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Reinette

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« Tout être humain, quelles que soient sa race, sa nationalité, sa foi religieuse ou son idéologie, est capable de tout et de n’importe quoi. »

— Regrets sans repentir

Chester Himes

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Derniers commentaires



  • Reinette Reinette 24 juillet 2010 12:50


    Les compromis nécessaires entre les instincts font que la paresse est une perversion sur le plan de la vie collective, alors qu’elle répond, sur le plan de la conservation, à la loi biologique de l’économie de l’effort

    http://www.1metierquimeplait.com/medias/orientation/rediger-son-cv---selon-la-methode-daniel-porot.pdf



  • Reinette Reinette 24 juillet 2010 01:52


    eh bien ! en lisant l’article et surtout les commentaires, je me dis que j’ai eu beaucoup de chance d’avoir un père perspicace et libre penseur

    gifler ses gosses : c’est surtout une disposition d’un parent à exprimer brutalement ses sentiments envers eux.

    la brutalité des parents sur leurs enfants génère inéxorablement de la violence au sein de la famille, et les enfants reproduiront sur leurs gosses l’attitude violente que les parents leur auront appris ; (ainsi de génération en génération peut-être ?)

    si des parents en arrivent à être violents avec leurs propres gosses, jusqu’où peuvent-ils aller avec les enfants des autres ?



  • Reinette Reinette 23 juillet 2010 16:05

    Un proverbe nous dit : « Les apparences sont souvent trompeuses »

    Trop de personnes se laissent prendre aux apparences, aux faux-semblants. Les nababs ne manquent pas de se duper entre eux en dissimulant leurs sentiments ou leurs affaires sous un voile doré.
    Mais les plus bernés de tous sont les peuples qui s’engluent aux baratins prometteurs des politiciens de tout acabit et des arrivistes de toutes espèces. Plus les apparences sont enjôleuses, plus il faut être prudent. Il faut gratter le vernis superficiel et voir ce qu’il y a dessous.

    II se peut que le fond corresponde à l’apparence. Mais il faut commencer par s’en assurer, si l’on veut éviter d’être des gogos à perpétuité.

    Des individus que l’on désigne sous le nom de « bandits », il faut faire une distinction :

    Il en est qui s’attaquent à la propriété d’autrui dans le seul but de s’approprier cette propriété sans effort et qui sont animés des mêmes vices et des mêmes égoïsmes que la classe possédante. Seuls les moyens employés pour jouir des richesses changent, mais la mentalité reste la même. Ce sont des caïds de quartiers qui ont choisi de vivre en marge de la société, et dont la tyrannie et la brutalité envers les résidents de leur quartier n’a rien à envier aux dispositions d’un ordre despotique.

    Il ne faut pas les confondre avec une autre catégorie de « voleurs » : des personnes au statut précaire, qui pour manger à leur faim et nourrir leur famille, peuvent être tentés de piquer dans les supermarchés de la nourriture. Ceux-là sont des victimes de l’état actuel des choses et on ne saurait les blâmer à la légère d’avoir recours à des solutions excusables.



  • Reinette Reinette 23 juillet 2010 11:50

    Pour contourner les limitations, les politiques ont créé de nombreux « partis satellites ».
    De 28 en 1990, leur nombre est passé à 255 en 2004 selon la CNCCFP. Rien n’empêche ces petits partis de reverser ce qu’ils touchent à un grand parti. L’UMP a ainsi bénéficié de 26 520 euros de la Formation Boutin.

    Cette pratique est tout à fait connue de la CNCCFP. « Ce n’est pas pas illégal, on ne peut même pas parler de magouille. C’est une astuce pour récolter plus de dons », conclut la CNCCFP.

    A QUOI SERT REELLEMENT CETTE COMMISSION ?

    Dans les vingt-sept cartons constituant les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) a néanmoins repéré que « trois dons de personnes physiques dépassaient le plafond légal ». Même si, « dans l’exercice de son pouvoir d’appréciation, la Commission a jugé que cette irrégularité n’était pas d’une gravité suffisante pour entraîner le rejet du compte », se contentant de diminuer le montant du remboursement forfaitaire.

    De toute façon, précise la CNCCFP, « la sanction du rejet du compte n’est pas, comme pour les élections législatives ou locales, l’inéligibilité, mais uniquement la privation du remboursement forfaitaire des dépenses de campagne par l’État


    Si les soupçons à l’encontre d’Éric Woerth sont confirmés, il s’agirait donc d’un retour aux années 1980-2000, dont l’atmosphère politique avait été empoisonnée par les « affaires ».

    Tous les partis de gouvernement avaient été en effet, à l’époque, inquiétés par la justice. Les deux condamnés les plus célèbres sont Henri Emmanuelli (financement illégal du PS par le bureau d’études Urba) et Alain Juppé (emplois fictifs du RPR à la mairie de Paris). Certains ont en revanche été amnistiés par le Parlement (« caisse noire » du CDS : Pierre Méhaignerie, Jacques Barrot, Bernard Bosson), d’autres blanchis par la justice (Gérard Longuet pour le Parti républicain, Robert Hue pour le PCF).



  • Reinette Reinette 23 juillet 2010 11:29

    Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques

    18 juin 2010 nominations http://www.cnccfp.fr/

    Par décret du 30 avril 2010, sont nommés membres de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques : MM. Jacques NÉGRIER, Conseiller d’État honoraire, Patrice MAGNIER, ancien Conseiller d’État en service extraordinaire, Bernard CHEMIN, Conseiller doyen honoraire à la Cour de cassation, Roger GAUNET, Avocat général honoraire à la Cour de cassation, François LOGEROT, Premier président honoraire de la Cour des comptes, François DELAFOSSE, Président de chambre honoraire à la Cour des comptes et Mme Maud COLOMÉ, Conseiller-maître honoraire à la Cour des comptes.
    M. Herbert MAISL, Conseiller d’État honoraire, avait été nommé par décret en date du 19 novembre 2008 sur proposition du vice-président du Conseil d’État et Mme Martine BETCH, Conseiller honoraire à la Cour de cassation, par décret en date du 6 janvier 2010, sur proposition du Premier président de la Cour de cassation.
    Le président, François LOGEROT, a été réélu en séance du 11 mai 2010 (J.O. du 16 mai 2010).

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