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Accueil du site > Tribune Libre > Une attaque occidentale contre « l’autre monde »
#3 des Tendances

Une attaque occidentale contre « l’autre monde »

la critique anti-patriarcale au service de la propagande

Depuis des décennies, l’Iran est dépeint comme une menace existentielle par les puissances occidentales, avec son programme nucléaire au centre des accusations. Pourtant, l’escalade des tensions, marquée par les frappes israéliennes de juin 2025 et les sanctions économiques, ne vise pas principalement le nucléaire, mais l’influence croissante de l’Iran au Proche-Orient et son intégration dans l’"autre monde" – les alliances comme les BRICS et l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS). Dans ce contexte, la critique anti-patriarcale, souvent brandie comme un étendard progressiste, est instrumentalisée par l’Occident pour renforcer une propagande anti-iranienne, servant à justifier des politiques de containment et à discréditer les nations défiant l’hégémonie occidentale.

1. Le nucléaire : un prétexte pour contrer l’influence iranienne

Le programme nucléaire iranien est régulièrement invoqué pour justifier sanctions et menaces militaires. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) note que l’Iran enrichit de l’uranium à 60 %, loin des 90 % nécessaires pour une arme nucléaire, et aucune preuve ne confirme un objectif militaire. L’Iran, signataire du Traité de non-prolifération (TNP), s’appuie sur une fatwa de 2003 interdisant les armes nucléaires et revendique un programme civil. Pourtant, les États-Unis et Israël amplifient la menace d’un « Iran nucléaire », comme en témoignent les déclarations alarmistes de Donald Trump en juin 2025 ou les frappes israéliennes sur des sites nucléaires iraniens.

Ce narratif occulte un double standard : Israël, doté d’un arsenal nucléaire non déclaré (environ 200 ogives), échappe aux inspections et sanctions. Des posts sur X dénoncent cette incohérence, soulignant que le nucléaire n’est qu’un levier rhétorique. Le véritable enjeu est l’influence régionale de l’Iran, qui, via son soutien au Hezbollah au Liban, au régime syrien, aux milices irakiennes et aux Houthis au Yémen, défie les intérêts américains, israéliens et saoudiens. L’Iran, architecte d’un « arc chiite », redessine les équilibres du Proche-Orient, menaçant l’hégémonie occidentale.

2. L’Iran et l’"autre monde" : une menace pour l’ordre occidental

L’adhésion de l’Iran aux BRICS et à l’OCS en 2023 marque son intégration dans un bloc géopolitique alternatif, l’"autre monde", qui conteste la domination occidentale. Les BRICS offrent à l’Iran des opportunités économiques pour contourner les sanctions, notamment via des accords avec la Chine (partenariat de 2021 pour 400 milliards USD) et des échanges en monnaies non dollarisées avec la Russie. L’OCS, axée sur la sécurité, renforce ses capacités militaires et son rôle régional face à des rivaux comme l’Arabie saoudite ou Israël.

Cette montée en puissance inquiète l’Occident. Les sanctions, qui ont réduit les exportations pétrolières iraniennes de 2,5 millions à moins de 500 000 barils par jour, visent à affaiblir l’économie iranienne, limitant ses ressources pour soutenir ses alliés régionaux et ses ambitions internationales. Les frappes israéliennes de 2025, officiellement motivées par le nucléaire, ont aussi ciblé des infrastructures stratégiques, comme des bases de missiles, cruciales pour l’influence iranienne. L’objectif est clair : freiner l’Iran pour préserver un ordre régional favorable aux alliés de l’Occident.

3. La critique anti-patriarcale comme outil de propagande

Pour légitimer cette offensive contre l’Iran, l’Occident mobilise des discours progressistes, notamment la critique anti-patriarcale, pour peindre l’Iran comme un régime rétrograde et justifier son isolement. Les médias occidentaux mettent en avant les restrictions imposées aux femmes iraniennes, comme le port obligatoire du hijab ou les inégalités de genre, pour dépeindre la République islamique comme un symbole d’oppression patriarcale. Des événements comme la mort de Mahsa Amini en 2022, qui a déclenché des manifestations nationales, sont amplifiés pour discréditer le gouvernement iranien.

Si ces critiques soulèvent des enjeux réels – les violations des droits des femmes en Iran sont documentées par des ONG comme Amnesty International –, elles sont souvent instrumentalisées de manière sélective. Par exemple, l’Arabie saoudite, alliée clé des États-Unis, impose des restrictions similaires (tutelle masculine, ségrégation de genre), mais échappe à une condamnation comparable. Cette sélectivité trahit un agenda géopolitique : la critique anti-patriarcale est moins une défense sincère des droits humains qu’un outil pour diaboliser l’Iran et rallier l’opinion publique occidentale à une politique agressive.

Cette propagande s’inscrit dans une stratégie plus large visant à discréditer l’"autre monde". La Chine, membre clé des BRICS et de l’OCS, est critiquée pour ses politiques autoritaires, tandis que la Russie est vilipendée pour son invasion de l’Ukraine. En associant l’Iran à des valeurs « anti-modernes », l’Occident cherche à délégitimer ces alliances, les présentant comme un bloc régressif opposé aux idéaux démocratiques et progressistes. Pourtant, cette rhétorique ignore les contradictions internes de l’Occident, comme le soutien à des régimes autoritaires alliés ou les échecs dans la promotion des droits des femmes dans des contextes comme l’Afghanistan post-2021.

4. Une guerre contre l’"autre monde"

Les pressions sur l’Iran ne se limitent pas à un conflit régional : elles s’inscrivent dans une guerre plus large contre l’"autre monde", incarné par les BRICS et l’OCS. Ces blocs représentent un défi à l’ordre unipolaire dominé par les États-Unis, proposant un modèle multipolaire basé sur la souveraineté nationale et la coopération Sud-Sud. L’Iran, par son rôle au Proche-Orient et ses alliances, est un maillon clé de cette résistance.

En mobilisant des discours comme la critique anti-patriarcale, l’Occident cherche à masquer ses véritables objectifs : préserver son hégémonie face à un monde en mutation. Les sanctions et les frappes contre l’Iran ne visent pas seulement à limiter son programme nucléaire, mais à affaiblir un acteur central de l’"autre monde", capable de fédérer des alliances régionales et internationales. Cette stratégie s’appuie sur une propagande sophistiquée, où des idéaux progressistes sont détournés pour servir des intérêts impérialistes.

5. Conclusion : dépasser la propagande pour comprendre les enjeux

L’attaque occidentale contre l’Iran, sous couvert de préoccupations nucléaires, vise avant tout à contrer son influence au Proche-Orient et son rôle dans l’"autre monde". La critique anti-patriarcale, bien que fondée sur des réalités sociales en Iran, est instrumentalisée pour légitimer sanctions, frappes et isolement diplomatique. Cette propagande, qui présente l’Iran comme un ennemi des valeurs modernes, occulte les doubles standards de l’Occident et les véritables enjeux géopolitiques : le contrôle du Proche-Orient et la lutte contre un ordre multipolaire émergent.

Pour dépasser cette logique de confrontation, il est crucial d’adopter une lecture critique des narratifs médiatiques et de reconnaître les motivations sécuritaires et stratégiques de l’Iran. Une couverture équilibrée, tenant compte des contradictions occidentales et des dynamiques régionales, permettrait de mieux comprendre les véritables enjeux de cette guerre contre l’"autre monde". L’Iran, loin d’être un simple paria, est un acteur clé d’un monde en transition, et les discours progressistes ne devraient pas servir de façade à une politique de domination.

 


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20 réactions à cet article    


  • JPCiron JPCiron 17 juin 21:54

    Bonjour,

     influence au Proche-Orient >

    En fait, il s’agir d’asseoir la domination d’Israël au Moyen-Orient.

    Par tous les moyens .https://www.agoravox.fr/commentaire6654301

    Nos politiques régurgitent les narratifs des Médias Grand Public qui, le plus souvent, reprennent les vues des gouvernements israéliens successifs.

    Et on commence seulement à comprendre que les Présidents Américains successifs, régulièrement, choisissent ’’librement’’ de faire ce que demane le malfrat Netanyahu. 

    Au G7, nous n’avons comme Politiques que des guignols.


    • grangeoisi grangeoisi 18 juin 09:34

      Ha ! Bon ! Il ya une guerre Israël -Iran ?

      C’est pour cela alors que la Baudruche, accessoirement Président des Etats-Unis a exigé de la part de l’Iran une capitulation sans conditions.

      Ce futur prix Nobel de l’ Inculture se rapproche de plus en plus de la grosse boulette !


      • Boaz Boaz 18 juin 09:56
        Exclusif : Israël autorisera les États-Unis à utiliser l’espace aérien iranien smiley


        • Seth 18 juin 15:29

          @Boaz

          Les espaces aériens sont contrôlés par les pays respectivement à l’aplomb de leurs frontières en accord avec l’OACI.

          Israël n’a rien à voir dans l’espace aérien iranien tout comme il n’a rien à voir dans l’espace aérien français, vous racontez n’importe quoi.

          Mais vous citez vos références de pensée sur un autre article : chiotti et merz. Et bardella ou l’orpheline, que disant-ils sur ce conflit israëlo-iranien ? On saisit mieux ainsi votre amour du pré-mâché réac qui a tout faux.

          Que vous compreniez pas tout bien et que vous soyez limité est parfaitement normal : Boaz est la colonne des apprentis.  smiley


        • Boaz Boaz 18 juin 15:45

          @Seth

           

          il y a une émoticône à la fin mon message, il ne faut pas tout prendre au sérieux.
          Allez rien que pour vous :

          https://ibb.co/KpjDZ6g8


        • Boaz Boaz 18 juin 15:46

          @Seth
           
          Boaz est la colonne des apprentis.

          Cela dépend du rite 


        • Com une outre 18 juin 22:38

          @Boaz
          Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant ... 


        • Fanny 18 juin 14:56

          il est crucial d’adopter une lecture critique des narratifs médiatiques 

          Bien entendu, cette nouvelle guerre s’inscrit dans l’affrontement entre l’Occident global - G7 et une partie du reste du monde. Cela va nous occuper dans les prochaines décennies.

          Pour la partie information, je recommande le site OMERTA.

          Le mainstream répète inlassablement que 80% des Iraniens souhaite la chute du régime des mollahs et ne veut sutout pas que les négociations reprennent avec Trump.

          C’est une donnée importante : c’est possible (je n’ai aucune confiance dans le mainstream qui bobarde à mort, mais cette info. est plausible) mais je n’ai aucun moyen de vérifier cette donnée qui va peser dans les décisions à venir de Trump-Natanyahu et donc la paix future au PO (et peut-être dans le monde).

          Quelqu’un sur ce site connaît-il l’état d’esprit de la majorité des Iraniens ?


          • Eric F Eric F 18 juin 17:48

            @Fanny
            A propos de l’état d’esprit des Iraniens, l’allégation israélienne que ses bombardements sont une ’’opportunité’’ pour les Iraniens de se libérer des mollah doit certainement les mettre en joie.


          • Com une outre 18 juin 22:55

            @Fanny
            Que des iraniens souhaitent la chute du régime des mollahs ne signifie pas qu’ils ne sont pas derrière eux après l’attaque israélienne. Egalement, pour l’anecdote, dimanche soir, sur la 5, une avocate de retour d’un séjour en Iran disait que le plus surprenant en arrivant dans ce pays, avait été pour elle de constater que peu de femmes était voilées, contrairement aux images que nous « choisissent » les médias mainstream occidentaux. L’Iran, ce n’est pas l’Afghanistan, loin de là, et les iraniens ne sont pas des arabes, comme le laisse croire les médias, mais des aryens. Leur histoire est plus ancienne que la nôtre et nous sommes ridicules de les faire passer pour des « sauvages » dans les médias.


          • microf 18 juin 15:59

            Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l´Angleterre de première puissance, laissa cette place aux Usa et á l´Union Soviétique, et prit une place de second rôle. S´il reste une once d intelligence aux dirigeants occidentaux, qu´ils acceptent de laisser cette place á la Russie et á la Chine et se rangent carrément derrière la Russie et la Chine, ceci pour pouvoir espérer jouer encore une rôle dans les affaires du monde, sinon, ils perdront même ce rôle de second couteaux.


            • Eric F Eric F 18 juin 17:50

              @microf
              Après la Syrie, l’Iran apprécie certainement le zèle de son protecteur russe pour sa défense.


            • Fanny 18 juin 20:06

              @Eric F
              son protecteur russe pour sa défense.

              Russie et Iran ne sont pas formellement alliés. Comme disait je ne sais plus qui (Lellouche ?), l’Iran n’a aucun allié, il est seul. La Russie n’est pas son « protecteur ».

              La Russie est partie prenante des accords anti-bombe en Iran, comme l’UE je crois.

              En revanche, il est probable que la perspective de l’Occident global écrasant et détruisant l’Iran ne réjouisse pas la Russie, membre des Brics avec l’Iran il me semble.

              Dans le partage du monde en deux camps, G7 et les autres, tout n’est pas encore parfaitement et clairement distribué. Mais les choses se précisent. 


            • microf 18 juin 22:33

              @Eric F

              C´est un son de cloche que j´ai déjá entendu, á savoir pour vous résumer, la Russie ne tient ses promesses.
              La Russie c´est un autre mode de pensée, vous voulez que la Russie réagisse, et bien, NON.
              Les Russes contrairement aux barbares occidentaux, réfléchissent avant d´agir,
              c´est pourquoi personne ne pourra jamais les vaincre.

              La Russie sait bien que c´est elle que l´Occident cherche dans cette agression illégale israelienne contre l´Iran, mais la Russie, réfléchie, calcule et, lorsque le moment sera venu, la Russie va entrer dans la danse, l´exemple en Ukraine devrait vous édifier.
              Proverbe Russe « les Russes tardent á se mettre en selle, mais ensuite, ils chevauchent très vite »
              Vous allez bientôt voir les Russes en selle et chevaucher, et vite.


            • Com une outre 18 juin 23:16

              @Fanny
              Il est faux de dire que l’Iran n’a aucun allié, bien au contraire il a le soutien de la Russie, de la Chine, du Pakistan, trois puissances nucléaires, et de bien d’autres pays encore, dont l’Italie en UE. Attention a la propagande qui circule en France où il devient impossible d’avoir une vraie information (honte à nos journalistes au passage). Russie et Chine ont d’ailleurs livrées des armes aux iraniens ce WE, le Pakistan a prévenu qu’il interviendrai si besoin en soutien à l’Iran. De même, l’Inde a de forts intérêts économiques avec l’Iran et surveille de très près la situation. Le détroit d’Ormuz est un important point de passage du pétrole arabe et sa fermeture pour cause de guerre aurait des conséquences géostratégiques à n’en pas douter. Bref, l’Iran est loin d’être isolé, a le droit international de son côté, il est membre des Brics, qui ne feront sûrement pas marche arrière face à l’hégémonie occidentale.


            • La Bête du Gévaudan 18 juin 23:48

              @Com une outre

              le droit international de son côté

              pas spécialement... annoncer fabriquer une bombe pour zigouiller un autre état, ou bien revendiquer s’ingérer dans des états souverains pour y provoquer des changements de régime n’est pas spécialement conforme au « droit international »... 

              vous avez parfaitement le droit de soutenir l’Iran si ça vous chante et si son idéologie vous plaît... mais le « droit international » revendiqué urbi et orbi par les partisans du Hamas ou de l’Iran est une notion qui leur échappe largement... 

              Israël n’a aucune raison d’attendre que l’Iran ait une bombe atomique, et la guerre préventive est parfaitement reconnue par le droit international... Israël est un état avec 15km de profondeur stratégique : si l’Iran parvenait à y faire tomber 3 bombes atomiques (ce qui serait possible comme les échanges de missiles actuels le démontrent) alors Israël serait entièrement anéanti... Il y a donc bien des intérêts vitaux en jeu pour Israël... 


            • La Bête du Gévaudan 18 juin 23:54

              @microf

              ça fait toujours marrer de voir des gens qui vous parlent avec des sanglots dans la voix de la « souveraineté des peuples du monde », inviter les peuples occidentaux à « se ranger derrière la Chine et la Russie bla bla bla »...

              Sacrés gauchistes ! ... Il y a toujours un fond de haine invraisemblable contre vos propres peuples à la base de vos raisonnements. 

              Chercher la justice et la justesse est une chose sur laquelle de nombreuses personnes peuvent se retrouver dans ce bas-monde... entretenir des « haines inversées » est une attitude stérile, sophistique et déplorable. 


            • xenozoid xenozoid 18 juin 19:46

              trump en 2017


              North Korea best not make any more threats to the United States. They will be met with fire and fury like the world has never seen... He [Kim Jong-un] has been very threatening beyond a normal state, and as I said, they will be met with fire, fury, and frankly power, the likes of which this world has never seen before."

              USS Carl Vinson Strike Group (April 2017) was suppose to be within striking range, but everyone was misled and it was somewhere in Australia.


              • La Bête du Gévaudan 18 juin 23:38

                quelque chose vous échappe : c’est le régime iranien lui-même qui revendique à longueur de communiqués lyriques depuis des décennies de préparer sa bombe atomique pour éradiquer « l’entité sioniste »... Ce n’est pas un nucléaire de défense mais d’attaque, et revendiqué comme tel. Donc, les Iraniens sont des grands garçons... ils veulent se taper sur la figure avec le « sioniste errant »... ben c’est leur problème ! Qu’ils assument ! 

                Ajoutons que le régime iranien revendique une stratégie d’influence et de « changement de régime » dans les états étrangers... bref, les mollahs pratiquent exactement ce qu’ils prétendent dénoncer. Sans compter les attentats et les assassinats de soldats français (mais ça, je suppose que vous vous en moquez, car ce ne sont là que de « vils koufars capitalistes islamophobes » qui ne méritent pas votre compassion démagogique). 

                Bref, les tiers-mondistes prennent systématiquement le « parti contre »... ils en viennent à soutenir des régimes obscurantistes, théocratiques, impérialistes ou dictatoriaux... c’est complètement absurde... Les tiers-mondistes ont perdu depuis longtemps la vision d’un monde juste, et courent simplement à la poursuite d’un « contre-monde » en compagnie de certaines des pires fripouilles de la planète... c’est une attitude déplorable et stérile. Après le XXème siècle, on aurait pu espérer une évolution mentale des tiers-mondistes... mais non... c’est trop ancré... 


                • Corcovado 19 juin 05:53

                  C’est bien beau, votre article mais 2 réflexions :

                  - depuis le temps qu’Israel a la bombe, il est clair qu’ils ne l’ont pas utilisée et ne sont pas dangereux de ce fait

                  - vous mésestimez la capacité des barbus à utiliser la bombe ou ses déchets à des fins de terrorisme.

                  Que le reste de votre démonstration s’avère exact, cela n’en devient que secondaire et négligeable.

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