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Lent suicide d’une Europe de la bêtise façonnée par les populismes

Economie de la connaissance ou société de la bêtise ? L’Europe ne va pas très bien. Les Etats-Unis non plus. L’Europe paraît souffrir de pathologies liées non seulement à l’économie mais aussi à sa politique et sa bureaucratie. Les Etats-Unis paraissent touchés par un mal dont l’épicentre serait la finance. Quant aux pathologies politiques américaines, elles sont liées à la politique étrangère depuis des décennies, avec des impacts sur la planète, alors qu’à l’intérieur du pays, elles s’affirment régulièrement et se confirment récemment, épousant un tournant populiste guère étonnant dans ce pays façonné par les extrêmes. L’Europe aussi est gagnée par la « maladie populiste » ce qui n’étonne guère, au vu de l’histoire passée de ce continent qui a vu naître deux des régimes les plus abominables, le fascisme et le nazisme. En réalité, c’est tout l’Occident qui est malade de ces formes diversifiées de populisme, maladie dont on peut trouver les symptômes dans une sphère élargie aux pays de culture musulmane. Le populisme est universel et pourrait même devenir le genre humain après les déboires de l’internationale socialiste enterrée un soir de décembre 1989. Néanmoins, la notion de populisme mérite quelque réflexion. Comme du reste d’autres notions vagues comme peuple ou société. Voir le populisme comme un allié dans la plupart des régimes tend à dissoudre le sens de cette notion. Le fascisme et le nazisme sont issus du populisme sans s’y identifier. Les démocraties contemporaines sont traversées par des mouvances populistes dont on dira qu’elles altèrent fortement l’idéal républicain et démocratique.

En vérité, le populisme est un ressort puissant d’un régime, ou alors un ingrédient, une composante servant d’instrument complémentaire pour l’exercice du pouvoir. Le populisme ne peut à lui seul servir de puissance gouvernante. L’armée représente la puissance physique permettant la stabilité du régime. Le populisme constitue pour ainsi dire le complément de puissance dont l’impact est le psychisme. L’armée suscite la crainte. Le populisme cible les émotions, s’adressant aux niveaux infra-raisonnables du psychisme, flattant les plus bas instincts. Par exemple, le sentiment nationaliste bâti en négatif, en désignant l’ennemi, le juif pour les nazis, l’occidental pour le régime iranien et réciproquement, l’islam pour le nationalisme européen. L’Argentine péroniste était gouvernée grâce à un ingrédient populiste, comme du reste le Portugal avant la rupture de 1974 et bon nombre de régimes dictatoriaux passés ou présents.

Jouer sur la fibre populiste s’avère constituer un outil de plus en plus pratiqué en Occident. Rien qu’en France, on voit poindre les tendances populistes qui n’ont jamais quitté le pays, sauf peut-être pendant cette période presque euphorique à la fin des Trente glorieuses, entre la nouvelle société de Chaban et le « changer la vie » de Mitterrand. C’est au moment où la France a pris conscience que la vie ne pouvait être changée par la politique que le plus emblématique des mouvements populistes, celui de Jean-Marie Le Pen, est arrivé sur la scène médiatique, pesant plus de dix points dans les urnes tout en gagnant la sympathie d’un tiers des Français. Quand l’avenir est ou bien noyé, barré, absent, ou bien confisqué par un système, le populisme gagne du terrain, servant d’exutoire et d’emplâtre psychique pour satisfaire le mécontentement. Le populisme sert à renforcer la gouvernance d’un système perçu comme impuissant par les populations. Le populisme est à la politique ce que la publicité est à une marque. Dans le premier cas, l’électorat est renforcé, dans le second, c’est la part de marché. La publicité donne souvent l’impression d’un plaisir renforcé par la consommation d’un produit. Le populisme laisse accroire que le citoyen est entendu et écouté par le pouvoir, moyennant quelques décisions et autres déclarations sans importance mais portées au pinacle de l’hystérie médiatique. Un coup de Woerth et un coup de MAM, pour promouvoir l’opposition. Quant à Sarkozy, il ne déroge pas à la règle, loin s’en faut. Un coup contre les journalistes, un autre contre les juges, les racailles, une invective contre les banques, les paradis fiscaux, un médicament offert au lynchage, voilà des ingrédients s’adressant aux bas instincts du peuple pour masquer l’impuissance du pouvoir et surtout, l’essentiel, à savoir un Etat servant les intérêts des classes supérieures et les rentes accumulées depuis deux décennies. La publicité comme le populisme s’adresse au vide de la pensée.

Nous pouvons maintenant mieux cerner le populisme à travers son contraire, qui est l’opinion éclairée et le citoyen doué de la faculté de raisonner. Les lumières de la raison participent à l’édification d’une civilisation, au foisonnement des arts et de la haute culture, à la pratique de la discussion et de la réflexion, au fonctionnement vertueux des institutions républicaines, à l’équité économique, à l’instruction. Le populisme sert la décadence et les intérêts particuliers dévoyés par la vénalité. D’un côté, il faut flatter les bas instincts du peuple, semer la colère, pratiquer le lynchage, punir, châtier, venger, avec un président qui confond sanction et vengeance. Le populisme n’est pas inscrit dans les textes républicains mais repose sur une sorte de charia laïque et non écrite, le plus souvent improvisée au gré des événements et autres faits divers. Quand le populisme est pratiqué dans une société, il fonctionne de pair avec la promotion des goûts médiocres, favorisant la propagation d’une sous-culture dont on voit les nombreuses figures dans le monde du cinéma, du journalisme, de la chanson, de l’art contemporain, de la littérature et des humoristes. Que de prétendus artistes médiocres mais pourtant si populaires. La culture est, comme la politique, minée par le populisme. Elle a ses émissions dédiées, de chabada au bureau des plaintes, lieux voués au bavardages inutiles et autres prestations insipides chantées ou parlées, permettant à de médiocres rentiers du spectacle de s’en mettre plein les poches, eux et leurs producteurs.

Le citoyen ciblé par le populisme manque d’éducation, de goût, d’intelligence. Le populisme est l’adversaire des lumières et de la civilisation, du progrès et de l’art de vivre républicain ; il est engendré par la facilité et constitue l’un des artifices permettant aux intérêts privés et autres rentes de situation de prospérer, de capter les richesses, d’asservir les populations en les aliénant, en les coupant des progrès de la conscience et de la raison. Le populisme est un obstacle à l’avenir ; il s’oppose aux espérances. Il est pratiqué le plus souvent par les conservateurs. Ce qui est logique, le conservatisme étant l’allié objectif dans la défense des rentes de situation ou alors dans le maintien des normes sociales éculées mais sécurisantes, quitte à confisquer l’avenir pour les générations futures. Le lecteur l’aura compris, je ne conçois pas le populisme dans son acception héritée de la vulgate politicienne, autrement dit comme une doctrine réductrice spécifiant une idéologie montant le peuple contre de soi-disant élites. Le populisme est plus vaste et plus profond. Il a pour ressort la sollicitude dévoyée envers les bas instincts et plus généralement, l’instrumentalisation de l’ignorance populaire au service d’une manipulation des individus par d’habiles propagandistes soignant au plus près leurs intérêts. Cette ignorance étant du reste entretenue et même renforcée en jouant de la passivité complice de l’ignorance et du plaisir généré par les productions médiocres s’adressant à la facilité, occultant de ce fait l’usage des savoirs, des connaissances, des arts nécessitant quelque expérience pour être appréciés. Quelle hypocrisie que cette société qui se targue de vouloir éduquer sa jeunesse pour ensuite cultiver le désapprentissage et la déséducation d’un peuple guidé sur les voies de l’ignorance. Le progrès fut autant matériel que spirituel. Actuellement, la technologie arrive en fin de course et nous devrions songer à un progrès par la culture, l’éducation, la pratique des arts et des connaissances, non sans rappeler quelque idéal de vie contemplative qu’un Aristote avait envisagé dans son Ethique.

Le populisme s’adresse à la bêtise, à l’internationale du genre sous-humain, aux masses émotives, mais cessons d’attaquer stérilement puisque contrairement au nazisme, l’ennemi populiste de la civilisation n’a pas un uniforme mais est diffus, incertain, tel un virus affectif et simpliste se propageant par des voies médiatiques tellement déployées qu’on ne sait plus qui est responsable de ce marasme. Le populisme est différent du fascisme mais ses effets sont comparables. La civilisation s’éteint, non pas dans la brutalité mais dans la porosité des âmes humaines vouées à perdre le sens de la raison, l’aptitude aux vertus et autres horizons d’un bien-être social et culturel. La jeunesse est privée de son destin. Elle a su inventer un monde dans les années 1960 ; elle s’efface du monde en 2011, au lieu de mordre dans l’avenir et de prendre sa part d’existence que les pays européens lui refusent. Un malade psychotique, producteur d’émissions naturalistes, se prépare à être candidat écolo en 2012. Tel est l’un des signes de ce populisme contemporain dont le résultat sera d’en finir avec la culture européenne et d’installer le lent suicide de la civilisation avec un style non politique, pas brutal comme fut le nazisme, mais tout en douceur, en flattant la bêtise humaine, en abaissant les valeurs supérieures, en dégradant les repères transcendantaux. Nul n’a décrété que la civilisation doive perdurer. Une société gagnée par le populisme est parfaitement viable, comme peut-être une ruche ou une fourmilière. Il faut juste détruire la conscience du passé et les idéaux supérieurs. Les médias s’en chargent très bien et facilitent l’avènement de cette civilisation asservie à la finance et aux machines. Le pacte de compétitivité en est un signe. Peu d’artistes se suicident ces temps-ci. Ou bien le populisme est acceptable, ou bien il n’y a plus d’artistes. En tous cas, une société populiste n’incite pas les artistes à créer et ne suscite pas les meilleurs billets.

 


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32 réactions à cet article    


  • tmd 8 février 2011 10:49

    Le tout premier populisme, c’est le socialisme. Cette doctrine qui fait croire à tous qu’il suffira de prendre l’argent aux riches pour que tout le monde mange gratis ...


    • goc goc 8 février 2011 12:00

      non le premier populisme, c’est la religion, celle qui fait croire qu’il suffit de se confesser pour être absout de ses pêchers, et celle qui promet le paradis à tous ceux qui auront bien respecté le dogme et la hiérarchie, mettant le gueux au plus bas et la noblesse (et surtout le clergé) au sommet avec obligation d’obéissance aveugle envers les chefs. N’oublions pas que le moyen-age était l’époque de la vie débauchée des papes, de l’inquisition, de l’obscurantisme scientifique, et de la misère paysanne, et même si cela a quelque peu changer, le fond reste le même.

      c’est justement parce que la religion perd son monopole que le populisme imbécile se retourne vers l’extrémisme politique. D’ailleurs, il suffit de voir que le fond de commerce de la xénophobie repose fondamentalement sur la différence religieuse.

      bref, quand on interdira les religions, alors on aura fait un grand pas vers l’humanisme et la tolérance


    • jullien 8 février 2011 12:51

      Les deux précédents commentaires et l’article sont d’excellentes démonstrations par l’exemple que le mot populisme ne signifie plus rien de précis dans le langage contemporain puisque son objectif est de diaboliser l’adversaire et d’en faire une sorte de monstre avec lequel il n’y a même pas besoin de discuter.
      Historiquement, le mot populisme (narodnichestvo) était le nom que se donnait à lui-même un mouvement révolutionnaire russe des années 1880 qui demandait à ce que les révolutionnaires aillent au peuple et se fassent peuple afin de ne jamais se couper de lui. Les marxistes eurent en horreur ce mouvement concurrent et prirent l’habitude de qualifier de « populistes » tous ceux qui les critiquaient au nom des intérêts du peuple en affirmant qu’ils s’étaient coupés de lui. Aujourd’hui les défenseurs du capitalisme ont repris à leur compte cette habitude car beaucoup sont d’anciens marxistes ayant renié leurs convictions mais conservé leurs modes de pensée (ou ceux qu’ils ont formé pour les plus jeunes).


    • Emmanuel Aguéra LeManu 8 février 2011 13:23

      @ tmd

      SVP, sortez de la guerre froide... Y’a pourtant un moment qu’on parle du réchauffement global !


    • Vincent Verschoore Vincent Verschoore 8 février 2011 13:56

      @Goc

      Le problème c’est que le rejet absolu de la religion est en soit une religion, avec ses dogmes, ses prêtres, ses excommuniés, sa violence, son intolérance et sa bêtise. Il ne faut pas confondre les religions - censée s’adresser au niveau spirituel - et les églises, qui transforment les religions en vecteurs du populisme. 


    • Observeur Observeur 8 février 2011 15:33

      Lorsque nous observons les humains, nous constatons leurs comportements irrationnels.
      Ces attitudes remontent très loin dans le temps.
      Pour comprendre pourquoi il en est ainsi, nous nous contenterons de constater ce que les humains ressentaient face aux phénomènes naturels. Les humains préhistoriques n’avaient pas nos connaissances et ne comprenaient pas la nature. Cependant, ils cherchaient à donner une signification aux phénomènes naturels en faisant des relations arbitraires entre ce qu’ils voyaient et ce qu’ils ressentaient.
      Comme nombre de phénomènes naturels leur faisait peur, ils les attribuaient à des forces surnaturelles qu’ils ont personnifié par des dieux. Il suffit de voir les diverses mythologies qui ont été développées au cours des millénaires. La peur des phénomènes naturels et de la mort, sont à l’origine du sentiment religieux.
      Dans les tribus, il y avait des dominateurs qui ont exploité cette crainte pour assouvir leur pouvoir et leurs ambitions. D’où toutes sortes d’attitudes pour s’attirer les faveurs des déités inquiétantes et de rassurer les naïfs. Au fil des siècles, les dominateurs-manipulateurs ont structuré toutes sortes de religions. De nombreuses religions ont disparu, mais quelques unes se sont imposées par la force. Il suffit de s’informer sur l’histoire des religions et de leurs méthodes pour s’imposer.
      Comme l’Humanité s’est développée dans cette ambiance superstitieuse durant des millénaires, sa psychologie en est imprégnée au point que s’en est devenue une momification dont peu de personnes sont capables de se défaire. Il faut beaucoup de caractère et de personnalité pour se débarrasser des irrationalités qui encombrent et étouffent une très grande majorité des humains.
      Devenir et rester libre penseur est difficile, mais lorsqu’on y est parvenu, c’est la joie de la libération et de la sérénité car on n’a plus de craintes irrationnelles.

      J’ai eu des conversations avec de nombreuses personnes. Voici ce que j’ai constaté :
      les gens vivent selon leurs besoins d’illusions. Si vous leur faites perdre leurs illusions, ils ne le supportent pas car cela perturbe leur équilibre psychologique. Pour beaucoup de personnes la rationalité est insupportable. Nous le voyons partout : les gens avalent très facilement un gros mensonge et refusent une petite vérité parce que cela les dérange.

      De nombreuses personnes désespérées de supporter leurs souffrances, qui ne peuvent être soignées par la médecine, se tournent vers toutes sortes de charlatans qui en profitent pour s’enrichir. La recherche de satisfactions irrationnelles ou d’apaisement de craintes et d’inquiétudes se traduit par l’achat de livres stupides ou la visite de voyantes qui les maintient dans l’ignorance et la superstition. L’exploitation de l’ignorance et de la superstition est une source inépuisable de revenus. Comme la plupart des personnes sont conditionnées et qu’elles ne veulent faire aucun effort pour se libérer, elles se vautrent dans leur attitude béate.

      Nous sommes dans la nature, et tôt ou tard, tous les phénomènes s’expliquent naturellement. Cependant, nous n’avons pas tous la même façon d’examiner l’irrationnel pour le ramener au naturel rationnel. Ce n’est pas parce que des phénomènes sont incompréhensibles qu’il faut en déduire que le rationnel est illusion. Tout ce qui se passe peut avoir une explication naturelle et rationnelle. De nombreux phénomènes qui étaient considérés inexplicables et incompréhensibles jadis, ont eu une explication grâce aux progrès scientifiques. Mais notre science est encore très insuffisante pour tout expliquer.


    • Furax Furax 8 février 2011 17:06

      « quand on interdira les religions, alors on aura fait un grand pas vers l’humanisme et la tolérance »

      Il était pas mort Staline ?


    • Francis, agnotologue JL 8 février 2011 18:45

      tmd,

      les riches, ils l’ont pas chié, le fric ! Leurs billets de Monopoly ne vaudraient rien s’il n’y avait rien à acheter. Et il l’y aurait rien à acheter si tout le monde s’était contenté de fabriquer des billets, de faire du fric avec du fric, au lieu de bosser !

       smiley

      Il ne s’agit pas de prendre aux riches, mais de leur reprendre ce qu’ils ont volé !


    • daniel paulmohaddhib 8 février 2011 10:50

      Salut Dugue....

      ca te va bien comme nom d’artiste Dugue...sauf avis contraire de ta part ..ce n’est pas de l’ironie mais un compliment...

      tu as dit : Ou bien le populisme est acceptable, ou bien il n’y a plus d’artistes.....
      l’art etant le sens du beau relatif, il n’y a pas d’artistes , mais des gens qui a la naissance ont une capacite qui est mecanique , et qui sans intelligence pour la transcender ne devient rien qu’un sale manie....un artiste ne peut pas etre un homme d’affaire....attirer par l’argent, la gloire,...
      il n’y a alors plus d’artistes.....enfin si il y en a , mais ils se cachent...car un artiste ca sens profondement la demence , et la on atteint des sommets je pense...

      tu dis aussi : Nul n’a décrété que la civilisation doive perdurer...
      tout a fait...l’archeologie meme partiellement mensongere pour avoir le budget a venir le montre......

      tu dis encore : Quelle hypocrisie que cette société qui se targue de vouloir éduquer sa jeunesse pour ensuite cultiver le désapprentissage et la déséducation d’un peuple guidé sur les voies de l’ignorance. Le progrès fut autant matériel que spirituel. Actuellement, la technologie arrive en fin de course et nous devrions songer à un progrès par la culture, l’éducation, la pratique des arts et des connaissances, non sans rappeler quelque idéal de vie contemplative qu’un Aristote avait envisagé dans son Ethique.

      Dugue, enseigner la competition, est ce eduquer ???
      Y a t’il un spirituel ?...je ne vois pas de « progres » dans ce domaine , domaine flou,non tangible ,mal cerne....
      que la technologie soit en fin de course semble reel....
      aller de A a B , restera toujours aller de A a B , y aller plus vite , pourquoi ? comme repondait Gandhi a quelqu’un qui lui disait : c’est formidable avec l’avion, on va pouvoir se rendre a Londres plus rapidement....il dit : pourquoi faire ?
      Un pseudo genie Stephen Hawkings a dit : si l’homme ne se detruit pas dans les 200 ans a venir, il ira conquerir l’espace ?
      certes , mais nous sommes deja dans l’espace...le sait il le genie ?

      Jiddu krishnamurti a dit une phrase toute simple : vivre est le miracle....
      Alors survivre est suffisant...survivre simplement avec art , avec donc un sens du beau relatif sera ou pas si il y a un futur qui deviendra notre present..car le futur on ne le voit pas bien, mais ca n’a jamais existe , il y a un present sans cesse modifie, impermanent , insecurise....
      et c’est la que l’humain pete un cable...le jours ou sortant de l’enfance il voit cette impermanence qu’il refuse , il la fuit , ne veut la voir et la , a cet instant le drame se produit, cet humain jusqu’a la encore enfant, devient adulte , mais refuse ce qu’il voit donc la vie...
      il fuit , fuit ....ca cree la peur....la fuite cree la peur regarde donc tu verras cela...

      A partir de ce moment , une vie d’humain effraye par ce qu’il a vu , devient une vie dans un monde parallele qui est celui de ce qu’il veut.....et les societe humaines ne sont que la resultante de tous les rapports de forces entre humains ou chacun essaye de s’’imposer....
      la nait la violence...
      un tel humain est LE PROBLEME......nous sommes le probleme , la racine du probleme...

      Sujet immense , LE sujet d’une vie mais jamais aborde parce que l’adulte enfant a peur d’avoir peur....tout lui fait peur, demain , la maladie, la mort , et la peur..

      notre vie est fuite du reel , la vie , la vraie vie est dans le reel, pas dans un film hollywoodien..
      Amicalement.....Bernard...Dugue !.


      • gimo 8 février 2011 12:47

        un vrai artiste c’est la négation de tout les mensonges et le superfétatiore un état d’esprit
        neutre vu sur la vie sur les vraies valeurs 

        beaucoup d’artistes son des faux des marchants du temple convenus dans des fausses règles


      • daniel paulmohaddhib 8 février 2011 14:08

        Salut gimo....merci , je me sens moins seul..
        amicalement.


      • geo63 8 février 2011 10:56

        La publicité comme le populisme s’adresse au vide de la pensée. Tout est dit, bravo.

        Excellent article.

        Une seule petite remarque : des malades psychotiques il y en a ...des petits et des grands...


        • daniel paulmohaddhib 8 février 2011 11:06

          salut moi meme..
          je disais : Alors survivre est suffisant..

          oui mais il n’y a toujours pas de sens a une telle vie, autre que celui qu’on lui donne qui est  : je veux avoir tout ce que je veux....meme si l’humanite doit y passer !!! ca c’est de l’intelligence nom de Zeus !!
          exact mon precieux , toujours pas de sens...

          La est le tournant mon precieux...
          l’humain va devoir rester et regarder ce que son cerveau d’enfant ne peut faire.....

          qui est le grec qui a dit qu’il fallait naitre un deuxieme fois.... ?
          Deja il le savait...., Buddha aussi le savait, Lao-tseu aussi , ....mais depuis le vide de sens a remplacer l’intelligence , non ? alors Bernard il est ou le progres « spirituel » ?
          Loin , tres loin derriere.......
          toujours avec amitie mon precieux !!


          • jef88 jef88 8 février 2011 11:23

            à lire !
            LA PSYCHOLOGIE DES FOULES de Gustave LE BON écrit en 1905
            c’est toujours vrai.......


            • Cocasse cocasse 8 février 2011 11:38

              Le populisme aujourd’hui, le populisme réel, c’est celui de :

              - l’abêtissement général, perte du niveau scolaire, culture de masse appauvrie.

              - consumérisme et mentalité de marché. Réduction des responsabilités par des organisations géantes et bureaucratique (multinationales).

              - désinvestissement du champ politique. Obligation « morale » de voter pour des partis « modérés », qui sont les partis le plus anti-démocratiques qu’il soient puisque dédiés à la poursuite du dictat européen et à la désintégration nationale.

              - impostures sur tous les plans des « nouvelles religions », instrumentalisation des associations politisées de lutte contre les discriminations, pensée unique.

              La discussion sur les sujets de sociétés avec mes semblables est devenue ennuyeuse, la majorité reflétant une opinion consensuelle et préfabriquée par les médias de marché (dont ceux gratuit).

              Voila le véritable populisme.

              Et en aucun cas celui que vous prenez plaisir à dénoncer, et qui s’appuie sur des valeurs universelles : vérité, connaissance, sens du devoir, honneur, intégrité, responsabilité, autonomie, démocratie, volonté d’indépendance.
              Voilà l’esprit que j’ai découvert lorsque je me suis approché du Front National, à ma surprise, et en aucun cas ce « populisme » de pacotille, basé sur le rejet et la conformité.


              • Nanar M Nanar M 8 février 2011 12:49

                Tout à fait d’accord sur le diagnostic !


              • ricoxy ricoxy 9 février 2011 09:31

                Bien dit. Et je proteste aussi contre le dévoiement du terme « populisme », qui désignait au XIXe siècle une école littéraire cherchant à peindre à travers des romans la vie des gens simples, des petites gens (Maupassant). En politique, c’était une doctrine qui prônait le retour au peuple, aux valeurs populaires (courant populiste russe du XIXe siècle).


              • Cocasse cocasse 8 février 2011 11:49

                Actuellement, la technologie arrive en fin de course et nous devrions songer à un progrès par la culture, l’éducation, la pratique des arts et des connaissances

                Ce serait le rêve, mais rêve impossible à l’heure où l’exigence économique imposée par la tyrannie des rentiers demande aux gens d’être avant tout des rouages efficaces et à l’éducation centrée sur leur capacité productive, et si possible pas trop développés sur l’angle critique.
                Donc non, la technologie n’est pas en fin de course, et elle peut se perpétuer selon la règle « technologie sans conscience », pour nous promettre des lendemains pires qu’aujourd’hui.


                • daniel paulmohaddhib 8 février 2011 12:09

                  Salut cocasse..
                  juste.....cela implique la continuation de la soumission......
                  au lieu de pestiferer meme legitimement sur le pouvoir, il est temps de voir qui donne ce pouvoir....

                  et la ca va etre coton, car on va se rendre compte que c’est la paralysie mentale de la majorite qui est encore plus responsable que la minorite malefique agissante, ca veut dire que chacun doit se remetre en cause ou pas, le bouc emissaire qu’est le puissant n’est que le mirroir de l’incapacite globale a s’assumer personnellement et donc collectivement, car seule l’elite coopere, les autres pas du tout, c’est un fait indubitable, la cle du probleme , enfin une des cles....je pense , a tort ou a raison..
                  amicalement..ceci est dit....


                • papi 8 février 2011 12:08

                  Mon cher Monsieur..

                  Je viens de lire votre article, je ne suis pas versé dans la philosophie, et ma modeste condition
                  ne me permet pas d’y rentrer, , vous dressez un tableau du populisme, fort sombre, mais aprés tout le populisme n’est-il pas la voix du peuple, du petit peuple, celui de la misère,des fins de mois difficiles, de la privation, du chômage, des dents malades que l’on ne peut faire soigner, des gosses qui portent les vêtement des grands frères, des super marché calculette à la main,des on verra plus tard, des pas de vacances, descharges qui pèsent de plus en plus lourd sur le budjet nourriture,des yeux stupéfaits par les débauches d’argent des riches, des milliards dépensés en futilité alors que le salaire n’augmente pas et qu’il faut travailler plus..
                  Ce ne serait-il pas cela le populisme, une prise de conscience, les riches plus riches et les pauvres plus pauvres, , le populisme n’est-ce pas l’éveil des travailleurs de ceux qui se lèvent
                  tôt le matin pour aller au boulot, le populisme c’est le peuple , c’est nous, ...............................



                    • Francis, agnotologue JL 8 février 2011 12:42

                      Bernard Dugué écrit : « En réalité, c’est tout l’Occident qui est malade de ces formes diversifiées de populisme, maladie dont on peut trouver les symptômes dans une sphère élargie aux pays de culture musulmane. »

                      Ce n’est pas très cool de copier coller un commentaire qu’on a posté ailleurs, mais ici, à ça me parait justifié.

                      Le populisme, comme chacun sait est à la démagogie ce que la pornographie est à l’érotisme : le populisme c’est toujours la démagogie de l’autre.

                      J’aimerais proposer ce lien qui propose une nouvelle définition pour le mot capitalisme et pour dire que ce qui pose problème ce n’est pas le populisme, mais le capitalisme si on le comprend ici comme étant le nom de ce qu’est devenue la démocratie en régime capitaliste, disons pour faire court, le libéralisme :

                      « L’inversion du régime démocratique - Le régime démocratique a échoué avec l’apparition, au sein du cadre démocratique, de factions totalitaires. Par définition, la démocratie - plus encore que la République - doit autoriser ses excroissances totalitaires, ou tout au mieux, les tolérer. Comment, dès lors, résister à la montée du populisme, de doctrines politiques qui ne fonctionnent qu’à partir d’une logique affective ? Tout au long du XXe siècle, cela a été l’écueil de la démocratie telle qu’elle était définie à son départ. Et puis, il ne faut pas oublier que certaines civilisations ne sont pas culturellement démocratiques. Ce n’est ni un bien, ni un mal. En aucun cas, je ne veux émettre de jugement à ce sujet, mais imposer le système républicain puis démocratique à certaines sociétés relève tout simplement de l’absurde, de la contre-nature. Les forcer à penser et agir comme une démocratie occidentale, c’est de l’impérialisme doctrinaire. Une fois que l’Occident aura compris cela, je pense que les rapports avec les pays à tendance dictatoriale seront bien plus détendus... La seule façon qu’a trouvée le régime démocratique universel de s’adapter à ces « erreurs » totalitaires, c’est d’inverser sa dynamique de tolérance et de créer un système politique aux apparences libertaires, mais aux contours fermement liberticides. Quelques philosophes politiques ont trouvé un nom pour ce phénomène : c’est le capitalisme. (...) » (appréhender le réel comme une myriade de réalités floues )


                      • Francis, agnotologue JL 9 février 2011 11:28

                        Le populisme c’est l’autre face de l’oligarchie qui se prétend démocratie. Quand, dans un pays comme la France, l’UMPS se partage le pouvoir dans une parodie de bipartisme, le peuple n’est plus représenté, il est fatal que naissent ce que les zélites désignent avec mépris « populisme » !

                        Là où le bât blesse, c’est quand le président le plus bling bling que l’on n’ait jamais vu, se livre lui-même à des discours aux accents hideusement populistes et qui n’ont d’autres buts que de diviser le peuple ! Un comble !


                      • Maître Yoda Castel 8 février 2011 14:12

                        Le problème du populisme, c’est de croire que le peuple tient encore les manettes de la nation. Le populisme peut être le pire moyen d’entrée dans une dictature. Elle peut justifier l’Europe et les dictats de tout genre


                        • Jean-philippe Santerres 8 février 2011 18:00

                          30 fois le mot « populisme » dans l’article... !


                          •  C BARRATIER C BARRATIER 8 février 2011 19:39

                            Le populisme suppose des sous citoyens (c’est indiqué d’ailleurs dans l’article) et je ne suis pas du tout d’accord avec l’auteur Dans la République les citoyens sont égaux et c’est pour cela qu’ils on le droit de vote !
                            Je ne peux pas approuver quelqu’un qui suggère que des citoyens quelque peu supérieurs seraient aptes à décider sans recueillir l’avis du plus grand nombre. On a connu cela avec les dirigeants religieux prétendus infaillibles ou les rois de droit divin !
                             Bien sûr, pour l’auteur, ce sont les autres qui sont populistes ! Pas lui. Une autre caste !

                            Un mot cousin était la démagogie qui reposait aussi sur une absence de considération vis à vis des citoyens.

                            Il reste que la précarité, l’insécurité, la pauvreté, peuvent à certains moments éloigner des citoyens des sujets de société, de solidarité. Il y a les priorités du moment, la lutte pour la vie.
                            Amis internautes, nous avons un point commun : une sécurité de base, un logement, un coin au chaud, le ventre pas tout à fait vide...Nous ne sommes en rien supérieurs à qui que ce soit pour autant !

                            Je n’ignore pas les phénomènes de foule, reposant sur l’affectivité plus que sur la raison. Je sais que les leaders savent jouer sur cela, avec un côté manipulatoire.

                            Je ne vois pas par contre ce que vient faire la civilisation occidentale dans un prétendu modèle non « populiste »jusqu’à sa « décadence ». Encore une discrimination : il y aurait des civilisations meilleures que d’autres, celles des autres étant bien sûr les plus mauvaises.


                            • Dominique TONIN Dominique TONIN alias Dumè 8 février 2011 20:52

                              A PAPI et éventuellement à l’auteur,
                              OUI, Papi, c’est vs qui êtes ds le vrai. Le populisme c’est aussi simple que la liste non exhaustive que vs énoncez, mais certainement pas ce que ns décrit l’auteur ! car je rappelle la définition de POPULISME : ’’Attitude politique consistaant à se réclamer du peuple, de ses aspirations profondes, de sa défense contre les divers torts qui lui sont faits’’ !
                              Effectivement les partis politiques qui versent dans le populisme uniquement au moment des élections, afin d’attirer à eux des voix égarées, et qui le reste du temps ignorent jusqu’à l’existence du peuple, exploitent alors un populisme pervers et factis. Mais tt le monde n’a pas cette approche du populisme, mais plutôt celle qui est ds sa définition, son acception propre !
                              Le mouvement que j’ai créé, le ’’PF’’ se veut populiste au vrai sans du terme, ne vous déplaise Mr DUGUE ! Respectueusement


                              • ddacoudre ddacoudre 9 février 2011 00:25

                                bonjour dugué

                                que d’effort à certain commentateur pour nier un sens du populisme qui ne figure pas dans le dictionnaire. c’en ’est même amusant.
                                pour lire leurs commentaires, il ne sont pas sot, il refuse simplement de souscrire à l’évolution d’un nouveau sens de ce mots, comme si les mots étaient figé à vie, comme si d’autres ne pouvaient percevoir dans l’utilisation d’un mot toute la roublardise de la confusion pour tromper avec autrui.non le populisme n’est pas injurieux quand il défini un état de méconnaissance des uns par rapport à d’autres où quand il est l’expression du peuple, mais quand l’on cultive sa méconnaissance, que l’on en tire profit pour l’exploiter et le tromper il recouvre alors un sens négatif qui se dégage de la réalité qui n’est pas celle que définit le dictionnaire, et la définition du dictionnaire ne saurait gommer une réalité qui s’observe.
                                je souscris totalement à la démonstration qu’en donne dugué, j’ajouterais qu’il n’y a rien d’insultant pour le peuple, car nous naissons tous ignorants et nous ne serons pas tous instruit de manière égale, ainsi il appartient dans un monde civilisé aux mieux nantis d’élever les autres.
                                constater que cela ne se passe pas toujours comme cela, n’est pas nouveau, ni que les hommes ne veulent pas apprendre, ce qui ne leurs interdit pas d’avoir des distractions et des activités proportionnées a leurs capacités, mais quand cela devient une stratégie délibérée, alors le sens péjoratif du terme populisme n’est pas usurpé.

                                La connaissance et le savoir collectif ne se construisent pas plus dans des kiosques à journaux et magazines, que dans les fractions informatives radio ou télévision (la culture populaire). Ceci, même s’ils y contribuent ou donnent envie de savoir, et même si le développement du savoir a commencé par-là (la communication orale, puis écrite et leurs supports), même si la culture populaire a servi, et sert de creuset, de foyer dont sont sorties toutes les émancipations. 


                                cordialement.


                                • Arthur 9 février 2011 02:04

                                  bon article, néanmoins, il y a une remarque qui fait tâche.
                                  ( Un malade psychotique, producteur d’émissions naturalistes, se prépare à être candidat écolo en 2012) est cela n’est ’il pas faire le jeux du populisme définie dans l’article ?
                                  Que vous soyer contre se candidat certes c’est votre doit, mais il y a une autre manière de s’ opposer.


                                  • Arthur 9 février 2011 02:07

                                    bon article, néanmoins, il y a une remarque qui fait tâche.
                                    ( Un malade psychotique, producteur d’émissions naturalistes, se prépare à être candidat écolo en 2012) est cela n’est ’il pas faire le jeux du populisme définie dans l’article ?
                                    Que vous soyez contre se candidat certes c’est votre droit, mais il y a une autre manière de s’ opposer.


                                    • Arthur 9 février 2011 05:35

                                      Une autre remarque ;
                                       cette différence entre ce que vous appelez culture est la sous culture mérite quelles explications.

                                      Car cette grand Culture à quoi vous attachez de l’importance et c’est vrais qu’elle à des lettres de noblesses et savoir l’apprécie à sa juste valeur également,
                                      il faut pas pour autant rendre responsable la jeunesse de ’détourner de cette culture.

                                      Il faut aussi voir que le bon esprits bourgeois n’aime pas partagé ce qu’elle aime,et que très tôt elle c’est accaparée cette culture savante aux lieux de la partagées généreusement avec tous.

                                      Cette bourgeoisie à justement à commencées aux milieux 19 siècles à rompre tous liens avec le peuple. Elle s’est obséder dans l’acquisition du confort matérielle , de développer la platitude de la pensé, la frivolité, elle a pris la place de la noblesse de l’ancien régime qui asservissait les sujets.

                                       Elle a rayonner dans un conformisme intolérable d’égotisme qui est devenue aux file tu temps la valeur de référence de la majorité des gens.

                                       Le peuple qui s’est vue refusée de la considération, à justement adopter la caricature des références et des valeurs de la bourgeoisie soucieuse d’elle même. 

                                      C’est justement cela qui est responsable de certains cataclysmes du 20 siècles, quand il a eu l’essor de cette classe populaire issue du mépris et de la misère, elle a voulue gouté ce qui lui étaient défendues sa reconnaissance.

                                      L’’art populaire qui avait toujours existé étais aussi une culture de qualité, qui à été laminer en autre par les conséquences de la guerre de 14 /18 et 39/40, par une culture d’opportunisme, d’une ouverture aux mondes ( extra- atlantique en autre) qui a été une ouverture positive au monde et de négatif à eu pour conséquence de crées les basses de la société consommation à outrance.

                                       Cette sagesse contenue dans ce que recelait la culture populaire c’est perdue, nous pouvons le déplorer, elle a été remplacer par le mercantilisme, et cette sous culture qui à beaucoup de défaut à aussi en sons siens des courants où ils y a des véritables artistes qui cherche qui sont de véritable créateur, qui porte en eux des valeurs humanistes, de générosité et de partage, qui ne tombe pas dans la culture des bas instincts.

                                       De ce fait il est devenue compréhensible que cette perte de références qu’est le bon sens, le savoir, et l’humanisme soit si malmener,

                                       L’autre aspect que vous souliez sans l’approfondir, c’est l’éducation, il y a beaucoup à dire sur cette éducation, car il est vrais qu’il est facile de se dire que les parents sont responsables. c’est une platitude navrante de sans tenir exclusivement à cela, et de pas voir comment y a n’a jamais eu de véritable soucie de permettre a l’enfant de devenir adulte dans le systèmes éducatifs, pour des raisons égoïstes,

                                      Dés sa création par Jules Ferry ce n’est nullement pour apporter un connaissance, c’est juste pour rendre le peuple apte aux besoins de l’État.

                                      C’est la plus grandes impulsions de soumission qui est à l’œuvre dans l’éducation National, depuis sa création elle n’a jamais favorise l’égalité,elle a toujours favoriser un élitisme à sa pérenniser ses valeurs. 

                                      Par le le savoir qui est dispense reflète une volonté utilitariste, et sa morale le respect inconditionnel des valeurs bourgeoises de sa pérennités.

                                      Dans cette critique je ne remet pas en cause l’idéal des personnes qui se sont toujours dévoué à transmettre des valeurs Humanismes. Qui ont développer un profond respect des besoins des enfants, Qui sont aujourd’hui malmené dans leur mission.

                                      La religions n’est pas mon plus à la traine, elle c’est largement compromise dans préoccupation temporelle, et elle rester moyenâgeuse dans culture spirituelle et sont organisation.

                                      Ce n’est pas pour autant que l’aspiration aux spirituel est mort,
                                      Il a juste changer d ’exigence elle se veut libre des religions conventionnelles, qui ce compromettait avec le pouvoir séculier.

                                      Nous assistons à un essort du spirituel, qui se manifeste sous des formes les plus variers

                                      De ces fait, il est compréhensif que cela a susciter des rejets, surtout pour la majorité il ont crue qui était reconnus, et en réalité il ont toujours vécus dans l’urgence de la survie. Et que leur maigres acquits est toujours en périls,, que le chômages est devenue une arme à maté et excursion.

                                      Je comprends qu’il y a eu des courants violents réactionnaires de vergences, que les bas instincts se sont devenus des références de ralliements, que toutes les valeurs qui doivent faire l’homme soit mis en-dessous de sous . Je comprends et je partage se désarroi qui vous anime.
                                       
                                      Dans tous l’article les arguments que vous avancer que faites vous de positif, quel dévouements faite vous pour eux en dehors du crie d’indignation ?

                                      Y a toujours des chemins de thérapeutes dans le monde a vous de le trouvez celui qui vous convient. C’est l’ésperance.

                                       


                                      • Traroth Traroth 9 février 2011 11:04

                                        Avant d’utiliser un mot, il faut le définir. L’auteur pourrait-il définir « populisme » ? Car pour moi, ce mot ressemble surtout à un mot fourre-tout permettant aux politiciens pratiquant la langue de bois de qualifier ceux qui ne la pratiquent pas.


                                        En gros, si vous exprimez réellement des idées politiques au lieu d’un salmigondis de phrases creuses, vous êtes immanquablement qualifié de « populiste ».

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