« Avec
l’arrivée proche de ce divorce, les anglais commencent à prendre
conscience de ce qu’il va leur arriver : moins de justice
sociale, moins de liberté et un clivage riche pauvre qui va
s’accentuer. Car dans une économie affaiblit par la fin des
échanges avec l’UE ce seront les multinationales de la City qui
vont donner le tempo. »
Ce
recul social, cette accentuation des inégalités en faveur des
parasites sociaux est en effet dans la perspective de ceux-ci avec le
Brexit.
Mais
cela suppose une passivité des 99% qui n’est pas acquise.
Le
temps où Thatcher pouvait infliger une volée de coups au peuple
britannique tout en étant réélue par lui, est certainement révolu.
L’exemple
des Gilets jaunes français pourrait être repris là-bas avec
l’opiniâtreté bien connue de nos amis d’Outre-Manche au moins égale
à la nôtre.
« les blocus et autres sanctions économique qui ont renforcé les mollahs et leur république islamique. »
C’est une certitude. Les manifestations d’un « ennemi extérieur » permet à tous les pouvoirs de justifier la répression de l’opposition et la restriction des libertés.
C’est d’ailleurs pourquoi les gouvernants US ont besoin de faire croire au peuple qu’ils ont des ennemis pour maintenir l’absurde et monstrueusement injuste système capitaliste financiarisé qui n’a rien à envier au théocratisme capitaliste iranien.
D’une certaine façon, Macron est un « possédé » au sens que lui donnait Dostoïevski, c’est-à-dire qu’il ne se maîtrise plus, comme ayant vendu son âme au Diable !