@Ouam
Mon dieu (exclamation !) elle on ne peut pas dire que la nature l’a gatée
Elle ne transpire pas l’intelligence, bidiou, ca fais peur...
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Ce niveau de connerie est effrayant
mais on a les mêmes à la maison.
La connerie et l’abjection n’ont pas
de couleur
la
lettre ouverte que l’écrivaine Virginie Despentes a écrit à
ses “amis blancs”, dans laquelle elle s’attaque
au “privilège” d’avoir la peau blanche.
"Ce qui définit le mieux cette femme,
ce sont ces lignes qu’elle écrira dans Les Inrockuptibles le
17 janvier 2015, quelques jours après le massacre à Charlie
Hebdo : « J’ai été Charlie, le balayeur et le flic à
l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs
armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché
noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit
accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé
aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de
décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi
leur désespoir. Je les ai aimés dans leur maladresse – quand je
les ai vus les armes à la main hurler ’on a vengé le Prophète’ et
ne pas trouver le ton juste pour le dire. Jusque dans leur acte
héroïque, quelque chose qui ne réussissait pas ».
Elle récidive avec l’affaire Traoré
"Vient enfin la chute de son propos :
être Noir ou Arabe en France est une angoisse du quotidien car on
est traqué. Ce genre de logorrhée grotesque pourrait faire sourire
car dans l’Hexagone, entre les Blancs, les Jaunes, les Noirs et les
Arabes, qui se sent le plus menacé par qui ? "
"La prose de cette déjantée ne doit
pas être sous-estimée. Elle incarne, en effet, la pensée de cette
élite intellectuelle dominante qui a sur le pouvoir, qu’il soit
socialiste ou macroniste, une influence réelle, relayée qu’elle
est par une grande partie des médias"