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La gravité quantique et le mystère de l’univers bientôt dévoilé

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3. La physique des particules et la gravité quantique conduisent à abandonner le réductionnisme

 

 1) Les boites noires et les énigmes dans la physique du XXIe siècle

 La physique de la fin du XIXe devait faire face à deux énigmes à résoudre, le rayonnement du corps noir dont le spectre ne suivait pas la loi établie par Wien et l’absence d’un éther luminifère suite à l’expérience de Michelson et Morley observant l’invariance de la vitesse de propagation des rayons lumineux. Ce qui était pour les uns des points de détails représentait en vérité des défauts majeurs dont la correction fut effectuée en inventant la relativité et la mécanique quantique, deux physiques complètement nouvelles. En ce début de XXIe siècle, les physiciens s’interrogent sur une crise de la physique et quelques-uns pensent qu’une nouvelle physique pourrait bien émerger. Plusieurs énigmes se conjuguent pour mener vers une science inédite. La quête de la gravité quantique en est une, qui s’ajoute à deux énigmes explicitées avec l’image d’une boîte noire qui en science, signifie qu’il existe encore des phénomènes ne pouvant pas être expliquées avec les savoirs acquis, autrement dit, décrits avec les modèles disponibles. La toute récente mesure du boson W complète le tableau qui se noircit.

 L’image de la boîte noire est empruntée à un essai de Michael Behe sur la théorie de l’évolution, Darwin’s black box ; livre parmi d’autres explicitant les lacunes du modèle standard de l’évolution. D’après les physiciens interrogés par Natalie Wolchover, c’est en premier lieu le modèle standard des particules qui présente des lacunes et rend la physique incertaine. Ensuite, d’autres questions découlant de l’observation du cosmos, de son expansion et du calcul de la constante cosmologique, avec un autre modèle standard ΛCDM, acronyme associant la constante cosmologique lambda et l’introduction d’une matière noire (cold dark matter). Nombre de physiciens contestent la matière noire, la considérant comme un artifice suspect au même titre que l’éther luminifère avant la relativité. En d’autres termes, les scientifiques ont rempli la boîte noire de matière noire, ce qui est une solution un peu facile. L’histoire se rejouera-t-elle et la physique accouchera-t-elle d’une nouvelle théorie permettant de contourner cette matière noire et de remplir correctement la boîte noire, avec des particules par exemple ? La conjecture de la boîte noire est plurielle et concerne plusieurs branches de la physique. Les particules de matière sont aussi dans la boîte noire et semblent conspirer pour déjouer les efforts des physiciens dans la quête des composants de l’univers censés atteindre la complétude et tout expliquer. La crise de la physique date des années 1970, avec les énigmes du modèle standard fondé sur 17 « composants » élémentaires. Pour résoudre cette énigme, les physiciens des hautes énergies ont émis l’hypothèse de nouvelles particules pour compléter les lacunes en jouant sur une supersymétrie. Ces particules jouent un rôle équivalent à la matière noire en cosmologie. Elles sont en quelque sorte des rustines permettant de coller les morceaux existants avec les éléments manquants. Ces hypothèses sont élaborées en suivant le principe de la « naturalité » qui est en fait un principe ontologique sur l’essence des choses et la quête d’une physique complète, unifiée, consistante. Hélas, les efforts menés avec le collisionneur du CERN n’ont pas permis d’observer des particules nouvelles, ce qui a laissé perplexe les physiciens qui ne comprennent pas pourquoi le boson de Higgs est si léger ni pourquoi l’énergie de l’espace est « anormalement » basse.

 

 2) La physique sur les échelles IR et UV.

 La physique issue du tournant des années 1930 se décline sur deux échelles, l’infrascopique et le macroscopique, désignées par commodité épistémique comme échelles IR et UV. Ces échelles sont aussi des concepts physiques signifiant deux ordres de grandeur pour caractériser ce qui est observé mais aussi calculé, théorisé (IR vs. UV en référence au rayonnement infrarouge dont la longueur d’onde est largement supérieure à celle de l’ultraviolet). On en déduit une structure hiérarchique dans la nature. On peut décrire les phénomènes qui arrivent à une grande échelle IR sans savoir ce qui se passe à des échelles UV infrascopiques. Vous pouvez par exemple modéliser l’eau en tant que milieu liquide avec une équation hydrodynamique qui la traite comme un fluide tout en passant sous silence la dynamique invisible et complexe de chaque molécule H2O. L’équation hydrodynamique utilise un coefficient représentant la viscosité de l’eau qui peut être mesuré à l’échelle IR et qui résume en quelque sorte la somme des interactions moléculaires se produisant à l’échelle UV. Les physiciens disent que les « échelles » IR et UV se découplent, ce qui leur permet de décrire efficacement des aspects du monde sans savoir ce qui se passe au niveau quantique ainsi qu’à l’échelle de Planck. Il est possible de faire de la « physique ordinaire » en ignorant ce qui se passe au niveau infrascopique.

 L’émergence des propriétés physiques de l’eau liquide à partir des propriétés microphysiques de l’eau moléculaire ne semble pas poser de problème car le réductionnisme est utilisé comme solution de continuité. En revanche, les philosophes des sciences et de la nature comme Thomas Nagel en font une énigme ontologique. On n’explique pas l’eau liquide à partir du niveau atomique. Un découplage est causé par l’échelle à laquelle on zoome pour observer ces phénomènes qui se produisent dans un domaine d’énergie conventionnel (non relativiste). Ce découplage d’échelle est de nature épistémologique mais s’il s’avère qu’entre des deux échelles IR et UV il n’y a pas d’explication alors la description est incomplète et il faut introduire un principe physique supplémentaire. Cette conjecture a une importance particulière en neuroscience et se conçoit également sur la base d’un découplage. Le cerveau utilise des mécanismes infrascopiques aussi infimes que les interactions entre molécules d’eau. Mais il est tout à fait possible de faire des neurosciences, des scanners, de l’imagerie, des investigations psychologiques, en ignorant complètement ce qui se passe au niveau des circuits électriques neuronaux et des processus quantiques qui s’y déroulent.

 

Si l’on examine maintenant la physique des hautes énergies, on décèle un autre type de découplage IR/UV et une échelle qui n’est plus celle des dimensions mais celle des énergies. C’est ce que l’on va expliciter.

 

 3) Les échelles IR et UV en physique des hautes énergies

 Les faisceaux de particules accélérées, protons ou neutrons, par exemple, sont décrits par un modèle de théorie effective (efficace) du champ (EFT) dont les calculs sont valables sur une gamme d’échelles déterminée. Un zoom sur les protons et les neutrons réalisé sur une période montre qu’ils continuent à ressembler à des protons et des neutrons. Il est possible de décrire leur dynamique sur cette échelle avec une théorie du champ efficace (chiral – avec des règles de symétrie), spécifique à la force forte qui relie les particules hadroniques comme le sont le proton, le neutron mais aussi d’autres composants produits lors des chocs comme par exemple le méson pi, constitué d’un quark et d’un antiquark. La force électrofaible utilise une autre théorie du champ efficace valable sur une autre gamme d’énergie. Un seuil UV est atteint lorsqu’une très haute énergie est utilisée, ce qui correspond à une réduction de la distance pour les physiciens. Le modèle cesse alors d’être une description efficace du système. Une coupure se produit avec des énergies dépassant le GeV et la théorie du champ effectif chiral cesse de fonctionner. Les protons et les neutrons cessent de se comporter comme des particules uniques et agissent plutôt comme des trios de quarks. Le seuil de coupure UV marque une frontière délimitant deux catégories de modèles. Au-delà du seuil UV la physique doit prendre en considération les règles de ce nouvel espace théorique qui, pour fonctionner de manière unitaire, doit prévoir que de nouvelles particules y circulent, accompagnée de phénomènes de plus haute énergie qui ne sont pas inclus dans le modèle utilisé avant le seuil.

 L’introduction de nouvelles particules répond aux exigences du principe de naturalité dont l’une des règles est de ne pas employer des grandeurs ou des coefficients ridiculement petits ou alors énormes (Giudice, 2008). Cette méthode fut employée avec succès pour anticiper à quel seuil d’énergie devait apparaître le quark charme, particule détectée et considérée comme le début d’une révolution de novembre 1974 en physique des hautes énergies. Cette découverte fut interprétée comme un signal fort indiquant que la physique des particules était sur la bonne trajectoire et que les particules attendues en bricolant le modèle standard seraient observées avec la mise en service du LHC, confirmant de ce fait la pertinence du principe de naturalité. Les meilleurs spécialistes de la physique des hautes énergies se sont expliqués dans un livre dédié au LHC paru en 2008 (Gordon and Aaron). Dix années plus tard, malgré la détection du boson de Higgs, les physiciens ont dû reconnaître que la piste naturaliste avec la supersymétrie était dans une impasse. Il faut trouver une autre solution pour cette énigme.

 

 4) La hiérarchie ; énigme des hautes énergies ; et la gravité quantique

 « Aujourd'hui, un nombre croissant de physiciens des particules pensent que les problèmes de naturalité et les résultats nuls du Grand collisionneur de hadrons pourraient être liés à l’effondrement du réductionnisme. « Se pourrait-il que cela change les règles du jeu ? se demande Nima Arkani-Hamed. Dans plusieurs articles récents, les chercheurs ont pris une distance avec le réductionnisme. Ils réfléchissent à une physique nouvelle dans laquelle les grandes et petites échelles de distance pourraient conspirer, produisant des valeurs de paramètres qui semblent anormalement réglés d’un point de vue réductionniste. C’est bien une crise qui arrive si l’on en croit les dires de physiciens en vue sur ce sujet. Cela génère une ambiance pessimiste mais je ne ressens pas cela a déclaré Garcia Garcia ; C’est un moment où j’ai l’impression que nous sommes sur quelque chose de profond. » (Wolchover)

 

(Aparté. Le pessimisme arrive lorsqu’un objectif voulu ne se réalise pas et que les événements ne se déroulent pas comme prévu mais en science, cette situation est aussi porteuse d’espoir si l’on abandonne les objectifs et si l’on se saisit de la situation pour explorer des hypothèses inédites. En chinois, l’idéogramme crise signifie danger et opportunité. En l’occurrence, pour un scientifique, le danger de rater le train en marche ou alors l’opportunité de prendre les commandes et de conduire la connaissance de la nature vers une nouvelle destination)

 

La crise du modèle standard des particules provient d’une réévaluation des fondamentaux de cette théorie basée sur les champs efficaces, incluant une coupure entre deux échelles, la physique UV et la physique IR, avec un principe de hiérarchie et le postulat d’une asymétrie inhérente à la nature : les phénomènes de l’échelle UV influent sur les phénomènes de l’échelle IR mais la réciproque ne se produit pas. Il y a un découplage asymétrique entre ces deux domaines. Ce schéma est calqué sur le principe de la métaphysique émanatiste de Plotin qui elle aussi, introduit une hiérarchie et une asymétrie dans les influences. Le monde manifeste est le résultat d’une émanation depuis le Un vers la matière, avec comme intermédiaire l’Intellect et l’Ame en précisant que chaque hypostase découle de celle qui lui est supérieure et possède une dignité en décroissance. Comme s’il y avait une déperdition depuis l’Un et le pôle de l’être vers la matière, le multiple et l’existence manifeste. La « métaphysique » du Un n’a plus cours dans celle de l’Intellect dont la « métaphysique » n’a plus cours dans le domaine de l’Ame. L’émanatisme plotinien soulève un problème équivalent à celui de la hiérarchie en physique des hautes énergies que l’on explicite avec ce diagramme.

 

IR, GeV, force faible, boson Higgs ← / /  UV, énergie Planck, GUT

 

Ce découplage énergétique est interprété en terme de distance et donc, en échelle spatiale. Cette sémantique du topos permet de réfléchir aux forces et principes de la nature et sert de cadre permettant de parler de choses non ordinaires en les raccordant à une image utilisé dans le sens commun. En physique quantique, une énergie colossale fournie à une particule permet de sonder la chose matérielle à une distance infinitésimale. En combinant les deux physiques, la gravité quantique permet de déduire des choses étranges ; deux particules accélérées à des énergies colossales ne permettent pas de voir à des distances plus courtes. Un minuscule trou noir est généré si bien qu’on ne voit plus rien, autrement dit, il n’y a plus de distance, plus d’espace, plus de communication, tout a été englouti, retourné dans le trou noir. Cette propriété spéculative de la gravité quantique rend possible une jonction entre les deux physiques mais au niveau infrascopique. Si mécanique quantique, même non relativiste, décrit le retournement de la matière avec le spin, alors la gravité quantique permet aussi de concevoir un retournement causé par un repliement de ce qui « fait » espace, autrement dit la masse, qui se cache en se repliant dans l’intérieur du trou noir qu’elle génère. Précisons que ces trous noirs ne sont pas observables ; ils sont le résultat d’une expérience de pensée (Berglund, 2022). Ce qui n’a pas empêché la presse mainstream d’effrayer le quidam en imaginant que la terre soit englouti par un trou noir généré dans le LHC du CERN.

 

 5) La masse du boson W

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-masse-du-boson-w-defie-les-241102

 

 6) Une révolution centrée sur la gravité quantique ?

 Les scientifiques soucieux du sens physique des choses et préoccupés par la naturalité ont abouti à la conjecture sans doute centrale et décisive du caractère antiréductionniste de la gravité quantique dont l’effet est de produire un « UV/IR mixing », traduction, un entrelacs entre les échelles d’énergies avec une réciprocité dans les influences. Plusieurs investigations théoriques (qui sont des expériences de pensée) montrent comment la gravité quantique interfère avec le problème hiérarchique dans les champs de particules, avec une possibilité que les énergies IR puissent influencer ce qui se passe aux énergies UV. Par exemple, un calcul montre qu’une boîte possédant une dimension macroscopique (échelle IR) ne peut pas contenir un nombre de particules (échelle UV) supérieur au seuil calculé. Ce calcul peut alors être transposé à l’échelle de l’univers en interférant avec l’énigme de la constante cosmologique et la matière noire. Ce n’est pas pour autant que tout va être résolu et d’ailleurs nombre de physiciens sont réservés sur ces travaux et ne pensent pas qu’une révolution scientifique est en vue. La physique contemporaine est devenue un colossal chantier théorique parcouru par le bulldozer mathématique en attente de trouver un « diamant naturel » caché sous cet immense tas de formules. Une chose est certaine, le bulldozer part dans toutes les directions, explore toutes les possibilités de combinaisons en introduisant des hypothèses, des coefficients, des paramètres, des symétries, des mécanismes de brisure de symétrie. Et toujours pas de réponse à l’énigme de la hiérarchie.

 La conjecture est simple, exposée en une alternative. Il faut modifier le modèle standard des particules ou alors la description de la gravité. La seconde option suppose que la gravité exerce une influence et joue un rôle dépassant largement celui découlant du modèle relativiste d’Einstein. Et notamment un effet systémique reliant les parties au tout. Sans exclure un élargissement de la gravité quantique à d’autres domaines et qui sait, les questions métaphysiques sur la place de l’homme, la conscience et le questionnement sur l’être. Peut-être pour la première fois, les physiciens sont amenés à prendre une décision ontologique, faute d’être tranchée par l’expérience. C’est un moment vertigineux pour la science, un moment de bascule.

 

Références

 

Aaltonen, T. et al. ; High-precision measurement of the W boson mass with the CDF II detector ; Science, 2022 Vol 376, Issue 6589, pp. 170-176

https://doi.org/10.1126/science.abk1781

 

Berglund, P. et al. ; Infrared Properties of Quantum Gravity : UV/IR Mixing, Gravitizing the Quantum — Theory and Observation ; https://doi.org/10.48550/arXiv.2202.06890

 

Dugué, B. Temps, émergences et communications, Iste éditions, 2017

https://iste-editions.fr/products/temps-emergences-et-communications

 

Giudice, G.F. ; Naturally Speaking : The Naturalness Criterion and Physics at the LHC ; in : Kane and Aaron. Chap. 10 (2008)

 

G.T. Horowitz et J. Polchinski ; Gauge/gravity duality, arXiv (2006)

https://doi.org/10.48550/arXiv.gr-qc/0602037

 

Kane, G., Aaron, P. editors (University of Michigan, USA) : editors ; Perspectives on LHC Physics. World scientific (2008)

https://doi.org/10.1142/6686

 

Susskind, L. ; Thoughs on a Long Voyage, in : Kane and Aaron. Chap. 5 (2008)

 

Wolchover, N. ; A Deepening Crisis Forces Physicists to Rethink Structure of Nature’s Laws ; Quanta magazine, 03/2022.

https://www.quantamagazine.org/crisis-in-particle-physics-forces-a-rethink-of-what-is-natural-20220301/

 

Wood, C. ; Newly Measured Particle Seems Heavy Enough to Break Known Physics ; Quanta Magazine (04/2022)

https://www.quantamagazine.org/fermilab-says-particle-is-heavy-enough-to-break-the-standard-model-20220407/

 


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17 réactions à cet article    


  • Clark Kent Séraphin Lampion 29 avril 2022 08:52

    Le mot « mystère » est indissociable du mot « mystique ». Il s’agit d’un rite ou d’un enseignement caché à ceux qui n’y sont pas initiés. Y auriez-vous accès ?


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 29 avril 2022 10:28

      @Séraphin Lampion
      L’existence peut devenir un mystère à vivre. Dans la trinité il y a le mystère chrétien et sa représentation symbolique, le symbole de Nicée et la trinité (avec le Paraclet, la périchorèse)
      Maintenant, peut-on chercher un mystère dans le cosmos ? Et si oui, trouver son symbole. Et est-ce la gravité quantique ? 


    • derek 29 avril 2022 19:15

      @Bernard Dugué
      Il ya de cela plus de 40ans maintenant j’ai appris l’existance de Rene Louis Vallée grace a science et vie ça theorie synergetique pour le peu que j’en ai compris m’a paru et me parais encore passionante.Selon lui l’univers est electromagnetique et il existe sous forme d’un ocean colossal et probablement infini d’ondes de tres tres hautes fréquences dont les fluctuations quand elles atteignent une certaine limite infranchissable se materialisent en proton neutron electron etc autre chose pour faire court cette energie diffuse est responsable...de la gravitation et a son son maximun de concentration dans l’espace d’ou les astronautes qui sont portés par cette énergie diffuse....pres des masses d’énergie materialisée (la terre) cette energie diffuse est moins dense et nous attire pas vers le sol mais nous pousse sur les épaules...bon je vous ai gardez le meilleur pour la fin,cette énergie diffuse de gravitation peut etre captée et transformée (par l’intermediaire de la radio activité beta)les experiences faites par RL Vallée alors ingenieur au CEA sur le tokamak de Saclay ont démontré (je résume) que ldu carbone soumis a un double champs magnetique et electrique genere de la radio activité beta laquelle peut generer un courant electrique directement exploitable(le carbone agissant comme un catalyseur)est perpetuellement detruit et reconstitué parle milieu diffus...pour les équations si vous etes matheu interrogez google et il vous conduira vers toutes les explications de la theorie synergétique


    • Rinbeau Rinbeau 29 avril 2022 19:20

      @derek

      On peut tout imaginer !


    • Étirév 29 avril 2022 08:59

      Ce qui commence, ce sont les astres, puisqu’ils naissent et meurent.
      Mais l’UNIVERS, au sein duquel ils évoluent, est éternel.


      • VDob 29 avril 2022 16:31

        @Étirév
        Effectivement, rien ne pouvant raisonnablement sortir de rien, le fait qu’il y ait quelque chose montre bien qu’il y a toujours eu quelque chose.
        C’est aussi pourquoi la question de la « croyance en Dieu » est une fausse question.


      • christophe nicolas christophe nicolas 29 avril 2022 09:12

        Lorsque vous citez un titre anglophone, la probabilité que ce soit faux est très élevée.


        • Rinbeau Rinbeau 29 avril 2022 10:02

          Vous êtes optimiste !


          • Durand Durand 29 avril 2022 11:04

             Le quantique, j’y entrave que pouic... Alors je cherche un lien depuis la thermo et la loi MEP mais sans succès pour l’instant... Se pourrait-il qu’il n’en existe aucun ?

            En attendant, je révise..., ça ne mange pas de pain...

            https://www.francois-roddier.fr/?p=202

            ..


            • Rinbeau Rinbeau 29 avril 2022 13:17

              Si j’ai bien compris, le Boson de x est trop massif pour pénétrer le trou noir...


              • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 29 avril 2022 13:28

                @Rinbeau
                Euhhh ...c’est pas pour dire mais des enfants pourraient lire ...


              • Rinbeau Rinbeau 29 avril 2022 18:01

                Mais non ! Les enfants ne savent plus lire en France ! Ca se saurait sinon !

                Peut-être mon équation est-elle trop métaphorique.. A la rigueur !


                • Rinbeau Rinbeau 29 avril 2022 19:28
                  le mystère de l’univers bientôt dévoilé

                  Nous ne savons rien de l’histoire qui dépasse 1000 ans et nous aurions la prétention de connaitre celle qui remonte à des milliards d’années !

                  Pauvres arrogants que nous sommes !


                  • Jean Keim Jean Keim 29 avril 2022 11:42

                    @Francis, agnotologue

                    Le vrai fait partie du possible smiley


                  • Jean Keim Jean Keim 30 avril 2022 09:55

                    J’ai regardé voler un milan noir, ce beau rapace comme toutes formes de vies serait le résultat d’une suite d’heureux hasards, quelle billevesée.

                    Plus je vieillis et moins je crois à cette fable qui affirme que la vitesse de la lumière est une limite infranchissable, cela parce que des équations le démontreraient, l’équivalent serait de penser (il ne s’agit pas d’autre chose que d’un mode de penser) que l’Univers peut se passer d’une source fondamentale et qu’il s’explique cahin-caha par une démarche objective dite scientifique.

                    Tout ce que le cerveau a imaginé, imagine ou imaginera est possible.


                    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 30 avril 2022 10:21

                      @Jean Keim
                       
                       ’’Tout ce que le cerveau a imaginé, imagine ou imaginera est possible.’’
                       
                      La bonne formule est : « Tout ce qu’on invente est vrai »

                       

                      Nuance.


                    • André 1er mai 2022 22:57

                      @ Bernard Dugué

                      Je me demande quel est l’intérêt de publier des problèmes scientifiques dans les pages d’AgoraVOX. Pourquoi l’auteur de l’article n’écrit-il pas pour les spécialistes du sujet, dans des revues destinées à cet effet ? Qu’est-ce que l’auteur attendait des lecteurs après la publication ? La reconnaissance ? Des louanges ? Des applaudissements ? Je ne sais pas pourquoi il était nécessaire d’informer les habitués d’AgoraVOX des titres scientifiques de l’auteur ? Pour impressionner les habitants d’AgoraVOX ? Faire ses preuves dans l’environnement de personnes pour qui les problèmes scientifiques complexes dans la stricte discipline de la physique occupent une place lointaine dans leur vie quotidienne ? Volonté de partager les connaissances possédées avec des personnes totalement inadaptées à cet auditoire AgoraVOX ? Je ne sais pas quelles notes l’auteur a obtenues pour ses articles précédents, mais je sais que si mes articles étaient notés moins de 2, j’arrêterais d’écrire et de publier. Je pense que l’auteur de ces articles est incompréhensible pour les éventuels lecteurs... et se rend certainement ridicule !

                      Si les titres scientifiques de l’auteur correspondent à la réalité, j’ose dire que l’auteur a de sérieux problèmes existentiels (psychiques, psychologiques, ou être accepté par les autres). Je ne serais pas du tout surpris si la prochaine fois je lisais sur la carte de visite de l’auteur dans AgoraVOX un autre titre - docteur en magie noire.

                      Si écrire des articles est censé être un antidote à tous les malheurs, je laisse l’auteur tranquille.

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