@Clocel Bonjour Clocel, « Une bonne nouvelle in fine... »
Tout à fait. De toute façon il est nécessaire que l’UE s’écroule, même si ça doit tanguer pendant l’écroulement. On ne peut rien construire sur des bases pourries et l’UE est la pourriture et la corruption incarnée.
@Séraphin Lampion « ...en France, Renaissance vire à 780° par rapport à LREM... » Ca fait deux tours et 1/6 éme. Pourquoi un tel chiffre ? Ou alors vous vouliez dire 180° ?
Concernant le sujet de l’article, mon avis est que seules les avortements pour raisons médicale (la santé voir la vie de la mère est en danger) ou suite à un viol devraient être autorisés. En revanche les avortements de « confort » à cause d’une grosses provoquée par la négligence ne devraient pas l’être. Mais je sais qu’il y aurait plein de moyens de contourner un tel système (en faisant passer la grossesse par négligence pour une grossesse suite à un viol par exemple). Par ailleurs, outre la femme, l’homme autant responsable dans cet état de fait et le géniteur est tout autant à blâmer, si ce n’est plus. Malheureusement, la lâcheté étant de mise, on peut compter sur la plupart de ces « pères » pour prendre courageusement la poudre d’escampette et laisser la pauvre femme dans laquelle ils ont dégorger leur poireau se dépatouiller avec le fruit de leur plaisir éphémère.
Je n’ai pas le temps de développer ici, mais je pense que ce problème d’avortement est symptomatique de nos société de consommation ou on ne se préoccupe pas des conséquences de ce que l’on consomme : il en est de même pour la « consommation sexuelle » et ses conséquences.
Oui, jamais deux sans trois qu’il dit l’autre neuneu (ou les autres neuneux en faite...).
La fameuse technique « démocratique » de faire revoter inlassablement jusqu’à ce que le résultat du vote soit conforme à l’attendu, ce qui n’a pas été le cas jusqu’ici, tout en bourrant de la propagande et des manipulations entre deux votes.
Gageons que si c’est encore le « non » à l’indépendance qui l’emporte, un autre « référendum » sera prévu... Dans le cas contraire « la démocratie aura parlé !! »
« > Que seraient ces êtres spirituels sans un corps pour simplement être ? » Je vous renvoie la question : pourquoi être serait-il nécessairement attaché à une existence matérielle ?
« Avant le Big Bang, l’univers (notre) n’existait pas. » On ne peut pas affirmer cela dans l’état actuelle de nos connaissances. En effet, remonter jusqu’à « l’instant zéro » nécessite de traverser des zones où les lois de la physique que nous connaissons ne s’appliquent plus. On ne peut donc pas atteindre ce point et encore moins parler d’un « avant » étant donné que le temps est intimement lié à notre univers : on ne peut donc pas parler d’un « avant » l’existence du temps, ça n’a pas de sens. La réponse pour l’instant, dans l’état actuel de nos connaissances physiques, est : on ne sait pas.
Si l’on pousse plus loin la spéculation sur ce sujet du Big Bang et que l’on admet temporairement que la notion d’un « avant » à un sens, on peut se poser la question de qu’il y avait avant ? Pourquoi y-a-t-il eu le Big Bang ? D’où vient l’univers ? C’est questions amènent invariablement la question de l’existence de Dieu, question à laquelle chacun répond comme il l’entend. Mais si l’on admet l’existence de Dieu, alors on admet que l’on peut exister en-dehors de toute enveloppe physique et dans ce cas on peut être sous forme spirituelle avant la naissance et après la mort.
Mais ce sont là des questions auxquelles l’Humanité se confronte depuis longtemps et finalement la réponse dépend de chacun, de ce que l’on est prêt à envisager ou non.