Votre raisonnement est tendancieux et révélateur de votre cadre de référence. Merci pour votre compliment. Je remarque seulement que certaines personnes sont particulièrement douées pour se mettre dans des situations impossibles et déclencher la guerre dans leurs organisations.
Il ne vous a pas échappé que je conteste pas la faute de la principal(e ?) et que j’ai bien compris que vous traitez du déroulement des évènements après l’affichage.
Pour moi, c’est le départ de "l’affaire" qui me pose question. Quel est l’intérêt pour un hiérarchique de harceler sans raison ? Est-ce que harceler signifie se faire rappeler à l’ordre pour des raisons de comportements, de non respect de consignes ou autres ? Vous restez bien évasif et pourtant vous donnez la réponse dans cette phrase :
La réponse du recteur ne se fait pas attendre : il envoie trois inspecteurs qui, après leur visite, concluent bien évidemment que tout le mal vient de ces deux professeurs à qui il convient « de rappeler les devoirs de leur mission » ! Et ils conseillent de « sanctionner leur déloyauté » par « un blâme au minimum ».
Vous affirmez en même temps par le "bien évidemment "que trois inspecteurs seraient de connivence avec la principale. Ben, voyons !
Je n’ai pas la prétention de voler au secours de l’administration qui n’a pas besoin de mon aide.
A propos, avez-vous déjà exercé des fonctions d’encadrement ? Ce n’est vraiment pas toujours simple et celà peut faire tempérer certains jugements.
En revanche, bon courage dans votre croisade contre la hiérarchie de votre ex-administration dont la fonction consiste quand même, à relayer et faire appliquer les instructions du ministère.
Bon, si vos syndicalistes et vos anciens collègues sont tous des lâches et sensibles au clientélisme.....
Votre argument est donc imparable.
Sans prendre parti,et si ces 2 personnes étaient vraiment des emmerdeuses et que leur affaire ne soit pas aussi lumineuse que vous la décrivez ? Cela n’expliquerait pas le comportement des "lâches" ?
Quant à la violation du secret de la correspondance administrative (qui est condamnable) , il y a , à coup sûr une explication qui n’excuse pas la faute.