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Commentaire de Adèle Coupechoux

sur Masque chirurgical, masque social


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Adèle Coupechoux 5 juin 2020 16:10

Il n’y pas besoin de compter ceux qui portent des masques ou pas. A paris en tout cas, il n’y a plus que ça, un peu moins aux terrasses de café quand même.

Ce qui était recommandé au départ est devenu presque partout obligatoire. Même dans les endroits où cela n’a aucun sens.

Cela signifie-il que presque l’ensemble des parisiens sont des personnes avec des risques de comorbidité ? Si oui, comment faisaient-elle avant le COVID quand elles avaient des pathologies autrement plus mortelles comme un cancer ? Elles se confinaient systématiquement chez elles et portaient aussi un masque ? Elles ne respectaient pas les gestes barrières, c’est-à-dire une distance raisonnable entre-elles pour ne pas envahir l’espace de l’autre ? Elles ne se lavaient pas non plus les mains ? Elles se postillonnaient copieusement dessus en discutant ? Eternuaient à la face des autres sans vergogne ?

Tous ceux qui avaient une simple grippe ne sont quand même pas passés au syndrome de détresse respiratoire aigu !

Aucune guérison ? L’hôpital dès que les urgences ont été saturés-merci la psychose créée puis entretenue par Macron et les media-a renvoyé les patients qui ne présentaient pas de symptômes sévères chez eux pour se soigner. Ceux qui avaient des symptômes plus graves mais ne nécessitant pas d’hospitalisation ont eu peur de consulter leur médecin traitant, alors qu’ils l’auraient fait en temps « normal ».

Ce confinement se solde par une plus grande vulnérabilité des personnes déjà fragilisées socialement et économiquement, des malades qui n’ont pas pu se faire soigner et des masques qui ne semblent pas prêts de tomber.


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