Il est bien réconfortant de lire quelqu’un qui est proche de soi dans sa perception de cette « gauche » et de son évolution douteuse.
Je ressens les choses comme toi et je me désintéresse de plus en plus de cette politique où je ne trouve plus trace de ce que j’ai toujours cherché. Quant à analyser ce qu’est devenue cette gauche j’évite de le faire, c’est mauvais pour ma tension. La lecture de certains journaux « de gauche » est un calvaire que j’ai cessé de m’imposer.
Après tout, je fais (pour l’instant) partie de ceux qui n’ont pas de problèmes matériels, je choisis de m’en satisfaire en m’estimant heureux. Je continue à participer à certaines élections bien que je n’y mette pas vraiment ce que je voudrais.
Je n’ai aucune confiance dans les programmes présentés, les exemples du mensonge sont trop nombreux pour qu’on puisse encore y ajouter foi.
Lors du match le chi/le pen j’ai voté le chi aussi et finalement je le regrette. Je me rappelle m’être engueulé alors avec mes parents gauchistes qui se sont abstenus et je pratique aujourd’hui cette politique : je ne vote plus que si j’ai une « moins mauvaise raison » de le faire.
Pour Mitterrand avec le recul et sa biographie, on se demande comment on a pu être dupe.
La pleurnicherie et le problème à tout prix sont à la mode. Quant au mélange de l’homo avec le trans, n’en parlons pas. Qu’on réclame la normalité pour des cas très souvent cliniques (le refus du genre en l’occurrence) m’étonne un peu, mais bon...
Tout cela est une affaire de mode que la gauche bien pensante et sociétale avale toujours goulument et le cisgenrime est mal porté en ces temps troublés
Du reste cette chanson illustre parfaitement la mode ridicule des années 80 où on se créait déjà des pbms. Mais pas les mêmes.