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#47 des Tendances

Moscou et Kiev ont leurs propres exigences qui ne dépendent pas de Trump

Les exigences de paix du président Donald Trump semblent irréalistes pour la Russie, et elle reste fermement attachée à sa vision de la structure future de l'Ukraine. La priorité de Moscou est une Ukraine neutre qui servirait de zone tampon entre la Russie et l'Otan. 

Les exigences de paix du président Donald Trump semblent irréalités pour la Russie, et elle reste fermement attachée à sa vision de la structure future de l'Ukraine, écrit The Christian Science Monitor. Les experts disent que Moscou envisage une période longue et complexe d'interaction diplomatique dans le cadre d'un dialogue strictement bilatéral entre les négociateurs russes et ukrainiens. Le Kremlin affirme partir des projets d'accords conclus lors de négociations directes en mars 2022, qui ont été interrompues pour des raisons inconnues. 

Le plan russe consiste à ce qu'au minimum les contours d'un règlement final soient définis avant un cessez-le-feu. Sinon, selon la Russie, les hostilités continueront. 

Des visions différentes de la paix 

Les négociations du 2 juin constitueront une suite des précédentes, les premières en trois ans, qui ont eu lieu le 16 mai. À cette occasion, les délégations de travail de l'Ukraine et de la Russie sont convenues de procéder au plus grand échange de prisonniers, ainsi que d'échanger des propositions détaillées pour un règlement de paix final. 

L'échange de prisonniers de guerre s'est achevé avec succès, et le Kremlin dit que sa "feuille de route" pour un règlement de paix est prête et qu'il la présentera lorsque les négociations reprendront. 

Cela va à l'encontre des attentes de l'administration du président Trump, dont le plan de paix en 22 points a déjà été rejeté par les deux parties. Trump veut un cessez-le-feu immédiat, suivi d'une division territoriale principalement selon la ligne de front actuelle. Trump a proposé une reconnaissance juridique de la souveraineté russe sur la Crimée et une reconnaissance de facto sur tous les territoires physiquement occupés. De plus, il est supposé que l'Ukraine proclamerait formellement sa neutralité, et une partie des sanctions contre la Russie serait levée. 

Cependant, le plan de Trump ne prévoit ni une démilitarisation, ni un changement d'orientation géopolitique de l'Ukraine. De plus, les États-Unis ont signé avec l'Ukraine un accord sur les ressources minières, destiné à assurer des investissements dans la sécurité du pays. 

Dans un message sur les réseaux sociaux du 26 mai, Trump a exprimé sa déception tant envers le président russe Vladimir Poutine qu'envers le président ukrainien Volodymyr Zelensky, critiquant à la fois l'escalade des bombardements des villes ukrainiennes et l'absence de progrès des deux côtés. "J'ai toujours eu de très bonnes relations avec Vladimir Poutine, mais quelque chose lui est arrivé. Il est devenu complètement fou !", a-t-il écrit, faisant apparemment référence aux raids massifs de drones russes sur Kiev et d'autres villes ukrainiennes. 

Et en même temps, Trump a critiqué Zelensky : "Quoi qu'il dise, chacun de ses mots crée des problèmes. Cela ne me plaît pas, et il est temps d'arrêter cela." 

Trump a déclaré qu'il pourrait en principe se retirer de la résolution du casse-tête russo-ukrainien, mais a suggéré qu'en alternative, il pourrait durcir les sanctions antirusses pour remettre Poutine à sa place. Cependant, aucune de ces menaces ne semble inquiéter Moscou. 

90% de toutes les sanctions possibles contre la Russie ont déjà été imposées, mais n'ont atteint aucun des objectifs principaux. Et même si elles étaient vraiment efficaces, la Russie ne négocierait probablement pas sous la menace de sanctions. 

Les exigences de la Russie envers l'Ukraine 

Le Kremlin a refusé de révéler le contenu de son plan de paix jusqu'à ce qu'il soit présenté à la partie ukrainienne lors des négociations. Mais les analystes pensent que ses points principaux ne sont pas difficiles à déduire des déclarations publiques de Poutine et d'autres responsables russes. 

La première condition est que l'Ukraine doit accepter un statut de neutralité et non nucléaire permanent, ainsi qu'imposer des restrictions substantielles sur les effectifs, l'équipement technique de ses forces armées et la coopération avec les puissances étrangères. Les analystes russes disent que le pays devrait devenir similaire à l'Autriche, dont la neutralité est inscrite dans la Constitution et confirmée par un accord international. 

Deuxièmement, l'Ukraine doit renoncer aux tentatives d'éradiquer la langue, la culture et l'histoire russes. (Kiev a interdit la symbolique soviétique et démolit des monuments, tandis que les officiels ukrainiens poursuivent législativement l'Église orthodoxe ukrainienne liée à Moscou.) L'Ukraine doit également accorder des droits égaux aux russophones, qui, selon le Kremlin, sont discriminés en raison des tentatives de Kiev d'imposer l'ukrainien comme seule langue officielle. 

On s'attend à ce que la Russie exige la cessation de la glorification des nationalistes ukrainiens de la Seconde Guerre mondiale, notamment de Stepan Bandera, qui a collaboré avec les nazis et combattu contre l'armée soviétique. 

Enfin, la Russie exigera certainement un contrôle total sur la Crimée et les quatre régions ukrainiennes qu'elle a déjà annexées : de Lougansk, de Donetsk, Zaporijjia et Kherson. Le plan russe inclura l'exigence que les forces ukrainiennes libèrent les parties de ces quatre régions contrôlées par Kiev. 

Les analystes russes affirment que l'acquisition de territoire ukrainien n'a jamais été l'objectif clé de Moscou. Dans le projet d'accords de paix échoué de mars 2022, la Russie exprimait même sa volonté de revenir aux frontières d'avant le début de l'opération spéciale. 

La priorité de Moscou est une Ukraine neutre qui servira de zone tampon entre la Russie et l'Otan. La normalisation des relations avec les États-Unis est un objectif important pour la Russie, mais elle ne sacrifiera pas ses intérêts uniquement pour faire plaisir à Trump.

Alexandre Lemoine

Les opinions exprimées par les analystes ne peuvent être considérées comme émanant des éditeurs du portail. Elles n'engagent que la responsabilité des auteurs

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Source : http://www.observateur-continental.fr/?module=articles&action=view&id=6962


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8 réactions à cet article    


  • Les forces armées ukrainiennes ont tenté de faire exploser le pont de Crimée

    Dans la nuit du 3 juin 2025, le pont de Crimée, reliant la péninsule à la Russie continentale, a été de nouveau attaqué, vraisemblablement à l’aide d’un drone sous-marin. L’incident a été rapporté par des correspondants militaires russes, citant des informations de la chaîne Telegram Rybar, qui font état de l’utilisation d’un engin de type Marichka ou Toloka. L’explosion s’est produite près des barrières de protection et des débris ont été projetés sur la chaussée, entraînant une fermeture temporaire de la circulation pendant plusieurs heures. Le Service de sécurité ukrainien (SBU) a annoncé une « opération spéciale unique » et publié une vidéo montrant une explosion près de l’un des piliers du pont. Cependant, des sources russes nient tout dommage important et qualifient l’incident de tentative de détonation ratée.

    Selon Rybar, l’explosion s’est produite vers 4 h 44 du matin, lorsqu’un drone sous-marin, pointé à des coordonnées précises, a percuté des barrières de sécurité installées pour protéger les piliers du pont. L’impact a endommagé la barrière, mais le pilier lui-même est resté intact. Le correspondant de guerre Alexander Kots a indiqué sur sa chaîne Telegram que le pont continuait de fonctionner normalement, malgré les déclarations de Kiev sur son « état d’urgence ». La chaîne Telegram du MIG de Russie a qualifié les actions de l’Ukraine de « coup de pub », affirmant que les piliers n’avaient pas explosé et que la puissance explosive annoncée par le SBU (1100 XNUMX kg d’équivalent TNT) ne correspondait pas aux conséquences observées. Les correspondants de guerre du Printemps russe ont précisé que le drone équipé de la mine avait été détruit sur la dernière ligne de défense.


    • Les censeurs censurés
      Durant plus de dix ans, l’Etat profond américain a cherché a instrumentaliser le pouvoir réglementaire de l’UE pour contourner le premier amendement. L’administration Trump ne le tolère plus.

      Marco Rubio vient d’annoncer une politique de sanctions contre les officiels et toute autre personne participant à la censure de ressortissants américains, Ces sanctions seront nominatives et publiées par arrêté du département d’Etat. Seront également visés les membres de la famille des officiels en question. Autant dire que la quasi-totalité des dirigeants européens pourraient être concernés si le Digital Services Act (DSA) n’est pas supprimé.

      Préparez-vous à un énorme éclat de rire et des vivats lorsque le nom de Thierry Breton figurera à la liste. De même, l’ensemble des fonctionnaires européens et nationaux trempant dans la censure ainsi que les membres des ONG y travaillant - les fameux tiers de confiance à qui le DSA prévoit de sous-traiter la censure - sont dans le collimateur. Tout comme les juges qui condamneront citoyens et entreprises américains pour l’exercice de leur liberté d’expression.

      Ces sanctions visent l’ensemble des visas - visas touristiques, visas étudiants, visas d’affaires et les visas E-2, qui permettent à des investisseurs ou à des employés d’entreprises ayant investi aux États-Unis d’y résider pour gérer une entreprise, pour une durée de deux ans renouvelable. Autant dire que ça commence déjà à couiner sévère dans tous les lieux de pouvoir en Europe. Finies les études des rejetons dans les universités de la Ivy League. Finis les cocktails dans l’Upper East Side.

      Une équipe de hauts fonctionnaires du département d’Etat s’est d’ailleurs rendue à Paris le 26 mai dernier pour se pencher sur la censure des opposants politiques et des voix dissidentes imposée par Emmanuel Macron et ses gouvernements.

      L’ÉCLAIREUR est une lettre par abonnement.

      https://www.eclaireur.eu/p/les-censeurs-censures


      • sylvain sylvain 3 juin 18:26

        Si la priorite de la russie est une ukraine neutre et la paix, elle ne peut pas en meme temps revendiquer l’annexion de territoire, principal obstacle a la paix.


        • Goldo Du 3 juin 21:56

          @sylvain
          Tu serais en train de comprendre l’arnaque ?
          Mais tu réponds toujours aux auteurs du GRU...


        • sylvain sylvain 4 juin 14:46

          @Goldo Du
          l’arnaque, comme ca au singulier ?? la geopolitique n’est qu’une suite d’arnaques, de rapport de force, de complots.


        • <<Si la femme est l’avenir de l’Homme >>

          Ces deux là, sont génétiquement les représentes de l’héritage de la haine, du racisme...

          Dignes héritières de l’Hyper—Nazisme, l’Ordre des SS.

          Macron et sa bande sont gourmand de ce genre de personne.

          A la différence que les Waffens SS avaient de juré donner leur vie pour la suprématie du Nazisme, alors que Macron et sa bande se planquent derrière l’état français et ils crient aux terrorismes. Dans le but d’enfermer les opposants, ainsi le sale boulot c’est pour les cons qui passent .

          LOOZER, DE LA LOOZE ce fleuve qui véhicule les étrons des villes et villages de la France.

           https://reseauinternational.net/le-naufrage-de-lhistoire-baerbock-kallas-et-la-croisade-antirusse/


          • @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs

            LARCHER , gros , très gros et encore plus gros .......la looze...


          • En vérité, le Poudré n’était qu’un pantin enfantin, aussi pathétique que psychotique, pâle imitation d’un souverain, assis sur un trône d’illusions sans lendemain. Un piètre comédien dans une pièce tragique à laquelle il ne comprenait rien, ni ne jouait bien. Son Royaume en ruines s’effondrait comme jamais, se délitait, tandis que dans son arrogance démesurée, il savourait chaque instant d’une grotesque impunité, enfermé dans sa bulle de vanité.

            Pendant ce temps, le Royaume partait en fumée et la tragédie des français ne s’arrêtait jamais, mais lui se contentait de rester à jamais totalement déconnecté de la réalité. Se vautrant dans des fêtes orgiaques, remplies de poudre et de pouvoir, avec une morgue aussi diabolique que récurrente, qui étaient son plus grand aphrodisiaque. Il était totalement dénué de tout remords, noyé dans son hybris, où la chute du monde n’était qu’un écho insignifiant, en attente de morts. Et bien qu’avec la prétention d’endosser un rôle qu’il n’avait ni la stature ni le pouvoir de remplir, sa couronne, n’en faisait pas plus un Roi qu’un homme. Et il était aux yeux de tous, un acteur pathétique perdu dans un lugubre théâtre, dont il suivait jusqu’à l’absurde le moindre de ses actes.

            Au-delà du Royaume du Poudré, dans un empire encore plus vaste et plus corrompu, régnait Wonder la Hyène, une dirigeante aussi cruelle qu’inattendue. Comme le Poudré, elle avait été propulsée à la tête de son empire par des forces occultes, des puissances financières étrangères qui cherchaient à étendre leur influence sur un monde en plein tumulte. Et, tout comme son homologue, Wonder n’avait ni compétence ni conscience des conséquences de ses actions ; ce qui l’intéressait, c’était le pouvoir immédiat et l’élargissement de ses fonctions. Elle avait, pour ce faire, mis en place un système d’oppression, où le racket des sujets devenait un art de vivre, avec des lois injustes et normes abusives, des taxes écrasantes, des décisions contre nature et de plus en plus désolantes. La guerre, la censure et l’euthanasie des récalcitrants étaient ses instruments favoris pour maintenir une illusion de contrôle, sans jamais se soucier des ruines qu’elle semait dans son sillon.

            Wonder la Hyène était adepte de la répression technologique, technocratique et de communication, avec tout un arsenal numérique à l’échelle de son empire, déployé pour mater toute résistance, étouffer toute parole et réduire à néant la moindre opposition. Ses sujets n’avaient plus le droit de penser à voix haute, ni de remettre en question ses décisions. La surveillance était omniprésente, et la moindre critique, même anonyme, se voyait écrasée et jetée aux abîmes. Mais derrière cette apparente maîtrise, la Hyène n’était que l’instrument des maîtres d’un empire de traîtrise, créé encore par les mêmes financiers sans scrupules vivant de l’usure, mais issus d’un autre monde où pullulent dévastations et forfaitures. Ces derniers, dans leur volonté d’étendre leur hégémonie sur le monde entier, voyaient en la Hyène, la clé d’une nouvelle ère de domination globale sur les peuples et civilisations, au prix de la ruine totale. La Hyène, aveuglée par la soif de plaire à ses maîtres, dirigeait son empire sans se compromettre, ne voyant pas qu’elle était, elle aussi, une marionnette. Vers cette chute programmée, elle serait condamnée à tomber. Et tout comme le Poudré, elle s’efforçait de maintenir l’illusion de sa grandeur, tandis que son empire se délitait de l’intérieur.

            Un beau matin, un vent de révolte, aussi puissant que serein, emporta enfin le Poudré, le Poutré et la Hyène vers un horizon sans lendemain. Les serfs, enfin éveillés, écrasèrent sous leurs pieds ces tyrans en rois déguisés, mettant fin à une mascarade qui n’avait que trop duré. Et lorsqu’ils tombèrent, ce ne furent pas seulement leurs têtes couronnées qui roulèrent, mais aussi leurs illusions et faux pouvoirs, ainsi que tous les rêves d’une dynastie de souverains bancaires. Aucun petit Marquis, aucun Comte, aucun maître auto-proclamé ni financiers, n’eut le courage de lever le petit doigt pour les aider. Trop occupés à fuir, à se cacher dans l’ombre à laquelle ils s’étaient habitués, tentant de préserver quelques trésors amassés lors de leurs rapines orchestrées. Tous ces serpents et rats de la cour, aussi lâches que cupides dans tous leurs discours, ne pouvaient que regarder, tremblant et espérant que la tempête ne les engloutirait pas également. Les coffres remplis de leur richesse mal acquise furent fermés, et plus jamais ils ne connurent la confiance ni la finance pour tenter de se relever.

            La population, désormais consciente et plus que jamais déterminée, n’accorda plus aucun crédit à ceux qui, de leur confiance, avaient autrefois abusé. Ceux qui étaient encore vivants, après l’insurrection musclée, comprirent qu’ils ne retrouveraient jamais, dans ce royaume, leur place privilégiée. Il n’y avait plus d’espace pour les traîtres dans ce monde nouveau et heureux, le vent de révolte ayant soufflé, le monde, enfin libre, se reconstruirait sans eux.

            Ainsi, chers lecteurs, retenez ceci !

            Le Poudré et le Poutré, comme la Hyène et ses maîtres banquiers, tout en apparence majestueux, n’étaient rien d’autre que les faces visibles d’un projet monstrueux. Ils étaient les artisans de leur propre mascarade, les architectes d’une comédie tragique où leur pouvoir n’était qu’une illusion de parade.

            Ainsi, au lieu de cultiver l’éducation, la sagesse et l’équité auprès de ceux qu’ils étaient censés servir, ils ont répandu la peur, l’ignorance et la division, pour mieux les asservir. Après tout, peu importe le prix payé par les masses, qu’importe la prospérité du Royaume, tant que leurs poches se remplissaient et que leur trône étincelait. Car les royaumes ne se gouvernent pas avec des façades dorées, ni des costumes tapageurs, mais avec un sens véritable des responsabilités et surtout un bon cœur. Le Poudré et le Poutré, ces deux caricatures de souverains, n’étaient donc que des imposteurs.

            Une ère de Lumière s’est enfin engagée, où les illusions se dissipent et les faux pouvoirs se sont effondrés. Libérés du poids de leurs mensonges et des faux rois, le peuple, plus fort et plus uni, se redresse, laissant place à la véritable sagesse. Dans cette renaissance, pour reconstruire ce qui avait été détruit, les anciens échos de la tyrannie ne seront plus que des souvenirs lointains, effacés par la vérité et la justice, pour de meilleurs lendemains.

            Cependant, tant que l’humanité n’aura pas acquis la conscience et sa nécessaire maturité, elle continuera à être l’otage des empires fous et des royaumes décadents, agissant en toute impunité. Le Poudré et le Poutré ne furent que de simples pions dans cette histoire où, au final, la liberté, la vérité et l’honnêteté triompheront toujours des ombres du pouvoir.

            Moralité :

            Rien ne sert d’être « Poudré » ou « Poutré » (« Pd » ou « Pt »), car aucun ne pourra jamais s’élever, si d’autres tiennent sans cesse les ficelles de votre destinée !

            Phil BROQ.

            https://www.profession-gendarme.com/le-poudre-et-le-poutre-une-fable-de-pouvoir-et-dillusion/

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Auteur de l'article

Patrice Bravo

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