• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Le culte de la mort
#62 des Tendances

Le culte de la mort

Voici la réaction du Général Martinez ... quand l'armée est porteuse de beaucoup plus d'humanité que le parlement !

 

La fin de vie est un sujet qui touche à l'intime profond de chacun et est de nature à nourrir des questionnements, voire des angoisses, liés, en fait, à la condition humaine, au sens de la vie, à des émotions, à des souffrances et elle s'impose à l'homme car elle est inéluctable et incontournable.

 

C'est un fait. Depuis Hippocrate, cité par les philosophes Platon et Aristote et considéré comme le père de la médecine qui a instauré un code moral avec le serment portant son nom, les médecins s'engagent à tenir une certaine conduite à l'égard de leurs patients et la règle fondamentale est d'agir toujours dans l'intérêt du malade ; toutes les autres règles en découlent. Or, en ce premier quart du XXI ème siècle, nous assistons à une véritable rupture anthropologique sous l'action de groupes de pression prônant le droit à mourir dans la dignité, concept perfide par le choix des mots et visant, d'une part, à sacraliser le droit d'administrer la mort par l'homme nouveau investi d'un pouvoir quasi-divin et à l'absoudre de cet acte terrifiant, d'autre part, à culpabiliser et condamner ceux qui s'y opposent. Comme si donner la mort comme un médicament ou comme un soin pouvait être digne !

 

Le débat sur la fin de vie n'est pas nouveau puisque depuis 1999, date de la première loi sur les soins palliatifs de nombreuses tentatives ont été menées pour faire évoluer la législation. Mais ce débat, engagé aujourd'hui au Parlement, marque un basculement et s'éloigne incontestablement du domaine médical qui est celui des médecins et des soignants. La loi Leonetti avait pourtant permis le refus de l'acharnement thérapeutique et la loi Claeys-Leonetti avait prévu la sédation profonde et continue jusqu'au décès dans les cas de souffrances réfractaires. La loi débattue aujourd'hui sous le vocable presque « bienveillant » et « altruiste » d'aide à mourir, pour ne pas heurter les consciences – car il s'agit en réalité d'euthanasie et de suicide assisté – ne traite pas des tout derniers jours de la vie mais bien plus gravement de la demande de mort et de son administration. Avec cette aide, une appellation pour le moins très ambiguë, jugée même comme fraternelle par ses adeptes, le législateur crée un nouveau droit, le droit à une mort provoquée qui sera – comble de lâcheté et d'infamie – considérée comme naturelle et inscrite comme telle sur le certificat de décès !

 

Ce droit bouleverse complètement la pratique médicale car, d'un côté, le médecin, dont la vocation est de soigner et d'aider à vivre, aiderait à mourir en donnant la mort et, d'un autre côté, le patient aurait le droit de choisir et de disposer de sa propre vie et donc de « programmer » sa propre mort. Cette évolution non plus de degré mais de nature de la loi constitue, en réalité, une rupture civilisationnelle majeure et divise d'ailleurs la société. De nombreux médecins, soignants et experts dans les domaines de la psychologie et de la psychiatrie n'ont pas manqué d'exprimer leur désaccord et des associations de personnes malades ou handicapées, jugées par avance éligibles à ce nouveau « droit », dénoncent cette loi. Car sur le plan éthique, la différence entre la sédation profonde et l'euthanasie ou le suicide assisté est énorme. La première consiste à accompagner le malade et à supprimer sa souffrance en attendant la survenance de la mort. La seconde, elle, provoque la mort par un acte délibéré pour supprimer la souffrance et, par voie de conséquence, la personne concernée. Cette fuite en avant transgresse toutes les règles éthiques et morales. Elle porte atteinte à la dignité humaine et c'est la porte ouverte à des dérives de toutes sortes.

 

Cette évolution questionne, en effet, sur les véritables motivations de ceux qui veulent imposer cette aide à mourir. Elle questionne également sur les raisons du rejet de tous les amendements proposés qui visaient avant tout à assurer un réel contrôle des conditions dans son exercice pour protéger les personnes faibles et vulnérables. Elle interpelle, en outre, sur l'établissement d'un délit d'entrave qui confirme finalement leur détermination à imposer cette loi inspirée par un culte démoniaque de la mort, un délit d'entrave qui n'est qu'un étouffoir de la liberté de conscience, de pensée et d'expression des médecins et des soignants – et peut-être des malades eux-mêmes et de leurs proches dans une prochaine étape – face à cette transgression funeste.

 

Tout d'abord, tout être humain ne peut qu'éprouver de la compassion, de la bienveillance, de l'attention par une présence et une écoute nécessaire pour réconforter, de la tendresse, de l'amour à l'égard d'un semblable surtout lorsqu'il s'agit d'un proche dans la souffrance et en fin de vie. Confronté à des circonstances difficiles dans cet accompagnement douloureux, chacun ne peut évidemment qu'en souffrir moralement. Ce sont cependant des épreuves inhérentes à la vie elle-même et indissociables de notre condition humaine. Mais dans un monde aseptisé dans lequel règne plus que jamais l'individualisme, le consumérisme, la disparition progressive du sacré, la perte des repères et des rituels réglés par la religion, la mort doit être évacuée rapidement et la société qu'on nous promet veut tout maîtriser, de la naissance jusqu'à la mort qu'elle refuse de laisser aux caprices de la nature. Les adeptes de cette aide à mourir sont précisément dans ce projet et leur prétendue fraternité les menant à vouloir soigner en donnant la mort n'est-elle pas guidée d'abord par le besoin égoïste d'éliminer leur propre souffrance face à celle du malade qui les perturbent en abrogeant la vie de ce dernier ?

 

Ensuite, cette loi ouvre, à l'évidence, la porte à de possibles dérives car les personnes considérées dès à présent éligibles ne sont pas en fin de vie. Une estimation prenant en compte les pathologies les plus graves conduit à retenir plus d'un million de personnes ! Mais nous deviendrons tous, nous devenons tous éligibles à ce traitement mortifère dès lors que l'aide médicale active à mourir, c'est à dire l'euthanasie et le suicide assisté, signe la fin de la vocation et de la fonction soignante du médecin à qui la société délègue dorénavant le droit de donner la mort légalement. La panoplie des soins dont disposait le médecin présente ainsi une nouvelle thérapie, une thérapie monstrueuse convenons-en, car une fois franchi l'interdit de tuer – prescription de notre culture chrétienne ou de nos principes philosophiques – tout encadrement législatif ne sera qu'un leurre qui tendra rapidement à banaliser ce « remède ». On peut, en tout cas, faire confiance à nos dirigeants et à nos parlementaires, toujours en quête d'idées progressistes, pour ouvrir grande la porte qu'ils viennent d'entrouvrir afin d'appliquer ce nouveau droit qui pourrait devenir un devoir dans une perspective de recherche d'économies et de réductions des dépenses à faire en matière de santé dont le coût ne cesse d'augmenter. Ainsi, sous une pression bien orchestrée et culpabilisante, des personnes malades, handicapées ou dépendantes seront amenées à se demander si elles ne sont pas un fardeau pour leurs proches ou pour la société. La demande d'euthanasie deviendrait alors une obligation sociale en contradiction avec le libre choix. Il en serait de même pour des personnes faibles et vulnérables en situation de précarité. D'ailleurs, comment comprendre que des mutuelles se soient engagées pour l'euthanasie et le suicide assisté en exerçant leur lobbying jusqu'à proposer des amendements aux parlementaires si ce n'est pour réduire leurs dépenses ? D'autre part, en cas d'hospitalisation, cette loi n'entraîne-t-elle pas un doute sérieux pour le soigné du fait de la perte totale de confiance avec le médecin n'ayant plus la garantie que ce dernier agit pour son seul bien ?

 

On ne peut s'empêcher de rappeler ici les prédictions glaçantes de Jacques Attali : « A l’avenir il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. Nous commencerons par les vieux, car dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Ensuite les faibles, puis les inutiles qui n’apportent rien à la société... Une euthanasie ciblant ces groupes ; l’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures. On ne pourra bien sûr pas exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien. » (« L’avenir de la Vie » de Michel Salomon 1981). N'y sommes-nous pas, ou presque ? 

Mais nos dirigeants n'ont-ils pas déjà franchi récemment ce stade en jouant les apprentis-sorciers avec l'administration concrète de ce « remède » à des milliers de personnes en EHPADs ou à domicile, lors de la crise sanitaire du covid, en les euthanasiant à coup de Rivotril, méthode particulièrement efficace et rentable puisque c'est autant de pensions de retraite supprimées ? Enfin, quel aveu de rupture civilisationnelle du ministre de la Santé parlant de « consentement de la victime » en évoquant le sujet. Enorme double-lapsus révélateur de l'état d'esprit qui a animé les débats avec les termes consentement au lieu de demande et victime au lieu de patient !

 

Tout est dit, il faut malheureusement le reconnaître. Les fondements de notre civilisation sont en train de s'effondrer et notre société n'aura bientôt plus grand chose d'estimable ou de civilisé à nous proposer. Si une société ne peut échapper à des réformes, il faut bien admettre que dans le domaine sociétal et bioéthique celles voulues par l'actuel président de la République sont particulièrement sinistres et semblent inspirées par une sorte de culture de mort, une culture démoniaque qui rompt catégoriquement avec le caractère sacré de la vie humaine et qui tend vers une volonté de toute puissance en mesure de maîtriser la nature, les corps et le temps ; une volonté de toute puissance pour piloter le nouveau monde progressiste qu'il vante avec des garde-fous qui sautent au nom de la liberté individuelle. C'est bien cette culture toxique et mortifère prodiguée avec une telle assurance qui conduit, en vérité, vers un tragique culte de la mort assumé. Après l'allongement des délais d'accès à l'avortement de douze à quatorze semaines et l'inscription récente dans notre Constitution de ce droit que personne ne menaçait – alors que des moyens de contraception existent – c'est, aujourd'hui, le droit d'aide à mourir avec l'euthanasie et le suicide assisté. C'est simplement diabolique !

 

Les conséquences d'une telle loi sont terribles et terrifiantes. Notre société bascule dans un monde qui renie finalement les fondements mêmes de notre civilisation et désacralise définitivement la personne humaine qui pourra être supprimée par l'homme investi d'un pouvoir redoutable et dangereux qu'il s'est attribué. Cela créera sans nul doute des tensions au sein même du corps médical et soignant dont ce n'est absolument pas la vocation. Cela provoquera également des déchirements et des moments difficiles et douloureux dans les familles concernées. Car soigner ce n'est pas tuer. Cette aide à mourir nie, en effet, la primauté du droit à la vie et au soin dû au malade qui, par sa requête ultime formulée sous le poids de la douleur, lance un appel au secours. Cependant, dans bien des cas, lorsque sa souffrance peut être soulagée, il renonce à sa demande initiale. Alors, une société évoluée, attachée au caractère sacré de la vie et de la personne humaine, imprégnée des valeurs d'humanité et de fraternité a le devoir d'accompagner une personne en fin de vie en empruntant d'autres voies que celle de la mort administrée. Ces autres voies ce sont les soins palliatifs qui doivent être développés justement pour éviter l'euthanasie et le suicide assisté qui pourraient de plus, s'ils étaient banalisés, conduire à l'eugénisme. La fin de vie ne doit pas se résumer à un choix entre souffrance et euthanasie. Appeler aide fraternelle le geste qui tue n'est pas soutenable. Il faut condamner ce culte de la mort qui inspire les adeptes de l'aide à mourir.

 

« A la fin du chemin sur la terre, les hommes n'ont pas besoin d'une seringue froide qui vienne donner la mort. Ils ont besoin d'une main compatissante et aimante. Mourir dans la dignité, c'est mourir aimé. Tout le reste est mensonge ! » (Cardinal Robert Sarah)

 

 Le 27 mai 2025  Antoine MARTINEZ (général 2S)

 

Publié sur www.place-armes.fr


Moyenne des avis sur cet article :  2.19/5   (27 votes)




Réagissez à l'article

131 réactions à cet article    


  • Lonzine 31 mai 18:42

    merci, j’ai vraiment besoin de l’opinion d’un général pour former la mienne...


    • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 3 juin 11:55

      @Lonzine
      Face à un Pouvoir illégitime, il n’y a que la Force qui pourrait nous sauver ...
      Non, certainement pas avec des gus qui lustrent leurs bombinettes, qu’on entend mander crédits pour avoir le dernière jouet, le plus mortifère.
      Ils ACCUMULENT de la Force, partout ;
      plutôt que PORTER Secours, au plus haut, pour Tous.
      Qu’enfin, propositions faites à eux (Place-d’Armes), ils nous ont montré réagir comme pÔliticaille : pas de vague, que Rien ne change, discourir, divertir
      ILS SONT A LA GAMELLE, et AVEUGLE, pour SACRIFICE de victimes-(gueux) grimés en hérÔs, pour médaillettes, qui brillent


    • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 31 mai 19:14

      VIVRE-Défense-Armée-sacrifice-pathos-souffrance-MORT

      VIVRE-SECOURS-Vitesse-Travail-DURER

      On aimerait qu’un étoilé nous explique ce qu’il lui faut pour bouger ?
      Savoir où ALLER ?



      • La Bête du Gévaudan 1er juin 03:27

        Au-delà des « cas exceptionnels » qu’on nous met systématiquement en avant, il y a bien la question sous-jacente de l’eugénisme... L’eugénisme c’est moins politiquement-correct que la mort dans la dignité ou la parentalité choisie... Ces questions sont difficiles à aborder pour chacun de nous (je ne me mets pas au-dessus du lot) mais nous devons en mesurer la gravité. 

        Le panthéisme moderne se divise entre trois blocs intellectuels, mais qui convergent dans une même réalité nihiliste : 

         Auguste Comte (positivistes) 

         Karl Marx (communistes) 

         Friedrich Nietzsche (nazis) 

        Ce sont trois formes de négation du christianisme, non pas seulement au plan de la foi (car nous ne sommes pas nécessairement croyants) mais au plan philosophique et éthique. 

        En tant que libéral, attaché à la dimension libre et morale de l’individu, je pense que l’Occident doit resté adossé à l’helléno-christianisme. Car c’est à cet héritage que s’adossent nos valeurs libérales. Sans cela la modernité peut déraper dans des dystopies dont le XXème siècle nous a donné un aperçu. Science et conscience doivent marcher ensemble, nous n’avons pas le choix. 


        • Gérard Luçon Gérard Luçon 1er juin 05:26

          @La Bête du Gévaudan
          Merci, je suis globalement d’accord bien que non croyant ...

          Pour moi parler de « mourir dans la dignité » est une dérive « sémantique » qui cache des objectifs peu avouables mais que des gens comme Attali ont clairement exprimé ... notamment se débarrasser des non productifs, des malades, voire même (dans la loi votée) les pousser au suicide assisté et pénaliser ceux qui tentent de les convaincre de rester en vie.


        • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 1er juin 22:59

          @Gérard Luçon
          C’est çà ! Dépopulationner les 3 générations.
          Ils ont peur de leurs loups freudo-malthusiens.


        • Eric F Eric F 2 juin 12:29

          @La Bête du Gévaudan
          Ne pas tout mélanger, l’eugénisme concerne la sélection pour la reproduction, sans rapport avec la période de fin de vie. 
          Dans le cas présent, il s’agit de proposer des dispositifs pour soulager l’agonie à la demande des patients, la crainte porte sur les risques de dérives et l’influence par la société et l’entourage. On ne voit pas ce que Marx a à voir dans cette affaire, il n’a rien à voir non plus avec le panthéisme (vous vouliez dire athéisme probablement). 


        • Gollum Gollum 2 juin 12:44

          @Eric F

          On ne voit pas non plus ce que le positivisme d’Auguste Comte a à voir avec le panthéisme... (!)

          Mais notre bébête ne semble pas très bon dans la perception des idées..

          Idem pour le raccourci bête : Nietzsche ---> Nazisme..

          On sait d’ailleurs que Nietzsche a rompu avec Wagner à cause de l’antisémitisme de ce dernier.. (antisémitisme d’origine chrétienne au passage ahahhahh)


        • sylvain sylvain 2 juin 15:03

          @La Bête du Gévaudan
          qu’est ce que le liberalisme a a voir avec la « dimension libre et morale de l’individu » ??

          Et puis franchement vous faites bien marrer les liberaux avec les « dangers des ideologies autre que la notre ». L’ensemble de la periode dite colonial, le plus grand massacre d’humains que cette terre ai jamais supportee, s’est deroulee sous le regne de regimes liberaux. Alors bon quand on a ce palmares on ferme sa gueule sur le sujet.

          Si en plus vous rajoutez chretiens... bon il y a bien quelques mouvements a la marge de la chretiente qui ne soit pas centraux dans tous les massacres de l’occident des milles dernieres annees, mais vraiment a la marge


        • Eric F Eric F 2 juin 18:21

          @Gollum
          Il tend à amalgamer tous les courants de pensée rationalistes et matérialistes, en oubliant une chose : c’est le progrès général des connaissances et de la pensée qui a conduit à récuser le littéralisme religieux, pas spécifiquement tels savants ou philosophe.

          Qu’il reproche à notre civilisation d’être utilitariste, consumériste, hédoniste, on peut le comprendre ; mais ça tombe mal, des institutions religieuses sont mises en cause pour des dérives qu’il attribue à la déreligiosité. Le protestantisme étasunien est pour l’individualisme et l’affairisme au rebours de la solidarité et la tempérance.

          Reste la vision religieuse de la vie comme étant un don divin accordé individuellement, nul n’ayant de droit sur la vie humaine pas même la sienne. Mais s’il y avait la moindre cohérence, ce serait d’abord toute guerre qui serait bannie, or même le meurtre peut être pardonné, alors que le suicide ou l’avortement valent excommunication ou refus de sacrement.


        • Laconique Laconique 2 juin 20:08

          Bah, ma foi, ici les deux se trompent.

           

          La Bête du Gévaudan a bien entendu tort d’assimiler Nietzsche au nazisme. Nietzsche détestait les antisémites et les nationalistes, le nazisme lui aurait fait horreur.

           

          Et Gollum se trompe doublement aussi. La rupture entre Nietzsche et Wagner n’a rien à voir avec l’antisémitisme, le terme n’est jamais prononcé dans Le Cas Wagner, ouvrage dans lequel Nietzsche s’explique. Les raisons de la rupture sont d’ordre esthétique et philosophique. Et l’antisémitisme (avéré) de Wagner n’a rien à voir avec le christianisme. Les causes sont complexes, il y a l’hostilité envers les compositeurs juifs (Meyerbeer, Mendelssohn), l’antijudaïsme de Schopenhauer dont Wagner avait fait son livre de chevet, et aussi une esthétique païenne antibiblique (l’opposition entre le blond Siegfried et le gnome Mime est transparente à cet égard). Le christianisme de Wagner est un christianisme romantique et esthétique, pas du tout dogmatique (il passait son temps à lire les tragiques grecs, comme nous l’enseigne le Journal de Cosima Wagner), Tannhäuser et Parsifal représentent un christianisme légendaire et merveilleux, pas du tout biblique ou catholique.

           

          Bref, les deux se trompent.

           

          Tired to be the most cultivated here…


        • Gollum Gollum 3 juin 09:48

          @Laconique

          https://www.editions-hermann.fr/tribune/nietzsche-contre-lantisemitisme_ZidZ3TSh8yGwjgnHW

          Je cite : 

          Dès 1878, dans Humain, trop humain, alors qu’il a rompu avec Wagner et les milieux judéophobes, il note avec une surprenante lucidité : « dans presque toutes les nations actuelles – et cela d’autant plus qu’elles adoptent à leur tour une attitude plus nationaliste – se propage cette odieuse littérature qui entend mener les Juifs à l’abattoir, en boucs émissaires de tout ce qui peut aller mal dans les affaires publiques et intérieures ». Le philosophe a parfaitement repéré le lien causal entre la vague antijuive et les mobilisations nationalistes au sein des États-nations européens et interprète le phénomène en recourant au modèle – discutable – du bouc émissaire.

          .....

          À l’automne 1880, alors qu’il rédige Aurore, Nietzsche s’interroge sur la « personnalité antisémite » : « Ainsi la lutte contre les Juifs a-t-elle toujours été la marque d’une nature basse, envieuse et lâche : et celui qui y participe aujourd’hui doit recéler en lui une mentalité passablement populacière. » Ultérieurement, de Par-delà bien et mal (1886) et La Généalogie de la morale (1887) à ses derniers écrits (1888), il s’attaque ouvertement à ceux qui se déclarent antisémites.

          Celles-là c’était surtout à destination de la bébête du Gévaudan..

          Et celle en dessous c’est pour vous :

          Dans Nietzsche contre Wagner (1888), pour expliquer sa prise de distance vis-à-vis du musicien connu pour ses positions antijuives depuis son manifeste de 1850 (« La juiverie dans la musique »), il précise : « depuis que Wagner était en Allemagne, il s’abaissait peu à peu à tout ce que je méprise – et même à l’antisémitisme. »

          Sinon pour l’antisémitisme qui serait d’origine païenne voir ici :

          https://fr.wikipedia.org/wiki/Antis%C3%A9mitisme_en_France

          ou encore ici : https://www.universalis.fr/encyclopedie/antisemitisme/2-eclosion-de-l-antisemitisme-au-xixe-siecle/

          Je cite : 

          Les trois sources modernes du rejet.

          Dominant la société d’Ancien Régime dans son ensemble, l’antijudaïsme hérité du christianisme se politise en se réduisant peu à peu à la droite monarchiste antilibérale et à sa clientèle paysanne, opposées au capitalisme industriel et financier. L’Église romaine reste quant à elle inflexible dans son hostilité religieuse, comme l’illustre tristement, en 1858, l’affaire Mortara : baptisé secrètement par une servante chrétienne, Edgardo Mortara est enlevé en toute légalité canonique à ses parents juifs à l’âge d’un an pour être élevé catholiquement puis ordonné prêtre, en dépit des protestations internationales.

          Dans l’imagerie populaire et rurale correspondant à ce courant, le juif est l’agent de la Révolution, le persécuteur du clergé, le fossoyeur de la religion et de la civilisation chrétiennes (accusations réactivées lors de la révolution russe). L’antijudaïsme religieux du XIXe siècle est donc nettement contre-révolutionnaire, associé au clan « ultra ». Il est plus virulent que jamais sous la IIIe République, à partir de 1879, en réaction au programme de laïcisation de l’éducation entrepris par le nouveau régime. Le juif est considéré non seulement comme l’artisan de la Révolution et de l’anticléricalisme, mais aussi comme le persécuteur du clergé, le fossoyeur de la religion et de la civilisation chrétiennes. Dès le début du siècle, cet antijudaïsme a produit une abondante littérature. Il prend de l’ampleur sous le second Empire, avec la parution, en 1869, de l’ouvrage du chevalier Henri Gougenot des Mousseaux, Le Juif, le judaïsme et la judaïsation des peuples chrétiens, qui deviendra une référence de l’antisémitisme.

          Tired to be the most cultivated here…

          Vouais ben vous voilà moins fatigué avec ça...  smiley


        • Eric F Eric F 3 juin 11:10

          @Gollum et @Laconique

          Le lien entre le nazisme et la pensée de Nietzsche n’est donc pas l’antisémitisme, mais plutôt une extrapolation de la célébration de l’esprit du peuple et du surhomme.
          Concernant l’hostilité anti-juive, le nationalisme allemand à partir du milieu du XIX mixait les préjugés transmis par le christianisme avec les légendes germano-nordiques d’où était tiré une forme de suprémacisme. Le nazisme était dans l’oeuf. 


        • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 3 juin 11:31

          @La Bête du Gévaudan
          A.Comte : « une civilisation va à la synthèse »,
          pas au Chaos, ou nihilisme.
          Il est plus facile de créer de la multiplicité, pour se noyer ;
          condenser est une toute autre affaire.


        • Laconique Laconique 3 juin 11:38

          @Gollum

          Merci à vous pour cette réponse argumentée. Je sais que vous êtes infatigable dans ces polémiques, vous faites honneur à votre réputation… Reste que l’antisémitisme n’est nullement la cause de la rupture entre Nietzsche et Wagner, et votre citation même le prouve : « … et même à l’antisémitisme » : cela se surajoute à tout le reste, à ce qui a été déterminant dans l’histoire. Disons que votre assertion n’était pas complètement fausse mais exagérée.

           

          Merci pour vos documents fort intéressants. Oui, il y a un antisémitisme d’origine chrétienne, qui le nierait ? Est-ce la source de l’antisémitisme de Wagner ? Wagner était-il un bon chrétien qui récitait son Notre Père tous les soirs et communiait tous les dimanches ? Permettez-moi d’en douter…

          @Eric F

          Oui, vous avez raison.


        • Gollum Gollum 3 juin 13:48

          @Eric F

          une extrapolation de la célébration de l’esprit du peuple et du surhomme.

          Le surhomme oui peut-être (et encore pas sûr, la volonté de puissance nietzschéenne s’exerce avant tout sur soi) mais l’esprit du peuple ? Y a pas plus aristocratique que la pensée de Nietzsche..


        • Gollum Gollum 3 juin 13:53

          @Laconique

          cela se surajoute à tout le reste

          Certes j’en conviens. N’empêche qu’il y a bien un reproche d’antisémitisme aussi..

          Match nul donc.

          Sur l’antisémitisme de Wagner oui c’est d’origine chrétienne il a baigné dans ce jus là, toute la société y baignait.. Qu’il fut un chrétien romantique, mâtiné de mythologie nordique nul doute là-dessus, mais ce n’est pas cette mythologie là qui est la source de l’antisémitisme.. Il avait été forgé ailleurs et adopté inconsciemment.. Donc nul besoin d’aller à la messe et toute la panoplie habituelle..


        • Eric F Eric F 5 juin 12:05

          @Gollum
          vous avez raison, l’Esprit du peuple n’a rien d’un concept nietzschéen, bien au contraire.
          Mais son influence sur le nazisme porte non seulement sur le ’’surhomme’’, mais le mépris du faible. notamment l’extrait dans l’Antéchrist " Qu’est-ce qui est bon ? Tout ce qui exalte en l’homme le sentiment de puissance, la volonté de puissance, la puissance même. Qu’est-ce-que le bonheur ? (…) avoir davantage de puissance. Non pas la paix, mais la guerre. (…) Périssent les faibles et les ratés ! (…) Et il faut même les y aider. Qu’est-ce qui est plus nuisible qu’aucun vice ? La compassion active pour tous les ratés et les faibles, le christianisme » — Même si l’idée était de faire périr en soi la faiblesse, la transposition littérale évoque le nazisme


        • Gollum Gollum 5 juin 13:47

          @Eric F

          Sur le mépris du faible oui vous avez raison, c’est surtout bien visible dans l’Antéchrist..

          Sur la fin de vie N. est devenu de plus en plus radical, faut avouer.. et donc bien moins sympathique..

          Il n’en reste pas moins qu’il y a plein de bonnes choses chez N. suffit juste de faire le tri..

          (C’est la même chose dans le NT y a plein de trucs sympas, d’autres beaucoup moins)


        • cevennevive cevennevive 1er juin 06:57

          Bonjour,

          Merci pour ce texte, et pour la phrase en conclusion, si vraie !

          « Mourir dans la dignité, c’est mourir aimé. Tout le reste est mensonge  ! »


          • Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 1er juin 07:09

             Salut, je cite :

            A la fin du chemin sur la terre, les hommes n’ont pas besoin d’une seringue froide qui vienne donner la mort. Ils ont besoin d’une main compatissante et aimante. Mourir dans la dignité, c’est mourir aimé. Tout le reste est mensonge ! » (Cardinal Robert Sarah

            par contre juste après la naissance et avant la mort que chacun essaye de fuir comme il peut, ce qui ne marche pas, car NAÎTRE = MOURIR on peut tuer avec délicatesse même des milliers voir des millions, pas de problèmes ,comme voler, ah ça c’est bien, détruire pour voler mais aussi empêcher les autres de bien vivre, torturer par haine de sa vie les autres vont payer pour ça, etc et tout le monde veut ça , en le niant avec absolu car chaque moi est parfait aux yeux de MOI, pour savoir pourquoi on fait ça, faut avoir vu comme dans vision le programme de la pensée !!

            or la pensée ne peut le voir.

            si si, la seule obsession de ce que l’humain est devenu par choix depuis des millénaires est de posséder, ++ voir tout si on me laisse, on est a ce moment !!

            Ca me rassure, ça marche ? non, les plus riches n’en n’ont jamais assez..

            ceci est issu notre choix de la compétition processus qui élimine, tue, vole, détruit, etc combat entre nous, qui gagne ? 

            ceux qui coopèrent bien sur, pour niquer les autres, ces truands au sommet qui sur ce point sont moins cons et débiles que la masse !! et oui la cooperation mais équitable est le seul chemin,

            la compétition chérie de tous élimine

            la coopération additionne

            ceci ne remonte jamais à un seul neurone tellement notre auto formatage accepté et voulu en plus marche bien..

            on n’en veut pas de la coopération équitable car dès lors comment voler les autres ??

            moi je veux être immortel, saleté de vie où il faut mourir, j’en veux pas

            c’est dément ce que je dis ? bien sur, car nous le sommes totalement avec fierté en plus !! L’arrogance étant le signe d’une ignorance et bêtise quasi maximum bien que sous peu nous allons encore faire mieux..le suicide global issu de la fuite impossible de notre souffrance auto créée ..

            che miseria !!

            la compétition qui élimine est juste un des effets de notre terreur et refus de vivre car ça inclus de mourir..comment moi le centre de l’univers je vais mourir.. ?? NON !

            qui fait que je veux me rassurer en possédant, ça c’est la théorie, le réel est je fuis ma mort donc la vie

            ceci effet d’une insécurité ressentie qui donne une réaction automatique non réfléchie de l’inverse, sécurité totale pour MOI, les autres je m’en tape, sauf si je peux m’en servir, niveau couple pareil...rares exceptions.

            Cette sécurité totale je vais alors la chercher dans le combat de tous contre tous pour avoir plus, qui est alors une insécurité maximum.

            Je sais, che miseria bis.

            La vie nous échappe, reste juste à tuer un maximum de personnes, pour des motifs qui n’existent plus...

            Texte débile pour êtres déments , par choix..

            Dommage vivre est le miracle, que nous rejetons..

            Entre Adam et Eve et la boite de Pandore, comme avec le livre des « morts » égyptiens ( livre de la vie en fait) , ou Hermes trismégiste et son avertissement( lamentations à aesclipius) il y a genre 4500 ans voir +, tout étant si faux !!ceci est indiqué et concernant hermès il y a un

            avertissement semblant avoir été écrit hier pour nous ce matin etc tout ceci est montré avec précision de manière hermétique, fore de langage qui n’est pas fait pour cacher mais dire autrement de manière à ce que la pensée soit totalement contournée, parlant alors à nos autres capacités en panne, elles peuvent se réveiller si..


            si quoi ? on s’en fou, on veut juste du pognon..

            Ca fini mal, comme pour les autres civilisations éradiquées avant nous, partiellement et ont donc refait la meme chose, mais c’est respectable c’est notre choix..chaque « je » ayant raison..

            forme de raisonnement circulaire auto nourri par nos désirs mensonges propres..

            PS : si le maître des esclaves le veut, esclave qui a aussi ses esclaves animaux, il donnera un peu de pognon à une majorité et tout rentrera dans cet ordre dément ..

            Mais ceci est une autre histoire..

            nota bene : l’esclave précède le maître...la masse est la principal créateur du désastre humain, 

            si je vois ça sans le vouloir j’ai déjà changé de route...l’éveil ? et mon cul sur la commode..


            • Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 1er juin 09:04

              @Julian Dalrimple-sikes

              Alors je me réincarne, certains en sont à je ne meure pas, 
              Cela dit allons voir plus en profondeur
              1-dans un premier temps la compétition qui élimine mets forcément en avant deux catégories de personnes, les voleurs qui eux comprennent très vite que il faut coopérer sur ça, voler, et ceux que L’Origine a doté de capacités perçues et auto perçues comme supérieures à d’autres par chaque MOI, déjà devenu le centre du monde, car moi a comme seule référence moi !!
              et qui décide que cela étant , je suis génial et le centre du monde, je dois avoir plus sur le dos du collectif..en clair sur le dos de ces crétins, ces abrutis
              ce qui me sera vital pour accéder à ma gloire , Dieu auquel je ne crois pas car il a fait que naître = mourir, en a voulu ainsi.
              Mais je m’en réclame quand même de ce Dieu...sans le savoir.
              Dès lors poubelle la coopération équitable volontaire en paix bonjours la guerre entre tous.
              C’est un choix
              que le truand au sommet a réussi à présenter comme la seule profonde nature des choses, la preuve étant chez les animaux, ainsi ce génie auto proclamé, intergalactique qui à ses yeux à tout créé, dès le départ totalement schizophrène, dans le sens, d’avant les psycho bla bla pour le pognon, de séparé du réel, du factuel, ce génie donc ne sait même pas comment vivre, se comporter etc et va chercher des exemples chez les animaux ou plantes prédateur, jamais chez les non prédateurs..la loi du plus taré devient la loi du plus fort 
              si cela était le paresseux aurait disparu dès ses débuts, or pas du tout..mensonge !! 

              2 dans un deuxième temps les niqués qui veulent leur part de gateau, mis en bas de cette société qui n’en est pas une se disent, ben et nous ? 
              les niqués avec moins de capacité x y ou z, vont comprendre que il faut coopérer pour gagner et réussissent à prendre le pouvoir pognon..
              on en est là en gros..
              alors un jours les génies intergalactiques vont reprendre ce pouvoir par force et violence aussi bien sur , puis au bout d’un moment , les sous doués vont le reprendre à nouveau et ainsi de suite.

              3 à priori pour le moment pas de 3, y en aura t’il jamais ? aucune idée et la roue du karma est enclenchées depuis des millénaires et d’éveil il n’y en a aucun, sauf que je vois que j’ai moins de pognon, quel éveil !! 
              la compétition ELIMINE
              la coopération équitable est le seul chemin, elle ne peut pas être forcé, le bien ne force jamais, le mal doit forcer tout le temps, maispas de choix du chemin, on peut certes décider de ne pas marcher dessus..mais nous , comme Pierre Ponce Pilate nous nous en lavons les mains
              Bah du moment que j’ai mon pognon, mes voitures et mes maitresses-amants, le reste je m’en tape...


            • Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 1er juin 09:35

              @Julian Dalrimple-sikes

              Il y a eu un avant cette démence...perçu et dit comme évoqué indirectement entre autre chez Adam et Eve, par la boite de pandore, hermès trismégiste etc , le tout conté hermétiquement, ce qui veut dire inaccessible à la pensée analytique.
              Si un peu au moins de nos autres capités elles aussi innées, on-je y est pour rien 
              marchent au moins un peu, le sens apparaîtra tel un miroir de ce que nous sommes factuellement..et réellement..
              mais nous sommes dans l’imaginaire hélas..
              sinon ? Monique peut se la brosser...Coluche.


            • xana 2 juin 11:12

              Effectivement comme dans toutes les questions de ce genre, la vraie question est : Que veulent cacher les « autorités » sous ces réglementations ? 

              Et j’ai bien peur que ce soient en effet des histoires de fric sous le couvert de la « pitié » et autres histoires sentimentalo-sirupeuses. Nos « autorités » ont montré en bien des occasions (par exemple les exécutions Rivotril dans les ehpads) que la mort des citoyens de leur pays peut être pour eux une aubaine.

              Et, désolé de le dire, il est idiot de leur faire confiance. Le fric qu’ils peuvent se faire grâce à la mort des « inutiles » leur fait venir l’eau à la bouche.

              Le simple fait qu’on n’en parlent jamais dans leurs médias devrait inciter les citoyens à se méfier. Evidemment les mougeons leur sont acquis d’avance...


              • Gérard Luçon Gérard Luçon 2 juin 11:27

                @xana
                ce qui est inquiétant est qu’Agoravox a tendance à censurer les voix dissidentes à ce sujet ... 


              • xana 2 juin 11:44

                @Gérard Luçon
                Agoravox, ou pour mieux dire Rakotovox, la Voix de son Maître Macron.
                L’agence de pub de l’Elysée n’a plus qu’un seul concurrent sur ce site ; Le pédo-compatible Giuseppe qui pratique chaque jour la réécriture de l’Histoire selon ses bons maîtres.
                Hélas, le « journalisme citoyen » n’est plus qu’une formule creuse pour la propagande des riches. L’idée était plaisante, mais ne pouvait certainement pas faire vivre un site. Agoravox est vendu jusqu’au trognon...


              • Gérard Luçon Gérard Luçon 2 juin 12:01

                @xana
                Donc « on » va ressortir les affaires du « SS » à Tourcoing ...


              • Eric F Eric F 2 juin 12:45

                @xana
                Cette histoire d’« exécution » délibérée au Rivotril fait partie des interprétations paranoïaques de la crise, il s’agissait de résidents en grande détresse respiratoire qui n’auraient pas pu supporter l’intubation sous anesthésie pratiquée lors de la première vague covid. La question était le soulagement en situation où l’issue fatale était au bout de l’agonie respiratoire. Il a pu y avoir abus, mais le plus reprochable a été de ne pas promouvoir des traitements lors de début d’infection même si l’efficacité était controversée.


              • xana 2 juin 13:27

                @Eric F
                Il était absolument évident que des « résidents en grande détresse respiratoire » ne pourraient pas supporter l’intubation. « Traiter » ces vieux signifiait simplement les TUER... 
                Alors pourquoi ne pas leur avoir foutu la paix au lieu de les TUER ?
                Parce que le gouvernement avait BESOIN d’une PANIQUE ?
                Parce qu’il fallait des morts à attribuer au Covid, sans lesquels le public n’aurait pas cru à la « gravité » de la fameuse « pandémie » ?
                Ou tout simplement pour récupérer encore plus vite leurs économies et leurs retraites ? 


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 2 juin 13:50

                @xana
                 
                 ’’Alors pourquoi ne pas leur avoir foutu la paix au lieu de les TUER ?

                Parce que le gouvernement avait BESOIN d’une PANIQUE ?
                Parce qu’il fallait des morts à attribuer au Covid, sans lesquels le public n’aurait pas cru à la « gravité » de la fameuse « pandémie » ?
                Ou tout simplement pour récupérer encore plus vite leurs économies et leurs retraites ? ’’
                >
                 Les trois à la fois. C’est du en même temps +


              • Gérard Luçon Gérard Luçon 2 juin 14:21

                @xana
                un petit « apéritif »

                Sa fiche Blastingnews :

                https://fr.blastingnews.com/equipe-editoriale/di-bella-giuseppe/

                ... il se présente toujours comme l’éternelle victime :

                https://www.adheos.org/giuseppe-di-bella-victime-dhomophobie-ma-vie-est-un-combat/

                ... sa pétition suite à son éviction d’une association lilloise :

                https://www.change.org/p/homophobie-au-sein-d-une-association-lilloise


              • Enki Enki 2 juin 14:23

                @Eric F

                Cette histoire d’« exécution » délibérée au Rivotril fait partie des interprétations paranoïaques de la crise

                L’étude Bernigaud date de novembre 2020, qui a constaté dans un EHPAD en Seine et Marne après distribution d’invermectine en raison d’une foyer de de gale, qu’il n’y avait ni morts ni malades graves du covid, contrairement aux EHPAD de la région pendant ce temps.
                https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC7688272/# : :text=Soixante%2Dneuf%20r%C3%A9sidents%20(incluant%20r%C3%A9sidente,%2C%20fr%C3%A9quence%2010%2C1%20%25).
                Véran, ministre en charge du plan sanitaire contre le covid, ne pouvait pas ne pas savoir cette étude publiée et accessible à tous. Il a refusé la distribution d’ivermectine en EHPAD, même pour voir. Il a distribué du Rivotril. Cela a bien été une action criminelle, une exécution délibérée. C’est juste que la justice ne s’en est pas saisie.

              • Eric F Eric F 2 juin 17:53

                @Enki, @xana
                j’ai évoqué dans mon message précédent le blocage des autorités sur les traitements en phase initiale de l’infection.
                Mais attention à la chronologie, cette utilisation du Rivotril a surtout été pendant l’épisode épidémique d’avril 2020, l’étude sur l’ivermectine a été faite 6 mois plus tard. Au début de l’épidémie, la thérapie ’’alternative’’ en phase de début d’infection était l’HCQ+AZM préconisé par Didier Raoult (auquel j’ai été et je demeure favorable), il y a eu une lamentable querelle d’égos et de susceptibilités qui a faussé l’appréciation et la décision.

                Le Rivotril a été autorisé par dérogation (fin mars 2020) comme traitement palliatif en phase avancée lors de détresse respiratoire, laisser les malades étouffer dans l’angoisse n’aurait pas été une option acceptable ; la question n’était pas d’abréger la vie, les personnes étant en diagnostic avancé. C’était lors du pic des infections donc des décès, mais pas causalement. Il est possible qu’il y ait eu des cas d’abus ou dérive, mais non massivement et moins encore intentionnellement. 
                Croyez bien que j’ai été particulièrement attentif à ce point, ma mère étant à l’époque en Ehpad en forte dépendance. Elle n’a pas contracté l’infection, l’établissement a du reste été relativement préservé. L’un des problèmes a été celui de l’isolement des résidents du fait des restrictions drastiques de visites.


              • Enki Enki 4 juin 11:29

                @Eric F

                En effet, le premier décret pour l’usage du Rivotril en EHPAD date de fin mars 2020, j’avais oublié que c’était si rapide. L’exécutif n’a pas chômé, au lieu d’essayer des anciens médocs pour chercher lesquels peuvent agir contre le covid. Un deuxième décret en octobre 2020 l’a prolongé et les achats de Rivotril en pharmacie sont restés plus élevés que d’habitude durant toute la période 2021, idem avec le Valium.

                Les vaxxinations expérimentales ont commencé en décembre 2020, sur les personnes âgées, qui auraient dû diminuer l’achat des Rivotril et Valium. Ce qui ne s’est pas passé.
                En même temps que les vaccins, tout le monde savait l’existence des combos avec l’HCQ, et aussi que c’était plus délicat d’usage pour les malades graves, puis avec l’ivermectine sans effets secondaires lourds identifiés et cet EHPAD sans morts en Seine et Marne, alors que c’était la pleine période où les vieux mouraient en maison de retraite.
                On a bien vu la volonté du nouveau vaxxin pour tous et les entraves au repositionnement d’anciens médocs. La médecine consiste à chercher des traitements pour sauver des vies, pas à utiliser des vies pour commercialiser de nouveaux traitements avant vérification des effets secondaires en interdisant la recherche de repositionnement. Il y a bien eu un usage criminel des vies humaines.

              • Gérard Luçon Gérard Luçon 4 juin 12:03

                @Enki
                je vous cite « La médecine consiste à chercher des traitements pour sauver des vies, pas à utiliser des vies pour commercialiser de nouveaux traitements avant vérification des effets secondaires en interdisant la recherche de repositionnement. Il y a bien eu un usage criminel des vies humaines. »

                Petite rectification de ma part : « La médecine consistait à chercher des traitements pour sauver des vies, pas à utiliser des vies pour commercialiser de nouveaux traitements avant vérification des effets secondaires en interdisant la recherche de repositionnement. Il y a bien eu un usage criminel des vies humaines. »


              • Enki Enki 4 juin 14:09

                @Gérard Luçon

                Alors pour aller plus loin : le plan (pseudo)sanitaire tel qu’il a été conduit n’est pas de la médecine, donc je laisse mon extrait au présent.
                Primum non nocere : c’est le principe qui permet l’existence de la médecine. Le refus de soins pour les malades (« restez chez vous, prenez du doliprane ») et la quasi obligation à injecter un produit expérimental à toutes les personnes saines, y compris les jeunes et actifs qui n’en avaient pas besoin : c’est exactement l’inverse du primum non nocere. Ce n’est pas de la médecine.

              • Gérard Luçon Gérard Luçon 4 juin 16:09

                @Enki
                Si nous en restons sur l’idéal, vous avez parfaitement raison, mais désormais j’ai le sentiment que ce sont les laboratoires qui déterminent « l’éthique » !


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 4 juin 18:33

                @Enki
                 
                ’’ Le refus de soins pour les malades (« restez chez vous, prenez du doliprane ») et la quasi obligation à injecter un produit expérimental à toutes les personnes saines, y compris les jeunes et actifs qui n’en avaient pas besoin : c’est exactement l’inverse du primum non nocere. Ce n’est pas de la médecine. ’’
                >
                Ce n’est pas de la médecine, mais aussi, c’est l’opposé de l’humanisme.
                autrement dit, le contraire de : civilisationnel, culturel, de bon goût, sage, intelligent.
                 
                En somme, c’est barbare


              • Enki Enki 5 juin 04:35

                @Francis, agnotologue

                « Medeo », comme « care » veulent dire « prendre soin de », qui s’emboite avec le primum non nocere, la bienveillance. La médecine n’est pas simplement une question de compétence, qui est nécessaire, c’est aussi un état d’esprit, qui aurait dû empêcher le délire covidique qu’on a vu avec les oukases qui n’avaient rien de sanitaires.

                Oui, c’est une avancée dans la barbarie. On en a divers signaux qui s’allument. Comme l’extermination continue à Gaza au vu et su de tout le monde, avec les applaudissements de la « communauté internationale », alors que pour celle des juifs, on ne le savait pas à l’époque (ou très mal). Ou bien une fête nationale, comme celle de la victoire du PSG, qui consiste à détruire, brûler, piller, foncer en voiture dans les foules, attaquer pompiers et ambulances... Ça vient de la population arabo-musulmane et ça s’étend avec l’extrême gauche et le prétexte du fascisme pour libérer la joie de tout casser. 


              • Legestr glaz Legestr glaz 5 juin 10:26

                @Enki
                 Le problème est bien plus vaste qu’on ne le pense.

                Il faut admettre un fait : les épidémies de maladies cardio-respiratoires, en automne-hiver, ne sont pas le fait de « méchants virus ». Ces maladies coïncident avec l’émergence d’inversions thermiques faisant augmenter considérablement le taux de pollution atmosphérique « sous le nez » des humains. Les plus fragiles en meurent. La manière dans les nanoparticules inertes et non transmissibles de la pollution agressent les alvéoles pulmonaire est particulièrement bien décrit. Les « vaccins » sont une cautère sur une jambe de bois. Et l’HCQ n’était pas une bonne solution. Le zinc en était une, mais il y en avait d’autres car il s’agissait de lutter contre des phénomènes de « coagulation » et de « stress oxydatif ». Et pour comprendre la « supercherie », voici : 

                Dans les années 1980, des chercheurs remarquent que les cellules émettent, ou relâchent, dans l’espace extracellulaire, des petites vésicules de taille nanométrique. Leur rôle est alors considéré comme un simple mécanisme d’élimination de protéines non nécessaires. Il s’agirait d’un simple processus de « nettoyage de débris cellulaires ». La connaissance en reste là jusqu’en 2007. Cette année là, une équipe de chercheurs de l’université de Göteborg en Suède, Hadi Valadi, Karin Ekström, Apostolos Bossios, Margareta Sjöstrand, James J. Lee et Jan O. Lötvall, font paraître une étude sensationnelle : les «  exosomes » sont en réalité des « messagers cellulaires », émis dans l’espace extracellulaire à des fins biologiques par les cellules. Ces « exosomes » transportent de l’ARN messager, des micro-ARN, des protéines et des lipides. Et même de l’ADN, ce qui sera découvert un peu plus tard. Cette découverte « fondamentale » aurait dû être exploitée immédiatement par la virologie. Et pourquoi ? Parce que nous étions face à un véritable changement de paradigme : l’ARN et l’ADN découverts dans le surnageant des cultures, attribués « systématiquement » et « par hypothèse » à du matériel viral, ne l’était pas comme Valadi et ses collaborateurs l’ont puissamment démontré dans leur étude phare de l’année 2007 (4)  :« Le transfert d’ARNm et de microARN par l’intermédiaire des exosomes est un nouveau mécanisme d’échange génétique entre les cellules ».

                Pourquoi cette étude est-elle si importante et même « fondatrice » ? Et bien parce qu’elle démontre, d’une manière certaine, que des fragments d’ARN ou d’ADN peuvent être présents dans le milieu extracellulaire, et même abondamment, par le fait de leur transport par les « exosomes ». Ceci, il faut bien le comprendre, n’était pas connu avant 2007 !

                Tous les fragments découverts dans le « surnageant » de la culture observée étaient attribués « par hypothèse » à du « matériel viral » puisque l’on ignorait que les exosomes pouvaient transporter de l’ARN et de l’ADN. Par conséquent, cette étude fondatrice de l’année 2007 de Valadi et de ses collaborateurs a amené la certitude que le surnageant dans les cultures contient «  inévitablement » des fragments d’ARN et d’ADN en provenance des cellules en culture.

                Et ceci amène à une conclusion logique et rationnelle : tous les fragments d’ARN ou d’ADN découverts dans le surnageant par les virologues ont été attribués dans leur « globalité  », avant 2007, à du matériel viral. Ce qui veut dire que tous ces fragments ont été « séquencés » et ont participé à la construction du génome viral. Ce qui veut dire, en clair, que la probabilité est proche de 100%, sinon 100%, que le génome ainsi « construit » intègre des fragments d’ARN ou d’ADN provenant des cellules en culture. Et on peut dire que les génomes viraux construits de cette façon sont des « génomes composites » ou des « génomes Frankenstein », totalement éloignés d’une quelconque réalité biologique, parce qu’ils intègrent des séquences d’ARN ou d’ADN provenant des cellules humaines et animales de la culture observée.

                La discipline « virologie » aurait dû se saisir des conclusions de cette étude. Mais elle ne l’a pas fait !



              • Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 5 juin 11:20

                @Francis, agnotologue

                Salut Francis, oui c’est barbare, cela dit c’était là depuis des milliers d’années, dans la psyché de certains plus que d’autre suite à une dégénérescence de celle ci ! c’est juste que là c’est devenu impossible à cacher et se voit et se montre de plus en plus.
                Pour moi même il y a un bon moment je m’étais dit : la dernière ligne droite de la tentative du contrôle total PAR CERTAINS à découvert sera fatale aux truands du sommet..
                on y est.
                Tout ceci ne fait pas du tout des truands du sommet des gens de bien..


              • Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 5 juin 11:28

                @Legestr glaz

                Encore merci, au cas où
                titre : un au revoir à la virologie
                https://www.youtube.com/watch?v=9vl-mAIhGx0

                Dr Mark Bailey outlines his views of the fatal flaws in virology. He also discusses how his research demonstrates how the virus model remains an imaginary construct and why virologists’ methodologies have always been insufficient to support their claims.

                Mark won an undergraduate scholarship to the University of Canterbury in 1994 and then completed his medical training at the University of Otago in 1999. He worked in many specialties as a resident doctor and was also a clinical trials research physician for several years. In 2016 he left clinical practice due to dissatisfaction with the allopathic medical system.

                Mark is the author of “A Farewell To Virology (Expert Edition)”, co-author of “The COVID-19 Fraud & War on Humanity” and co-author of The Final Pandemic. He works alongside his wife Dr Sam Bailey, and since early 2020 has been the duo’s chief researcher with a focus on microbiology, the existence of viruses, as well as historical and epistemological issues within medical science.


              • Gérard Luçon Gérard Luçon 5 juin 11:30

                @Enki
                On ne met pas 5 à 0 à un club italien ... ça pue l’arrangement à plusieurs niveaux !


              • Enki Enki 5 juin 12:34

                @Legestr glaz

                J’habite un endroit où les autochtones n’ont pas été loin de disparaître à la fin du XIXème siècle : ils mouraient tous de la grippe apportée par les européens. Ils ont encore ça en mémoire.

                Je vous ai déjà écrit aussi, relativement à l’air pollué, que jamais l’espérance de vie n’a autant augmenté que durant la révolution industrielle : quand des usines crachant des fumées sales ont été installées partout.

                J’ai au moins appris une chose, ici, cela ne sert à rien de discuter avec un monomaniaque.


              • Enki Enki 5 juin 12:36

                @Gérard Luçon

                Possible...
                C’est pendant les émeutes festives (il faudrait inventer un nom), que j’ai appris qu’il y avait championnat d’Europe.
                Le foot et moi...


              • Eric F Eric F 5 juin 12:37

                @Enki
                Je suis absolument d’accord que la ’’confiscation’’ de l’épidémie par la médecine hospitalière (autoisolation ou urgences), en court circuitant la médecine de ville et en restreignant la liberté de prescription a été une faute majeure.

                Il y a plusieurs causes, notamment la priorité donnée à l’endiguement de l’épidémie, en confinant la population et concentrant les lieux de soins, également l’évitement d’emballement de l’automédication conduisant à pénurie. Donc une a̰p̰p̰r̰o̰c̰h̰ḛ ̰c̰ḛn̰t̰r̰ḛ́ḛ ̰s̰ṵr̰ ̰l̰a̰ ̰c̰o̰l̰l̰ḛc̰t̰ḭv̰ḭt̰ḛ́ ̰p̰l̰ṵt̰ô̰t̰ ̰q̰ṵḛ ̰l̰ḛ ̰m̰a̰l̰a̰d̰ḛ.
                Cela résulte de ’’doctrine’’ en vigueur parmi les autorités médicales, et aussi des conflits d’influence où les mandarins hospitaliers ont pris le dessus. Pas seulement en France, il y a eu dans beaucoup de pays mimétisme de ce qui a été fait en Chine. 
                Parmi la ’’doctrine’’ dans le milieu médical figure la primauté vaccinale, il y a eu alors une course à l’échalote entre labos et différents pays (entre Xi, Trump et Poutine, celui qui aurait le premier le vaccin, les labos Français n’ont pas suivi la démarche de rapid prototyping ou crash program). L’objectif d’éradiquer la propagation par une immunisation générale totalement étanche a été le mythe prédominant, l’efficacité non pas en tout ou rien mais plutôt médiocre sur la durée n’a pas infléchi le dogme.


              • Enki Enki 5 juin 13:03

                @Eric F

                Oui, que cette interdiction faite à la médecine de ville de soigner, quand la maladie à ses débuts est plus facile à enrayer, soit passée crème : cela m’avait ahuri. C’est vraiment grave de ne même pas voir ça.
                 
                C’est sûr qu’il y a un envoutement vaccinal dans le milieu médical à travers la monde sur lequel il faudrait un peu revenir.

                Sur la concentration des lieux de soins, on sait que des cliniques privées avait tout préparé pour proposer de recevoir des patients covidés en train d’étouffer. Et le forfait était moins cher qu’en hôpital public. L’exécutif n’a jamais voulu utiliser cette offre faite, tandis que les images affolantes des urgences qui débordent saturaient les médias, et ces tentes militaires dressées en rase campagne et Macron blablatant devant, ces hélicos pour l’Allemagne, le TGV médical... Bref, tout ça était du sketch.


              • Eric F Eric F 5 juin 13:52

                @Enki
                En effet, la prestation de Macron devant la tente militaire sur le parking de l’hôpital de Mulhouse avec quelques lits, et annonçant une ’’opération résilience’’ d’implication de l’armée dans l’évacuation des malades, quel cinéma ! Je me souviens qu’il y avait au loin un bâtiment vitré où on voyait des personnes rigoler. 

                Les cliniques privées avaient offert leurs services, mais la coordination n’avait pas été prévue. Rigidité technocratique et querelles de chapelles.

                Les média ont joué la surdramatisation, invitant les pontes médicaux les plus enfermistes, exhortant toujours à serrer un cran de plus, par exemple quand il y a eu le couvre feu à 20h, ils ont poussé à l’avancer à 18h, quand il y a eu eu la vaccination, ils parlaient d’obligation.
                Eh bien telle est encore leur posture maximaliste pour ce qui est de la guerre en Ukraine.


              • Legestr glaz Legestr glaz 5 juin 13:56

                @Enki

                Vous n’avez pas intégré le fait que la pollution émise s’échappe vers la haute atmosphère sauf, et oui il y a un « sauf », en cas « d’inversion thermique » ! Et ce fait météorologique est parfaitement documenté. Il semblerait que sous votre nappe de brouillard vous ne l’ayez pas compris pour me traiter de monomaniaque.

                Ce n’est pas parce que vous avez des difficultés de compréhension que les autres en deviennent monomaniaques. Vous êtes simplement atteint de dissonance cognitive et/ou d’un manque de recul extraordinaire.

                Même dans les endroits fortement pollués, si la « convection verticale » est présente, la pollution s’échappe vers les hautes couches de l’atmosphère. Et je vais vous donner un exemple « célèbre » pour bien enfoncer le clou dans votre esprit qui part à la dérive.

                Je vous parle du « grand smog » de Londres en 1952. Oui, comme vous le décrivez, la pollution au charbon était omniprésente à Londres mais les gens ne tombaient pas comme des mouches. Sauf,.... lorsqu’une inversion thermique s’est mise en place. Soit vous comprenez, soit vous ne comprenez pas. Ceci restera votre problème ! A Londres les gens sont morts parce qu’il y a eu une « inversion thermique » ! Lorsque celle ci a disparu, les conditions n’étaient plus rassemblées pour que les gens continuent de tomber malades ! Et vous savez quoi : la pollution au charbon continuait d’exister ! C’est difficile pour vous ça ?

                ... « Météo. Le jeudi 4 décembre 1952 , un anticyclone s’installa sur la ville de Londres sans un souffle de vent, provoquant une inversion de température, avec de l’air très froid. La population se chauffe au charbon, et les usines du grand Londres continuent de tourner.
                ... » Il était une fois… Le 4 décembre, un vaste anticyclone recouvre la capitale du Royaume-Uni. Avec lui, une situation d’inversion de températures se produit ; c’est-à-dire que la masse d’air chaud surplombe celle d’air froid, alors que la majorité du temps, c’est le contraire qui arrive.

                Les températures chutent ; il fait froid. Très froid. Les Londoniens utilisent alors grandement leur poêle à charbon pour se chauffer. La pollution qui s’en dégage s’ajoute à celle déjà omniprésente des usines et des centrales électriques alentour. Le ciel devient sombre.

                Le vent étant léger, la fumée n’arrive pas à se dissiper et en raison de l’inversion thermique, l’air froid et la pollution sont cloués au sol.

                https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1003309/brouillard-meurtrier-londres-1952-explications

                Et si vous voulez un autre « exemple » pour sortir de votre brouillard, en voici un qui relate, toujours la violence de la pollution atmosphérique en présence d’une « inversion thermique » ! 
                ... En octobre 1948, 20 personnes sont tuées par le smog à Donora ; à l’occasion des 60 ans de cette catastrophe, cette ville de Pennsylvanie ouvre un musée consacré à l’événement. Le New York Timeraconte ce qui s’est passé en 1948 dans cette bourgade de 14 000 habitants. Le 27 octobre, des fumées provenant de l’aciérie s’abattent sur la ville, mais une poche d’air chaud au-dessus de la vallée empêche le smog de se disperser..." 
                https://www.goodplanet.info/2008/11/04/un-musee-en-souvenir-des-20-morts-causes-par-le-smog-a-dorona/

                ... Les polluants atmosphériques ont des effets sur les admissions aux urgences et sur la mortalité le jour même. Ces effets sont distincts selon les polluants. Une hausse de l’ozone ou du dioxyde de soufre induit une hausse des admissions aux urgences pour motif respiratoire, en particulier chez les plus jeunes et les personnes âgées. Une augmentation du monoxyde de carbone entraîne, quant à elle, une hausse des admissions aux urgences pour motif cardiovasculaire, en particulier chez les plus âgés. Enfin, une hausse des particules fines ou du dioxyde de soufre provoque une hausse de la mortalité, liée respectivement à une cause cardiovasculaire ou respiratoire.

                https://www.insee.fr/fr/statistiques/5413019

                Enki, vous êtes vraiment un tout petit joueur !


              • Eric F Eric F 5 juin 14:04

                @Legestr glaz
                Bonjour. Je vois que vous répétez encore vos spéculations sur les fragments d’ADN/ARN dans les cultures virales, or absolument aucun constituant sain du bouillon de culture ne comporte de protéine spike ou autre, ni de séquences génétiques qui les codent. Si des exosomes (qui n’ont pas de noyau) transportent des fragments de séquence génétique virale, c’est que l’organisme est infectée par ce virus, ce n’est pas par ’’génération spontanée’’ par une cellule malade.


              • Eric F Eric F 5 juin 14:26

                @Legestr glaz
                Le fait que la pollution induise ou aggrave des maladies respiratoires n’est nié par absolument personne.
                Mais c’est un sophisme de prétendre que puisque la pollution est néfaste, alors de ce fait il n’existe pas de virus. Du reste il y a des maladies respiratoires bactériennes, or nul ne récuse l’existence des bactéries ; donc des agents divers peuvent induire ou aggraver des maladies respiratoires. 

                Notons que les mesures contre la pollution à quoi s’ajoutent les délocalisation ont réduit les particules par rapport à il y a vingt ans et plus, et on voit dans les cartes de pollution que nos régions sont moins touchées qu’une zone allant de la Chine via l’Inde vers l’Afrique centrale (et actuellement l’amérique du nord). 

                Par ailleurs, l’épidémie de covid de 2020 a été décalée par rapport aux phénomènes saisonniers : première vague lors d’un printemps plutôt chaud, et deuxième vague en début d’automne également doux, avec amorce dès la fin d’été. Et de plus à la même période il y a eu des épisodes de la maladie au Brésil et en Afrique du sud, ayant notamment conduit à émergence de variants. Mais sur des populations plus jeunes et avec un environnement plus estival, la gravité a été atténuée par rapport à nos pays. 

                Désormais le virus est devenu endémique comme les grippes. En fin 2022 il y a eu conjonction grippe+covid, et en fin 24/début 25, il a eu une épidémie sévère de grippe ...quoiqu’il en ait été peu parlé. 


              • Legestr glaz Legestr glaz 5 juin 14:39

                @Eric F
                Il vous suffit de comprendre ceci qui est « incontestable » ! Faites en un petite synthèse perso. Tout en découle ! 

                Dans les années 1980, des chercheurs remarquent que les cellules émettent, ou relâchent, dans l’espace extracellulaire, des petites vésicules de taille nanométrique. Leur rôle est alors considéré comme un simple mécanisme d’élimination de protéines non nécessaires. Il s’agirait d’un simple processus de « nettoyage de débris cellulaires ». La connaissance en reste là jusqu’en 2007. Cette année là, une équipe de chercheurs de l’université de Göteborg en Suède, Hadi Valadi, Karin Ekström, Apostolos Bossios, Margareta Sjöstrand, James J. Lee et Jan O. Lötvall, font paraître une étude sensationnelle : les «  exosomes » sont en réalité des « messagers cellulaires », émis dans l’espace extracellulaire à des fins biologiques par les cellules. Ces « exosomes » transportent de l’ARN messager, des micro-ARN, des protéines et des lipides. Et même de l’ADN, ce qui sera découvert un peu plus tard. Cette découverte « fondamentale » aurait dû être exploitée immédiatement par la virologie. Et pourquoi ? Parce que nous étions face à un véritable changement de paradigme : l’ARN et l’ADN découverts dans le surnageant des cultures, attribués « systématiquement » et « par hypothèse » à du matériel viral, ne l’était pas comme Valadi et ses collaborateurs l’ont puissamment démontré dans leur étude phare de l’année 2007 (4)  :« Le transfert d’ARNm et de microARN par l’intermédiaire des exosomes est un nouveau mécanisme d’échange génétique entre les cellules ».

                Pourquoi cette étude est-elle si importante et même « fondatrice » ? Et bien parce qu’elle démontre, d’une manière certaine, que des fragments d’ARN ou d’ADN peuvent être présents dans le milieu extracellulaire, et même abondamment, par le fait de leur transport par les « exosomes ». Ceci, il faut bien le comprendre, n’était pas connu avant 2007 ! Tous les fragments découverts dans le « surnageant » de la culture observée étaient attribués « par hypothèse » à du « matériel viral » puisque l’on ignorait que les exosomes pouvaient transporter de l’ARN et de l’ADN. Par conséquent, cette étude fondatrice de l’année 2007 de Valadi et de ses collaborateurs a amené la certitude que le surnageant dans les cultures contient «  inévitablement » des fragments d’ARN et d’ADN en provenance des cellules en culture. Et ceci amène à une conclusion logique et rationnelle : tous les fragments d’ARN ou d’ADN découverts dans le surnageant par les virologues ont été attribués dans leur « globalité », avant 2007, à du matériel viral. Ce qui veut dire que tous ces fragments ont été « séquencés » et ont participé à la construction du génome viral. Ce qui veut dire, en clair, que la probabilité est proche de 100%, sinon 100%, que le génome ainsi « construit » intègre des fragments d’ARN ou d’ADN provenant des cellules en culture. Et on peut dire que les génomes viraux construits de cette façon sont des « génomes composites » ou des « génomes Frankenstein », totalement éloignés d’une quelconque réalité biologique, parce qu’ils intègrent des séquences d’ARN ou d’ADN provenant des cellules humaines et animales de la culture observée.

                La discipline « virologie » aurait dû se saisir des conclusions de cette étude. Mais elle ne l’a pas fait. Tous les fragments d’ARN et d’ADN découverts dans le « surnageant » dans les cultures observées, continuent d’être « attribués par hypothèse » à du matériel viral alors que nous savons que c’est faux. Cette erreur fatale d’attribution exhibe un « biais méthodologique » rédhibitoire pour la virologie. Parce qu’il se trouve, malheureusement, qu’aucune technique actuelle ne peut faire la distinction dans l’origine des fragments d’ARN ou d’ADN présents dans la culture observée. Ainsi, ces fragments peuvent provenir d’exosomes émis par les cellules humaines présentes dans la culture, mais aussi des exosomes émis par les cellules de singe vert (cellule VERO) présentes dans la culture, mais aussi des exosomes émis par les cellules de sérum foetal bovin présentes dans la culture. Et ce sont bien tous ces fragments, avec les trois origines possibles, qui sont utilisés par la virologie lors du séquençage.

                Des études comme celle de Valadi et al. (2007)montrent qu’un échantillon de liquide biologique contient déjà une grande hétérogénéité d’ARN dans l’espace extracellulaire chez tous les êtres humains sains.


              • Legestr glaz Legestr glaz 5 juin 14:49

                @Eric F

                Je viens de l’écrire à Enki : la pollution n’est pas le « vrai » problème. Il en est un, effectivement. Mais la « convection verticale » sauve l’espèce humaine parce qu’elle entraine la pollution vers les hautes couches de l’atmosphère.

                C’est en présence « d’inversions thermiques », lorsque la pollution reste bloquée sous un « couvercle »que les gros problèmes se posent.

                Si vous voulez des informations sur le sujet du rôle des inversions thermiques sur la santé humaine, je peux vous en passer.

                Ne pas considérer le sujet des inversions thermiques, en lien avec la santé humaine, c’est passer à côté du sujet. Parce qu’il n’existe pas d’épidémie cardiorespiratoire « documentée » en dehors d’une inversion thermique. L’énorme pic de mortalité en 2015, en France, c’est un inversion thermique. Le pic de mortalité fin mars-début avril 2020, c’est le fait d’une inversion thermique. Dans le Piémont italien en 2020, c’est le fait d’une inversion thermique. 

                C’est une réalité accessible à tout le monde à l’aide de site montrant l’évolution de la qualité de l’air sur plusieurs jours. A condition de vouloir « juste » regarder !


              • Eric F Eric F 5 juin 15:58

                @Legestr glaz
                Une inversion thermique venant de Chine et se propageant en Asie, passant par l’Italie puis se propageant à l’Europe, l’Amérique du Nord, l’Afrique du sud, le Brésil, en période de climat plutôt doux ou chaud, vous y croyez ?

                Par ailleurs, des protéines et séquences génétiques identiques qui n’avaient jusqu’ici jamais été observées ont été trouvées en 2020 dans de nombreux pays. Les exosomes auraient été simultanément mimétiques dans leur créativité !


              • Eric F Eric F 5 juin 16:14

                Par ailleurs, certes les exosomes transportent des morceaux de protéines et de séquences génétiques de différents organismes, par exemple issus de la flore intestinale ou des microbes qui nous infectent.

                Mais d’une part ces protéines et séquences ne sont pas ’’inventées’’ par des cellules devenues malades, et d’autre part elles ne sont pas réplicables (*), donc elles ne se multiplieront pas dans la culture, seuls le feront des organismes à noyau.
                (*) sauf si l’exosome transporte un virion entier, celui-ci se répliquera dans la culture ...comme il le fait dans l’organisme puisque les exosomes contribuent à la propagation entre cellules. référence : A Comprehensive Insight into the Role of Exosomes in Viral Infection : Dual Faces Bearing Different Functions

                PS : heureusement que vous êtes là, on n’apprend jamais tant que par la confrontation


              • Legestr glaz Legestr glaz 5 juin 19:28

                @Eric F

                Oui, la Chine est dans le même hémisphère que l’Europe figurez vous. Et oui encore il y a eu à Wuhan en janvier-février 2020 une inversion thermique lorsqu’il y a eu des malades.

                Vous mélangez tout exprès ? Oui, les inversions thermiques existent en Chine, en Europe et aux USA, mais pas « en même temps ».

                Les maladies, la sur-fréquentation hospitalière correspondent très exactement aux zones où ont lieu les inversions thermiques ! Il vous suffit de « regarder ». Ce sont des faits. Les « clusters » sont les zones où s’étendent les inversions. Pour le covid19 l’Est, le Nord et le bassin parisien. C’est très exactement dans ces zones que l’on retrouve l’excès de mortalité en mars-avril 2020. La Bretagne et toute la façade atlantique n’ont pas connu d’inversion thermique à ce moment. Il n’y a donc pas eu de pic de mortalité.

                Je vais vous apprendre un truc. Les « protéines » virales« , comme la »spike« par exemple, sont des protéines de »laboratoire« figurez vous. Elles sont produites à l’aide d’une séquence du génome qui code pour produire cette protéine. C’est une protéine »fictive« . Et pourquoi ? Parce que le génome est lui même fictif ! Mais ça, vous ne le savez pas, pas grand monde d’ailleurs ne le sait. 

                Une fois le génome »construit« à partir des fragments »attribués« à des »virus« , les chercheurs identifient les gènes qui codent pour les protéines virales. Ces protéines sont ensuite théoriquement extrapolées à partir de la séquence génétique.
                Ce qui veut dire, Eric F, que sans »génome« pas de protéine spike. La supercherie c’est la construction d’un »génome fictif« à partir de fragments venant des exosomes émis par les cellules en culture ! 

                Vous écrivez : »Par ailleurs, des protéines et séquences génétiques identiques qui n’avaient jusqu’ici jamais été observées ont été trouvées en 2020 dans de nombreux pays. Les exosomes auraient été simultanément mimétiques dans leur créativité !« 
                Je pense que vous vous êtes mélangé les pinceaux. Le »génome« a été construit grâce à l’assemblage de séquences génétiques venant de fragments découverts par des chercheurs chinois. C’est cette étude ci : »

                A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019
                Authors : NaZhu, Ph.D., DingyuZhang, M.D., WenlingWang, Ph.D., XingwangLi, M.D., BoYang, M.S., JingdongSong, Ph.D., XiangZhao, Ph.D« 

                Lorsque vous parlez de »protéines« et de séquences génétiques identiques, est-ce que vous vous rendez compte que vous parler du »génome« assemblé par ces chercheurs, qui s’appelle SARS-COV2 et qui est archivé dans GenBank. Pour être parfaitement clair voici pour vous : Nom de la souche :Wuhan-Hu-1 ; Code GenBank (NCBI) : NC_045512.2 ; Longueur du génome : 29 903 nucléotides ; Date de soumission : 5 janvier 2020

                Sachez que d’autres bases de données utilisent d’autres codes pour le SARS-COV2 mais son génome restera le même. Alors la »bonne blague« . Ce virus a été assemblé grâce à des fragments d’ARN »attribués par hypothèse« à ce nouveau virus. Et l’ARN des exosomes émis par les cellules en culture dans le surnageant a disparu dans un tour de passe-passe génial !
                Et bien oui, Eric F, les virologues utilisent sans aucun scrupule »tous les fragments« retrouvés dans le surnageant. Et bien, je le maintiens, fort et clair, l’ARN qui est retrouvé est celui des cellules de la culture (humaines, de singe vert-VERO et bovines !). Il ne peut pas en être autrement. Le »virus«  »concocté à partir de ces fragments est un « virus Frankenstein », un « virus composite » qui n’a aucune réalité biologique. C’est une totale invention par l’assemblage bioinformatique en se référant à des virus précédents obtenu selon la même méthode biaisée (le SARS-COV1 et le RaTG13 pour ne pas le nommer).

                Et donc, comme des fragments venant d’exosomes émis par les cellules humaines « ont participé » au séquençage de ce virus fictif, cela veut dire que le génome comporte, nécessairement, de courtes séquences génétiques humaines. Le pipeline bioinformatique cherche à exclure les séquences humaines par alignement contre le génome humain Mais cette exclusion n’est jamais parfaite, surtout pour de courts fragments conservés ou non codants. Je peux même vous dire que les fragments qui ont été « lus » comportaient 150 nucléotides (par la méthode illumina) soit 300 nucléotides lus en une seule fois (2 fois 150). Faîtes donc le calcul du nombre de fragments utilisés pour atteindre le nombre de nucléotides qui compose le SARS-COV2 soit 29903 nucléotides ! Pour assurer un bon chevauchement il faut compter entre 100 et 200 fragments seulement. Mais, figurez vous que ce sont 50 à 100 millions de « reads » (de fragments) qui ont été découverts. Et après filtrage ce sont environ 0,01 % à 0,1 % de ces fragments qui ont étés alignés sur un « coronavirus proche ». Cela représente environ 10 000 à 100 000 fragments « viraux » présumés sur 50 à 100 millions de fragments totaux !

                Et savez vous, Eric F, comment sont « sélectionnés » ces fragments parmi les autres ? Et bien, tout fragment non aligné avec le génome attendu (RaTG13, SARS-CoV-1) est ignoré ou jugé « non pertinent ». Cela introduit un biais massif de confirmation : on cherche un virus... donc on assemble un virus. Je vous signale, pour faire bon poids, que le SARS-COV1, par exemple, a été assemblé bien avant 2007 et, par conséquent, avant cette date, personne ne prenait en considération le fait que les « reads » pouvaient reproduire de petites séquences humaines. Et même aujourd’hui, les courtes séquences de 150 nucléotides passent inaperçues. Voilà, voilà, voilà ! 


              • Legestr glaz Legestr glaz 5 juin 19:40

                @Eric F

                Vous écrivez : « Par ailleurs, certes les exosomes transportent des morceaux de protéines et de séquences génétiques de différents organismes, par exemple issus de la flore intestinale ou des microbes qui nous infectent. ». 

                Je vois que vous n’avez pas compris le processus. Pratiquement toutes les cellules eucaryotes, donc humaines, émettent des « exosomes » dans l’espace extra cellulaire. Ces exosomes sont produits dans le compartiment endosomal. Donc à l’intérieur même de la cellule.
                Ces exosomes sont, d’un part, des messagers, et, d’autre part, des transporteurs d’ARN, d’ADN, de protéines et de lipides. Ils participent ainsi à l’immunité cellulaire et à la communication inter-cellulaire. Ils sont très exactement de la même taille que celle que l’on attribue aux « virus », de la même densité et possède une enveloppe lipidique, comme celle que l’on attribue encore aux virus (celle qui est « explosée par les agents chaotropiques pour libérer leur contenu). 
                Il y a les cellules »émettrices« et les cellules » réceptrices« .La »flore intestinale" n’a strictement rien à voir la dedans. 

                Visiblement vous n’avez pas du tout compris le rôle et les fonctions des exosomes. Je ne vous le reproche pas. Et je comprends pourquoi vous ne comprenez pas.


              • Legestr glaz Legestr glaz 5 juin 21:27

                @Eric F

                Tenez une étude sur les méfaits de la pollution en Chine et à Wuhan. Il est question de la pollution en janvier 2020. 

                https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.19.20215236v1.full


              • Legestr glaz Legestr glaz 5 juin 21:57

                @Julian Dalrimple-sikes

                J’ai acheté le livre des époux Bailey. Oui, ils visent juste.

                En réalité, l’escroquerie virale aurait pu continuer à passer inaperçue si cette équipe de chercheurs en Suède, je parle de Valadi et al., n’avait pas démontré que les exosomes émis par les cellules chez l’être humain transportaient de l’ARN, de l’ADN, des protéines et des lipides. C’est relativement récent : 2007. 

                Et cette étude, confirmée par plusieurs autres depuis, est venu montrer comment les virologues se mettaient le doigt dans l’oeil jusqu’au coude, se trompaient en affirmant que l’ARN découvert dans le surnageant obtenu à la suite d’un culture cellulaire était nécessairement, obligatoirement, sans aucun doute possible, du « matériel viral ». C’était tout faux !

                Cet ARN, retrouvé sous forme de courts fragment dans le surnageant était donc « séquencé ». Et ces séquences étaient attribuées à un méchant virus. Une fois ses séquences assemblées, les unes après les autres, cela formait un « joli » génome : les chercheurs présentaient leur nouveau bébé, leur nouveau virus. 

                Ils ne se rendaient même pas compte qu’ils séquençaient de l’ARN venant des exosomes émis par les cellules en culture. Tout simplement parce qu’ils ne savaient pas que les exosomes transportaient de l’ARN. Cette étude de 2007 est un « bouleversement ». Les virologues, tous autant qu’ils sont, se sont fourvoyés. Ils sont parvenus à créer des « virus expérimentaux », des « virus-Frankenstein », ne correspondant à aucune réalité biologique, en mettant bout à bout des séquences de nucléotides venant pour certaines des cellules humaines de la culture, pour d’autres des cellules VERO (de singe vert) de la culture et encore de cellules bovines (du sérum foetal bovin) de la culture.

                Et la recherche sur les exosomes démontre que plus les cellules sont sous « stress », comme en présence d’antibiotiques, extraites de leur environnement, et mises en présence de cellules d’espèces différentes, et bien, plus elles émettent des exosomes dans l’espace extra cellulaire. Des exosomes qui se sont retrouvés, nécessairement, et en grande quantité, dans le « surnageant ». Et ce surnageant a reçu de bonnes doses d’agents chaotropiques ce qui a provoqué la « lyse » (la destruction) de la membrane lipidique des exosomes. Et alors quoi ? Et bien, le contenu de ces exosomes s’est déversé dans le surnageant et donc l’ARN qu’ils transportaient aussi ! Mais les virologues n’ont jamais trouvé dans le surnageant d’ARN d’origine exosomale, jamais ! jusqu’en 2007 ils ne savaient même pas que ce transport par les exosomes existait. Leur « hypothèse » de départ était fausse, et ceci est parfaitement confirmé.

                Ce qui veut dire que les génomes constitués à partir d’assemblages de séquences d’ARN fournies par les nombreux fragments découverts dans le surnageant sont totalement bidon puisque l’ARN provient des exosomes humains et animaux de la culture. Et même, en étant, « très ouvert », si des « virus » étaient présents dans la culture, cela n’enlèverait rien au fait que les virologues ont constitué des génomes« imaginaires », faisant se chevaucher des séquences d’ARN provenant de différentes origines. C’est totalement dément. 

                Et ces génomes ont été, au fur et à mesure, archivés dans les banques de données des virus. Tout est faux, mais ces banques restent un point d’appui obligatoire pour la recherche virale. La « théorie virale » est aussi exacte que la « théorie géocentrique » et tout aussi bien « gardée » que l’était celle qui plaçait la Terre au centre de l’univers. Tout tient sur une mauvaise hypothèse qui devient aujourd’hui un mensonge. Parce qu’un hypothèse, si l’on s’est trompé, on la supprime. Mais les virologues en sont loin, c’est tout un business lucratif qui est en jeu. 


              • Enki Enki 6 juin 01:01

                @Legestr glaz

                Vous n’avez pas intégré le fait que la pollution émise s’échappe vers la haute atmosphère sauf, et oui il y a un « sauf », en cas « d’inversion thermique » ! Et ce fait météorologique est parfaitement documenté. Il semblerait que sous votre nappe de brouillard vous ne l’ayez pas compris pour me traiter de monomaniaque.

                Ce n’est pas parce que vous avez des difficultés de compréhension que les autres en deviennent monomaniaques. Vous êtes simplement atteint de dissonance cognitive et/ou d’un manque de recul extraordinaire.

                Ah ouais ? Et donc c’est depuis la révolution industrielle, avec des inversions thermiques d’un air bien plus pollué que l’espérance de vie a augmenté ?
                Vous ne vous sentez pas perdu dans vos explications ? Etre monomaniaque, ça rassure quand c’est complexe, mais ça n’explique pas la complexité : erreur !


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 07:06

                @Enki

                L’’espérance de vie a augmenté avec la découverte des antibiotiques.

                Les inversions thermiques restent mortelles, en automne-hiver, avec des pics de mortalité. Et en été avec la pollution à l’ozone, comme en 2003 en France. 

                ... « L’épisode de pollution à l’ozone qui s’est développé sur l’Europe de l’Ouest lors de la première quinzaine du mois d’août, revêt une importance particulière par son amplitude spatiale et par sa durée.L’ampleur de ce phénomène peut être visualisée par la première carte ci-dessous (issue d’un modèle numérique) qui illustre la situation pour l’un des jours les plus pollués de la période, le 8 août 2003. »
                https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/developpement-durable-pollution-ozone-cours-ete-2003-286/page/2/

                Vous avez le nez dans le guidon Enki. Relevez la tête et sortez de votre dissonance. Toutes les preuves que les pics épidémiques en automne-hiver se déroulent « sous inversion thermique » sont disponibles. Vous pouvez même consulter des sites comme « Ventusky.com » pour comprendre l’évolution de la pollution au jour le jour, et les « zones où elle s’étend ». Mais peut être est-ce un peu trop pour vous ? 

                Ici vous avez des chiffres et des informations. Faites en bon usage et sortez de votre brouillard épais ! Et vous allez voir, vous allez faire sensation dans les réunions entre amis en leur « prédisant » l’arrivée du « virus depuis la Chine ». Vous allez connaitre exactement le jour et l’heure à laquelle il aura réservé son vol et « où » il va se poser ! 

                « Grâce à l’Espace, nous pouvons surveiller la qualité de l’air et prévoir les épisodes de pollution atmosphérique »
                https://www.space4ourplanet.org/fr/story/grace-a-lespace-nous-pouvons-surveiller-la-qualite-de-lair-et-prevoir-les-episodes-de-pollution-atmospheriques/

                https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/ambient-(outdoor)-air-quality-and-health


              • Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 6 juin 08:32

                @Legestr glaz

                Bien lu merci.
                Et oui le Veau D’or....qui ne dit rien du tout de la cause en nous.
                Curieux de ne pas être intéressé par sa vie !!

                Slàn, irlandais pour au revoir..


              • Enki Enki 6 juin 08:37

                @Legestr glaz

                Vous ne m’apprenez rien avec votre dernier message, je sais déjà tout ça. En ajoutant que les chutes de températures tuent les plus fragiles, même sans inversion thermique, même en régions sans pollution dans l’air.

                Les Kanaks qui ont disparu aux 4/5ème à la fin du XIXème, ainsi que les Polynésiens, et avant des populations amérindiennes entières avec les arrivées espagnoles : ce ne sont pas des inversions thermiques ni la pollution industrielle dans l’air, mais des contaminations virales (variole, rougeole, grippe), comme premières causes, loin devant les tueries et massacres qui ont aussi existé.

                Votre tempérament monomaniaque ne vous permet pas d’admettre qu’il existe différentes causes à un décès respiratoire ou bien une conjonction entre plusieurs causes.

              • Eric F Eric F 6 juin 09:37

                @Enki
                Oui, mais ces infections virales chez les populations natives étaient des artefacts de laboratoire, la recette avait été envoyée dans le passé grâce à la 5G. Car en réalité, la contagion n’existe pas, vous devriez le savoir. Sauf avec des bactéries quand même, parce qu’on les voit au microscope smiley


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 10:32

                @Eric F

                Pas seulement des bactéries mais aussi les toxines bactériennes, vous connaissez ?

                Pas seulement des bactéries mais aussi des « mycotoxines », vous connaissez ?

                Comme vous ne me semblez pas bien au point sur le sujet voici ce qu’en dit l’OMS
                https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/mycotoxins

                Et puis ceci, c’est tout « frais », année 2025 ! 

                Mycotoxines et toxines fongiques : état actuel et perspectives d’avenir

                https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40278674/

                « Un examen complet des mycotoxines, de leur toxicité et des méthodes de détoxification innovantes »

                https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40162074/

                Mais vous avez raison Eric F : les virus expliquent tout ! Chez les gens simples au moins. 

                ... La mycotoxicose est une maladie causée par des mycotoxines qui affectent plusieurs organes et peuvent entraîner la mort en cas d’exposition à de fortes concentrations. L’exposition aux mycotoxines peut se faire par l’ingestion d’aliments contaminés, le contact et l’inhalation [5] . La toxicité varie considérablement selon les champignons et les substances actives qu’ils contiennent. Elle peut entraîner des anomalies endocriniennes, des effets tératogènes, mutagènes, hémorragiques, œstrogéniques, hépatotoxiques, néphrotoxiques, immunosuppresseurs, une altération de l’expression génétique, un dysfonctionnement du système reproducteur, des troubles du tube digestif et le développement de cellules cancéreuses dans l’organisme


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 10:53

                @Enki
                 

                ’’ Les Kanaks qui ont disparu aux 4/5ème à la fin du XIXème, ainsi que les Polynésiens, et avant des populations amérindiennes entières avec les arrivées espagnoles : ce ne sont pas des inversions thermiques ni la pollution industrielle dans l’air, mais des contaminations virales (variole, rougeole, grippe), comme premières causes, loin devant les tueries et massacres qui ont aussi existé. ’’
                >
                Variole, varicelle, rougeole, grippe ...
                Ok, ça c’est ce que dit l’histoire. Mais qu’en est-il vraiment du réel ? Qui pourrait le dire ?
                 
                 «  la colonisation, ’’ intrinsèquement génocidaire ’’, se fait en deux étapes mortifères : la destruction du mode de vie de la population indigène, puis l’acculturation, les nouveaux venus imposant leur mode de vie au groupe devenu minoritaire »

                Voilà qui suffirait à expliquer les maladies des peuples premiers, diagnostiquées à tort et au prisme de la science industrielle, Variole, varicelle, rougeole, grippe ...  !

              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 10:57

                @Legestr glaz
                 7 bien vu : ce ne sont pas les agents pathogènes qui induisent les maladies mais les toxine diverses qu’ils produisent.
                 
                Or à ma connaissance, on ne connait pas de toxines produites par les virus : sauf erreur de ma part, la seule présence dans l’organisme des virus serait selon la théorie, la seule cause des maladies.


              • Eric F Eric F 6 juin 10:59

                @Legestr glaz
                Vous truquez mes propos, je n’ai absolument jamais écrit que les virus expliquent tout, mais, comme l’indique également Enki, qu’il y a des multiples facteurs pouvant engendrer des maladies (pas seulement respiratoires du reste), dont les virus. Alors, pour le chikungunya vous allez encore nous parler d’inversion thermique ?
                Que les vecteurs de contagion diffèrent entre bactéries est virus est une chose, mais cela montre que la pollution ou le temps qu’il fait n’est pas l’alpha et l’oméga des épidémies, et que la transmission entre personnes infectées est un facteur majeur, même s’il n’est pas le seul.


              • Eric F Eric F 6 juin 11:10

                @Francis, agnotologue
                Vous vous y mettez aussi ! Concernant les populations natives ayant été décimées par des maladies transmises par les colons, cela ne réfute par qu’il y ait eu aussi oppression de ces populations, mais les témoignages de symptômes sont significatifs.


              • Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 6 juin 11:14

                @Julian Dalrimple-sikes

                Il est très curieux, mais pas surprenant de voir les tous petits , les riens, comme je le suis et sommes tous ici, du moins au seul niveau qui intéresse la majorité de la planète : combien tu as, quels pouvoirs as tu et ce genre de choses, venir défendre des gens qui possèdent de manière intégralement parasitique et violente possèdent quasiment tout , certains tout petits , des riens , venir défendre tous les mensonges du maître ..
                l’espoir d’une récompense ? 
                JE vois les pourquoi de cela, dans la psyché et la pensée, le privilege maudit d’avoir vécu et de vivre sa souffrance..processus qui guide donc sait.
                Pourquoi maudit ? parce que par exemple en 1967, âgé de 12 ans , me fut montré aujourd’hui et tout ce qui était montré est arrivé..
                Comme évidente est la suite...
                Dommage, vivre était le miracle..


              • Gollum Gollum 6 juin 11:16

                @Eric F

                Vous vous y mettez aussi !


                ça vous étonne ? smiley Moi pas...

                Ce gars est incapable de logique et de raison. Idem pour son mentor. Je vous admire de vous battre contre ces moulins à vent..


              • Gollum Gollum 6 juin 11:19

                @Julian Dalrimple-sikes

                Et v’là l’ autre dérangé mental.. L’halluciné qui a tout vu, et tout compris, dans des visions chamaniques.. à l’âge de 12 ans ! smiley


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 11:31

                @Eric F
                 
                 ’’les témoignages de symptômes sont significatifs.’’
                >
                Vous ne voyez donc pas que vous êtes englué dans des pétitions de principe ?
                 
                « Les symptômes observés sur ce malade sont ceux de la grippe < = > définition : La grippe est une maladie dont le clinique de englobe ... ces symptômes là »


              • Eric F Eric F 6 juin 11:32

                Les virus n’agissent pas par des toxines, mais infectent la cellule en utilisant les mécanismes de celle-ci pour se reproduire, polluant ainsi la cellule de constituants étrangers, conduisant à la dégradation ou destruction de la cellule -elle même pouvant alors être considérée comme ’’étrangère’’ et attaquée par des mécanisme immunitaires-.
                Certaines protéines des virus ont un effet toxique en altérant des constituants cellulaires, il y a du reste questionnement sur la toxicité de la protéine spike utilisée comme antigène par les vaccins à ARN messager ou adénovirus. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40254264/ (on va sans doute me qualifier de quasi-complotiste sur ce point)


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 11:34

                @Gollum
                 
                 ’’ Ce gars est incapable de logique ’’
                >
                Oui, c’est pour ça que j’ai fait une carrière d’informaticien a^rès des études de mathématiques.
                 .
                Pfff !


              • Eric F Eric F 6 juin 11:39

                @Francis, agnotologue
                pas seulement grippe, rougeole, variole, etc.


              • Gollum Gollum 6 juin 11:49

                @Francis, agnotologue

                La logique informatique est tout à fait basique et facile..

                C’est une toute autre paire de manches que la logique au niveau des idées, savoir maitriser ses biais, ses à priori, ses émotions, et même sa pathologie personnelle (suivez mon regard), l’impulsion non maîtrisable de jouer à l’original, etc, etc..

                Tout cela n’intervient pas dans la logique bête booléenne..


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 11:49

                @Eric F

                Je ne déforme pas vos propos, vous revenez à la charge en expliquant, avec un smiley, que des « virus » pourraient avoir opéré chez les Kanaks. 

                Pour le chikungunya il y a de nombreux facteurs qui peuvent expliquer les symptômes visibles. Vous faites une confiance absolue au « virus » inoculateur. Virus « séquencé » toujours dans des conditions de biais méthodologiques importants.
                Mais avez vous tenté d’examiner les zones où cette maladie se propage ?

                Avez vous tenté de réfléchir au fait qu’une grande majorité de personnes piquée par le moustique ne développe strictement aucun symptôme ?

                Avez vous tenté d’observer le « profil » des personnes qui développent des symptômes graves ?

                Et bien voilà : Les épidémies de chikungunya s’installent préférentiellement dans des zones de forte précaritéavec des conditions d’insalubrité (eau stagnante, logements insalubres) et où les habitants sont exposés à de multiples co-facteurs  : mycotoxines, malnutrition, manque d’accès aux soins. Par exemple, l’épidémie de chikungunya à La Réunion en 2005–2006, a touché de façon disproportionnée les quartiers défavorisésles femmes enceintes, les personnes âgées, les diabétiques étaient les plus touchés, de nombreux cas étaient associés à des douleurs articulaires chroniques, compatibles aussi avec des inflammations déclenchées par des toxines environnementales ou endogènes.

                Et puis encore : quels sont les « symptômes » du chikungunya ? Fièvre élevée brutale ; douleurs articulaires sévères, parfois invalidantes ; myalgies, céphalée ; éruption cutanée ; fatigue persistante (parfois plusieurs mois). 
                Et ces symptômes sont parfaitement identiques à ceux produits par les mycotoxines comme : ochratoxine A, trichothécènes, aflatoxines, gliotoxine ou encore fumonisines.

                Et ce qui rend les mycotoxines crédibles comme « mimétiques » du chikungunya c’est : leur présence dans les régions endémiques (Afrique, Inde, Océan Indien, Caraïbes), leur action immunotoxique, pro-inflammatoire, et parfois neurotoxique, leur persistance dans les tissus et leur effet cumulatif (comme la fatigue chronique post-chikungunya), leur présence dans l’alimentation (grains moisis) ou l’environnement (maisons humides, toitures dégradées), leur forte prévalence dans les populations vulnérables (malnutrition, pauvreté, climat humide).

                Mais vous avez parfaitement le droit de croire au « méchant virus ». Les effets de ces mycotoxines sont « négligeables » et « invisibilisés » en présence des virus. Comme les graves effets des nanoparticules de la pollution sont « effacés » face aux virus ! 


                Il fadrait donc « examiner » le terrain comme le proposait Antoine Béchamp. Par exemple les hypovitaminoses : carence en vitamine A, B9, B12, C. Et puis pourquoi ne pas évoquer les carences en fer, en zinc, en sélénium ?

                Et lorsque je parle de la pollution, je parle d’époques bien précises, vous ramenez ici la discussion sur le chikungynya. Pourquoi pas, mais cela n’a rien à voir avec les mécanismes par lesquels les nanoparticules de la pollution dégradent les alvéoles pulmonaires qui sont parfaitement bien déterminés. A tel point qu’aujourd’hui on veut faire croire que le « méchant virus » déclenche très exactement le même mécanisme. On ne recule devant aucune supercherie. 

                Et je vous invite, simplement, à « vérifier » ce que j’écris.


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 12:01

                @Eric F

                vous écrivez : « Les virus n’agissent pas par des toxines, mais infectent la cellule en utilisant les mécanismes de celle-ci pour se reproduire, ».
                Ca, c’est du domaine de la légende urbaine. Ceci n’a jamais été constaté, jamais.

                Ce que vous rapportez est le strict équivalent du Père Noël qui passe par la cheminée pour apporter des cadeaux ! 

                Ainsi, les mécanismes attribués au SARS-CoV-2, dans les cas de COVID-19, sont indistinguables de ceux causés par les nanoparticules de pollution (PM2.5, PM1, PM0.1), ainsi que par d’autres polluants comme NOx,SO2,HAP,COV, et métaux de transitionCette absence de différence remet en question la nécessité d’invoquer un virus comme cause des clusters de mortalité, alors que la pollution atmosphérique, inertenon reproductible, et non transmissible, explique parfaitement les dysfonctions endothéliales, les thromboses, les SDRA, et les effondrements alvéolaires. Cette similitude rend l’une des deux hypothèses superflue, car un seul mécanisme causal suffit à expliquer les clusters.

                Choisis ton camp camarade ! 


              • Enki Enki 6 juin 12:51

                @Francis, agnotologue

                Variole, varicelle, rougeole, grippe ...

                Ok, ça c’est ce que dit l’histoire. Mais qu’en est-il vraiment du réel ? Qui pourrait le dire ?


                Oué, bon, je pourrais vous demander de me prouver que la Terre n’est pas plate ou que Louis XIV a existé. Puis à toutes vos réponses, je pourrais vous rétorquer que ce ne sont pas des preuves tangibles, que ça peut être truqué ou erroné, que ça peut être expliqué différemment...
                Alors on fait comment ?

                https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/56/Acuna-Soto_EID-v8n4p360_Fig1.png
                (Cocolitzi est le nom Amérindien donné à la variole).
                Après, vous pouvez vous dire que les conquistadores ont tué 20 millions d’Amérindiens, en 30 ans, avec épées, flèches, hallebardes... Ou bien, vous pouvez vous dire : « non, cela fait beaucoup, quand même ». Je ne peux pas penser à votre place.
                Article ici :
                 https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_d%C3%A9mographique_des_Am%C3%A9rindiens

                Après, je peux vous avancer une liste de documents : vous les lisez, ou pas... Ce n’est pas vous qui en avez la mémoire atavique, ou orale. Moi non plus, mais au moins, je suis immergé dans une population que je connais bien qui a encore cette mémoire.
                https://www.clionautes.org/des-epidemies-destructrices-aux-ameriques-xvieme-et-xviieme-siecles.html
                 https://www.ledevoir.com/opinion/idees/617103/histoire-epidemies-et-colonisation-de-l-amerique
                https://www.inrap.fr/drame-demographique-et-resilience-en-oceanie-17914
                Ou demandez vous-même à l’agent conversationnel.

                En tout cas, ce sont des épidémies virales, ou bactériennes. Ce n’est pas climat, ni l’inversion thermique, ni autre pollution aérienne industrielle qui ont expliqué les morts pas dizaines de millions, tant de la part des Européens que de la part des autochtones. 


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 12:54

                @Eric F

                Votre méconnaissance vous empêche de comprendre les mécanismes en jeu.

                Nous parlions des maladies cardio-respiratoires en automne-hiver. 

                Il existerait donc des conjonctions entre plusieurs causes aux décès respiratoires ? Vous voudriez nous expliquer ces causes ou bien sont-elles secrètes ? 

                Moi, je peux vous parler de la dégradation du glycocalyx endothélial comme problème numéro un dans les maladies respiratoires. Mais, sous doute, n’avez vous pas bien souvent entendu parler du glycocalyx ce qui fait que vous ne pouvez même pas envisager la question sous cet angle. 

                Je vous donne un avant goût : 

                ... Le risque d’une aggravation rapide de la maladie est l’un des aspects les plus inquiétants de l’infection par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère. De plus en plus de données révèlent que les symptômes du syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) liés à la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) différents de ceux du SDRA classique. Récemment, la gravité de la COVID-19 a été attribuée à une maladie systémique, thrombotique et inflammatoire qui endommage non seulement les poumons, mais aussi plusieurs organes, dont le cœur, le cerveau, les orteils et le foie. Cette forme systémique du COVID-19 pourrait être due à une inflammation et à une lésion des cellules endothéliales vasculaires. Le glycocalyx endothélial vasculaire est composé de glycoprotéines et joue un rôle important dans le maintien de l’homéostasie capillaire systémique. Le glycocalyx recouvre l’intégralité de l’endothélium vasculaire et son épaisseur varie selon les organes. Le glycocalyx endothélial est très fin dans les capillaires pulmonaires, où il est affecté par les échanges gazeux avec les alvéoles et la faible pression intravasculaire de la circulation pulmonaire. Malgré le rôle évident du glycocalyx dans les lésions endothéliales vasculaires, la thrombose, la vascularite et l’inflammation, le lien entre cette structure et le dysfonctionnement des cellules endothéliales vasculaires dans la COVID-19 reste flou. Dans cette revue prospective, nous résumons l’importance du glycocalyx et son potentiel comme cible thérapeutique dans les cas de COVID-19 systémique.« ...

                Et puis : 

                ... Nous passons également en revue l’état actuel des connaissances concernant l’effet attribuable de la dégradation du glycocalyx épithélial sur la pathogenèse des lésions pulmonaires. Enfin, nous abordons la dégradation du glycocalyx comme médiateur potentiel de l’hétérogénéité du SDRA, et l’intérêt de la quantification de la perte de GAG ​​​​au point de service pour identifier les patients les plus susceptibles de répondre aux agents pharmacologiques visant à atténuer la dégradation du glycocalyx. Le glycocalyx épithélial alvéolaire est une structure complexe et peu étudiée, essentielle à l’homéostasie pulmonaire et à la pathogenèse des lésions pulmonaires. Lors d’une lésion, de multiples stimuli inflammatoires activent les MMP et d’autres protéases (probablement redondantes), clivant les HSPG et les CSPG qui ancrent le glycocalyx à la surface épithéliale. La desquamation subséquente du glycocalyx épithélial a des conséquences importantes qui contribuent à l’apparition et à la progression des lésions pulmonaires, notamment l’hyperperméabilité alvéolaire, la perturbation de la fonction du surfactant, l’augmentation de la virulence bactérienne et l’altération de la réparation des cellules épithéliales »...

                Je vous laisse avec ça. Ma monomaniaquerie devient un dimaniaquerie avant de passer à la plurimaniquerie ! 


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 12:57

                @Gollum
                 
                je vous en remontrerais sur ce terrain, mais ça me débecterai d’en discuter avec un individu comme vous, et précisément pour les raisons que vous avez évoquées entre autres.
                Ce refus de ma part est ce qui nous distingue justement, refus qui prouve que le plus influencé de nous deux par ses biais, ses à priori, ses émotions, sa pathologie personnelle et l’impulsion non maîtrisable de jouer à l’original, c’est bel et bien vous.


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 13:06

                @Enki
                 
                 ’’Ou demandez vous-même à l’agent conversationnel.’’
                >
                 Ok, je vois : L’agent conversationnel est une référence pour vous, pas pour moi qui ne le considère pas comme un oracle mais seulement comme un outil. Un magnifique outil mais capable du meilleur comme du pire si on n’y prend garde.


              • Gollum Gollum 6 juin 13:07

                @Francis, agnotologue

                Ce refus de ma part est ce qui nous distingue justement,

                Parce que moi je voudrais discutailler avec vous ? Sinon je n’ai rien d’orignal moi puisque je valide l’existence des virus, je suis on ne peut plus mainstream... smiley


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 13:09

                @Eric F.

                Ce post de 12:54 s’adressait à Enki, à qui je répondais. Désolé.


              • Gollum Gollum 6 juin 13:09

                Et ça moinsse... et ça plusse... smiley

                Les mecs en panique qui demandent aux étoiles de dire le vrai... smiley


              • Enki Enki 6 juin 13:15

                @Francis, agnotologue

                Est-ce que j’ai dit que je prends les infos de l’agent conversationnel pour argent comptant, ou est-ce que c’est vous qui le dîtes à ma place ?

                Vous avez cherché un détail de mon message pour fuir ainsi commodément le sujet des contaminations qui soi-disant n’existent pas.
                J’ai commencé par vous soumettre un graphique : est-ce que vous pensez réaliste que les conquistadores aient tué 20 millions d’Amérindiens dans l’actuel Mexique avec les armes de l’époque ?


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 13:24

                @Legestr glaz
                 
                existe-t-il ou pourrait-il exister des vaccins contre les toxines ou mycotoxines ?


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 13:26

                @Enki

                J’ai pensé que ceci, concernant le « glycocalyx », pourrait vous intéresser.

                ... Chez les patients atteints d’athérosclérose, un dysfonctionnement endothélial vasculaire est fréquemment observé, parallèlement à une atteinte du glycocalyx endothélial vasculaire, une matrice extracellulaire liée aux cellules endothéliales tapissant la paroi des vaisseaux sanguins et les encapsulant. Bien que des facteurs de risque d’athérosclérose aient été rapportés chez des patients atteints de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans des conditions sévères, les mécanismes exacts restent flous.

                La mortalité associée à l’épidémie de COVID-19 est aggravée par les comorbidités, notamment l’hypertension, le diabète, l’obésité, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et les maladies cardiovasculaires. De plus, les personnes âgées et les fumeurs présentent des résultats nettement moins bons.

                Il est intéressant de noter que ces comorbidités et facteurs de risque concordent avec la physiopathologie à l’origine des lésions du glycocalyx endothélial vasculaire.

                De plus, le dysfonctionnement du glycocalyx vasculaire provoque des fuites microvasculaires, qui se traduisent par des ombres pulmonaires interstitielles anormales (ombres multiples et irrégulières avec un aspect interpneumonique en verre dépoli). Ceci est fréquemment suivi d’un syndrome de détresse respiratoire sévère (SDRA), étroitement lié aux modifications coagulo-fibrinolytiques contribuant à la coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et au syndrome de choc de la maladie de Kawasaki, ainsi qu’à l’activation de la cascade de coagulation, conduisant à une thromboembolie et à une défaillance multiviscérale.


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 13:32

                @Francis, agnotologue

                Mais les vaccins sont une « idée pasteurienne ». 

                Depuis la découverte des PRR, des PAMP et des DAMP, la dichotomie immunité inné /immunité adaptative a été totalement dépassée. En réalité, le système immunitaire est un système qui réagit en « cascade de réactions ». Si la première n’est pas suffisante, une seconde intervient, etc.

                L’idée de « préparer » le système immunitaire, en inoculant une version atténuée d’un agent pathogène à l’aide d’un « vaccin » est devenue une hérésie puisque la découverte des PRR montre que le système immunitaire sait faire toujours et tout le temps la distinction entre le « soi » et le « non soi ». Donc « inutile de le préparer. Il identifie immédiatement l’agent pathogène qui ne correspond pas »au soi".


              • Enki Enki 6 juin 13:35

                @Legestr glaz

                Ce post de 12:54 s’adressait à Enki, à qui je répondais. Désolé.

                Ah, parce que vous m’expliquez que le covid 19 a existé ? Je croyais que les virus n’existaient pas, selon vous. Je fais comment pour savoir à qui je réponds ?

                Sinon, pas la peine de me sortir des pavés plein de mots savants pour jouer au sachant.
                Cela fait longtemps qu’on a compris que les masques respiratoires ne servaient à vraiment pas grand chose, puisque la pathologie n’était pas tant respiratoire (encombrement des voies respiratoires) que thrombogène : saignements et occlusions des vaisseaux sanguins à cause de l’attaques des parois endothéliales (internes). On les connait tous ces vidéos de responsables de pompes funèbres avec ces flacons contenant ces serpentins graisseux qui ont bouché les vaisseaux sanguins des morts.


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 13:41

                @Enki
                 
                vous savez, des liens qui prouvent ceci ou cela, j’en ai lu des milliers sur le sujet, depuis toutes ces années, bien antérieures aux années covidiotes. Et un esprit curieux doit trier les infos sinon il n’avance pas.
                 
                La question est : ’’ pensez-vous réaliste que les conquistadores aient tué 20 millions d’Amérindiens dans l’actuel du Mexique avec les armes de l’époque ? ’’
                 

                Bah : je vous invite simplement à jeter un coup d’œil sur le dessin sur cette page Wikipedia, il parlera pour moi. Je crois que c’est un dessin très ancien. Ça ne s’invente pas.


              • Enki Enki 6 juin 13:51

                @Francis, agnotologue

                Je l’ai déjà écrit, plusieurs fois je crois : il y a eu des tueries, des massacres et il y a eu des épidémies. Etes vous capable de penser que l’un ET l’autre aient pu exister, ou bien vous êtes de pensée mono-causale, comme Legestr glaz : on ne peut pas penser les deux en même temps, c’est l’un OU l’autre.
                Oui, c’est horrible ce que montre cette image. Oui, je condamne, non je n’aime pas ça.

                Maintenant :
                - est-ce que vous pensez qu’ils ont pendu 20 millions d’Amérindiens ?
                - est-ce que la question que vous m’avez posée est si il y a eu (AUSSI) des épidémies, ou pas ? 


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 14:01

                @Enki
                 
                Vous pourfendez ma supposée pensée mono-causale, mais vos propos ne plaident pas en votre faveur sur ce sujet de la monomanie !
                Exemple, je cite : ’’- est-ce que vous pensez qu’ils ont pendu 20 millions d’Amérindiens ? ’’
                 !!!
                 
                Veuillez reformuler correctement svp, et je vous répondrai.
                 


              • Enki Enki 6 juin 14:05

                @Francis, agnotologue

                Ma question est formulée correctement.

                Là encore, vous cherchez un point de fuite, pour ne pas continuer la question s’il y a eu morts des Amérindiens en raison des épidémies et encore moins vous confronter aux documents qui les expliquent.


              • Eric F Eric F 6 juin 14:07

                @Legestr glaz
                ’’les vaccins sont une « idée pasteurienne ». ’’

                le principe de la vaccination est antérieure à Pasteur, il avait été basé sur des constats empiriques, le terme vaccin vient de vaccine qui était une maladie des ovins pouvant se transmettre à l’homme (variole), le principe d’immunisation avait été adapté en Europe par Jenner et avait déjà été pratiqué en Asie (dès le Xè siècle !) et Afrique. Pasteur a formalisé au niveau théorique et développé. 

                Le système immunitaire est composite, l’existence d’un de ses mécanismes ne récuse pas ipso facto l’existence d’un autre. L’inné et le programmable se complètent. 

                Une pincée de dissidents et une poignée d’amateurs prétendent en remontrer à la science de centaines de milliers de chercheurs et de millions de praticiens. 


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 14:15

                @Enki
                 
                 ’’Ma question est formulée correctement. ’’
                  >
                Quelle question ? Il y en a deux.
                La première est formulée de façon perverse. Si vous ne le voyez pas, vous n’êtes pas un interlocuteur crédible.
                Cependant j’y répondrai : à cette époque, les chrétiens croyaient qu’eux seuls avaient une âme et que les animaux, suivez leur regards, n’étaient pas des êtres sensibles. cf. la controverse de Valladolid.(un grand film que j’ai vu à sa sortie, en 1992).
                Quant à la deuxièmequestion : je ne la comprends pas.


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 14:23

                @Legestr glaz
                 
                ’’ le terme vaccin vient de vaccine qui était une maladie des ovins pouvant se transmettre à l’homme (variole), le principe d’immunisation avait été adapté en Europe par Jenner et avait déjà été pratiqué en Asie (dès le Xè siècle !) et Afrique. Pasteur a formalisé au niveau théorique et développé ’’
                >
                Ah ? Parce qu’il a su produire des virus atténués ? Des virus à moitié morts ? Dur pour une espèce qui n’est pas réputée briller par sa vitalité !
                 
                Qui ici manque de logique dans les idées, comme disait l’autre avec ses smileys ridicules pour seuls arguments ?


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 14:31

                @Eric F
                 
                 ’’ Une pincée de dissidents et une poignée d’amateurs prétendent en remontrer à la science de centaines de milliers de chercheurs et de millions de praticiens. ’’
                  >
                 Vous dites a pour vous rassurer ? Ou bien parce que vous croyez que c’est un argument ?


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 14:34

                @Legestr glaz

                 
                ma réponse de 14:23 était destinée à Eric F.


              • Enki Enki 6 juin 14:42

                @Francis, agnotologue

                Vous voyez : vous répondez par du hors sujet, pour prolonger inutilement l’échange.

                Je vous ai déjà demandé si selon vous, c’est possible que les conquistadors aient tué 20 millions d’Amérindiens avec les armes de l’époque : pas de réponse.
                Vous me sortez cette image de pendus mis au feu (+ un enfant qui va être éclaté contre une pierre). Je profite de cette image pour reposer la question : si vous pensez réaliste que les conquistadors aient pendu 20 millions d’Amérindiens ; pas de réponse.
                Pour la deuxième question : si les conquistadors ont tué activement, d’une manière ou d’une autre 20 millions d’Amérindiens, ils ne sont alors pas morts d’épidémies. Et si ce n’est pas le cas, c’est que les Amérindiens sont morts aussi d’autre chose, ces épidémies, donc, que des sources très nombreuses et variées renseignent y compris indigènes puisque « cocolitzli » mentionné dans mon premier lien URL pour vous est un mot amérindien pour désigner la maladie épidémique.
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Cocoliztli

                Maintenant, je ne vais pas continuer : c’était pour vous montrer que vous ne voulez pas vous poser la question de l’épidémie et que vous faites le moulin à vent, comme le dit Gollum, avec moi pour fuir la question. 

                 


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 15:17

                @Enki
                 
                 première question : la perversité, ou si vous préférez, votre bêtise réside ici dans le mot : ’’pendu’’. Vous vous moquez du monde, ou bien c’est votre tournure d’esprit qui confond pendre et toutes les autres manières de tuer ? Y compris en privant les gens de leurs coutumes et valeurs ancestrales ?
                 
                Deuxième question : j’y ai répondu depuis longtemps et Legestr glaz aussi, et maintes fois, mais vous ne voulez rien entendre de cet ordre.
                 
                Alors à votre demande non justifiée, je répèterai pour la mille et unième fois en résumant à l’essentiel : « le virus (s’il existe) n’est rien, le terrain est tout  » Béchamp
                 
                 ps. Des questions sur l’épidémie je me les suis posées bien avant que vous ne vous y intéressiez, et j’ai lu des milliers de pages à ce sujet. Il arrive un moment où l’on est fatigué de taper sur des enclumes.
                Quant à l’autre imbécile que vous venez de citer, celui de la bande des smileys n’en parlons pas, il ne vient ici que pour jouir de ses moqueries envers tout ceux qui pourraient le défriser. Mais libre à vous d’approuver voire d’adopter ses mauvaises manières.


              • Gollum Gollum 6 juin 15:26

                @Francis, agnotologue

                Quant à l’autre imbécile que vous venez de citer, celui de la bande des smileys n’en parlons pas, il ne vient ici que pour jouir de ses moqueries envers tout ceux qui pourraient le défriser. Mais libre à vous d’approuver voire d’adopter ses mauvaises manières.

                 smiley (smiley) 

                J’ai de bonnes manières avec ceux qui méritent de bonnes manières.

                Vous, y a belle lurette que votre « intelligence » (je mets des guillemets à bon escient) a fait naufrage, par contre votre prétention est toujours au top, celle de donner des leçons de biologie alors que ce n’est pas votre spécialité, au monde entier.. ça a un nom : mégalomanie, hypertrophie du moi, et autres qualificatifs peu élogieux...

                Sinon je n’ai pas envie d’argumenter avec vous, car vous avez tout du sectaire bouché, et on sait pertinemment qu’on perd son temps à argumenter avec un sectaire...

                D’où mon admiration pour Eric_F ou Enki... Z’ont bien du courage.


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 15:36

                @Enki
                 
                 ’’vous faites le moulin à vent, comme le dit Gollum, avec moi pour fuir la question. ’’
                >
                Ah bon ?! Maintenant je ferais du hors sujet et du vent pour fuir la question ? Sauf erreur, ce n’est pas moi qui ai convoqué les massacres d’Amérindiens ici. Et ma réponse relative à la controverse de Valladolid n’est que la réponse du berger à la bergère.
                Vous manquez furieusement de suite dans les idées mon cher, et je vous apprendrai ans doute quelque chose ainsi qu’à l’autre imbécile en vous disant que la suite dans les idées est la base de la logique.


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 16:00

                @Francis, agnotologue

                Lors des infections des voies respiratoires, et la cascade de symptômes qui y est lié, c’est bien le glycocalyx endothélial dans le réseau dense des capillaires alvéolaires qui fait défaut. De nombreuses études scientifiques, de qualité, le démontrent. 
                Alors, évidemment, je parle chinois en évoquant le « glycocalyx » mais je ne suis pour rien si la doxa dominante nous vend du « virus » à longueur de journée, avec les « variants » les « mutants », les « furtifs » les « recombinants ». Ca, les gens connaissent et en entendent parler. Du glycocalyx jamais ! C’est, pour certains, une grossièreté que je formule ! C’est dingue ce que la manipulation des esprits peut faire. Et je le comprends parce que dans un domaine aussi complexe que celui de la santé, le « principe d’autorité » joue à plein. 

                N’importe qui peut taper dans un moteur de recherche « glycocalyx » pour en savoir un peu plus sur lui.

                Pour info, en Italie, et dans d’autres pays du monde, mais pas en France, un médicament, le « sulodexide » permet de restaurer le « glycocalyx ». Il a été utilisé en Italie en soins intensifs lors du covid et a eu un grand succès en sauvant beaucoup de vie.
                Extrait : « Nous émettons l’hypothèse que le sulodexide institué précocement chez les populations à risque important et les patients symptomatiques atteints de COVID-19 (essoufflement, fièvre, faiblesse, diarrhée) et les facteurs de risque de diabète, hypertension, BPCO, athérosclérose, maladie rénale chronique, apportera une amélioration dans l’intégrité endothéliale, diminuer les réponses inflammatoires et améliorer les résultats cliniques avec une diminution des admissions à l’hôpital, une diminution de la TEV et des complications artérielles, de la morbidité et de la mortalité. ».
                 
                Et cette étude : « Développement et utilisation du sulodexide dans les maladies vasculaires : implications pour le traitement »
                https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24391440/

                Extrait ... "Le SDX, longtemps considéré comme un agent antithrombotique « mineur » similaire à d’autres substances de type héparine, a connu un regain d’intérêt, notamment au cours de la dernière décennie. En effet, après administration orale, le SDX présente de nouvelles propriétés biologiques, telles que la capacité de réguler les interactions entre l’endothélium et les cellules sanguines ; de contrer les changements inflammatoires et prolifératifs vasculaires ; et de protéger et restaurer les structures et les fonctions de l’endothélium lésé, tout en conservant, à un degré modéré, les activités antithrombotiques et profibrinolytiques inhérentes à l’administration parentérale.

                Et encore cette étude : 

                Le sulodexide améliore la perméabilité vasculaire via le remodelage du glycocalyx dans les cellules endothéliales pendant le sepsis

              • Eric F Eric F 6 juin 17:45

                @Francis, agnotologue

                ’’ je répèterai pour la mille et unième fois en résumant à l’essentiel : « le virus (s’il existe) n’est rien, le terrain est tout  » Béchamp’’

                [en fait il a parlé de ’’germe’’]

                .

                C’est le moulin à mantra, basé sur un théoricien du 19è siècle.
                A l’époque on connaissait les bactéries, le terme ’’germes’’ était plus générique, mais on n’avait pas encore identifié les virus. Ce que disait Béchamp c’est que c’est la cellule malade qui génère le germe (à partir de structures appelées microzymas) et non l’inverse.
                Or plus personne aujourd’hui ne nie que les maladies à bactéries se transmettent, et se soignent en tuant la bactérie par antibiotique. 
                Alors les dénialistes de l’infection par les germes se sont rabattus sur les seuls virus, en adaptant les termes employés par Béchamp. 

                A propos des exosomes générés par les cellules : c’est un mécanisme pour transporter des déchets ou des informations entre cellules. En cas de maladie ils peuvent transporter des extraits de bactérie ou virus infectant la cellule -non pas fabriqués par elle-.

                A propos du ’’terrain’’ : il n’est pas ’’tout’’ mais c’est évidemment un facteur favorisant ou non le développement de la maladie, par exemple les ’’vieux’’ développent souvent des formes plus graves d’une maladie (un peu comme un pneu usé se perce plus facilement sur un débris pointu). 

                A propos des virus et bactéries : tous ne sont pas pathogènes, et certains sont utiles comme dans la flore digestive. 


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 19:24

                @Eric F
                 
                 ’’... plus personne aujourd’hui ne nie que les maladies à bactéries se transmettent, et se soignent en tuant la bactérie par antibiotique. 
                Alors les dénialistes de l’infection par les germes se sont rabattus sur les seuls virus, en adaptant les termes employés par Béchamp. ’’
                >
                Les théoriciens de la vaccination contre les germes comme vous dites, en réalité contre les bactéries pathogènes, ont conformé leurs discours à l’existence non démontrée des virus. Je me fous bien de savoir si les virus existent, de la même manière que de savoir si dieu ou le diable existent : t’important est de définir ce qu’on entend par ces mots et de connaitre les conséquences qu’en tirent ceux qui ont un pouvoir de coercition ?
                 
                Je note que vous ne parlez plus de dénialistes de la vaccination. Et vous avez raison : les fabricants eux-mêmes ont admis implicitement que la théorie des virus atténués, à l’instar des bactéries atténuées,était un foutage de gueule, j’en veux pour preuve le fait qu’ils ont inventé les fameux vaccins à ARNm, lesquels sont en réalité des (mal)traitements génétiques.
                 
                Vous dites ici :

                ’’ A propos des exosomes générés par les cellules : c’est un mécanisme pour transporter des déchets ou des informations entre cellules. En cas de maladie ils peuvent transporter des extraits de bactérie ou virus infectant la cellule -non pas fabriqués par elle-’’i

                >

                C’est votre dernier mot ?

                C’est la dernière version en date de la théorie ? Je note qu’elle est conformée aux découvertes et la reconnaissance récente des exosomes et en même temps à la théorie des traitements génétiques. Ce faisant, elle fout par terre implicitement tous les discours précédents concernant les virus, non ?
                 
                Je vais m’arrêter là pour ne pas saturer ce fil par vos éventuelles réponses.
                 

                 


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 19:30

                @Francis, agnotologue
                 
                 « ’’ Stefan Oelrich , Président de Bayer , admet que les vaccins ARNm relèvent de la thérapie cellulaire et génique et que le public n’aurait pas accepté de les prendre s’il n’y avait pas eu de coercition en cas de pandémie.’’
                VIDEO — moins d’une minute https://x.com/BanounHelene/status/1930972380416938212 »
                 
                 Merci Le Glaude


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 19:44

                @Eric F
                 Et Pasteur il n’est pas du 19ème siècle ??? « Sa vaccination » existe toujours. Une des plus grandes manipulations qui ait pu prospérer malgré les découvertes majeures de la fin du XXème et début du XXIème siècle. 

                Les bactéries ne sont pas dangereuses « uniquement » parce que l’organisme met tout en oeuvre par qu’elles ne nous pénètrent pas. La « lumière » de l’intestin ce n’est pas « l’intérieur de l’organisme ». De la bouche à l’anus c’est un « conduit » qui nous traverse du haut en bas. 
                C’est dans le côlon que l’on dénombre le plus grand nombre de bactéries. Elles se comptent par milliards. Et dans le côlon une couche du mucus, en 2 strates différentes, l’une totalement imperméable aux bactéries et une autre un peu moins, protègent les cellules du côlon, les colonocytes, de l’agressivité des bactéries et de leur toxines. Et cette couche de mucus est elle même précédée d’un « glycocalyx » qui joue également un rôle important de protection.

                Lorsque cette défense, mucus+glycocalyx cède ou faiblit, les ennuis commencent !

                Les bactéries sont des organismes opportunistes. Elles ont une écologie propre et ne s’intéressent pas à l’être humain. Elles se concurrencent entre espèces pour occuper une « niche écologique ». Ainsi elles ne sont pas nos « amies ». Ceci est un vision anthropocentrée ! Il se trouve que certains déchets du métabolisme des bactéries peuvent être utilisés par les colonocytes. Ce sont, par exemple, les acides gras à chaine courte. Et comme la fonction principale du côlon c’est la réabsorption d’eau et des électrolytes, il réabsorbe aussi ces acides gras à chaine courte. Mais les bactéries produisent aussi des molécules toxiques pour l’Homme dans le côlon, comme des aldéhydes pouvant initier des cancers. 

                Les bactéries peuvent être dangereuses où qu’elles soient si le système de défense mis en place pour nous en prémunir faiblit. Ceci peut être le cas dans les voies respiratoires avec les surinfections bactériennes. Cela peut être le cas chez la femme avec les cystites et même chez les hommes avec des infections urinaires. Les bactéries buccales provoquent des gingivites et des parodontites.

                Les bactéries peuplent tous nos orifices et l’organisme humain s’est organisé pour s’en protéger. Mais c’est « mignon » de présenter les « bactéries amies » qui sont favorables à l’Homme avec le microbiote en vedette et les « fibres » qui vont avec !


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 20:29

                @Eric F

                copié-collé : «  En cas de maladie ils peuvent transporter des extraits de bactérie ou virus infectant la cellule -non pas fabriqués par elle-. ». 

                Les exosomes peuvent contenir des biomolécules d’origine bactérienne (protéines, acides nucléiques) si la cellule qui les produit a été exposée à des bactéries, mais le transport direct de fragments structuraux bactériens, par les exosomes, n’est pas le mécanisme principal décrit à ce jourD’autres vésicules extracellulaires, notamment celles produites par les bactéries elles-mêmes, peuvent transporter des fragments bactériens.

                Et les exosomes ne transportent pas de virus. En revanche, lorsque l’ARN des exosomes a été « confondus » avec de l’ARN « supposé » viral, et qu’un génome a été construit « in silico » en exploitant l’ARN des exosomes, alors ces séquences peuvent être identifiées dans les exosomes par la suite, puisqu’ils en viennent !

                Les virologues identifient des séquences virales dans les exosomes sans se rendre compte que se sont d’autres virologues qui, par méprise, ont séquencé par erreur cet ARN qui est venu construire un génome viral. Un raisonnement totalement circulaire qui n’apporte qu’une seule preuve : que les virologues se sont plantés et qu’ils ont séquencé de l’ARN exosomal.

                Comme avant 2007 tout l’ARN découvert dans le surnageant était « automatiquement » attribué à du matériel viral, et bien, nécessairement, cet ARN a été séquencé et a servi à l’assemblage d’un génome, aujourd’hui archivé dans une base de donnée. C’est génial non ?


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 6 juin 20:41

                @Legestr glaz
                 
                et le professeur Raoult à ’instar de Sisyphe avec son rocher qui n’amasse pas mousse, lui il en vit, séquence toujours, encore et encore, les ARN.
                Mais au moins, lui il soigne correctement les maladies respiratoires.


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 22:52

                @Enki

                Le covid19 est le nom donné à la maladie qui a débuté en mars-avril 2020 en France, attribué par certains à un « virus » le SARS-COV2.
                Est-ce que c’est plus clair pour vous ?

                A compter du 17 mars 2020 une inversion thermique a eu lieu sur le Nord et l’Est de la France et dans le bassin parisien. Des maladies cardiorespiratoires sont apparues avec un pic de mortalité au tout début d’avril 2020. 
                 Vous écrivez : « Cela fait longtemps qu’on a compris que les masques respiratoires ne servaient à vraiment pas grand chose, puisque la pathologie n’était pas tant respiratoire (encombrement des voies respiratoires) que thrombogène : saignements et occlusions des vaisseaux sanguins à cause de l’attaques des parois endothéliales (internes) ».

                Très bien, je vous explique les mécanisme précisément. Mais, et oui, les masques FFP2 ont une utilité pour les personnes présentant des comorbidités. Parce qu’ils filtrent une partie de l’air pollué.

                En période « d’inversion thermique » la qualité de l’air est dégradée, la convection verticale ne se fait plus. Les humains respirent de grosses doses de cet air pollué. Mais « seules » les personnes demeurant dans la zone de l’inversion thermique sont soumise à ces conditions « aérologiques » défavorables. Ces zones constituent des « clusters » où il n’y a ni contamination, ni propagation mais un air lourdement pollué à « partager ». Les plus faibles tombent malades !

                Les nanoparticules de la pollution, principalement les PM2,5 mais aussi les PM1 et les particules ultrafines PM0,1 atteignent les alvéoles pulmonaires n’ayant , pas pu être arrêtées par le système de défense des voies respiratoires supérieures.
                Des cellules de l’immunité, les macrophages, en résidence permanente dans les alvéoles pulmonaires, sont chargés d’éliminer ces matières particulaires toxiques. Il peut également y avoir des gaz toxiques comme le SO2, le CO, les Nox, les HAP, les COV. Beaucoup de travail pour les macrophages dans les alvéoles pulmonaires. Et le système utilisé par les macrophages pour « éliminer » les agents pathogènes (les PM de la pollution en sont) c’est de produire des espèces réactives à l’oxygène, du H2O2 = peroxyde d’hydrogène. Et si les macrophages sont débordés d’autres cellules immunitaires en patrouille dans le sang, sont convoqués sur place : ce sont les neutrophiles. Eux ils sont très actifs et produisent beaucoup d’espèces réactives à l’oxygène, H2O2 mais aussi l’acide hypochloreux HOCl. Ces oxydants font monter dangereusement le « stress oxydatif » lequel est très agressif pour les cellules humaines. L’organisme doit donc désamorcer la bombe « ’oxydante » en produisant des molécules antioxydantes. Cela tombe bien la SOD3 (superoxyde dismutase 3) est « normalement » très présente à la surface des vaisseaux sanguins, réfugiée dans le glycocalyx. Elle y est 20 fois plus présente qu’ailleurs. 

                Le problème qui se pose c’est que chez les personnes présentant des « comorbidtés » le système antioxydant est plus en moins en panne pour des raisons bien connues. Peu importe. Par ailleurs le « glycocalyx » est très amoindri et, compte tenu de cette circonstance, a laissé échapper la SOD3 qui y était retenue. L’action « antioxydante » est très minorée. Le « stress oxydatif » agresse alors les cellules de l’endothélium qui vont produire de l’inflammation. Les cellules de l’endothélium sous stress oxydatif intense vont produire des facteurs de coagulation pendant que l’oxyde nitrique -NO fait défaut (un puissant « vasodilatateur »). Le sang circule moins bien, une thrombose s’installe, l’oxygène ne parvient que très mal aux cellules demandeuses. Et nous avons sous les yeux le tableau clinique « classique » avec ischémie, détresse respiratoire, thrombose, embolie pulmonaire, AVC, arrêt cardiaque, tempête de cytokines et surinfection bactérienne secondaire. Il faut savoir que les processus thrombotiques mis en oeuvre sont des mécanisme de défense immunitaire pour « ralentir » la circulation des agents pathogènes dans le sang. (des travaux récents suggèrent que la thrombose peut également être un processus physiologique, appelé immunothrombose, initié par le système immunitaire inné offrant une première ligne de défense pour contrôler localement l’infection).

                Pas un seul « virus » à l’horizon, des nanoparticules de la pollution, inertes, non transmissibles, mais horriblement présentes dans l’environnement pollué, qui déclenchent un monstrueux « stress oxydatif » dans les vaisseaux alvéolaires déjà dégradés et fait s’effondrer les alvéoles. Et le stress oxydant continue de détruire le glycocalyx. Si bien que dans les services de soins intensifs la mesure du « Syndécane 1 », un marqueur de la dégradation du glycocalyx, est un très mauvais prédicteur de la suite des évènements.

                « Le syndécan-1, un indicateur de la dégradation du glycocalyx endothélial, prédit l’évolution des patients admis en USI atteints de COVID-19 »
                https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34861818/

                Je ne vais pas plus loin. Il serait possible de poursuivre et de développer encore et encore les mécanismes qui n’ont pas besoin de « méchants virus » pour être expliqués. J’ai fait « court ». 

                Et vous Enki, vous falloir expliquer ce que vous laissez entendre dans cette phrase sibylline : « On les connait tous ces vidéos de responsables de pompes funèbres avec ces flacons contenant ces serpentins graisseux qui ont bouché les vaisseaux sanguins des morts. »

                Beaucoup d’informations de premiers plan, bien « complotistes » à souhait, dans le document en lien : «  La pollution atmosphérique et ses effets sur la santé respiratoire en France. Document d’experts du Groupe Pathologies pulmonaires professionnelles environnementales et iatrogéniques (PAPPEI) de la Société de pneumologie de langue française (SPLF) »
                https://splf.fr/wp-content/uploads/2020/07/pollution-atmospherique-2019-grpe-pappei.pdf

                ... « Concernant le rôle de la coagulation sanguine et de la fibrinolyse, ces mécanismes doivent être mis en évidence comme cruciaux, en particulier dans les cas graves. Il est proposé d’envisager deux phénotypes distincts de manifestations thrombotiques : le « type thromboembolique » actuel, également présent dans d’autres types de sepsis, et le type microthrombotique diffus, prédominant dans les poumons mais s’étendant parfois à d’autres organes. Ces deux types peuvent induire une maladie grave et sont potentiellement mortelles. Le type microthrombotique, plus spécifique de la COVID-19, résulte d’une activation massive de la coagulation, étroitement associée à une réaction inflammatoire et immunitaire hyperintense. Il en résulte une microangiopathie thrombotique occlusive généralisée avec destruction des alvéoles et néoangiogenèse obstructive ».


              • Legestr glaz Legestr glaz 6 juin 22:55

                @Legestr glaz

                Conditions « aérotoxiques » ! Maudite auto-correction qui ne connait pas ce terme.


              • Enki Enki 7 juin 07:41

                @Legestr glaz

                Là, c’est moi qui me suis mal exprimé : je voulais parler des respirateurs dans les urgences-covid pour les pas soignés qui asphyxiaient, et non pas des masques qu’on devait se mettre. Le masque n’est pas un sujet que j’ai activement exploré, contrairement aux vaxxins, aux soins précoces ou à l’origine du virus : donc je laisse.

                L’inversion thermique de mars 2020 ne s’est pas installée, c’était en fait la montée printanière de température, précoce cette année là que l’on sait exceptionnellement chaude. le stockage thermique des pollutions aériennes perdure plutôt en hiver et en intersaison, alors que les poussées des morts du covid se sont produites en mars/avril et septembre/octobre, qui ont été des périodes chaudes au sol cette année là. 

                L’incidence de la pollution atmosphérique sur les maladies respiratoires et les décès est réelle. Je suis au courant des dizaines de milliers de morts au Nord de la France chaque année en raison des centrales à charbon d’Allemagne et de Pologne. Mais là, il s’agit plutôt de foyers épidémiques, ou « clusters », puisqu’on est devenus des Frangliches.

                Les voyageurs arrivés aux aéroports n’ont eu aucun contrôle sanitaire, ne serait-ce que la prise de température en hiver/printemps 2020, ce qui a eu une incidence, on le sait, sur la montée épidémique à Paris.

                J’ai été en Métropole cette année là, avec séjour prolongé contraint de plus de trois mois et j’ai croisé un we une infirmière guadeloupéenne qui a été à ce rassemblement évangélique de Mulhouse du 17 au 21 février 2020. Elle a été contaminée, puis suivie par les autorités sanitaires qui ont pisté ses relations et relevé de nombreuses contaminations consécutives parmi ses personnes-contactes. Les autorités ont renseigné 250 personnes infectées parmi les 2500 adeptes rassemblés à l’église, il lui a semblé qu’il y a eu largement plus d’infectés que ça (en févier, on était encore en période où l’Exécutif minorait l’épidémie en France). En tout cas, on a eu encore une preuve que le chant collectif amplifie la contagion d’une maladie à vecteur respiratoire et cet épisode est connu pour être un des premier et puissant foyer de covid, au delà du Haut-Rhin, les adeptes étant venus de toute l’Hexagone.

                Intéressante aussi l’étude publiée en juillet 2020, de ce restaurant climatisé à Guangzhou : une personne venant de Wuhan, encore en incubation-covid, qui a contaminé sa tablée, mais aussi des tablées voisines alors qu’il n’y a pas eu de contact physique. Les climatiseurs ont joué le rôle en accéléré des mouvements aériens, qui ont montré la contamination possible sans contact, par aérosol.
                Le summary ici, avec les illustrations : 

              • Legestr glaz Legestr glaz 7 juin 09:31

                @Enki
                 Si vous voulez voir des virus où il n’y en a pas c’est votre problème. Si vous voulez voir des « gouttelettes » dans des restaurants c’est votre problème aussi.

                Des épisodes d’intoxication au CO ont bien été identifiés. Dans des églises par exemple où le chauffage dysfonctionnait. Pas de virus, pas de gouttelettes, pas de contamination pas de contagion : tout le monde respire le même air vicié et les plus fragiles tombent malades. Ceci par vous dire que cet épisode que vous relatez dans les 2 documents sont à mourir de rire et montre bien la monstruosité de la manipulation. Une femme de 63 développe la maladie et je lis : « Il s’avère que quatre d’entre eux sont diagnostiqués positifs entre le 27 janvier et le 3 février, c’est-à-dire entre J+1 et J+8 après le fameux déjeuner dans le restaurant. » et puis ceci : « Testée pour le SARS-CoV-2, le test PCR sur le prélèvement de gorge se révèle positif deux jours plus tard. ».

                Un test « positif » n’est pas une maladie ! Le nombre de cas, partout dans le monde, a été une extraordinaire supercherie avec les « asymptomatiques » et les « porteurs sains » ! Même sur le paquebot « Diamond Princess ».
                Bref, si ne voyez pas les grosses ficelles, je ne peux rien pour vous.

                ... La maladie appelée COVID-19 est avant tout une maladie cardiorespiratoire aiguë qui survient principalement lors d’épisodes de forte pollution atmosphérique, en particulier lors des inversions thermiques. Ces phénomènes concentrent dans l’air des particules fines et toxiques qui agressent directement les poumons et les vaisseaux sanguins. Une inversion thermique, c’est un phénomène où l’air chaud ne peut plus monter vers les hautes altitudes, ce qui bloque la convection naturelle de l’air. Résultat : la pollution s’accumule et stagne près du sol, juste sous le nez des habitants, augmentant fortement leur exposition aux particules fines et toxiques.

                Chez les personnes fragiles — celles qui ont déjà des troubles comme le diabète, l’hypertension ou l’obésité — cette agression cause un dysfonctionnement de la paroi vasculaire (l’endothélium), entraînant inflammation, troubles de la coagulation et détresse respiratoire sévère.

                Ainsi, ce n’est pas une infection virale qui est la cause première de la maladie, mais bien un environnement aérotoxique sous inversion thermique qui déclenche cette pathologie cardiorespiratoire grave. C’est cette réalité qu’il faut comprendre pour mieux se protéger et soigner.

                L’endothélium, c’est la fine couche de cellules qui tapisse l’intérieur de nos vaisseaux sanguins. Il joue un rôle capital pour garder notre circulation fluide et éviter les accidents, comme les caillots. Protégé par une couche appelée glycocalyx, ce bouclier fragile agit comme une barrière et un filtre, limitant les agressions sur les cellules endothéliales.

                Le glycocalyx est une sorte de gel riche en molécules qui piègent les substances toxiques et aident à maintenir l’équilibre entre coagulation et fluidité sanguine. Parmi ces molécules, il y a une enzyme très importante : la superoxyde dismutase extracellulaire (SOD3). Cette enzyme lutte contre les radicaux libres, ces particules qui abîment les cellules en provoquant un stress oxydatif. La SOD3 est très concentrée dans le glycocalyx, car c’est là qu’elle est la plus utile pour protéger les vaisseaux.

                Mais ce bouclier peut être abîmé. Chez les personnes déjà fragilisées — diabétiques, hypertendues, obèses — le glycocalyx est souvent déjà moins épais, moins efficace. Et quand s’ajoute une forte pollution, notamment des particules fines et ultrafines présentes dans l’air, ce bouclier se dégrade encore plus. La SOD3 est alors relâchée dans le sang, où elle perd son efficacité locale. Résultat : le stress oxydatif endommage davantage les cellules de l’endothélium, ce qui fragilise la paroi des vaisseaux et favorise l’apparition de troubles de la coagulation.

                Dans certaines conditions, la pollution de l’air peut devenir particulièrement dangereuse. Le phénomène appelé inversion thermique empêche l’air chaud de monter en altitude, bloquant ainsi la dispersion des polluants. Résultat : les particules fines et ultrafines, les gaz toxiques comme le dioxyde de soufre (SO₂) ou le monoxyde de carbone (CO), ainsi que des métaux lourds restent « coincés » dans l’air que nous respirons, souvent à hauteur des poumons.

                Ces particules sont minuscules, si petites qu’elles peuvent pénétrer profondément jusqu’aux alvéoles pulmonaires où se fait l’échange d’oxygène. Certaines particules ultrafines peuvent même franchir la barrière pulmonaire et passer dans le sang. Bien qu’elles soient inertes, c’est-à-dire non vivantes et non infectieuses, leur présence déclenche une réponse inflammatoire violente.

                Pour se défendre, le corps active un mécanisme appelé immunothrombose : le sang forme des petits caillots pour « piéger » ces intrus et limiter leur propagation. Ce mécanisme est utile en temps normal, mais s’il est trop intense ou prolongé, il peut entraîner des micro-caillots dans les petits vaisseaux, qui perturbent la circulation et aggravent les lésions.

                Les symptômes apparaissent sous forme de difficultés respiratoires, de fatigue, et parfois de complications graves comme des embolies pulmonaires, des accidents vasculaires cérébraux, ou des infarctus. Ces manifestations ne sont pas spécifiques à un virus, mais reflètent un état d’atteinte vasculaire généralisée.







              • Legestr glaz Legestr glaz 7 juin 10:01

                @Enki

                Et le nez dans le guidon vous écrivez : « Les voyageurs arrivés aux aéroports n’ont eu aucun contrôle sanitaire, ne serait-ce que la prise de température en hiver/printemps 2020, ce qui a eu une incidence, on le sait, sur la montée épidémique à Paris. »

                La « montée », comme vous l’écrivez, correspond à la mise en place d’une inversion thermique, parfaitement « prévisible »’. Et oui on peut « prédire » les pics de maladies cardiorespiratoires sous inversion thermique.


                Aujourd’hui la surveillance satellitaires de la pollution permet de voir le déplacement des masses d’air pollué.

                Il est possible d’examiner rétrospectivement les périodes de pics de mortalité en forme de « courbe en cloche » en France pour les corréler avec des phénomènes météorologiques comme l’absence de pluie, l’absence de vent, le froid au sol et les inversions thermiques. Les données de l’INSEE, de Météo-France et d’Airparif permettent cette analyse, et des études (ex. : Cergy-Pontoise, 2013-2022) confirment que les inversions thermiques, surtout en hiver, augmentent les concentrations de polluants (PM2.5, PM10) et entraînent des hausses de mortalité respiratoire et cardiovasculaire, compatibles avec une courbe en cloche. Le Grand Smog de Londres (1952) illustre un cas extrême de ce phénomène, et des épisodes similaires, bien que moins intenses, sont observés en France (ex. : hiver 2016-2017).

                « Inversion de température et concentration en particules fines dans la basse troposphère de Cergy-Pontoise (région parisienne) »
                https://www.mdpi.com/2073-4433/15/3/349

                Chaque automne et chaque hiver, une recrudescence de maladies respiratoires affecte les populations. Ces épisodes sont systématiquement interprétés à travers le prisme de la virologie : l’apparition de symptômes tels que la toux, la fièvre ou la détresse respiratoire serait due à une « infection virale ». Pourtant, cette interprétation n’est ni la seule possible, ni nécessairement la plus cohérente. Une analyse physiopathologique rigoureuse, intégrant les données environnementales, biologiques et cliniques, permet d’expliquer l’ensemble du tableau clinique sans avoir recours à l’hypothèse d’un agent pathogène viral.

                Le glycocalyx est une couche de polysaccharides et de protéines couvrant l’endothélium vasculaire et les cellules épithéliales des voies respiratoires. Il joue un rôle fondamental dans la régulation de la perméabilité capillaire, la protection contre l’inflammation et la reconnaissance cellulaire. Lorsqu’il est intact, il constitue une barrière efficace contre les agressions chimiques et mécaniques. Mais ce glycocalyx est hautement vulnérable à l’oxydation, à l’inflammation chronique et à l’hyperglycémie.

                La pollution atmosphérique (particules fines PM2.5, ozone, dioxyde d’azote) est l’un des principaux destructeurs du glycocalyx. En automne et en hiver, les conditions météorologiques favorisent la stagnation de ces polluants (inversions thermiques), augmentant l’exposition chronique des voies respiratoires. Cette agression silencieuse provoque la rupture de la barrière alvéolo-capillaire, facilitant les fuites de liquide, l’inflammation et, à terme, les symptômes que l’on attribue trop rapidement à une « infection ».

                Sortir de la théorie virale, c’est renouer avec une médecine fondée sur les faits biologiques, sur les systèmes vivants, sur l’environnement réel. C’est aussi redonner au patient un rôle actif, et recentrer la prévention sur la restauration du terrain. Le fantasme d’un agent viral tout-puissant et omniprésent s’efface devant une réalité plus subtile, mais plus proche de l’expérience vécue.

                Dès le départ, l’infection virale a été présentée comme la cause unique et suffisante de la maladie. Le discours officiel s’est construit autour de l’agent pathogène exogène : « le virus attaque les cellules », donc « il faut un vaccin et des antiviraux ». Cette approche occulte tout ce qui est du domaine du terrain biologique : état redox, qualité de l’air, pollution, carences micronutritionnelles, dysfonction endothéliale. La dynamique biologique interne des patients n’a pratiquement pas été explorée dans l’espace médiatique ni même scientifique dominant.

                Beaucoup de médecins et de scientifiques sont formés à penser en termes de pathogènes uniques, de réponses immunitaires immédiateset de traitement de symptômes(oxygène, corticoïdes, ventilation). La médecine du redox (redoxology) est encore peu enseignée en médecine classique, bien que ce soit un domaine clé en biochimie. Cela a mené à un manque criant de réflexion systémique sur ce qui se passait vraiment dans les poumons.

                Une épidémie virale justifie des états d’urgence, des achats massifs de vaccins, la création de nouveaux marchés pharmaceutiques (vaccins à ARNm, antiviraux, etc.). Corriger le redox avec du zinc, de la vitamine C, de la NAC, du glutathion coûte quelques centimes d’euros par patient.Vacciner un milliard de personnes avec un vaccin = des centaines de milliards d’euros. Un gigantesque biais économique a favorisé l’effacement des discours alternatifs.
                Le système scientifique est aujourd’hui devenu rigide et dépendant des financements. Pour exister, les chercheurs doivent obtenir des financements. Ces financements dépendent très souvent de grands organismes (gouvernements, industries pharmaceutiques, fondations privées). Remettre en question le paradigme dominant c’est prendre le risque de perdre ses subventions, ses publications, sa carrière. L’autocensure a été massive.


              • Eric F Eric F 7 juin 10:10

                @Francis, agnotologue (message 6 juin 19:24)
                je n’ai pas parlé jusqu’ici de vaccin pour ne pas mélanger les sujets, mais le fait que vous introduisiez ce point montre qu’en fait le déni du virus n’est qu’un subterfuge pour réfuter la vaccination. Du reste, au début de la crise covid vous ne contestiez pas l’existence des virus, ce n’est venu qu’avec la montée en puissance dans les antimédia des courants de déni de l’épidémie puis de fondamentalisme antivaccin (au delà des nouveaux vaccins).
                ---
                Concernant la nature des constituants viraux utilisés comme antigènes pour l’immunisation, les virus atténués continuent d’être utilisés pour certains vaccins, les vaccins de technologie génétique ont été introduits plus récemment en alternative (il y a eu les différents types de vaccins dans le cas du covid). 
                Le mécanisme de mémorisation immunitaire (que vous contestez, tant qu’à faire), n’est pas infaillible, il opère mieux pour certains types d’agents pathogènes que pour d’autres, et il apparait assez peu performant pour la grippe, et désormais aussi pour le covid. Ce qui avait conduit à multiplier les injections périodiquement en tant que ’’boosters’’ pour faire générer des anticorps actifs dans l’organisme ’’l’arme au pied’’ en prévision d’une infection. Cela m’était apparu contestable de sursolliciter les mécanismes de défense, je n’ai donc pas effectué ces ’’rappels’’. 
                ---
                Les exosomes n’infirment pas en quoique ce soit l’existence et le rôle des virus, ils font partie du fonctionnement général intercellulaire, et justement ce sont les mêmes techniques de visualisation et analyse de la composition qui sont utilisées pour ces entités de taille comparable (la forme ressemble dans certains cas, mais pas du tout pour la famille corona). 


              • Enki Enki 7 juin 10:12

                @Legestr glaz

                Oui, bah : quand on tombe malade dans une église, comme dans un restaurant, comme chez les Amérindiens du temps des conquistadors, c’est toujours à cause de l’inversion thermique qui garde près du sol l’air pollué...
                Quand je parlais de monomaniaque.

                Et question éclat de rire, sur les intoxications au monoxyde carbone dans les églises, celle évangélique de Mulhouse est une ancienne grande surface. Je ne savais pas qu’on pouvait tomber dans le coma en respirant près d’un radiateur ou d’une pompe à chaleur.

                Je laisse le reste, ce serait trop long à dépouiller et vous vous contentez de réciter des leçons sans confronter avec la réalité.


              • Legestr glaz Legestr glaz 7 juin 10:16

                @Legestr glaz

                Ce qu’on sait depuis des décennies, de la pollution atmosphérique, notamment les particules fines (PM2.5, PM1, PM0.1) c’est qu’elle détruit l’épithélium pulmonaireinduit un stress oxydatif local et systémique, affaiblit les défenses immunitaires pulmonaires, favorise les infections respiratoires graves (grippe, pneumonies...), est directement corrélée au développement de maladies cardiovasculaires et pulmonaires. C’est un fait établi dans des centaines d’études bien avant 2020.

                Dès mars-avril 2020, des signaux d’alerte apparaissent : Les villes les plus polluées voient un taux de formes graves et de décès covid bien supérieur aux autres. En Italie du Nord (notamment la plaine du Pô), l’une des régions les plus polluées d’Europe, on observe, des formes pulmonaires fulgurantes, un syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS) disproportionné. De même à Wuhan (région industrielle très polluée), à New York (air chargé en PM2.5, NO2, etc.), à Londres, à Madrid.Une corrélation spatiale forte entre pollution chronique et sévérité de l’épidémie.

                Les particules fines de la pollution préparent le terrain pour des formes graves en créant un environnement prooxydant, inflammatoire, immunodéprimé dans les poumons. Reconnaître la pollution comme facteur majeur : obligeait à reconnaître des responsabilités politiques (aménagements urbains, industries, transports...), cassait le narratif « virus unique responsable », compliquait le message simple (« restez chez vous, vaccinez-vous »), montrait qu’une bonne santé environnementale est le meilleur vaccin naturelC’était dérangeant. C’était incontrôlable. C’était incompatible avec la stratégie politique choisie, contraire à des intérêts économiques majeurs.

                Devant l’arrivée prévisible d’une inversion thermique et d’un épisode de pollution augmenté, normalement, les autorités sanitaires auraient dû dire : « Attention, nous entrons dans une phase de forte pollution stagnante. Il y a un risque massif d’aggravations pulmonaires. Il faut des mesures de protection individuelle (masques FFP2 contre particules, filtration d’air intérieur, limitation d’exposition, mesures antioxydantes). » Mais ce n’est pas ce qu’il s’est passé. On a dit : « Un nouveau méchant virus imprévisible se répand depuis Wuhan, prenons de mesures de confinement ».
                Le virus est invisible, donc pas de responsabilité humaine. Le virus est imprévisible, donc pas besoin de reconnaître les signaux d’alerte environnementaux. Le virus justifie tout  : des mesures drastiques (confinements, couvre-feux), des campagnes de vaccination, des dérogations économiques massives, une centralisation du discours scientifique. En résumant tout à un agent infectieux, on efface : la pollution environnementale chronique, la préparation immunitaire déficiente des populations exposées, les prévisions météorologiques et environnementales pourtant disponibles.


              • Jules Seyes Jules Seyes 2 juin 13:32

                Vous avez raison, la civilisation s’effondre.

                Car une élite à décidé qu’il y avait les siens, et un peuple de bétail seulement ici pour les servir. 

                L’euthanasie, la violence sociale, même les bombardements de gazas, démontrent une volonté de gérer la majorité de la population comme du bétail : On l’augmente si il y a de la demande, on le réduit au moment où la demande diminue et quoi qu’il arrive pour avoir l’extraction de valeur maximum, on l’abat pour thanksgiving.

                Seulement, qui défendra un tel modéle ?


                • Claude Courty Claude Courty 6 juin 09:52

                  @Jules Seyes
                  Et c’est aussi vieux que le monde, et plus précisément depuis la codification des croyances et supresitions humaines les plus mystérieuses.
                  De la condition humaine :

                  https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2024/03/invitation.html


                • sylvain sylvain 2 juin 14:58

                  bof. L’etat ou la monarchie ou le patronat... bref l’oligarchie du moment n’a jamais eu besoin de ce genre de loi pour sacrifier du populo par millions.

                  Si tu crains ce que « le pouvoir » fera de cette loi, attaque toi au pouvoir, parce que si on est dirige par une oligarchie qui nous veut du mal tu devras t’attaquer a toutes les lois, qui peuvent a peu pres toutes servir a faire des saloperies.

                  Bon la c’est une forme de pouvoir qui a peur du pouvoir, c’est plus ambigu...


                  • Ramdane ISSAAD Ramdane ISSAAD 2 juin 16:04

                    Personne n’a bougé (sauf quelque jeunes médecins) contre la circulaire Rivotril de 2020 qui a permis l’euthanasie sur « suspicion de Covid » en EPHAD ! 


                    • sylvain sylvain 2 juin 16:14

                      @Ramdane ISSAAD
                      ce dont vous parlez n’est pas de l’euthanasie, c’est un meurtre


                    • Claude Courty Claude Courty 2 juin 17:14

                      « Notre société bascule dans un monde qui renie finalement les fondements mêmes de notre civilisation et désacralise définitivement la personne humaine qui pourra être supprimée par l’homme investi d’un pouvoir redoutable et dangereux qu’il s’est attribué. Cela créera sans nul doute des tensions au sein même du corps médical et soignant dont ce n’est absolument pas la vocation. »

                      La désacralisation de l’homme n’est-elle pas inscrite depuis toujours dans son histoire ?

                      En exonérant l’humanité de la loi de sélection naturelle, la science – et la médecine en particulier, par le serment d’Hyppocrate – a considérablement accru les effets du dogme surnataliste religieux, au point que sa prolifération ait fait de l’être humain, en moins de trois siècles, le cancer qui ronge la planète Terre et tue tout le vivant qui la peuple, à commencer par lui-même.

                      Quant aux “fondements de notre civilisation”, et aux réalités de la condition humaine ayant évoluées avec sa démographie, invitation à méditer :

                      https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2015/03/schema-sans-commentaire.html

                      et à lire : https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2024/03/invitation.html



                      • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 3 juin 06:56

                        @Claude Courty

                        au point que sa prolifération ait fait de l’être humain, en moins de trois siècles, le cancer qui ronge la planète Terre et tue tout le vivant qui la peuple, à commencer par lui-même.


                        Depuis Jupiter-Minerve-Junon, le commerce n’est pas un échange mutuel,

                        mais accumulation ou flux unilatéral au service du capital, pour profits.

                        nota : faudrait upgrader vos codes freudo-malthusiens smiley


                      • Claude Courty Claude Courty 4 juin 08:02

                        @Sylfaën.H.
                        Quels que soient les Dieux et les codes, la condition humaine humaine et sa pyramide sociale demeurent.

                        https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2024/03/invitation.html


                      • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 3 juin 11:43

                        CULTE de la MORT = SACRIFICE = Armées,
                        qui les protègent, pour Permanence, statufication d’un Pouvoir illégitime.
                        Associer une gueule de militaire à çà est une INVERSION !

                        Le militaire ne bougera, et pas sur, que si Respect de l’Ordre.
                        On est donc condamné ? Oui, à moins de Faire ORDRE,
                        de population, hors citoyen, comme Royauté ou Eglise en son temps.

                        Le capitalisme a fait « place nette » pour suprémacisme du profit.

                        Ecrire : ETAT-(T=0)-( DROIT | devoir )-ETAT-(T=1), stable, par exemple ...



                        • Gérard Luçon Gérard Luçon 6 juin 14:49

                          Merci à tous pour vos commentaires et vos échanges, mais vous utilisez des termes, des abréviations, des notions que je ne connais pas ... dommage car manifestement vous avez (tous) des choses à dire ...

                          ... alors juste un humble conseil : faites en sorte d’être compréhensibles, même dans l’adversité, ceci étant qu’un Général déclenche une telle discussion, et à un tel niveau, me fait grandement plaisir !!!

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité




Palmarès



Publicité