@Hamed « s’il ne suffisait que de cela, de prières, de rites, d’observances religieuses... »
Ma phrase ne dit pas que ces manifestations sont inutiles, loin de moi cette pensée. Elles peuvent cependant ne plus être nécessaires du moins chez certaines personnes qui, de par leur vie, leurs actes, leur mémoire... les ont imprégnées dans leur chair, leur âme, comme par osmose ce qui ne rend plus ces manifestations « matérielles » indispensables, elles peuvent s’en passer comme le pèlerin animé de l’Essentiel dont le bagage est léger, a laissé derrière lui tout ce qui meublait sa vie sédentaire... Je ne sais plus à quel artiste l’on demandait quelle est la différence entre un comédien et un acteur ? il répondit, un comédien « joue », un acteur « vit ». C’est un peu soufi j’en conviens... L’utilité de ces manifestations, dont celles architecturales, modestes ou grandioses (églises, mosquées, et autre lieux antiques de dévotion), est de nous préserver de l’oubli... qui, s’il nous soigne parfois, peut s’avérer funeste... d’où l’utilité des rites... pour éviter d’oublier de où, de qui l’on vient... ainsi la Bible parle de Tables de la Loi ce qui est pour le moins très matériel
@Aristide L’argument fallacieux est aussi de considérer que la stérilité entre homosexuel(le)s serait assimilée à une forme de carence pathologique, voire un déficit génétique, une erreur de la nature, un handicap, la GPA y remédiant, là où la Dame Nature faisait loi depuis la nuit des temps.
Les homosexuel(le)s ne s’assument pas pour ce qu’ils (elles) sont, au point qu’ils (elles) souhaiteraient être « pollinisés » par des gamètes comme des hybrides, des OGM.
Est-ce à la société d’y remédier par des artifices, des procédés « techniques » qui vont prendre en otages le corps médical ? certains évoquent même une prise en charge pour ne pas discriminer, puisque fort heureusement pour l’instant le phénomène s’auto-limite pour des raisons financières.
La GPA un cheval de Troie vers le transhumanisme... ?
La GPA c’est comme rétablir une forme inédite d’esclavage entre humains, puisque précisément l’esclave était avant tout une force économique, un capital...
La pratique est néanmoins autorisée dans certains pays étrangers dont
l’Ukraine, la Russie, le Canada ou encore les États-Unis, destinations
où se rendent les Français qui souhaitent contourner le droit français.
Dans ces pays, une GPA coûte entre 60.000 et 240.000 euros, selon les « formules » choisies. Une clinique en Ukraine avait fait polémique en proposant un tarif « Black Friday »
[en soldes, NDLR] pour des naissances par GPA. Une agence de gestation
pour autrui, qui met en relation des couples avec des cliniques et des
mères porteuses, offre par ailleurs sur son site une « garantie de redémarrage en cas de décès du bébé ». « GestLife est la seule entreprise au monde qui vous couvre [pour le décès de l’enfant],
en vous garantissant le redémarrage du même programme que vous aviez
contracté, jusqu’à deux ans après la naissance, en cas de décès du bébé
pour n’importe quelle raison ou cause (y compris les accidents
domestiques ou de la circulation) », se félicite l’agence. « Il
faut être clairs : la GPA, c’est faire entrer la naissance dans un
système économique et médical dans lequel la raison du plus fort, qui
plus est du plus riche, est toujours la meilleure. C’est entrer dans une
logique libérale », résume Céline Revel-Dumal dans son livreLa GPA, le grand bluff (Éditions du Cerf). Voulons-nous vraiment cela pour les femmes et les enfants ?"
Ça c’est le discours des religions, y a que la foi qui sauve...
s’il ne suffisait que de cela, de prières, de rites, d’observances religieuses... qu’aurions-nous besoin de Lois divines, pour nous guider, rappelées par une succession de prophètes qui, cornaquaient leurs contemporains pour les remettre dans le droit chemin...
et où serait notre libre arbitre, car la liberté est fille de l’inconnu
C’est la vie qui forge l’âme, le futur vaisseau céleste... encore faut-il que l’ouvrier, et l’ouvrage l’aient bien bâti, fût-il un frêle esquif...