Calmez vous, je vous en prie, vous vous faites du mal. Un coup de sang est trop vite arrivé.
Vous avez raison, je n’ai rien publié ici, Dieu, puisque vous en parlez, m’en garde.
Je n’ai pas la prétention de rivaliser avec ceux qui n’ont rien à dire mais tiennent tout de même à le faire savoir bruyamment. Il y a d’autres moyens pour exister, que de radoter, même à notre âge. Continuez.... Vous êtes sur la même pente que Panda et consorts.
Concernant votre engagement politique, je me demande ce que penseront vos petits enfants d’un grand-père collabo de la destruction du droit du travail, et fossoyeur de leurs libertés, de leur santé, et de leur éducation.