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symbiosis

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  • Premier article le 22/10/2014
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Derniers commentaires



  • symbiosis symbiosis 7 août 2011 13:54

    Le cas Soral, petit bouffon Bobo-facho hargneux qui prétend toujours avoir un coup d’avance, n’a fait que prendre le train de la contestation avec, excusez-moi du peu, une grosse dizaine d’année de retard. Je ne vois pas le mérite que d’aucun peut attribuer à un tel narcisse. En fait le quidam a bien compris, après avoir été étouffé par ma meute le péniste, que son intérêt était dans la contestation de type anarcho-syndicaliste heureusement matinée de rouge-brun, ce qui nous permet de déjouer son jeu pervers. Encore un qui essaie de brouiller les cartes de la colère sociale. Encore un qui se prétend anticapitaliste, mais incapable de se projeter dans un retournement de paradigme humaniste, solidaire et partageux. Encore un dont le but est de se mettre en avant, donc potentiellement dominant.
    Soral est déjà dans l’élite, dans la visibilité que celle-ci permet, très loin de l’anonyme....
    Son fond de commerce : Égalité et réconciliation n’est qu’un trompe l’oeil. Ces concepts là sont ailleurs, pas dans sa salade facho-bobo.



  • symbiosis symbiosis 23 juin 2011 11:21

    La bêtise est-elle congénitale ?



  • symbiosis symbiosis 23 juin 2011 10:17

    Izarra, encore un mot. Point trop n’en faut, car ton article court et synthétique avait le mérite de nous faire croire que ce texte sortait d’un esprit fécond.

    Le fait d’en rajouter nous montre au contraire le niveau de l’auteur, la bassesse intellectuelle, la banalité stylistique et l’usage de stéréotypes de soudards.
    Le rajout de commentaire a au moins le mérite de nous montrer que nous sommes en présence d’un bouffon.



  • symbiosis symbiosis 23 juin 2011 10:02

    Nous sommes passés de l’humour, du second degré à la platitude réactionnaire la plus absolue.
    Izarra, prends tes gouttes et retourne te coucher ! Je suis furieux, car tu viens de me faire perdre mon temps à lire tes inepties.



  • symbiosis symbiosis 22 juin 2011 19:24

    Vous avez raison, les hommes ne sont plus des hommes, les femmes ne sont plus des femmes. Enfin, tel qu’un Pieter Paul Rubens pouvait nous décrire l’espèce humaine dans « l’enlèvement des filles de Leucippe » ou bien un Luca Giordano dans « Persée luttant contre Phinée et ses compagnons » et pourquoi pas un Guido Reni dans « Le massacre des innocents ».

    Ahh ! Alors l’on se battait au corps à corps, à la lance et et nu, monsieur.


    Aujourd’hui, le guerrier blindé et assisté par ordinateur, pucé et biomaîtrisé, siliclôné jusqu’au trognon, nourri de pils et gélules et blacwatérisé, encule dans ses chasses sauvages à l’islamiste, la petite paysanne au fin-fond de la toundra parce que son racisme viscéral ne peut la prendre de face. Le lâche.

    Les mauviettes, les larves qui commanditent ses exploits lui donnent une prime quand celui-ci se commet devant enfants et époux éplorés et menottés avec des liens auto-bloquants en vinyle made in China. Je vois bien le tableau d’ici. Plus rien à voir avec le panache, la virtuosité du pinceau baroque.

    Je vous entends, monsieur, mais la question, est-elle bien de savoir si, second degré ou pas il y a dans votre prose, l’époque contemporaine est si différente. Car avec ou sans blindage, avec ou sans nudité, la question n’est-elle pas de savoir plutôt ce qui caractérise notre monde, comme par exemple si nous devons ou pas, pour notre devenir être dupé, et cela ne relève pas d’un caractère de classe ou de classe, être dupé, dis-je par l’artifice qui véhicule et relie nos pensées et nos actions collectives.

    Le clivage, aujourd’hui est bien dans le leurre, dans l’artifice, dans les faux semblants, dans les appeaux régulateurs, dans les méandres du vraisemblable, du jeu de la domination, du sadomasochisme d’un corps social malade de tant de renversements de sens.

    Époque orwélienne et debordienne :

    « In girum imus nocte et consumimur igni »

    Ainsi, nous tournoyons et livrons notre désespoir au miroir de 

    la vie, la sonnerie du réveil étant la première humiliation de la journée et 

    s’en suivent d’autres et d’autres et d’autres encore.

    Détruisons d’abord ce réveil qui nous tue, trou noir du bon sens. Cela sera un acte fondateur d’homme. Il ne se fera pas sans la femme elle même. Y consentira-t-elle également, elle qui par son émancipation inversée, s’est retrouvé dans le rôle de celui qui l’a opprimé si longtemps. Car, quand elle porte fièrement l’uniforme de la mort, elle n’encule pas le menotté, mais le traînera nu en laisse devant une caméra joyeuse et hilare.


    Du pur Rubens ! Non ?

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