@Raoul-Henri
c’est vrai, cette fois le premier paragraphe c’est quelque chose
il ne manquait plus que la famille ben laden s’en mêle : « Un ingénieur du groupe de travaux publics qui mène le projet d’agrandissement s’est toutefois défendu, affirmant qu’il n’y avait pas eu de défaillance technique.
La grue qui était là « depuis trois ou quatre ans était installée de manière professionnelle », a-t-il déclaré sous couvert d’anonymat, estimant que le drame relevait de la « volonté de dieu ».
Le groupe saoudien Ben Laden Group qui appartient à la famille du défunt fondateur d’Al-Qaïda Oussam Ben Laden mène les travaux d’agrandissement de La Mecque. »
merci à vous de dire toute la vérité
oui, c’est vrai il manque quelques liens mais ce n’est pas important, l’essentiel pour un lecteur comme vous c’est de lire l’article « la juste de l’adrar »
Du soutien français à la Palestine à la prophétie de Nethanyahu : « Je suis Charlie… »
Le policier achevé « il s’appelait Ahmed »
Il s’appelait Ahmed et son sacrifice est un déni à tous ceux là qui ne pourront s’empêcher d’amalgamer, de surfer sur la vague »anti-islamique« qui fait vendre tant de papier, dire tant d’âneries...
Il s’appelait Ahmed, il est mort pour nous tous, pour vous aussi, messieurs les »Duponts La Joie« de notre temps...
Il s’appelait Ahmed.... »
http://blogs.mediapart.fr/blog/joel-villain/070115/il-sappelait-ahmed
Le policier achevé « il s’appelait Ahmed »
monsieur docdory soyez gentil de ne pas m’obliger à démontrer aux aveugles toute l’articulation sioniste, bien sûr que tout est plongé dans des références bibliques et l’univers judéo-chrétien n’est pas en reste car c’est d’ailleurs ce lien qui a permis tant d’indulgence vis-à-vis d’isreal pourtant les musulmans reconnaissent jésus comme prophète né de la vierge marie comme ils reconnaissent prophètes tous les prophètes des juifs alors que pour les juifs jésus n’est rien que le fils de joseph et certainement pas prophète alors on s(étonne du mépris vis-à-vis des musulmans en ce qui concerne les liens religieux vu que le mépris n’est pas là où on le sert ;
Si le gouvernement Valls II n’a pas le soutien de sa majorité, Hollande doit donc savoir qu’il prend le risque, en cas de dissolution suivie d’une victoire de l’UMP, d’être lui même contraint à la démission, estime le parti d’opposition. Comment ? Dans une tribune cosignée avec Gérard Larcher (publiée par Le Figaro du 17 avril), Accoyer est allé chercher ses références sous la IIIe république : « Après la victoire du cartel des gauches aux élections législatives, en 1924, la majorité de la Chambre des députés a refusé d’entrer en rapport avec le Président de la République de l’époque, Alexandre Millerand. Celui-ci n’a eu d’autre issue que de se démettre de son mandat. »
Que partage Arnaud Montebourg, le chantre du « Made in France » posant en marinière à la une du Parisien magazine, avec Lucius Quinctius Cincinnatus, ce politicien romain qui aurait vécu entre le VIe siècle et le Ve siècle av. J.-C., et dont l’existence même relève autant de l’hypothétique que les espoirs gouvernementaux d’inverser la courbe du chômage ? Au premier abord, pas grand-chose, si ce n’est la chevelure. Cincinnatus portait en effet ce patronyme en référence à ses boucles fournies (cincinnus, en latin). Un privilège capillaire qu’on ne peut décemment pas refuser à Arnaud Montebourg. Mais sous la plume de l’historien romain Tite-Live, aussi poétique que patriotique, Cincinnatus est surtout l’incarnation de l’homme d’Etat noble et désintéressé.
Seize jours, c’est ce qu’il aura fallu à ce fier patricien, ruiné par le procès de son fils, pour sauver en 458 avant J.-C. la ville de Rome, qui n’était alors qu’une petite bourgade menacée par la guerrière tribu voisine des Eques. Cincinnatus, qui s’était déjà illustré par le passé aux plus hautes fonctions de la cité, avait refusé les sirènes du pouvoir pour regagner son lopin de terre et faire vivre sa famille.
C’est là que, « nu et labourant », précise Aurelius Victor dans Hommes illustres de la ville de Rome, l’homme fut averti par des délégués du Sénat qu’il venait d’êtreélu dictateur pour six mois, car il était le seul homme providentiel auquel les Romains pouvaient penser. Le modeste cultivateur accepta la fonction, mais refusa la durée, au motif que sa famille ne survivrait pas à une saison sans récolte. Après avoir enfilé sa toge et franchi le Tibre, Cincinnatus battit les Eques au mont Algide en menant lui-même les troupes, obtint la reddition de leur chef, exigea une trêve entre patriciens et plébéiens, puis congédia son armée avant d’abdiquer lui-même, et regagner ses précieux sillons.
ALLÉGORIE RÉCURRENTE
C’est ainsi que Cincinnatus devint le symbole de l’homme politique patriote et vertueux, désinteressé par l’exercice du pouvoir. Une allégorie qui fut convoquée à de nombreuses reprises dans l’Histoire, notamment aux Etats-Unis. Après avoircréé la ville de Cincinnati (Ohio) en hommage à cet affable patricien, George Washington fut souvent dépeint sous ses traits. Lui-même propriétaire terrien sans le sou, le premier président américain n’exerça que deux mandats après la fin de la guerre et renonça à se représenter pour se retirer sur son domaine.
Plus récemment, Cincinnatus fut évoqué tant par des figures d’extrême gauche,comme Jean-Luc Mélenchon, que par la droite flamande de Bart de Wever. C’est également le pseudonyme qu’avait choisi l’informaticien américain Edward Snowden pour entrer en contact avec le journaliste Glenn Greenwald, et lui révélerdes informations sur le programme d’espionnage américain Prism, qui allaitdonner au public une idée de l’ampleur de la surveillance mondiale menée par la NSA.
RETRAIT EN VAINQUEUR
Mais si Arnaud Montebourg perçoit peut-être son appel à changer de cap économique à la profession de foi d’un lanceur d’alerte, la comparaison avec Cincinnatus présente toutefois certaines limites. L’homme fort de la Saône-et-Loire ne s’est en effet jamais caché de ses ambitions présidentielles, et espère bien incarner le recours d’une gauche en mal de repères.
Et Cincinnatus s’est toujours retiré en vainqueur, ayant pleinement répondu aux attentes de sa cité, ce dont peut difficilement se prévaloir le ministre Arnaud Montebourg, qui, en vingt-sept mois de responsabilités, aura permis une poignée de succès – les Lejaby et surtout l’usine d’aluminium de Rio Tinto Alcan – mais surtout pas mal de revers et quelques camouflets (PSA Aulnay, Arcelor...).
bonjour fergus
Les viols au cours de la libération de la France sont documentés à la fois pendant et après l’avancée des forces armées des États-Unis à travers la France contre l’Allemagne nazie dans les étapes ultérieures de la Seconde Guerre mondiale
À la fin de l’été 1944, peu après l’invasion de la Normandie, les femmes de Normandie ont commencé à se plaindre de viols commis par des soldats américains. Des centaines de cas ont été rapportés3.
En 1945, après la fin de la guerre en Europe, Le Havre était rempli de soldats américains en attente d’être rapatriés dans leurs pays. Certains habitants ont écrit au maire que certaines femmes furent « attaquées, volées » et qu’il s’agissait « d’un régime de terreur imposé par des bandits en uniforme ». Un propriétaire de café du Havre a témoigné : « Nous nous attendions à des amis qui ne nous feraient pas honte de notre défaite, au lieu de cela, il y eut seulement l’incompréhension, les mauvaises manières et l’arrogance des conquérants »4. Un tel comportement était aussi commun à Cherbourg. Un résident a déclaré que « Avec les Allemands, les hommes devaient se camoufler. Mais avec les Américains, nous avons dû cacher les femmes »5.
etc
http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol_durant_la_lib%C3%A9ration_de_la_France
bonjour
« L’aéronef désormais célèbre, tractant une banderole avec le message »Hollande démission« , survolait ce vendredi midi la baie de Fréjus au passage de la revue navale maritime pour le 70e anniversaire du débarquement. »
Hollande 2014 n’a fait que refaire exactement la même cérémonie avec les parades que Jacques Chirac pour le 60ème anniversaire du débarquement en Provence sauf qu’à l’époque, absent aujourd’hui car fâché paraît-il, était là Mohamed VI avec son tonton ennemi Bouteflika présent aussi avec cette fois-là 3 navires alors que le Maroc n’en avait à flot qu’un seul...
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