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Commentaire de Trelawney

sur « Race », « islamophobie ».... Bien définir les mots qui fâchent


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Trelawney 5 mars 2021 09:27

L’auteur est un adepte inconditionnel de la « lutte des classes », que je mets entre guillemets, car ce n’est qu’un concept politique qui n’a pas de fondement social ailleurs que dans le syndicalisme.

On ne bâtit pas une constitution avec ce concept !

Puis deux singularité viennent télescoper ce concept et interroger ses adhérents sur le comportement qu’il faut adopter face à ces paradoxes que sont  : islam politique et race.

Pour ce qui est des races « d’apparences » (noir, blanc, jaune etc.), les scientifiques ont tranché : c’est une invention (délire) politique du temps des colonies pour assoir la position dominante de l’homme blanc sur le reste du monde. Il n’y a pas plus de différences entre un noir et un blanc qu’entre un roux et un blond. Mais alors comment ces adeptes de la religion "lutte des classes" peuvent faire pour admettre un fait scientifique et se couper en même temps d’un bon nombre de personnes ostracisés par le passé colonial de nos pays ? Continuer le combat racial et admettre que finalement noir et une race. Donc l’auteur, pour pouvoir justifier sa théorie douteuse, admet ouvertement qu’il existe des différences raciales entre noir et blanc.

Pour ce qui est de l’islam politique (c’est beaucoup plus parlant que l’islam radical) qui va au mieux d’un noyautage des associations (sportives, ou philanthropes, politiques) au pire aux des attentats terroristes, c’est une réalité. Et son but est d’adapter le système politique du pays à leur religion et de façon non démocratique voir totalitaire (car leur religion est insoluble dans tout système démocratique). Comment la justification de l’idée de « lutte des classes » peut s’associer avec le projet politique de ces derniers, autrement que par « l’association intellectuelle » de l’oppression de certains peuples comme les palestiniens ou la responsabilité historique de ses opposants (colonies) ? Comme il est certain que les islamistes ne vont pas trouver échos après des défenseurs des sociétés occidentales, le noyautage des partis adepte de la lutte des classes leur est pour eux plus simple.

Voilà comment le terme « islamo-gauchiste » existe : des adeptes de l’idéologique marquée à gauche « lutte des classes » prêt à tout pour exister et qui font fi de leur principe de laïcité ardemment défendu autrefois, pour s’associe avec une faction politique qui marche sur la tête des droits de l’homme et de la démocratie. On comprend mieux pourquoi tant de gesticulations sémantiques essaient de nous faire croire sans espoir qu’islamo-gauchisme est un fantasme. L’association de la carpe et du lapin ne donne jamais de bonnes choses !


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