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egos

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Tableau de bord

  • Premier article le 24/11/2012
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Derniers commentaires



  • egos 20 juin 2012 10:54

    une vie antérieure , toutes vos vies

    « comme c’est dommage, comme je l’aurais aimé »

    Le personnage fut sublimé par la sensibilité de l’interprétation de la très jeune actrice, la scéne de la rencontre parut indépassable.

    Le preux chevalier, rude, gauche dans son armure de métal cliquetant, ébahi de provoquer autant de ravissement ... tellement convaincant.

    L’épilogue, aussi léger qu’un songe, livre les personnages de cette alégorie à leur destinée, propre à leur nature et condition.



  • egos 15 juin 2012 18:45

    Ce terme, plat, naïf, dissonant, ne rend pas compte des qualités, subtiles et élégantes d’une population dont la distinction naturelle (familiale) s’est raffinée au tout au cours de leur éducation,
    au prix d’efforts et de discipline et de la nécessaire retenue propre à leur milieu.

    Il est à juste titre récusé par ceux-là mêmes qu’il est censé désigner, un acronyme ou l’un de ces mots, moins daté, à consonance anglo-saxonne comme il en fleurit tous les jours sur le net viendra remédier à cette injustice.

    de souraintes anecdotes me reviennent à l’esprit ( l’après 68) semaine à la fac et militantisme,le week end à Londres ou direction Megève en TR4, dans l’antre de la bête immonde capitaliste, sorte de mise à l’épreuve , toute vénièle, de la foi.
    une époque de rêve,
    cela n’a pas trop changé hormis les destinations, chute du coût de transport aérien aidant

    les chats ne font pas des chiens nous rapporte la séculaire sagesse provinciale,
    cetet mystérieuse province au demeurant entretiendra avec la capitale une durable méfiance tout en lui livrant les meilleurs de ses enfants



  • egos 13 juin 2012 19:54

    Mrs Carole Courson

    sous la plume un tempérament de horsebreeder,
    le titre de l’article claque, aussi bref qu’un coup de cravache
    les lecteurs sont avertis

    « des souris et des hommes » a suscité moins d’ambiguïtés et pour cause ( à lire Le Roi Arthur et ses preux chevaliers)

    en filligrame, merci Carole, l’image de Lady Godiva, chevauchant, dans la nuit, un étalon au travers des rues de Coventry pour quelque noble cause.

    avis aux militantes de ...



  • egos 12 juin 2012 16:16

    Carole,

    dévoileriez vous la partie la plus sombre de votre âme,
    le meilleur de soi à ce que l’on prétend

    les Lebensborn, qu’en pensez vous ?

    et leurs déclinaisons chez Staline, Mao ou Vidéla,
    les foyers des pupilles de la nation, mieux de la DDASS livrant, impavides et sans retenue, de jeunes et tendres corps à quelques engeances putrides en maraude,
    de ces pensionnats Catho, Laics, Réformés ou Boudhistes ou s’enseigne tout autant l’art de la séduction-soumission réunies que celui des plaisirs honteux.

    et si la famille, lieu ou se transmettraient les caractères acquis, n’était au fond que le meilleur dans la fatalité du pire ?
    ou bien préféreriez vous voir cette chères têtes blondes élevées en batterie ?

    laissez courir votre imaginaire obscur et fécond,
    nous attendrons votre prochain opus
    profitez en pour vous accorder a « walk on the wild side »



  • egos 12 juin 2012 10:53

    L’introduction plante avec élégance le décor de la scène , elle fut à la mesure de l’orgueil blessé d’une nation se représentant cultivée autant qu’ insoumise.

    Dcd revendiquait l’ascendant libertaire qu’exprimait la jeunesse anglo-saxonne à travers sa musique : « nous écoutions les Stones , ils nous influençaient. »
    (Jagger évacua le sujet quelques décennies plus tard, sur le mode laconique teinté de cynisme par ces quelques mots : la jeunesse est l’époque de la révolte.)

    « Yesterday dont matter if it’s gone »

    Un de leur standard, Street Figthing Man, récupéré par les émeutiers de Detroit dont ils firent leur hymne en 67, fut interdit de diffusion par les autorités us, s’ensuivirent la révolte étudiante de Berlin qui gagnât tout le pays, puis début 68 l’Italie.

    Le pays qui pourtant egorga un jeune reine, corseté de grisaille et de bigoterie contrainte, se devait de laver l’outrage, tel fut le cas.

    L’information circulait pourtant, du moins par ceux qui séjournèrent à Londres à cette époque , ville ou les sens se grisaient dans la même liesse licencieuse que rapporta le poète dont la stèle , sise à portée de voix du Théâtre de la Ville et du Chatelet perpétue la légende.
    Les embruns de la nuit, les tavernes et de la boisson associée Beefeaters y affranchissaient les coeurs et les corps des barrières de la condition socile pour ne pas dire d’âge et de genre, rendant encore plus saisissant le contraste de la réglementation Parisienne et de ses sergent Ville, et que dire des tracas rencontrés lors de son séjour dans le Valois.

    La puissance évocatrice du Summer of Love Californien de 67 (certains se plaisent à lui donner le visage de Michelle Philips, ce fameux cliché ou remontant un sentier que l’on devine dominer la baie, la beauté ineffable de ses traits parait éclose de l’aube) ne fut pas non plus san influence.

    « catch your deams before they slip away »

    Le gap fut comblé d’un trait, par quelques révoltés et nombre d’images, Béjart et le Living Theater à Avignon en 68, ce ne fut par rien, la place St Michel bloquée par plusieurs rangées de CRS (l’Odéon, plus haut, devait être occupé) la tension et l’atmosphère électriques de la situation.

    Le marché aux fleurs de l’Ile de La Cité, son romantisme, l’air léger du Boulevard St Michel, les bancs du jardin du Luxembourg sous la tenture de quelques saules.

    Tenteriez vous de réveiller les démons qui sommeillent ?
    Peine perdue , ne demeurent dans ces lieux, que les fantômes d’une époque défunte.
    C’est mieux ainsi, n’est pas !

    Un seule vie, celle là,
    N’est pas largement suffisant ?



    nb : le Polytope (2 ?) Xenakis, Abbaye de Cluny, envoutant

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