Ce qui m’exaspère dans votre article mais aussi dans les écrits de Lafforgue et Lurçat dont vous vous inspirez, c’est le ton apocalyptique, la description sans nuances .
Si ce ton était adopté pour tout autres sujets , on trouverait cela ridicule .
Le système français est loin d’être parfait mais il n’a pas été détruit pas le « pédagogisme » dont la dénonciation permanente relève du fantasme.
On peut être un bon mathématicien (Lafforgue) et un piètre observateur du monde scolaire.