• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

kelbo.khaos

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 10 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • kelbo.khaos 13 juin 2010 10:02

    Pour en revenir au vocabulaire marginal, trouvé dans « Le Dictionnaire des mots du Sexe » :

    (à l’intention des bûcherons du 3° âge, et de quelques autres) :
    Cognée (le Pénis) : 
    « Si l’on m’eût fait autrefois
    Travailler à la journée
    J’eusse bien fendu du bois
    Sans émousser la cognée ;
    Mais de parler d’amourettes
    A qui passe soixante ans,
    C’est présenter des noisettes
    A ceux qui n’ont plus de dents. »
    (chanson Gaultier-Guarguille. XVII° siècle)

    Brûlant dans l’enfer des bibliothèques, il y a aussi cet ouvrage paru autrefois anonymement, que l’on doit à ce coquin de Louis Aragon : « Le con d’irène », édité en Poche je crois.


  • kelbo.khaos 12 juin 2010 16:35

    Pour être exact, plus complet, cher Sisyphe qui roule, on peut citer le bon titre « Les Nuits d’une Demoiselle » de Guy Breton, chanté par Colette Renard, en version soft et en version non édulcorée (celle-là) sur un un album 33t. VOGUE (« Chansons très libertines »), qui n’a pas été ré-édité à ma connaissance. Mais on peut télécharger la version originale de cette chanson très mignonette sur Amazon en mp3.
    Dans ce genre, vient de paraître une somme de plus de 900 pages, d’Agnés Pieron : "Le Dictionnaire des Mots du Sexe, ed.Balland, toujours chez Amazon (35€). Avec ça, y’a de quoi faire une thèse ; elle a fait un travail de ……Sisyphe, qui laissera des traces dans les conversations …



  • kelbo.khaos 10 juin 2010 15:25


    NÉ(E)-COIFFÉ(E) OU CUL-BÉNIT(E) (Butinons ce qu’il reste !)


    Il y a, comme ça, des fois, des petits « arrangements avec le ciel », quand il recompte ses étoiles, naines brunes, géantes rouges, pulsars tourbillonnants, météorites chondriteuses, comètes sans queue …


     "Ta gravitation nous dérange un peu, ta trajectoire risque de te faire venir brouter dans notre champ d’influence, on va te mettre sur orbite basse avec un trou noir à la clef qui finira bien par absorber ton gros nuage de gaz (au prix qu’il est ! ).


    Ainsi résonne parfois la grosse voix d’un petit gérant en poste, en écho répercuté des deux grands chambellans de l’ordonnancement de nos sphères terrestres : le Pouvoir et le Pognon, frères jumeaux, s’il en fût !


    Sacrées élues multicasquettes, que l’on géo-croise au purgatoire de ces ciels…de lits de républiques, dictatures , sous lesquels on peut se prélasse mollement ,couché sur ses gros avantages en nature, laquelle est parfois si généreuse…


    Une mission quasi-divine, et on repart pour un tour de manège après avoir décroché le pompon, poussé par le doigt d’un petit dieu d’occasion, qui sait fort bien où le mettre pour faire avancer son schmilblik.


    La prédestination a-t-elle un fondement important ? Certes, les gènes, ça peut aider, mais un tableau d’honneur, ça s’obtient, de même que toute récompense à un asservissement à un être supérieur, hiérarchique à défaut de suprême. 


    Il est donc nécessaire de bien se pénétrer de la mécanique terrestre immédiate, plutôt que de la céleste, afin de ne pas rester dans l’ignorance d’une classification temporelle du fonctionnement de la machine, parmi les singularités de notre passage sur cette planète, qui pourrait parfois prêter à se gausser…grassement. 



  • kelbo.khaos 24 avril 2010 02:04

    Tékitoua ? 

    qui se répand sur 37 lignes, (en pleine justif) pour déballer tout ce fatras de considérations boiteuses, bourrées de complaisances envers ta pomme, et ses épluchures stylistiques à base de néologismes douteux ? 

    Blogueur d’opinion, il est temps de fermer la boutique !

    …… A quoi bon aligner des mots, des billets, suer, puisque de toute évidence, ce que l’on retiendra, comme toujours, c’est le médiocre, sans compter - ô j’allais oublier, cet aspect ! - que si tu dépasses les 20 lignes, c’est même plus dans un violon que tu pisses ! C’est que, vois-tu, faut faire court. Sinon, ça ennuie.………

    Je préciserai : Ça fait douloureusement chier ton nihilisme à la toute petite semaine ; cette bulle de ta fabrication qui te catapulterait en altitude, là où, mongol fier, tu pourrais te distancier et te repaître de ta triste vision d’une rampante agitation humaine ! Sans blogue, ! Je débarque ici pour voir ce qui se dit, ailleurs qu’à Télécons, verrouillé par les guignols de service, aux ordres des pantins au pouvoir. 

    Agora et Vox, deux mots qui sonnent tellement mieux que les cloches de Pâques, dont tu parais être…un battant ! Ça fait désordre, au milieu de tout ceux-là qui ne cherchent qu’à communiquer en usant de leur droit à s’exprimer qu’on leur refuse ailleurs. Même si certains n’ont pas la plume qu’ils n’ont pas ramassée à temps à l’école, ce n’est pas très généreux de leur conseiller de fermer leur gueule qui s’égosille à chercher un écho. 

    Léo, que tu cites (par inadvertance ?) c’était un « pote » ! Un mot dont il m’a simplement gratifié, un jour à Nice, où ma vénération pour le plus grand poète musicien de ce siècle écoulé, est devenue une amitié que je garde au plus profond.…Léo admettait qu’il ne savait d’où pouvait bien lui venir son inspiration, disons sa talentueuse sensibilité de créateur. Et s’il dénonçait la stupidité d’une société décadente, il n’en avait pas moins, parfois, l’espoir que quelques-uns finiraient par lire entre ses lignes et ses portées, pour s’en « dé-coconner » et se rouler enfin dans l’amour d’une véritable vie. Négationniste, il ne l’a jamais été ; critique, assurément, avec toute sa détermination, son verbe.

    Alors, à ceux qui prétendent qu’il vaut mieux se coucher en silence, ne pas déranger ceux qui fricotent aux commandes, éviter d’alarmer ses semblables ou de trinquer avec eux à la santé d’une existence responsable, sans dieu ni maître, alors, à tous ceux-là, je dis, en moins de trente-sept lignes, « laissez tomber les aigris, les importuns, qui prétendent vous dissuader en vous prenant par le licou ». Et qu’ils se méfient de ceux qui confondent les Stradivarius avec des lieux d’aisance, surtout s’ils se font passer pour des …sages.

    Kelbo.Khaos



  • kelbo.khaos 23 avril 2010 18:03

    De kelbo.khaos
    Instructions (sans juges) aux vieilles ganaches (aux ordres, scregneugneu !) et aux gardiens (nommés par le général en chef) des institutions !

    Il en était friand de ces mots désuets et percutants, le deux-étoiles de Colombey-les-Deux-Églises ; pas le restaurant … le général-président, celui qui cumulait les fonctions de chef d’état, grand sauveur de sa Suffisance, et de Chef des Armées (de godillots), aujourd’hui rappelé en haut-lieu, comme Jeanne d’Arc, laquellei ... brûla de fidélité, à la France du roi de service, à l’époque, sanctionnée par l’évêque Cochon (déjà ?) adepte de la combustion spontanée à l’anglaise, qui fournit les bois de justice en fagots. le cagot !
    Comment pourrait-on faire appel à un garde-fou étoilé pour se préserver des errances de leur chef, dressé sur ses talonnettes, et républicainement , hiérarchiquement, leur donneur d’ordres.
    On a vu ce qu’a pu donner, en 1958, le soubresauts de quelques généraux félons, face à un chef d’état démocratiquement élu, galons et mégalomanie (je vous ai) compris.
    C’était un général-président-Zorro-des-Français, qu’il appelait « des veaux », le dévot. Et pour tenir le troupeau, foin d’un lasso ou du cheval de la Pucelle, mais un Service d’Action Civique, recruté parmi les professionnels des basses besognes (n’est-ce pas tonton Pasqua, n ’est-ce point feu Ben Barka, et beaucoup d’autres, ravis mystérieusement à notre …affection ?)
    Pour parfaire son goût de chef de cuisine, il fut le premier Grand Museleur des medias, soumis à sa botte (n’est-ce pas Peyrefitte-les-Grandes-Z’oreilles, de l’académie de la Compoction, ou bien Bonnet-d’Ane-de-l’Intérieur , et leur Zitrone-pressé-Monsieur-est-servi ?)
    Bref, sonner l’appel des professionnels étoilés du nettoyage pour museler le capitaine des pompiers, c’est prendre « les vieilles culottes de peau » pour des Petits Chanteurs à la Croix de Bois tendre ! On en claquerait les mâchoires de rire, d’autres, les talons, de nostalgie…
    Je propose une ligne de défense efficace : un rang de sabreurs montés sur teckels de combat la hauteur de la cible) un rang de retraités desoeuvrés et revanchards, armés de chassepots avec, en guise de baïonnette, un goupillon consacré, et, en arrière-garde, quelques balanceurs d’encensoirs diffuseurs de gaz de combat. Eventuellement, quelques janissaires intégrés et voilés, armés de croissants tranchants pour débiter le restes sur le champ de bataille.
    A nous les lendemains qui chantent…les vers de Rouget-de-l’Ile, sur un air de reggae, n’est-ce pas feu Gainsbarre ?
    Kelbo.Khaos


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv