@ Montagais

Bonjour et merci de votre commentaire. Je vais faire un peu long pour exposer ce que j’en pense.

Je m’en excuse d’avance. Des solutions, il y en a, elle peuvent être politiques, spirituelles. Politiques, car toutes les lois votées par ce simulacre d’Assemblée Nationale, viennent de la Commission de Bruxelles, de l’Union Européenne, qui ordonne, la France privée de sa souveraineté s’exécute.

Le gouvernement actuel s’apparente à une sorte de Gauleiter tel que le préconisaient les NAZI qui pronaient, l’Histoire m’en est témoin, une Europe dans un Ordre NOuveau.

De plus en plus, la similitude ne peut que sauter aux yeux, de deux projets semblant se confondre pour n’en faire qu’un seul et avec la crise du COVID, la réalisation du contenu de Mein Kampf. Le totalitarisme, quel que soient les époques se ressemble au delà des générations, seuls les outils de mise en application diffèrent, aujourd’hui les tyrans profitent des avancées scientifiques et technologiques. A travers l’Histoire, tous les tyrans trouvent des réponses à leur désir démentiel de contrôler et d’asservir les populations. La politique démentielle appliquée par l’Union Européenne fait partie de ces rêves de démiurges, né avec d’autant plus de facilité que sa création a fait suite à une guerre totale, mondiale et extrêmement meurtrière. Les premiers statuts de l’UE furent rédigés par d’anciens collaborateurs du Nazisme, collaborateurs à des degrés divers, plus ou moins impliqués, je précise, mais que les Américains fortement intéressés par leur technicité, ont récupérés pour les utiliser. L’Europe surdimentionnée rêvée par les Nazis, avec une supprématie raciale assurée par un eugénisme pointilleux à créer l’homme nouveau, devenait palpable avec l’UE, et les Américains, les Européens considérablement affaiblis par la guerre, devenait la réalité d’un vieux rêve. Ne croyons pas que ce rêve date des années trentes, cela fait presque 150 ans que les politiciens tentaient de réunir les pays européens dans un seul et même super Etat fédéral, où les nations s’effaceraient au profit de cette entité politique et économique. Ces utopistes n’ont jamais réussi vraiment à la mettre en place. Mais, petit à petit l’idée s’est précisée dans les esprits des décideurs après la première guerre mondiale, si bien que nous pouvons nous poser la question de savoir si, la première guerre mondiale sous couvert de nationalisme revanchard des 2 côtés du Rhin, n’était pas pilotée en sous-main, provoquée pour en venir justement au constat suivant : le nationalisme c’est la guerre assurée entre Nations. 

L’argent étant le nerf de la guerre, il était désormais facile pour les décideurs, après moultes déstabilisation politiciennes et économiques de se jeter dans un conflit qui aura déterminé — vu l’importance et le bilan des tueries — une nouvelle façon de voir le destin des nations et faire tabula rasa de ces dernières. ILs y ont mis du temps, mais ils arrivent avec la France, surtout à leur but.

La première guerre mondiale enclenchant la deuxième, ces deux conflits majeurs ont provoqué l’avènement de temps nouveaux, dont auront profité exclusivement les deux blocs en course pour un leadersheap idéologique, les US et en face l’URSS. Au milieu, nous pauvres bougres démis, tributaires à jamais de l’argent américain, et du chantage éhonté culturel qu’ils n’ont cessé d’affirmer pour asseoir la souveraineté impérialiste. 

L’Europe Unie n’a été qu’un leurre qui a bouleversé l’agenda des cercles de pouvoirs et leur a permis jusqu’à aujourd’hui de planifier, de cerner le rôle minoré des nations, qu’ils ne voulaient plus voir comme des souverainetés assises dans le temps, la France, souveraine depuis des siècles, devait se déliter dans le concert assourdissant des trompettes mondialistes. 

L’Union Européenne est tout à fait en phase avec le projet NAZI, nous y retrouvons tous les éléments moteurs de l’avancée de cette idéologie. Et la crise du COVID permet de fermer le ban de l’indépendance des peuples, d’ériger l’obéissance comme une vertu et le manque de liberté, comme une nécessité sécuritaire, pour ceux qui, perdant ainsi toute leur dignité, foncent comme un troupeau sans tête, vers le refuge très hypothétique d’une survie illusoire. 

Vous me parlez de Nietzche, et vous avez raison, nous sommes vraiment dans le complexe de « surhomme », de volonté de puissance d’un petit groupe d’eugénistes qui tels ceux de 1933, considéraient l’homme comme un champ d’expériences nouvelles, passionnantes, épanouissantes pour eux, mais extrêmement avilissantes, dégradantes pour ceux qui les subissaient. 

Pour répondre plus prosaiquement à votre question, je dirais que la priorité des priorités est de nous extraire de ce chausse-trape épouvantable qu’est l’Union Européenne. Des politiciens le proposent, nous les connaissons, lorsque les medias ne mettent en avant, que ceux qui se détournent de cette solution salvatrice, nous les connaissons, aussi, femmes, hommes, acquis à une prévarication intellectuelle extrêmement dommageable pour les peuples. A nous de réfléchir, en notre âme et conscience, une fois que les responsables de nos malheurs sont identifiés, il me semble qu’il serait, une fois identifiés, plus facile de prendre des décisions.