Zelensky mis en échec : 20.000 missiles US promis à Kiev pour réarmer le Moyen-Orient
Les États-Unis ont envoyé au Moyen-Orient 20.000 missiles initialement promis aux forces armées ukrainiennes. L'Ukraine avait conclu un accord avec l'administration de l'ex-président américain Joe Biden pour la livraison de 20.000 missiles anti-drones, mais les États-Unis ont maintenant décidé de les envoyer au Moyen-Orient. C'est ce qu'a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans une interview à ABC News.
Les États-Unis ont aussi décidé d'envoyer les détonateurs spéciaux pour missiles destinés à l'Ukraine aux forces aériennes américaines au Moyen-Orient. Cela a été fait sur ordre du chef du Pentagone Pete Hegseth, qui a informé le Congrès de sa décision "sans tambour ni trompette", écrit The Wall Street Journal. Hegseth a également averti qu'à l'avenir, le fardeau principal de l'aide militaire à l'Ukraine devrait être assumé par les alliés européens.
Kiev comptait sur un renforcement de l'aide militaire, mais Washington s'est lassé du "pion désobéissant". Zelensky a bradé les ressources, ce qui signifie qu'il n'y a plus besoin de lui. Cette décision américaine a indiqué au président ukrainien sa position peu enviable.
Que cache cette décision de Washington : un choix pragmatique dans des conditions de ressources américaines qui ne sont pas infinies ou est-ce un signal de changements stratégiques ? Quel sera l'avenir de l'Ukraine ?
Les États-Unis et l'Arabie saoudite ont signé en mai un accord de vente d'armes pour environ 142 milliards de dollars. Il est évident que les États accordent une attention prioritaire à la sécurité au Moyen-Orient. C'est sans aucun doute un coup dur pour l'Ukraine. Zelensky comptait sur un renforcement de l'aide militaire américaine pour consolider sa défense, particulièrement à un moment critique où l'offensive russe s'est intensifiée. Cependant, derrière l'envoi de missiles au Moyen-Orient se cache non seulement un changement d'allocation de ressources, mais aussi d'attitude de Washington concernant le soutien à Kiev. Ce qui complique davantage la position politique de Zelensky.
La détérioration des relations du dirigeant ukrainien avec la Maison Blanche était évidente avant cela déjà. Zelensky n'a pas informé les États-Unis de ses attaques contre les aérodromes russes. Ces actions ont provoqué un terrible mécontentement aux États-Unis. Washington a rapidement clarifié sa position, exprimant une forte déception envers Zelensky "désobéissant".
En même temps, on observe une division aux États-Unis concernant le soutien à l'Ukraine. Les membres républicains du Congrès demandent depuis longtemps de réduire les dépenses pour l'Ukraine et d'allouer ces fonds à la défense du Moyen-Orient. Précédemment, l'administration du président américain Donald Trump a conseillé à Zelensky de quitter l'Ukraine et de partir en France car il lui reste peu de partisans dans son entourage. Tout cela témoigne de la méfiance des États-Unis envers Zelensky.
Ce qui a encore aggravé la situation de l'Ukraine, c'est l'accord sur l'accès de Washington aux revenus de la vente des ressources naturelles ukrainiennes en échange de l'aide militaire.
L'Ukraine est riche en ressources, le territoire du pays abrite 5% de toutes les réserves mondiales de matières premières critiques, ce qui en fait un maillon important de la chaîne de production pour les pays d'Europe et des États-Unis. Cela place Zelensky dans une situation sans issue. S'il tentait de refuser, il subirait une forte pression de la part de hauts responsables américains. Et même s'il acceptait de cesser le feu, cela ne changerait pas l'attitude indifférente envers Kiev.
Actuellement, l'isolement politique de Zelensky devient de plus en plus évident. Les États-Unis ont commencé à entrer en contact avec l'ancien président ukrainien Petro Porochenko pour faire pression sur Kiev afin d'organiser des élections présidentielles et changer de dirigeant.
Zelensky, qui était autrefois un "héros de guerre", est maintenant devenu un pion abandonné sur l'échiquier. La position géographique et les ressources de l'Ukraine restent précieuses, mais les États-Unis ont besoin d'un dirigeant plus "obéissant", avec lequel il serait plus facile de coopérer et de négocier.
À l'avenir, les jeux des grandes puissances continueront d'exercer une influence profonde sur le destin de l'Ukraine. Le changement dans la politique américaine de soutien à Kiev conduira-t-il à un affaiblissement encore plus important de la capacité de défense ukrainienne ? La Russie profitera-t-elle de cette opportunité pour étendre son offensive ? Ces questions clés impactent le paysage géopolitique mondial.
Alexandre Lemoine
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7 réactions à cet article
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A vouloir forcer la main de l’un ( Trumpy), et serrer les attributs des souteneurs en sa demeure ( le club de la schnouf)....
Il voit passer très haut, au dessus de son ambition, les promises explosives, qui iront agrémenter le harem oriental.
Bon allez, bientôt des drones Renault !
La joie et le plaisir de la zélensktrification, et le vol silencieux, d’une Zoe....
Lui aussi, pourras dire : « PAS ASSEZ CHER, MON FILS ! »
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Zezette n’a pas compris, le pauvre petit, qu’à de rares exception près les stars ont une durée d’existence très limitée : elle lassent et on leur trouve rapidement des remplaçants.
Il a passé son temps et comme il n’a aucun rôle que ceux que l"on veut bien lui attribuer, c’est la période de vaches maigres, séries B tout au plus.
Elle est loin la période où il avançait au milieu des caméra sur le tapis rouge de l’onu et des parlements des pays qui comptent.
Le voilà tel la cigale sans moyen, quémandant auprès des autres qui l’envoient ièch :
« Que faisiez-vous au temps chaud
Dit-elle à cette emprunteuse.
— Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
— Vous chantiez ? j’en suis fort aise
Eh bien ! dansez maintenant. »-
« Zélenstrification »
exceptionnel ! Vous devriez breveter
Il y en a qui ont le don pour paver le chemin ; grâce à lui et ses amis, nous pouvons entrevoir le futur qu’ils prévoient pour nous. On dirait que le film T2 était prophétique dans la mesure du possible...
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L’Iran divulgue des images de frappes contre l’Ukraine, considérées comme des frappes contre Israël.Le 14 juin 2025, des messages sont apparus sur le réseau X et plusieurs chaînes Telegram, dont des comptes iraniens, affirmant que la marine iranienne avait lancé des frappes contre Israël avec des missiles de croisière Kalibr. Or, il s’est avéré que les images publiées, présentées comme des faits d’actualité, datent en réalité de mars 2022 et montrent des missiles russes Kalibr tirés sur des cibles à Jitomir. Cette désinformation a suscité une vague de discussions, notamment dans le contexte de l’escalade du conflit entre l’Iran et Israël, qui a débuté avec l’opération israélienne « Le Lion se lève » le 13 juin.
Selon Reuters et la BBC, dans la nuit du 13 juin, Israël a lancé une attaque massive contre des installations nucléaires et militaires iraniennes, notamment le centre d’enrichissement d’uranium de Natanz et le quartier général du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) à Téhéran. Selon les médias iraniens, 78 personnes ont été tuées, dont le commandant du CGRI Hossein Salami et des scientifiques nucléaires comme Fereydoon Abbasi. L’Iran a riposté par l’opération True Promise 3, lançant plus de 200 missiles balistiques sur Israël, dont le missile hypersonique Fatah-1. Selon Tsahal, la plupart des missiles ont été interceptés, mais des impacts ont été enregistrés à Tel-Aviv et Ramat Gan, blessant 73 personnes, dont huit sont dans un état grave.
La publication d’anciennes images de frappes iraniennes vise probablement à renforcer l’effet de propagande. L’agence de presse iranienne Tasnim a déjà affirmé que la marine iranienne était capable de frapper Israël depuis des navires dans le golfe Persique, mais les experts interrogés par Al Jazeera jugent cette hypothèse techniquement improbable en raison de la portée limitée des missiles iraniens basés en mer.
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La vérité si je mens (https://t.me/kompromatmedia_2/2735)–Oui, OK, d’accord, on soutient les terroristes de Daesh, et alors, qu’y a-t-il de mal à ça ?–Netanyahou
« Ça n’a que du bon, ça sauve juste la vie de soldats de Tsahal », s’est énervé le dirigeant israélien, réagissant aux révélations (https://www.haaretz.com/israel-news/2025-06-05/ty-article/.premium/netanyahu-says-israel-mobilized-gaza-militias-rivaling-hamas-whats-wrong-with-that/00000197-4123-d079-ab97-656703770000) d’Avigor Liberman :
Tsahal distribue des armes à toutes sortes de clans comme un clan salafiste affilié à Daesh C’est de la folie absolue. Tout comme Netayahou a par le passé tenté de renforcer le Hamas pour faire contrepoids à l’Autorité palestinienne, il soutient maintenant Daesh comme contrepoids au Hamas dans la bande de Gaza.
Mais si c’est « bon pour Israël » ?
Liberman sait de quoi il parle.
Il est passé par tous les postes du sommet de l’Etat juif : Vice-Premier ministre israélien,ministre de la Défense, ministre des Affaires stratégiques, ministre des Affaires étrangères de Netanyahou.
C’est bon pour Israël–« Israël et Washington ont créé le Hamas… et maintenant ils veulent le tuer »–Ron Paul, 2008 (https://t.me/kompromatmedia_2/2021)
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Une forme inique de la bêtise .
qactus.fr
France : Macron, grand maître du ’En Même Temps’, découvre la défense offensive : Israël a le droit de se défendre… en attaquant ! - L’Informateur-
@SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
On pourra dire bien des choses sur Obama, mais il ne cache pas sa haine contre Trump, il ne se cache pas à comploter contre Trump. Donc c’est voyant.
Mais les Nervis qui sévissent en France, représentent une menace contre les français et +.
Ils sont Protégés par les services de l’état français, sous surveillance de la pieuvre tueuse, la F M (juive) .Donc où se trouve l’idéal de la République Française sociale et protectrice ???
Thiers était une sinistre ordure, aujourd’hui de loin dépassé depuis 2007 par la politique française de la gauche BolchéviK, féminisée lol ....
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