment en général, quand on connaît l’adresse d’un document retiré, le retrouver après s’être connecté sur https://web.archive.org. Ce site offre deux barres de recherche et je vais faire quelques essais.


            • njama njama 5 octobre 2019 16:55

              @popov
              Je ne sais plus très bien comment je l’ai retrouvé.
              Souvent il suffit de reprendre une partie du texte, 2 ou 3 phrases d’un article ou d’un document qui servent d’occurrence pour la recherche...


            • njama njama 5 octobre 2019 12:47

              La FDA confirmait en 2003 ce que la clinique (ce qui repose sur l’observation) dit :

              (ibid doc FDA page 8) « It is the persistent infection, not the virus, that determines the cancer risk. The FDA has accepted the above interpretation of current medical science, as reflected in its March 31, 2003 announcement on aproval of the digene HC2 High-Risk HPV DNA Test »

              ------------

              Cancer du col de l’utérus / Facteurs de risque connus selon la Société canadienne du cancer :

              > Virus du papillome humain (VPH) La majorité des femmes qui développent un cancer du col de l’utérus ont déjà souffert d’une infection au VPH. ...
              > Tabagisme. ...
              > Accouchements multiples. ...
              > Activité sexuelle. ...
              > Système immunitaire affaibli. ...
              > Statut socio-économique. ...
              > Diéthylstilbestrol. ... (connu en France sous le nom de Distilbène retiré du marché en 1977
              > Contraceptifs oraux.

              https://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/cervical/risks/?region=qc

              • njama njama 7 octobre 2019 14:59

                Le Dr Marc Vercoutère, médecin, ex président de ALIS France (Association Liberté Information Santé), également rédacteur ici sur Agoravox , décédé en décembre dernier, précisait déjà cette même information ici en décembre 2012  :

                - Dans un discret communiqué en date du 31 mars 2003, la FDA affirme cependant que « la plupart des infections (par HPV) sont de courte durée et ne sont pas associées avec le cancer du col » et que « la plupart des femmes qui contractent l’infection à HPV sont en mesure d’éradiquer elles-mêmes le virus qui ne semble pas entraîner de conséquences à long terme pour leur santé. » De plus, chez les femmes dépistées positives à plusieurs reprises pour la même souche, « c’est la persistance de l’infection, et non pas le virus, qui détermine le risque de cancer. » (www.fda ;gov/bbs/topics/NEWS/2003)

                https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/faut-il-se-faire-vacciner-contre-126444
                La controverse autour de l’utilité de cette vaccination est donc toujours d’une actualité brûlante...
                Opposer une unanimité supposée de « la communauté scientifique » en faveur de cette vaccination anti-hpv relève soit de la cécité intellectuelle, soit de la mauvaise foi, ou de l’imposture et de la corruption.


              • njama njama 5 octobre 2019 12:53

                N’est-ce pas leurrer toutes les adolescentes (et adolescents peut-être bientôt ?), comme leurs mères et pères, et toutes les jeunes femmes que de laisser accroire que le Gardasil pourrait les protéger efficacement contre un cancer dont les causes connues sont multifactorielles !

                Qui plus est ces lésions précancéreuses et cancers cervicaux ne sont pas toujours accompagnés de virus HPV...


                • zygzornifle zygzornifle 5 octobre 2019 14:52

                  Faut l’inclure aux 11 vaccins obligatoires ....


                  • njama njama 5 octobre 2019 16:05

                    @zygzornifle
                    Les 11 ne sont obligatoires que pour les enfants nés après le 1er janvier 2018 pour qu’ils soient admis en collectivités (crèches, mini-crèches, nourrices agrées, écoles à partir de 2021, clubs de sport du public, centres aérés ou camps de vacances du public...).
                    Ces dispositions relèvent plus du « règlement » que d’une loi spécifique qui n’existe pas d’ailleurs puisque ce n’était qu’une disposition parmi bien d’autres du PFLSS 2019 (projet de loi de financement de la Sécurité sociale).
                    Aucune disposition pénale n’existe contre les parents qui ne vaccineraient pas leurs enfants si ceux-ci ne fréquentent pas de collectivités.
                    Au final ce sont des mesures coercitives pour pourrir la vie des gens qui ne sont pas « adeptes » de ces mesures préventives que l’on ne pourrait qualifier de thérapeutiques puisqu’elles s’exercent sur des sujets sains.


                  • Eric F Eric F 6 octobre 2019 10:14

                    La question qui se pose est : par quels mécanismes un vaccin contre le virus HPV qui provoque une infection du col de l’utérus peut-il augmenter le risque de cancer sur l’organe désormais préservé de cette infection ?

                    Est-ce que le « virus atténué » pourrait coloniser l’organe à un niveau inférieur à une infection, mais néanmoins néfaste ?

                    Est-ce que ce qui provoque le cancer n’est pas l’infection HPV en elle-même, mais un effet secondaire des mécanismes de défense contre cette infection ?

                    Est-ce que certaines personnes vaccinées seraient déjà légèrement infectées de manière dormante avant vaccination, et que le vaccin aggraverait l’action du virus ?


                    • njama njama 6 octobre 2019 16:27

                      @Eric F
                      Il y a plusieurs questions dans votre commentaire.
                      Sur l’augmentation je n’ai pas d’explication, si le vaccin en était responsable ce ne serait qu’une hypothèse à démontrer... Il faut tout de même savoir que ces vaccins anti-hpv ne ciblent que quelques HPV (Cervarix 2, Gardasil 4, ou 9) parmi des dizaines, la protection n’est donc que très partielle et ne garantie en rien contre des infections d’autres HPV. Ces vaccins, même s’ils ciblent les plus fréquents « à risques », sont donc des lignes Maginot, à l’efficacité très relative. On peut ajouter que la prévalence de tels ou tels HPV est variable suivant les localisations géographiques comme Isabelle Heard de l’Institut Pasteur l’avait déclaré au site médical Medscape, en 2014.
                      « Le vaccin 9 valent sera modérément utile en France car il ne contient pas les 3ème, 6ème et 7ème génotypes qui sont les plus fréquents chez nous qui sont les HPV 51, 56 et 53 »
                      ce qui me faisait dire que le Gardasil_9 n’est qu’une version _6 en métropole.

                      We considered low-risk HPV types as HPV type 6, 11, 32, 40, 42, 44, 54, 55, 61, 62, 64, 71, 72, 74, 81, 83, 84, 87, 89, and 91 ;

                      and high-risk HPV types as HPV type 16, 18, 26, 31, 33, 35, 39, 45, 51*, 52, 53*, 56*, 58, 59, 66, 67, 68, 69, 70, 73, 82, 85, and IS39.

                      cibles HPV Gardasil_4 (HPV 6, 11, 16, 18) cibles HPV additionnelles du Gardasil_9 : 31, 33, 45, 52 et 58 

                       source : Prevalence of HPV Infection Among Females in the United States. JAMA.2007 ; 297 : 813-819, (février 2007). Et le texte complet


                    • Hypatie Hypatie 8 octobre 2019 09:59

                      @Eric F
                      Par ailleurs, le Cervarix ou le Gardasil contiennent tous deux des adjuvants d’aluminium particulièrement efficaces (entendre « pro-inflammatoires ») qui n’ont JAMAIS été testés pour la cancérogénèse, ni la mutagénèse (dispensés par les autorités sanitaires, notamment l’Agence européenne du médicament) alors même que l’on connaît les propriétés cancérigènes de l’aluminium, retiré des vaccins pour chat (gamme Purevax) et des déodorants (suspectés de provoquer le cancer du sein).
                      De plus, vacciner contre quelques souches de papillomavirus laisse le champ libre aux autres souches de papillomavirus (la nature a horreur du vide)... Du moins, c’est une hypothèse très sérieuse qui devrait être étudiée... si on voulait vraiment comprendre ce qu’il se passe.

                      Pour en savoir plus sur les adjuvants aluminiques : https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8


                    • Hypatie Hypatie 8 octobre 2019 10:02

                      @Eric F
                      Une autre hypothèse serait probablement que, se sentant « protégées », les jeunes femmes prennent peut-être moins de précaution, ou estiment ne pas avoir besoin d’une surveillance régulière, notamment d’un frottis tous les 2 ou 3 ans...


                    • doctorix, complotiste doctorix 10 octobre 2019 13:50

                      Ce qui ressort de l’article, si l’on se fie à l’ensemble des courbes, est au minimum que le bénéfice du vaccin est nul.

                      C’est une constatation qui devrait éradiquer cette pratique, puisqu’on peut alors parler d’escroquerie.

                      Si de plus il augmente le risque, alors on peut parler de crime.

                      Enfin cet article ne parle pas des victimes du gardasil, dont certaines sont devenues des légumes, par centaines ou milliers, et c’est encore un nouveau crime. Mais pour qui connait les vaccins, il n’y a aucune surprise à constater que ce vaccin ne sert à rien, au minimum, puisque c’est le cas de la totalité des vaccins.

                      Une parole qui est bien difficile à faire passer, dans notre déluge de désinformation (vaccins, sida, réchauffement climatique anthropique, pour ne citer que les plus énormes intoxications du moment).

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