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pemile

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Je suis un "pénible" que certains veulent absolument virer d'AgoraVox.

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Derniers commentaires



  • pemile pemile 6 décembre 2015 09:12

    @Rounga
    Vous pouvez aussi répondre à la question, comme promis !



  • pemile pemile 6 décembre 2015 02:32

    @maldoc25 « Les gamins sont les perdants »

    Et leurs blessures indélébiles



  • pemile pemile 6 décembre 2015 02:02

    @Rounga
    Vous vous répétez, en mettant votre texte en gras, que pour éviter de répondre à une question posée trois fois, à laquelle vous m’aviez promis « Patience, on va y arriver bientôt. »
    Relisez nos échanges, pauvre pécheur, vous noyez le poisson, pauvre pêcheur.



  • pemile pemile 5 décembre 2015 23:14

    @Aristide « mais surtout dans sa grande capacité à collaborer et surtout de manière non égoïste. »

    Idem chez les insectes :

    Un naturaliste digne de foi, M. Clairville, dans une de ses promenades, s’arrêta pour observer un insecte qui était occupé à enterrer le cadavre d’un mulot dans le corps duquel il avait pondu ses oeufs. Cette action n’avait rien d’extraordinaire, puisque tous les insectes de l’espèce de celui qu’observait M. Clairville, les nécrophores, ont l’habitude d’agir ainsi. Mais voici où commence le curieux de l’histoire. Après avoir bien gratté la terre, le nécrophore dont il est question reconnut qu’il n’y avait pas moyen d’enterrer son mulot à la place où il se trouvait, parce qu’en cet endroit-là le sol était trop battu et trop dur. M. Clairville vit son insecte prendre bravement son parti, et aller à un pas de là creuser la fosse de son mulot dans un terrain beaucoup plus mou, et par conséquent beaucoup plus facile à remuer. Cette opération terminée, le nécrophore vint chercher son cadavre pour le porter dans la fosse préparée. Mais l’insecte n’avait pas songé, à ce qu’il paraît, au poids du mulot, poids tellement au-dessus de ses forces, qu’après s’y être pris de cent manières pour le pousser ou le traîner vers la fosse, il ne put réussir même,à l’ébranler. Le voilà bien attrapé, le petit croque-mort ! pensa M. Clairville. Comment va-t-il se tirer de là ? Il s’en tira cependant, et voici de quelle façon. Il. n’eût pas plus tôt acquis la conviction qu’il perdait son temps, qu’il prit son vol et disparut au loin. Le savant crut que l’insecte avait renoncé à son projet, et il allait continuer sa promenade, lorsqu’à son profond étonnement il vit le nécrophore reparaître avec trois de ses camarades de son espèce, auxquels il était probablement allé raconter son aventure, et qui avaient consenti à l’accompagner pour lui prêter main-forte. Ils se mirent, en effet, tous les quatre à l’ouvrage, et transportèrent le mulot dans la fosse préparée. Un homme, en pareille circonstance, eût-il agi autrement que ce nécrophore ? Comment put-il faire comprendre son embarras à ses camarades, et, quand ceux-ci furent sur les lieux, leur indiquer son projet  ?



  • pemile pemile 5 décembre 2015 22:39

    @olivier cabanel « mais aussi par le transport de cette énergie »
    Non spécifique au nucléaire

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