L’auteur n’est franchement pas une bonne publicité pour la lecture, il faut bien le dire. Elle a sans doute beaucoup lu, mais que lui reste-t-il au final ? Elle n’est qu’un perroquet savant. Elle semble incapable d’analyser, de creuser, de faire la part des choses, de proposer une pensée originale qui vienne vraiment d’elle. Elle ne fait que répéter ce qu’elle lit ou entend ailleurs, et encore, ses choix de lecture semblent orientés et restreints.
Sinon, il faudrait aussi qu’elle arrive à distinguer l’activité de lecture à proprement parler et le support utilisé. Mieux vaut lire Socrate sur tablette que Closer sur papier non ? Ou c’est trop dur à comprendre ?
On pourrait aussi prendre en compte la durée de chaque mariage, même s’il n’y en a qu’un, pour déterminer le montant de la pension.
Je connais une personne (et son cas n’est pas isolé) qui, mariée pendant deux ans, a pu bénéficier de la totalité de la pension de réversion, premier point qui me semble anormal. L’autre point est que le conjoint décédé avait été marié précédemment pendant 40 ans et sa première épouse aurait dû bénéficier de la majeure partie de la pension. Or, personne ne l’a avertie, et elle n’a rien eu.
Si on se place du point de vue de la lutte des classes, il n’existe que deux visions politiques : celle des privilégiés et celle des défavorisés, chaque camp oeuvrant pour son propre avantage, avec éventuellement des nuances. Le centre n’existe pas. C’est comme à la guerre, on est soit dans un camp, soit dans l’autre.
Depuis l’avènement d’une classe moyenne importante, cette distinction ne tient plus beaucoup et le curseur se place au petit bonheur selon d’autres considérations : écologie, sujets sociétaux, géopolitique... laissant tout le monde un peu déboussolé à vrai dire.
Patience, cette classe moyenne est en train de disparaître. Bientôt, on aura, comme avant, les riches d’un côté, et les pauvres de l’autre, et voter sera devenu bien plus simple (à condition bien sûr que le vote ne soit pas aboli par les riches hein !).