« Et d’un amour toujours porté par de nobles élans. »
Ah, oui, l’amour qui n’est pas porté par de nobles élans est sale, moche, c’est la baise quoi, ouh !
Et merci à Celui qui a voulu que tu arrives au monde en pleine guerre
mondiale (ceux qui ont voulu, non, son père et sa mère ?) pour nous donner envie de devenir meilleurs chaque fois que
nous écoutons tes chansons (sinon, on n’y pense pas, à devenir meilleurs). On devrait offrir ton Intégrale à Vladimir
Poutine, (Vladimir ? c’est celui qui remplace Donald dans votre jeu de massacre de fête foraine ?) avec la traduction en russe : s’il reste à ce dictateur un
soupçon d’humanité, ça pourra rendre service à nos frères ukrainiens…
(Ah, nos frères, c’est beau la fraternité lointaine qui a juste besoin de se dire pour nous faire paraître meilleurs. Vive les victimes qui nous permettent d’être bons)
Ceci dit, j’ai envie d’écouter V. Lagrange, vous n’avez pas tout à fait perdu votre temps.
Quoi que : « Un parfum de vérité » a-t-il un rapport avec la vérité ?