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Luniterre

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  • Premier article le 17/05/2014
  • Modérateur depuis le 08/09/2014
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Derniers commentaires



  • Luniterre Luniterre 16 septembre 2015 17:05

    Personnellement, je n’ai jamais  vu, dans les expériences d’Alain Aspect, ni dans les livres de Bernard d’Espagnat, écrits à la suite, d’incompatibilité avec le matérialisme DIALECTIQUE, c’est à dire celui qui tient compte de l’influence en retour de la pensée sur la matière, même dans ses aspects « inconscients », inconscient collectif, etc... et y compris de l’« irrationnel » humain.

    C’est l’interaction des éléments et des êtres qui fait évoluer leur destin et le fixe en partie, celle qui, précisément, reste observable.

    Les potentialités non observables n’en sont pas moins réelles, en termes de lois quantiques. Elles ne constituent certainement pas pour autant un domaine « divin », qui serait donc,paradoxalement, fondé sur l’incertitude, c’est à dire, en termes « humains », sur l’arbitraire !

    Ce « Dieu quantique » serait donc assez exactement le « Dieu jouant aux dés » que Einstein rejetait fermement... (Bonjour, la théologie !)

    Les matérialistes mécanistes et dogmatiques voient l’univers comme une grande horloge, et les dogmatiques religieux aussi, avec un "Grand Horloger« en prime...

     »Dieu « quantique » jouant aux dés«  ou  »Grand Horloger" sont deux béquilles dont la pensée humaine n’a pas besoin pour avancer...

    Libérons-nous en, tout en pratiquant une coexistence laïque avec ceux qui ont encore du mal à évoluer dans ce sens... qui semble tout de même être celui de la connaissance et du progrès !


  • Luniterre Luniterre 15 septembre 2015 18:09

    Victime d’un accident, il y a plusieurs décennies, à Tunis, les passants se sont groupés, non seulement pour nous secourir, mais aussi pour empêcher le règlement « amiable » entre le fautif, un haut fonctionnaire local, et la police, notoirement corrompue. Et pourtant, c’était sous une dictature bureaucratique.

    En fait de théorie « psy » alambiquée, est ce que l’équation du problème n’est pas tout simplement la densité aléatoire de cons au mètre carré, à l’instant T ? Il se trouve qu’elle est trop souvent assez élevée... L’« american way of life », répandu maintenant jusqu’en Chine et ailleurs (en Tunisie aujourd’hui ?), est un facteur aggravant.



  • Luniterre Luniterre 4 septembre 2015 13:41

    La bourse de Shanghai manipulée... ?

    En premier lieu par les bureaucrates chinois eux-mêmes, et dès son origine :

    https://tribunemlreypa.wordpress.com/2015/09/01/de-la-structuration-maoiste-de-la-bulle-chinoise/



  • Luniterre Luniterre 7 août 2015 09:03
     
    Bonjour,

    Les données concernant la situation géostratégique mondiale ont beaucoup évolué ces derniers mois, et continuent d’évoluer assez vite. Il est donc tout à fait hasardeux de tirer des conclusions.


    Il me semble qu’il y a tout de même quelques constantes qui ne sont pas sur le point d’être effacées rapidement :
    La Chine a une industrie sur-développée par rapport aux autres, mais dépend principalement de l’exportation, hors celle-ci commence à se « tasser » avec la crise.

    Son industrie dépend encore essentiellement des capitaux étrangers, et notamment US.
    C’est pourquoi un conflit Chine-USA, ou même Chine-Japon n’est pas vraiment « dans les tuyaux ».

    De plus, malgré ses efforts, la Chine n’a toujours pas les moyens d’imposer le Yuan comme véritable concurrent du dollar, sur le marché libre, comme « monnaie de réserve ».
    La Chine « rêve » d’indépendance, mais il y a encore loin du rêve à la réalité. Cela ne l’empêche pas, avec sa « richesse » relative, de jouer les « grandes puissances » au sein des BRICS...

    La Russie n’a pas d’industrie digne de ce nom, à part quelques beaux restes du complexe militaro-industriel soviétique.
    Son économie dépend surtout de la vente des matières premières et des ressource énergétiques qu’elle ne peut utiliser autrement. C’est donc une dépendance. Deux débouchés principaux : l’Europe et la Chine. On comprend qu’elle privilégie le côté chinois, mais c’est, au mieux, un « mariage de raison », contraint et forcé.

    La Chine n’a aucun intérêt à la hausse des matières premières et de l’énergie, et donc la faiblesse de la Russie l’arrange évidemment, au delà de la rhétorique de propagande...

    Les autres « partenaires » des BRICS sont dans une situation encore plus dépendante à l’égard de la Chine. Notamment l’Afrique du Sud, pour la vente des matières premières. L’Inde a peu de cohérence interne. Après la Chine, le Brésil sera peut-être le « challenger » crédible comme puissance impérialiste de second rang.

    Concernant les risques de Guerre, se sont nettement les USA qui ont intérêt à maintenir l’insécurité à travers le monde, favorable au maintien de la domination du dollar.

    Pour autant, il n’est pas évident qu’ils aient des objectifs vraiment précisément définis. Il y a bien des ébauches de stratégies régionales, et ensuite une gestion au jour le jour des conflits...

    La dernière grande opération stratégique à l’échelle mondiale semble avoir été le « rapprochement » Mao-Kissinger : une réussite incontestable, au détriment des peuples...

    Vis à vis de la Russie, une confrontation directe est improbable, malgré la supériorité matérielle US : la plupart des récents conflits où il se sont engagés directement se sont retournés contre eux, à terme, et face à des puissances bien moindre que la Russie.

    La tactique US de sape de l’Europe de l’Est est une relative réussite, mais cette agressivité des USA fait pratiquement l’unanimité contre eux en Russie, et c’est donc un échec politique sur ce plan.

    Les « ambitions » de la Russie sont plus de « résistance » et de "zone d’influence", notamment sur le monde slave, plutôt que de réel expansionnisme. Après avoir « récupéré » la Crimée, elle a en fait renoncé à reprendre réellement l’Ukraine.

    C’est pourquoi la reconnaissance de l’indépendance du Donbass serait réellement un recul de l’impérialisme.

    Il est difficile de comprendre pourquoi cela n’est pas encore arrivé jusqu’au cerveau des prétendus « anti-impérialistes » français.

    Luniterre

    (concernant l’économie chinoise et les BRICS, un ensemble d’études sont regroupées dans :


    Seul correctif minime à y ajouter, l’ouverture d’une sorte de passerelle financière entre Hong Kong et Shanghai, mais encore insuffisante pour faire du Yuan une monnaie véritablement convertible.


  • Luniterre Luniterre 4 août 2015 13:48

    Tel quel, ce tout nouvel « ajoût » au dossier déjà très chargé du Roi d’Arabie, aux bons soins, évidemment, de patrick Pelloux...

     « L’Arabie saoudite doit 3,7 millions d’euros aux Hôpitaux de Paris »

    Et de plus, un scandale à double détente, car il met en lumière les carences énormes de la gestion des Hôpitaux, incapable de recouvrir les « ardoises » des puissances étrangères, dont les USA, etc...

    http://www.20minutes.fr/societe/1661919-20150804-arabie-saoudite-doit-37-millions-euros-hopitaux-paris

    "Le déplacement du roi d’Arabie Saoudite en France n’en finit pas de faire des vagues. Après la privatisation de la plage de Vallauris et le déplacement d’une femme policière loin du lieu de baignade, c’est désormais la note laissée par l’Arabie Saoudite auprès de l’administration de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui fait polémique.

    « Un geste de politesse »

    C’est l’urgentiste et pilier de Charlie Hebdo Patrick Pelloux qui a lâché l’information lundi matin sur Twitter en postant : « Avant de partir, le roi d’Arabie Saoudite pourrait payer ses factures de 3,7 millions d’euros aux hôpitaux de Paris. Un geste de politesse ». Cette dette a été confirmée par l’AP-HP au Parisien mais ne concerne pas que le roi Salmane. Selon le quotidien, elle comprend toute l’Arabie saoudite, les particuliers, les organismes et l’ambassade à Paris.

    Pourquoi l’AP-HP, dont le budget est pourtant tendu, ne demande-t-elle pas à être remboursée, note BFM TV. Une question de culture, à écouter Patrick Pelloux : « En France, nous n’avons pas l’habitude de réclamer », avance-t-il. D’autant qu’une telle démarche impliquerait de passer par le quai d’Orsay, et prendre le risque de se mettre à dos des partenaires commerciaux, éventuels acheteurs, par exemple, de quelques Rafale à Dassault, mentionne le site Internet.

    D’après un bilan présenté le 7 juillet, les sommes non recouvrées par les hôpitaux de l’AP-HP s’élevaient à 118,6 millions d’euros au 15 novembre 2014. Parmi les pays les plus redevables, l’Algérie arrive en tête, avec 31,6 millions d’euros, suivie du Maroc (11 millions), des Etats-Unis (5,7 millions), de la Belgique (4,9 millions), de la Tunisie (4,7 millions) et de l’Italie (4,1 millions).

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