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Un Âne chargé d’une Idole passait au travers d’une foule d’Hommes ; et ceux-ci se prosternèrent à grande hâte devant l’effigie du dieu qu’ils adoraient.
Cependant l’Âne, qui s’attribuait ces honneurs, marchait en se carrant, d’un pas grave, levait la tête et dressait ses oreilles tant qu’il pouvait.
Quelqu’un s’en aperçut, et lui cria : « Maître Baudet, qui croyez ici mériter nos hommages, attendez qu’on vous ait déchargé de l’Idole que vous portez, et le bâton vous fera connaître si c’est vous ou lui que nous honorons ».
Esope

Tableau de bord

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Derniers commentaires



  • @distance @distance 31 août 2010 13:39


    Non à ces stigmatisations, à ces discriminations, à ces ségrégations, à ces déportations . . . par djeje94


    sérieux ! smiley



  • @distance @distance 31 août 2010 13:24


    la France d’en-bas la France d’en-haut, la France profonde ! lettre prêt-à-poster c’est quoi cette resistance à deux balles ? qu’est-ce qui en ont à faire les zélus de ces lettres ? elles iront directe à la poubelle... faut arrêter de délirer et surtout de veauter !



  • @distance @distance 31 août 2010 12:10


    Le 20 avril 1938 cinq jeunes scientifiques allemands montent à bord, dans le port de Gènes, sur le « Gneisenau », un navire rapide qui fait la liaison avec l’Extrême-Orient. Le but de leur voyage : le haut plateau du Tibet, entouré d’une nuée de mystères, le « Toit du monde ».
    Sous la direction du biologiste Ernst Schäfer, s’embarquent pour une aventure hors du commun pour les critères de l’époque, Bruno Beger (anthropologue et géographe), Karl Wienert (géophysicien et météorologue), Edmund Geer (en charge de la logistique et directeur technique de l’expédition) et Ernst Krause (entomologue cameraman et photographe).

    Tous les participants à cette expédition étaient membres des « échelons de protection » (SS), mais ce fait justifie-t-il d’étiqueter cette expédition d’ « expédition SS », comme on le lit trop souvent dans maints ouvrages ? Cette étiquette fait penser qu’il s’agissait d’une expédition officielle du Troisième Reich. Est-ce exact ? Les SS avaient-il vraiment quelque chose à voir avec ce voyage de recherche vers cette lointaine contrée de l’Asie ? Quel intérêt les dirigeants nationaux-socialistes pouvaient-ils bien avoir au Tibet ? Comment
    cette expédition a-t-elle été montée ; quels étaient ses objectifs, ses motifs ? A quoi a-t-elle finalement abouti ? Beaucoup de questions, qui ont conduit à des études sérieuses mais aussi à l’éclosion de mythomanies, de légendes.

    TIBET
    certaines images de ce documentaire sont très violentes



  • @distance @distance 31 août 2010 11:42


    Il ne faut pas oublier la rivalité coloniale entre la Russie et la Grande-Bretagne en Asie au XIXe siècle : luttes d’influence entre empire russe et empire britannique.

    Le 7 septembre 1904, le traité de Lhassa a été signé dans le palais du Potala entre les Britanniques et le gouvernement tibétain. La force britannique fut soutenue par le Roi Ugyen Wangchuck du Bhoutan, qui fut anobli en récompense de ses services.

    En 1903-1904, sous les ordres de Curzon, Younghusband, conjointement avec John Claude White, l’agent politique britannique au Sikkim, mena une expédition britannique au Tibet, dont l’objectif putatif était de régler les disputes sur la frontière Sikkim-Tibet, mais dont le vrai objectif, selon le China Tibet Information Center, aurait été d’établir l’hégémonie britannique au Tibet.

    L’expédition devint de façon controversée (en outrepassant des instructions de Londres) une invasion et une occupation de facto du Tibet. A peu près à cent miles à l’intérieur du Tibet, sur la route de Gyangzê vers la capitale de Lhassa, un conflit en dehors du hameau de Guru mena au massacre, par l’expédition, de 600-700 militaires tibétains.


    EXPEDITION militaire britannique au Tibet (1903-1904)


    Sénat : Le Tibet en exil : à l’école de la démocratie
    RAPPORT de groupe d’amitié n° 67 (2005-2006) - 14 juin 2006




  • @distance @distance 31 août 2010 02:11

    Sediq Chekari , le ministre pour le Hajj et des Affaires religieuses (ah ah), accusé d’avoir accepté des pots de vin en échange de la direction des affaires pour les voyagistes qui transportent les gens en Arabie saoudite chaque année . M. Chekari a fui en Grande-Bretagne, selon les autorités le procureur général de l’Afghanistan a émis un mandat d’arrêt par Interpol.

    Les responsables américains disent que Hajji Rafi Azimi, le vice-président de United Bank afghane est un joueur-clé dans le scandale. Le président de la banque , Mohammed Hajji Jan , est l’un des fondateurs de la Nouvelle-Ansari . Selon des responsables américains , les procureurs afghans tiennent à l’arrestation de M. Azimi , mais jusqu’à présent ils se sont heurtées à l’ingérence politique , sans précision. Il n’a pas été formellement inculpé.
     

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