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Accueil du site > Culture & Loisirs > Parodie > Les super riches et la société

Les super riches et la société

Le Vif ouvrait la discussion d'un dossier avec cette constatation : "Pour les super-riches, l'argent fonctionne comme une drogue" et la question : "Pourquoi les riches font peu pour la société ? ".

 Je pense que je connais assez bien dans le numérique. J'ai certainement dû dire et parfois me contredire. Les oxymores doivent en faire partie en fonction de l'évolution et des circonstances. Sans parti pris, je suis donc resté prêt à m'adapter à toutes les éventualités.

J'introduis cet article du VIF au début de ce billet. Il est, pour moi, une nouvelle occasion pour remettre les cartes sur table et de relire mes billets du passé. 

Article du VIF

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Réflexions du Miroir

Pour ouvrir le bal des "gens biens", je suis remonté au début de 2008 avec le billet "Riche à la super". Tout y était déjà écrit avec humour. Rien de nouveau sous le soleil, donc. Dans cet article, sont visés les super riches belges.

Le multimillionnaire Bruno Fierens a rejoint le réseau "Millionnaires for Humanity" qui réclame un impôt sur la fortune pour réduire les causes des inégalités croissantes.

Oui, bon, il ne faut pas trop charrié, il ne vit pas dans un taudis.

En 2023, il y avait quatre milliardaires belges. Un an après, Forbes en dénombrait dix. C'est que ça pousse comme les champignons à l'abri du soleil, les richards .

Parmi les champignons, il y a des comestibles et des mortels.

En Belgique, il n'existe pas de cadastre des fortunes pour estimer les patrimoines. Les ultrariches ayant 1% des richesses nettes mondiales représentent 70% des moins riches réunis mais ils payent deux fois moins d'impôts sur le revenu que les Belges moyens.

Pourquoi ?

La fiscalité belge se cache derrière une complexité d'exceptions. Les dividendes sont taxés par la TOB tandis que les revenus locatifs le sont moins à cause de montages financiers, tout à fait légaux, via des fondations privées et des sociétés patrimoniales. 

"L'introduction d'un impôts sur le patrimoine serait un "non-sens" et une "mauvaise idée", lancent les âmes bien nées. 

Jusqu'au XVIIIème siècle, il était normal de partir du patrimoine pour fixer un impôt équitable et collectif. A la fin de ce siècle, la révolution industrielle était en marche. Les titans vétérans ont été John Pierpont Morgan qui a lancé "The House of Morgan" et John Davison Rockefeller qui fut le premier milliardaire. 

"Le rendement du capital est bien supérieur à celui du travail" dit Thomas Piketty.

Bien sûr.

J'ai tout de suite écrit "L'utopie des égalités ? ".

Nous sommes tous différents, physiquement, psychiquement, physiologiquement et intellectuellement. Sans compétence, c'est clair, pas question de s'élever dans la hiérarchie en bottom-up comme je l'écrivais récemment "L’intelligence en top-down ou en bottom-up. Nous sommes tous dépendant l'un de l'autre.

Piketty est l'auteur de dix-huit ouvrages dont les plus notables sont Le Capital au XXIe siècle (2013), vendu à plus de 2,5 millions d’exemplaires dans le monde et adapté en documentaire, ainsi que sa suite Capital et Idéologie (2019). Ne gagne-t-il pas plus de sa plume qu'en tant qu'enseignant-chercheur ? Le succès, cela paye aussi au prix fort. Son père descend d'une famille de la grande bourgeoisie industrielle. 

 A la base de n'importe quel type de management, on trouve les sources du mythe du "self-made man" qui sont répertoriés dans les verbes français qui se terminent par "-voir" : apercevoir, prévoir, voir, savoir, vouloir, concevoir, pourvoir, percevoir, avoir, pouvoir...

L'argent n'est jamais neutre. Il n'est pas un problème en soi. C'est ce qu'on en fait qui pourrait être le problème. 

"Le culte de la richesse" est né à la fin du XIXème siècle aux Etats-Unis. 

Les livres "The Psychology of Money" de Morgan Housel et "The Philosophy of Money" de Georg Simmel se croisent et se ressemblent. La psychologie et la philosophie vont de pair.

Ils démontrent l'effet addictif de l'argent. Au delà d'un "certain" montant comme pomme pour la soif, cela devient une drogue.

En Belgique, actuellement pas de taxes sur les plus-values, bien que son acceptation est un argument pour entrer dans le gouvernement bruxellois toujours en panne. A Bruxelles, le PS voit le lien avec un argument pour participer à un gouvernement avec la droite. Une diminution de taxes en cas de moins-values pour minimiser les pertes n'est pas dans les plans.

Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions.”, dit Rudyard Kipling. Le patron d'une entreprise et les actionnaires doivent assumer les gains comme les pertes. Les plus-values ou les moins-values passent de génération en génération pour devenir de nouvelles plus-values ou moins-values sur les anciennes. 

Fabien Pinckaers (Odoo) et Matthias Geeroms (Lighthouse) disent "Il faut accepter de s'oublier et rester concentré sur l'entreprise"

Elon Musk est actuellement l'entrepreneur privé le plus riche.

Aux dernières nouvelles, il quitte l'administration Trump pour retourner à ses fonctions initiales

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Donald Trump n'aime ni la culture, ni les élites et ni les intellectuels. Il n'ouvre pas un seul livre par an qu'il lira à ses moments de solitude. Il tweet ses messages contenant des idées souvent à côté de la plaque.

"L'université de Harvard est un lieu qui enseigne la haine et l'imbécilité, recrute des gauchistes radicaux, les idiots, les cervelles de moineaux", lance-t-il avec son programme d'extrémisme paradoxalement anti-gauchisme de type woke. La suspension des visas pour les étudiants étrangers n'est qu'une suite logique et innocente de son manque d'intérêt pour le savoir. C'est un deal maker dans un bras de fer. Comme tous les vendeurs, il est obligé de mentir en bonifiant la qualité de ses propos, même si c'est de la camelote.

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Avec le surnom moqueur « T.A.C.O. trade », Trump a une politique de girouette. A toutes ses décisions, il y revient en repoussant la date limite de plusieurs tarifs de 50 % sur les produits de l’Union européenne du 1er juin au 9 juillet. « Il y a six mois, ce pays était mort. On avait un pays que les gens pensaient condamné. Ne dites plus jamais ce que vous venez de dire. C’est une question désagréable. », a répliqué Trump.

Au sujet de Poutine, il ose dire que Poutine est devenu fou alors qu'il a été formé au KGB, n'est jamais revenu sur ses paroles et n'a rien d'un fou.

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Elon Musk est "déçu" du mégaprojet de loi budgétaire de Donald Trump.

Elon Musk est libertarien. Donald Trump en tant que président, a été élu pour son côté libertaire MAGA en rejetant les élites instruites de l'opposition.

Le terme "libertarien" a une connotation plus centriste, soulignant la liberté individuelle, la liberté économique et une approche minimaliste du gouvernement.

Le Monde diplomatique de septembre 2008. cite « Ni dieu, ni maître, ni impôts » est consacré à l’éminente libertarienne Ayn Rand

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Le terme "libertaire" est associé à une vision plus radicale et égalitaire de la société, avec une forte opposition à toute forme d'autorité et un rejet du capitalisme.

Dichotomie de concepts radicaux ?

Bonsoir l'Amérique podcast

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Etre considéré comme riche ou pauvre. Ce serait à chacun de choisir son concept de vie, pourrait-on penser. Et bien non ...

On interprète le terme "minimum vital médiocrité" par une situation où le minimum vital est insuffisant et entraîne une médiocrité de vie qui serait perçu comme une incitation à la médiocrité. 

Mon ancien ami dont j'ai parlé à la suite du billet "L'esprit de compétition, privilège ou contrainte ? " a été et a vécu dans tous les pays gauchisants. Il aimait les gens du peuple mais pas les gouvernements qui les menaient à la baguette. Il m'avait dit : "Si tu veux être considéré comme un riche capitaliste, vas vivre dans les pays pauvres où j'ai vécu et tu te fais envoyer ta retraite par la Belgique".

Le fait d'être riche ou pauvre est donc relatif à l'endroit où l'on vit.  

C'est aussi dire que quand on se trouve dans la classe moyenne dans nos pays entre pauvreté et richesse, que si on vit dans un monde de super riches, on pourrait se ressentir pauvre.

Cela me rappelle ma "soirée en arpentage" et son débat concernant le travail ou la paresse sous-entendus dans le livre "Depuis toujours nous aimons le dimanche".

La Belgique reste championne du monde des taxations du travail. La différence entre le coût total du travail pour un employeur et le salaire net perçu par l'employé se situe entre 44,8% et 52,6%. En France, c'est 41%. Cela induit une perte du pouvoir d'achat légèrement compensée par l'indexation automatique. L'économie informelle représentant 16,8 % de l'activité entraine un manque à gagner pour l'Etat et une perte d'activité formelle. La taxation Zucman des ultrariches est difficilement quantifiable pour une économie ouverte comme la Belgique en l'absence de coordination internationale. La baisse de la dépense publique offre des marges importante de 54,5% du PIB en 2024. 

"Tax the rich", c'est encore plus sûr, de dire "Tax the super-rich".

Qu'est-ce qui est le plus facile pour obtenir un million d'euros ?

Par une taxe d'un million par une personne ou une taxe d'un euro par un million de personnes ?  

Le numérique est basé sur la bipolarité. 0 ou 1, blanc ou noire, gauche ou droit. L'humain est analogique. Il est dans le gris le plus complet. Vous n'aimez pas être dans le gris, c'est dommage, mais je ne vous plaindrez pas. J'aime le gris.

Tous les autocrates de gauche ou de droite sont radicaux et n'aiment pas les contradictions et les contre-pouvoirs.

La plume de Thomas Gunzig parle du pouvoir et du contre-pouvoir
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"La démocratie ne peut pas s’installer avec des radicalismes et des extrémismes."

La démocratie repose sur le dialogue, le compromis et le respect de la diversité.
Les systèmes démocratiques permettent à différentes opinions de coexister. Le principe même d’une démocratie est de garantir la liberté d’expression, mais aussi le respect des lois, des institutions et des droits de chacun.
Les radicalismes politiques, religieux, ou idéologiques, tendent à refuser le compromis, à imposer une seule vérité et à délégitimer l’adversaire. 

Les extrémismes menacent les valeurs démocratiques.
L’extrémisme prône souvent l’exclusion, la violence ou l’intolérance. Or, une démocratie a besoin d’un socle commun de valeurs partagées, comme la tolérance, le pluralisme, la participation pacifique au débat public.
Quand un groupe radical tente de prendre le pouvoir ou refuse le jeu démocratique, cela fragilise le système, parfois jusqu’à le faire basculer dans l’autoritarisme. En 1930, en Allemagne, l’arrivée démocratique au pouvoir du parti nazi extrémiste a mené à la destruction de la démocratie elle-même. Lors des Printemps arabes, les mouvements démocratiques ont été récupérés ou noyés par des forces extrémistes, ce qui a empêché une transition démocratique durable. La démocratie ne peut s’épanouir que dans un climat de modération, de respect mutuel et de rejet de la violence. Si les radicalismes prennent le dessus, ils peuvent étouffer le débat démocratique au lieu de le nourrir. 

Les radicalismes de gauche ou de droite s'opposent à la démocratie. 

Qui se souvient encore de l'élection française de 2017 et de cette vidéo avec Mélenchon ?

A prendre ou à laisser tout son programme et rien que son programme, c'est ce que voulait Mélanchon. 

Radicalisme de gauche. 

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Le livre-enquête "La meute" décrit les méthodes de fonctionnement de la France Insoumise entre de domination, soumission et excommunication. Mélenchon demande une dévotion aveugle comme "le prototype du militant appliqué, carré, déjoué, cruel si nécessaire". 

La démocratie fonctionne avec un débat et la recherche de  de compromis pour avoir la paix.

Est-il un gourou ou un simple politicien ambitieux qui n'accepte pas la critique ? A la base, il y a toujours une contrariété demandant une vengeance du personnage de Calimero. La Vème république en France ne connait plus l'élection parlementaire à la proportionnelle mais majoritaire. Le rapport autoritaire, parfois sectaire, ne cherche pas les consensus par le raisonnement.  

"Toujours plus haut", c'est ce que les jeunes apprennent en sortant du berceau. Non ?

Le collectivisme, dès l'école n'existe pas vraiment. Les examens de passage de classe ne se pratiquent que seul.

Partager n'est plus l'essentiel dans la culture néolibérale où chacun est responsable de lui-même en devant obtenir le prestige du mérite personnel selon "Les fondations du libre échangisme".

Bien sûr, il y a des milliardaires qui tournent casaque

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Les illusions perdues du blues du business man le prouvent.

Le billet "La productivité, est-il un vilain mot ? "

 Pour se maintenir au top des richesses, dans le milieu du business, riches ou super riches se doivent de faire parler d'eux en positif soit en négatif. Etre ignoré, c'est "le" calvaire pour eux.

Ce n'est pas uniquement au niveau privé du business que le phénomène des richesses existe. Les dirigeants au niveau public, qu'ils soient souverains ou entrepreneurs, peuvent posséder des fortunes considérables. 

Il y a eu Bernard Madoff, "L'oracle maudit de la finance" qui a bien compris comment utiliser la faiblesse et la crédulité de raisonnement des investisseurs croyants aux miracles en réinstallant le système de Ponzi. Cela fonctionne toujours surtout pendant une conjoncture haussière. Cela coince seulement quand le vent tourne. Il est mort en détention. Il faut attendre le suivant, il arrive toujours... 

Jürgen Ingels a fait fortune en achetant des entreprises déprimées et en les revendant une fois remise en forme. Bernard Tapie a fait de même. Cela ne l'a pas empêché de faire faillite et d'avoir son épouse qui a dû assumer ses dettes après sa mort.

"Le pognon fait toujours tourner et courir le monde"

Ne parlons plus du monde MAGA. C'est ringard et trop limité.

Celui du MMGA (Make Money Great Again) est plus général. 

Le film et la BD "Largo Winch" représenté mercredi à la télé, a des relents de répétition dans le cas du magnat britannique de la tech, Mike Lynch, surnommé le "Bill Gates britannique", décédé par noyade dans le naufrage de son yacht, le "Bayesian", au large de la Sicile en août 2024. Il a perdu la vie, ainsi que six autres personnes, lors de ce drame et une enquête a été ouverte au Royaume-Uni.. 

 Dans le monde des super riches, il faut se comparer avec ses équivalents dans son groupe de référence social et toujours monter plus haut, voir plus grand qu'un concurrent potentiel. L'accoutumance aux richesses ne permet pas de rester à un niveau sans s'adapter à un concurrent le dépassant par la droite.

Tous les ans, le magazine Forbes s'emploie pour trouver le plus riche de l'année. 

L'argent rend égoïste et moins empathique. C'est plus que probable.

La Fable des abeilles vaut son pesant de cacahuètes au miel en faisant ruisseler l'opulence du haut en bas de la société.

Ceux qui n'ont pas d'agent envient ceux qui en ont, les jalousent et finissent par se trahir.

L'argent ne rend pas nécessairement heureux même s'il peut y contribuer. Il apporte la liberté, l'autonomie et la sécurité vis-à-vis du lendemain sans devoir y ajouter de performances extravagantes pour autant et sans atteindre la folie.

Ce n'est déjà pas si mal. 

Les riches disent qu'ils ont travaillé dur pour arriver au niveau de leur fortune.

Warren Buffet vient de raccrocher. Sa fortune est estimée à 168 milliards de dollars. Elle lui a permis de faire des dons à des organisations caritatives.

Du donneur de richesses aux receveurs sans l'intermédiaire de l'Etat, c'est une preuve que la confiance envers l'Etat n'est pas au top. 

"L'Etat n'examine son propre fonctionnement et devrait être géré comme une entreprise en diminuant les coûts alors qu'il cherche à augmenter les recettes qui à devenir obèse, mal organise et dépensier. Ce qui peut être externalisé et privatisé est à laisser aux entrepreneurs. L'Etat ne peut pas faire faillite, dit l'un d'entre eux.

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L'enfer est toujours pavé quelque part de bonnes intentions...

Lorsqu'on est célèbre, on a la responsabilité de son public.

Le "Buffet donateur" est servi. Il est fort probable qu'il a été préparé par "the right lucky man at the right place at the best moment". Bill Gates, resté souvent au top des riches, en est un autre exemple. Quand l'éducation et les idées neuves arrivent de concert au bon moment où le monde en a besoin pour progresser et que que ce dernier est un besoin ressenti mondialement c'est le jackpot.

La philanthropie ne relève pas uniquement au dons désintéressés. Il y a le prestige de sa société à élever. Son statut social est évalué par les "méchantes" agences de notations. Les entreprises aiment se retrouver dans la publicité qu'apportent les Caïus  

Le prestige des Etats y retrouve leur compte dans le tourisme.

Samedi, TV5Monde présentait un documentaire avec les "Family offices" gestionnaires des patrimoines des grandes fortunes. Le 6 mail, ils se réunissaient à Dubaï pour célébrer le 25ème anniversaire du Sommet mondial des investisseurs et faire l'éloge des mérites de leur profession. Le minimum pour obtenir leur intervention entre 10 et 50 millions de dollars (cf Deloitte) Podcast :

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Que ne ferait-on pas "pour quelques milliards de plus ?"

Jusqu'à un certain moment et un certain montant, quand l'intérêt général se dissout parmi les détenteurs de ce capital, ce n'est pas top.

La règle de base du commerce a toujours été d'acheter au prix minimum et de vendre au prix le plus élevé. 

Le billet "Pourquoi les riches triomphent ?" contient des constations évidentes "C'est devenu un axiome incontournable que les autres s'en accommodent"

D'autre part, la vie d'un milliardaire n'est pas un long fleuve tranquille avec la meilleur volonté d'être "généreux donateur". La solitude et la jalousie sont la rançon de la richesse. 

Les milliardaires ont vu leur richesse combinée augmenter de manière significative en 2024. 

"Faut-il avoir "un coup de chance" pour devenir super riche ? " se demande le Vif.

Quel est le plafond acceptable ?

Dix millions de dollars, cent millions... ?

Nul ne le sait vraiment.

En mathématique, il y a l'écart type (grecque σ (« sigma ») qui pourrait donner des indices. Racine carrée de la variance, il mesure de la dispersion des valeurs d'un échantillon statistique ou d'une distribution de probabilités par rapport à la moyenne.

Les gains énormes au loto apporte-t-il la solution aux problèmes ?

Ou est-ce "un bout de chance ou de malchance ? quand on questionne leurs gagnants ?

Plus les montants à gagner sont élevés, plus le loto attire le pigeon comme l'aimant. Il ne saura peut-être pas quoi faire des montants astronomiques qu'il va recevoir.

Que faire d'autre avec ces gains astronomiques ? Les replacer en banque pour spéculer en espérant maintenir le montant ou accroitre encore plus ses avoirs quand on n'a pas d'entreprise déjà en place ?

 La semaine dernière lors du Festival de Cannes, les riches venaient afficher leur richesse sur des yachts quand ce n'est pas en fréquentant les hôtels les plus prestigieux. 

Pourquoi un montant qui frise le milliard, ne serait-il pas plus productif divisé et redistribué en partie ? Question sans réponse.

Le transmettre par héritage aux suivants familiaux.

Le thème du film récent "The Phoenician Scheme" donne une réponse stylisée et raffinée aux héritages ?

De toutes manières, tout est une question de "Confiance en l'argent dans le temps et dans l'espace"

Les "bits du coin", appelés bitcoins pour les intimes, sont fait pour les experts en chute libre sans parachute. 

"Spéculons en paix", d'accord mais "la spéculation est sur le banc des accusés" 

Acheter des actions d'une société a pour principe initial de soutenir une entreprise sur le long terme et pas vraiment pour s'enrichir par trading avec des achats et ventes compulsifs d'une même action sur la même journée. 

Soyons et restons zen dans les tranches moyennes sans envier les plus riches ou dénigrer les plus pauvres.

Pouvoir récolter les fruits de son travail quand l'hiver fut venu, c'était pour la fourmi de la Fable "La cigale et la fourmi".

Pour les hommes, arriver à la retraite, c'est espérer recevoir une retraite honorable et non pas au ras des pâquerettes.

Il faut "épargner pour la retraite pour être considéré" ou alors, "ne plus épargner, spéculer et consommer".

J'ai joué le jeu "de pilier en pilier" avant la retraite pour espérer en avoir l'usufruit par après. 

Donner rend-il plus heureux par le gains pour maintenir de bonnes relations sociales ?

Bonne question. Merci de l'avoir posée.

Cela dépend des personnes. Si les contacts acceptent le débat, les relations sociales et communes pevent fonctionner. Sinon cela se corse à "jouter avec des enjeux trop personnels".

Vivre plus ou moins heureux, c'est de ne pas être envieux des autres pour ne pas ronger son frein et de faire ce qu'on a envie.

Le cerveau façonne nos habitudes. La société moderne favorise les automatismes qui peuvent être nuisibles sur le long terme. Le cerveau fait tout pour optimiser l'efficacité. Il se rappelle des erreurs du passé. Vit au présent vaille que vaille et spécule sur son future en faisant de nouveaux projets par des apprentissages conditionnels. 

"Culture en Prime" invitait ce vendredi Marka qui chantait son bonheur
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Les relations virtuelles sur Internet avec ses outils Facebook & Co, c'est une autre histoire.

Je dirais pour finir "Woke de là"

Conclusions de l'article du Vif

Les richesses démesurées permettent d'exercer une influence politique. Beaucoup y voient une menace pour la démocratie et pour la cohésion sociale, la stabilité et la sécurité. Dans la conférence "TED Beware , fellow plutoctats, the pitchforks are coming", Nick Hanauer avertit les coploutocrates, déconnectés de la réalité que le gouffre entre les ultra-riches et les ultra-pauvres se creuse tellement et que les "angry mobs with pitchwoprks" peuvent se manifester. Ils ne sont plus là pour jouer le rôle de sauveur de l'humanité en cas de crise. 

L'économie d'échelle est toujours là pour réfléchir.

Mais encore faut-il que l'échelle ne renverse pas l'économie. 

Enquête sur 30 années de foot-business, où l'argent est roi.  ?

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 Le foot, un sport ou seulement du business ?

Ce samedi, c'était la finale du Concours Reine Elisabeth de piano. Nikola Meeuwsen, hollandais remporte le Concours Reine Elisabeth,Wataru Hisasue, japonais et Valère Burnon, belge.

La musique, dite classique, est-elle destinée aux élites et aux riches ?
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 Le bon sens est-il aussi bon qu'on le dit ?

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Expo « Buv'Art » 

Au-delà des spécificités de chaque artiste, Buv'Art se vit comme une expérience collective. L’art y devient un dialogue direct avec les émotions, une invitation à absorber les récits visuels et les énergies qui les traversent. Chaque visiteur, comme un buvard, repart marqué, transformé, enrichi par cette rencontre inédite avec trois regards profondément humains pour découvrir cette alchimie d’émotions et de formes en cassant les codes. 

Clic sur l'image ci-dessous

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Allusion


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51 réactions à cet article    


  • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 2 juin 17:26

    Pourquoi « super » riche ? 

    Il suffit de dire « Riche » ça suffit. 

    Super ne veut rien dire. 

    Ici sur Agoravox, il faut parler a des gens qui ont fait le choix de professions limités en revenus, profs, fonctionnaires, salariés. Tous n’ont pas le sens de l’ouverture a ceux qui ne sont pas comme eux.

    Ces professions sont leur choix et avec leur choix de vie on ne devient pas riche. C’est pas grave en soi mais cela rend frustré le bobo qui ne pourra pas a la fin du mois payer la semaine de ski a sa famille car l’electricité a augmenté.

    .

    La tentation, est souvent amplifié plus dans l’environnemet social public c’est de détester les riches car ils accèdent a ce qu’ils ne peuvent avoir par la limitation de leurs choix de vie.

    Par ailleurs dans cet environnement de l’emploi a vie on ignore le risque et la liberté de sa propre vie que procure la richesse.

    Mais factuellement ils n’investissent dans rien, ne créent rien et pour eux appuyés par les marxistes ils confondent les flux et les stock, revenus et dividendes, et l’argent pour eux n’a pas la même utilité et ils ne comprenent pas parfois.

    Un riche a investi, ou il a amélioré, il est décideur. Il rend frustrés ceux qui n’entreprennent pas et ne prenent pas de risques. Il utilise ses revenus différeement des salariés et fonctionaires.

    Sa richesse est le fruit d’un risque, d’un investissement, d’une prévision d’un savoir faire ou d’une opportunité.

    Souvent le riche est exposé comme un problème. En fait le problème c’est ceux qui l’envie.

    Car aucun riche n’est responsable des malheurs de celui qui ne l’est pas. Sauf de sa frustration.


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 2 juin 17:54

      @Spartacus Lequidam bonsoir,
        « Si j’étais très très très riche, je distribuerais mon argent jusqu’à ne plus être que très riche. Très riche, ça me suffit. ” écrit dans une bulle d’un de ses dessins Philippe Geluck .
        Comment devient-on riche ?
        C’est dit dans le billet : »Quand l’éducation et les idées neuves arrivent de concert au bon moment où le monde en a besoin pour progresser et que ce dernier est un besoin ressenti mondialement c’est le jackpot« .
        J’ai très jeune, j’ai compris cela. J’ai été un »accident de parcours".
        Ma mère en avait les prémisses. J’avais été à la bonne école. Elle épargnait comme il n’est pas possible de la faire plus. Je pouvais comprendre pendant sa carrière professionnelle. C’est après, lors de sa retraite que cela dépassait mon entendement. Elle épargnait pour sa deuxième vie. Je ne pouvais pas recommencer le même processus de détérioration. 
      J’ai raconté tout cela dans mon autobiographie
      Tout ton commentaire me parait dans la note de ce que je pense.
      Merci  smiley


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 2 juin 17:58

      Si tu lis mon autobiographie, tu y verras quelques citations des livres de Philippe Bouvard qui arrivaient bien à propos.


    • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 3 juin 09:49

      @Réflexions du Miroir
       «  Si j’étais très très très riche, je distribuerais mon argent jusqu’à ne plus être que très riche. Très riche, ça me suffit. ” écrit dans une bulle d’un de ses dessins Philippe Geluck .« 

      C’est une reflexion de celui qui gagne sa vie normalement mais pas de quelqu’un qui sait ce qu’est »etre riche« . Avec des idées avenc l’argent des autres, c’est très gauchiste. Aussi Sympa que soit Philippe Geluck, qu’il commence par donner l’argent de sa propre existance pour donner l’exemple.

      C’est beau, poétique, avec ce genre de reflexion on est dans le camps du bien mais c’est de la posture » pour séduire les gens du camp. Avec des paroles comme ça il sera 1000 fois plus invité que le PDG de multinationale dans les médias qui emploie 400 000 personnes.

      Distribuer, le riche sait ce que c’est, il a forcement essayé. Il comprend vite que c’est le syndrome du Samaritain. Tu donnes un jour à Jean, le lendemain Jean revient avec 5 amis, 2 jours après les amis de Jean revienent avec 100 amis et a la fin tu n’a plus rien et t’a juste dillapidé ta fortune aux 4 vents.

      Tu es trè très riche, tu ferai mieux de construire une usine de cannes à pêche, tu permettra a des masses d’être salariés et mériter normalement de vivre de leur job, les cannes a pêche que tu produit permettrons à des gens de manger du poisson. Les cannes a pêches tu ne les donne jamais, tu les vends, car ceux qui les auront en seront propriétaires et il en prendrons plus soin que si elles n’ont pas de valeur. Si elles sont donnée, elles finiront dans des placard car tout le monde n’aime pas la pêche et la distriburtion tout le monde prends.

      Tu deviens bien plus social que de donner ton argent, mais ceux qui auraient voulu que tu donnes te détestent et te jalousent, parce qu’en plus la vente de cannes a pêche t’as rendu encore plus riche.


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 2 juin 18:10

      Comme toujours, vu le temps indéterminé pour qu’un article arrive à être publié sur Avox, celui-ci est toujours une préversion.

      Elle devient version définitive sur mon site

      Une phrase y est assez explicite « Dès que les hommes ont inventé l’argent pour leurs transactions, l’argent ne laisse plus indifférent, même au sommet des consciences religieuses. Quand il s’agit de leurs plaisirs et de leurs croyances, on ne compte plus. 

      Le foot-business, où l’argent est roi, méritait 30 années d’enquête

       Le foot, un sport ou seulement du business ?

      Hier, ce fut le sacre du PSG en ligue des champions.

      La cession du PSG au Qatar est une réussite... 

      Cela nécessitait un Cactus d’applaudissement

       »Panem et circenses" 

      MMGA, encore et toujours....


      • ddacoudre ddacoudre 2 juin 22:58

        Bonjour, 

        être riche ce n’est pas un défaut ni immoral. Ce qui est ennuyeux c’est qu’ils imaginent ne le devoir qu’à eux-mêmes, et qu’ils nient retirer leurs richesses de l’exploitation de leur semblable. Ceux qui ne le sont pas n’ont que le défaut de nourrir de la frustration. C’est la conséquence de la conscience humaine, parce qu’ils ne le sont pas. C’est la conséquence de la conscience humaine et d’une capacité inexploitée de l’association de la pensée cognitive qui ne se développera que si l’environnement dans lequel l’un ou l’autre sont plongés ou élevés à la naissance leur permet de bénéficier des moyens et connaissances pour retirer un parti personnel de celui-ci, dans son seul intérêt. Les animaux qui demeurent soumis à un dominant mâle ou femelle ressentent-ils de la frustration. L’on peut répondre sans se tromper, bien sûr, tout comme Cyrulnik nous a appris qu’ils avaient des souffrances psychiatriques ; certes le niveau n’est pas comparable suivant les espèces, et très certainement nous devrions retrouver des processus semblables partout dans ce qui vit. La différence entre nous est des animaux tient au développement de rareté , produire pour se nourrir.

        Chez les animaux il y a une limite à leur égoïsme dominateur, celui d’être le premier à se nourrir dans la limite de son estomac. Cela fait qu’il en reste pour les autres quand la proie s’y prête. Chez les Humains depuis le début de l’économie de pillage, débuts des cités états, le dominant par le glaive « la force » s’accapare tout, car il n’y a pas de limite pour s’approprier les produits du travail des autres.

        Au fil des siècles, cela est devenu un commerce organisé, mais il y a toujours des dominants « aujourd’hui systémiques » qui utilisent la place que leur a donné leur naissance pour disposer de l’héritage des fortunes qui se sont transmissent issus du déroulement de l’histoire depuis lors, ou depuis les premiers orfèvres banquiers, d’emprunter un capital qu’ils ne possèdent pas, et que d’autres ont déposé pour réaliser des projets. Nous comprenons que personne au monde ne naît avec un capital s’il ne lui est pas transmis par l’évolution de l’histoire Humaine. Tous ceux qui aujourd’hui entreprennent ont leur place issue de l’éducation dans un environnement favorable. Ainsi chacun de nous bénéficie des connaissances qui se sont développées au cours des siècles et qui se transmettent au cours des générations inégalement suivant le développement géohistorique des états. Les Papous n’ont qu’à lever les bras pour se nourrir. Nous il faut tenir un outil d’évolution technologique depuis le premier chasseur.

        Ainsi les riches sont à l’exemple de ce que nous sommes, ils amassent dans leur seul intérêt sans limites, car tel est l’état du développement de l’économie et de l’existence depuis 9000 ans. L’on ne va pas leur reprocher de s’être inscrits dans une organisation socio-économique que l’ensemble des comportements Humains ont acceptée de gré ou de force. Sauf que l’héritage biologique qui permet à un d’être un dominant alpha se retrouve chez des sujets qui ne sont pas dans le fil de l’héritage des dominants systémiques « ceux issus de nos organisations successives » et suivant où ils naissent, sont des dominés comme la plupart d’entre-nous. De l’éducation qu’ils ont reçue, ils se révoltent en conscience contre leur situation de dominés. Et l’on trouve de tels Humains partout dans le monde. Le plus souvent ils ont seulement proposé un nouveau paradigme, sans changer le fond de l’exploitation humaine. De Jésus qui demander au maitre de partager à Marx qui proposait de l’inverser en donnant le pouvoir à ceux qui produisent, le désir de s’enrichir demeure toujours sous-jacent, car il tient à l’absence de limites civilisatrices fondées sur une valeur biologique irréversible et universelle et sur le désir naturel de retrouver un état Humain animalier où nous n’avons pas à travailler pour économiser l’énergie que demande la production de notre confort. Cela demande d’être des citoyens éclairés, c’est-à-dire, pour être anticapitaliste, de réunir les conditions civilisationnelles, pour arrêter l’enrichissement des uns à partir du travail des autres, sans avoir à le leur reprocher, car ils se sont inscrits dans un développement sociétal où chacun de nous a concouru par volonté où par faiblesse.

        Ce n’est pas une raison pour en rester là, car civilisationnellement nous peut faire mieux, encourager beaucoup à entreprendre en mettant en place des capitaux disponibles, soit de ceux qui les déposent ou de la création monétaire. Car il ne faut pas confondre le capitalisme, « j’amasse par l’exploitation de celui qui travaille » et les capitaux dont il faut disposer pour entreprendre des œuvres ou ouvrages qui dépassent la seule capacité d’un Humain ? Dans les grandes sociétés, ce ne sont pas les propriétaires qui entreprennent, mais des salariés, idem dans la recherche. Cela dit il y aura toujours des Pasteurs et autres, car les tâches se répartissent et nous ne pouvons pas reprocher à un Humain de ne pas avoir entrepris parce qu’il n’est pas à la bonne place.

        Ainsi, ceux qui sont riches ne le sont pas grâce à leur travail, personne ne peut devenir riche par son propre travail, il retire ses compétences de l’histoire des autres où qu’il soit, et la conscience devrait nous porter à rechercher une autre organisation du travail qui ne soit pas de l’exploitation, même si ceux qui ont fait les lois ont choisi d’expliquer que l’Humain sans capital louait sa force de travail dans un contrat négocié de gré à gré, sans dire que forcément qu’il ne peut pas avoir une seule chance de s’enrichir, tout juste profiter du confort et du patrimoine qu’il a acquis par son travail en l’achetant trois fois son prix.

        Chez Total énergie avec d’actionnaires 2,300,000,000 le plus grands actionnaires Amundi Asset Management SASU, 9,647 %. Les seconds sont ses salariés, avec des plans d’accession à l’achat d’actions de l’employé de l’AS, 7,7 %. Total compte dans le monde 102 579 salarié. Son bénéfice net en 2024, 15 20 000 000 milliards.

        Ceux-ci bénéficient de : 2,300,000,000 x 7,7% = 177 100 000 / 102 579 = 1 726,4 par salarié.

        D’autre part ils reçoivent en participation 9100 par salariés + en moyenne 3000 de prime + 1 726,4 = 13 826,4.

        Dans le cas d’une Scop, chaque salarié aurait perçu,15 200 000 000 / 102 579 = 148 178,4.

        Je pense que là ce n’est pas une question de frustration que d’envisager une juste répartition du travail de chacun.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 09:07

          @ddacoudre
          Bonjour DD,
           Merci d’avoir apporté une opposition aussi bien structurée et ainsi créer une discussion. J’aime. Je vais essayer d’y répondre point par point en plusieurs étapes.

          « Les riches imaginent ne devoir leur richesse qu’à eux-mêmes » 
          J’ai déjà tenté de répondre à cette situation dans l’article « L’intelligence en top-down ou en bottom-up »

          Est-ce que le collectivisme entre-t-il en compétition avec le productivisme ? Cela dépend du contexte historique, politique, économique et aussi de cas très personnel. Dans le passé, ce sont des hommes devenus célèbres qui ont mené le monde et leur découverte seul dans leur laboratoire. Aujourd’hui, on travaille en équipe dans presque tous les domaines d’activité. C’est donc une erreur grossière de ne pas être collectif. L’un dépend de l’autre dans une structure horizontale alors que tout est souvent vertical et hiérarchique avec des gouvernants représentatifs élus par des élections. Cela décharge les problèmes sur eux et permet de dissoudre les responsabilités de chacun. C’est un peu ce qu’a voulu démontré après la guerre, Milgram par son expérience qui a étudié la soumission à l’autorité.   

          Nous sommes à la croisée des chemins. Dans le passé, les grandes découvertes ont presque toute été faites par une personne et sont dans le dictionnaire en tant que tel et jamais relaté comme un groupe.

          Le Collectivisme est la doctrine ou système économique et social où la propriété des moyens de production est collective étatique ou communautaire et où l’intérêt collectif prime sur l’intérêt individuel. Il s’oppose au libéralisme individualiste. Le collectivisme favorise parfois une gestion participative, horizontale, voire autogérée dans une organisation hiérarchisée, orientée vers la performance à la recherche d’efficacité maximale. 

          Le Productivisme est une idéologie ou orientation économique qui valorise l’augmentation continue de la production, souvent associée à l’idée de croissance économique, de rendement et d’efficacité, parfois au détriment de considérations sociales ou environnementales. Le productivisme classique tend à ignorer ces limites au profit de la croissance.

          Le collectivisme et productivisme ne sont pas nécessairement opposés, mais leur association peut avoir des effets contradictoires. Le collectivisme entre en tension avec le productivisme quand la logique de croissance illimitée contredit les objectifs sociaux du collectif.

          Personnel : Comme je l’ai écrit, non désiré, je n’ai jamais été aidé ni par les parents, ni par d’autres. J’étais devenu un solitaire endurci et j’aimais réalisé les projets seul pour me sentir vainqueur de situations compliquées.. Quand on m’a nommé manager d’une équipe, tout changeait. Il fallait la motiver et s’oublier en quelque sorte.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 09:40

          2. C’est la conséquence de la conscience humaine et d’une capacité inexploitée de l’association de la pensée cognitive qui ne se développera que si l’environnement dans lequel l’un ou l’autre sont plongés ou élevés à la naissance leur permet de bénéficier des moyens et connaissances pour retirer un parti personnel de celui-ci, dans son seul intérêt.

          Exactement. L’un dépend de l’autre. Le riche entrepreneur de société ne peut pas créer son entreprise seul. Partager son intérêt est pourtant difficile après l’achèvement d’un objectif. En fonction de quoi peut on attribuer l’égalité de la réussite ou de l’échec d’une entreprise ? 
          Qui a fait le plus pour rendre le projet productif à tous ? 
          Il y a manifestement un défaut.
          C’est comme quand on doit veut punir quelqu’un pour une « mauvaise » action (mauvaise ou bonne d’ailleurs) et qu’il ne se dénonce pas de l’avoir faite. L’application du problème de manière collective comme dans la guerre, fut de rendre les responsabilités à tout le groupe. 


        • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 3 juin 09:58

          @ddacoudre

          A minima, il déja se mettre en position de gagner de la richesse.
          Donc ou pour être riche, on le doit a mimina a ses choix personnels.

          Si tu te met a ton compte, t’as plus de chances que de de choisir d’être salarié ou fonctonnaires qui eux sont des choix qui « limitent ta richesse.

          Si tu n’investi dans rien, ne pleure pas celui qui recois des dividendes ou des loyers.

          Si tu as un talent mais que tu ne fait rien pour l’exploiter ne pleure pas sur les revenus de Messi qui a passé des heures à perfectionner son talent en tir dans un cadre.

          Ceux qui n’ont rien adorent se refugier dans la détestation des »riches" ou faire croire que leur richesse est imméritée. Ca leur donne une consistance qui evite de remettre en cauce eux même et leurs choix de vie.

          Le riche est riche par lui même. Une idée qui ne passe pas chez ceux qui n’ont jamais risqué, investi ou travaillé leur talents.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 09:59

          3. "Les animaux qui demeurent soumis à un dominant mâle ou femelle ressentent-ils de la frustration...  Chez les animaux il y a une limite à leur égoïsme dominateur, celui d’être le premier à se nourrir dans la limite de son estomac. Cela fait qu’il en reste pour les autres quand la proie s’y prête.

          « .

          Bonne idée de prendre les animaux en relief avec l’homme. Certains ont adapté cette idée au ruissellement du haut vers le bas de la chaine de prise du pouvoir de s’alimenter. Les miettes... quoi.

          4. Chez les humains ...
          Le billet »Les origines de la société«  contient les quatre étapes de cette socialisation des humains
           »La naissance des villes« 
            »Les premières guerres« 
            »L’apparition des religions« 
            »L’inventions du commerce«  

          Pour former un humain et pour qu’il puisse se vivre et se nourrir sans plus dépendre des parents, il faut 20 ans.
          Pour certains animaux, cet enseignement doit se faire quasiment immédiatement.
          Un an »d’écolage" parait souvent être un maximum. 


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 10:12

          4.  « Dans les grandes sociétés, ce ne sont pas les propriétaires qui entreprennent, mais des salariés, idem dans la recherche. Cela dit il y aura toujours des Pasteurs et autres, car les tâches se répartissent et nous ne pouvons pas reprocher à un Humain de ne pas avoir entrepris parce qu’il n’est pas à la bonne place ».

          Ouais.... Mais.... En sont-ils capables ? Le veulent-ils vraiment ?
          J’ai souvent dit que la meilleure société productiviste, est celle qui investissent dans leur avenir par eux-mêmes sans chef. Ils sont dès lors tous chefs de leur entreprise. L’horizontalité se ferait automatiquement. Les gains et les pertes seraient partagés.


        • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 3 juin 10:25

          @Réflexions du Miroir
          « Le riche entrepreneur de société ne peut pas créer son entreprise seul »

          Ha et pourquoi donc ?
          La réalité montre le contraire.

          Désolé mais une entreprise en général est portée par un individu.
          Jeff Besos, Musk sont des exemples

          Un homme seul décide, il est plus responsable car il n’a pas de compte a rendre sauf a lui même s’il y a echec s’il met tout sur un coup de poker commercial ou industriel.
          A partir de 2 il faut supporter la peur du risque dans la direction qui fait douter l’autre de tout perdre.


        • Fergus Fergus 3 juin 13:51

          Bonjour, Spartacus Lequidam

          « pour être riche, on le doit a mimina a ses choix personnels »
          Faux  ! La majorité des riches doivent leur richesse au patrimoine qu’ils ont reçu en héritage.
          Nés dans une famille de classe moyenne et a fortiori modeste, il est probable que  faute de capital de départ ou d’accès à des formations de haut niveau  l’écrasante majorité de ces héritiers eût été incapable de bâtir une fortune !


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 14:27

          @Spartacus Lequidam 
           Je m’attendais à cette réplique.
           Il peut la créer seul, mais très vite, en fonction des contrats qu’il peut obtenir, il se sent obligé d’engager des aides subalternes.
           J’ai déjà répondu en partie. Dans la petite startup dans laquelle j’ai démarré ma carrière, nous étions très peu. Souvent trois. Chacun avait ses qualifications. En 1976, le problème est arrivé quand je suis parti en vacances. Pas d’internet pour permettre de communiquer à distance. Pas de backup. Il a fallu reprendre l’avion pour régler le problème. L’écriture d’algorithme en informatique n’est pas une profession que l’on peut reprendre la charge au pied levé. 
           C’est évidemment, encore pire, quand il n’y a qu’une seule personne à bord. Les clients que nous avions, ne pouvaient attendre le retour.
            Cette situation devient très vite critique.
            La peur du risque se résume à ne plus partir et à limiter ses activités au minimum.
            Tout perdre, c’est perdre le client et la réputation de la petite société pour l’avenir.
            J’ai parfaitement compris la différence avec la multinationale américaine dans laquelle je suis allé ensuite.
            Les vacances étaient réservées depuis le mois de janvier pour toute l’année.
            Il n’y avait plus que les impondérables qui pouvaient bousculer l’exploitation.
            Les idées viennent souvent à partir d’un personne. Pour les structurer, il faut apporter de l’aide dont on ne se sent pas capable soi-même.
            Nous avons eu les trois types de CEO que l’on pouvait identifier pas le film « Le Bon, la Brute et le Truand ». 
            Les Américains ne pensent pas résoudre un problème comme les Européens.
            En Europe, si on problème de stratégie se pose, on tente de le maintenir en y ajoutant de petites modifications.
            Aux Etats Unis, on est capable d’abandonner complètement la stratégie d’un projet et le remplacer complètement par une solution à 180°. 
            
           Le cas de Walt Disney est intéressant. Il apportait les idées et son frère apportait la structure et les calculs comptables de réalisation.

            Intéressant de prendre aussi Besos et Musk en référence.
            Qu’est-ce que Besos a fait au départ : la vente de livres. Les sous-traitants s’occupaient de la livraison.
            Quant à Musk, il a été le co-fondateur avec son frère Kimbal Musk pour créer Zip2 Corporation (1996). Il s’agissait d’un guide de ville en ligne destiné aux journaux, fournissant des cartes et des annuaires d’entreprises. La société a été vendue en 1999 à Compaq pour 307 millions de dollars. Musk a empoché environ 22 millions de dollars grâce à cette vente.
          Entre 1999-2002, le fondation de X.com et PayPal comme société de services bancaires des paiements en ligne. En 2002, eBay a racheté PayPal pour 1,5 milliard de dollars en actions et Musk a gagné environ 165 millions de dollars de cette vente.

            Mondialiser avec des structures divisées de part le monde, nous a obligé d’analyser et d’allonger les codes dans le plan comptable américain pour savoir où il y avait des pertes. Tout en tenant en parallèle le plan comptable de chaque pays.
            On commence toujours petit et on s’agrandit au fur et à mesure et que la complexité s’accroit. Si on ne comprend pas cela, c’est raté son entrée.
            


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 14:41

          @Fergus bonjour,
            L’exemple que j’ai connu dans l’article de l’image de Largo Winch (et de la personnalité effective de Linch) prouve que c’est souvent de père en fils.
            Il y a un cas, que l’on connait très bien en Belgique : la famille Empain.
            1. Au départ, le grand-père  Édouard Louis Joseph Empain (1852-1929), général et industriel belge, créateur de l’Héliopolis cairote et du métro parisien.

          Capable de tout entreprendre et de prendre des risques sur plusieurs plan. Il y a aussi les mariages qui apportent des fortunes qui peuvent manquer au départ.
          La lignée continue :
          2. le baron Jean Empain (1902-1946) qui a essayé vaille que vaille à maintenir l’empire industriel de son père.
          3. le baron Édouard-Jean Empain (1937-2018) qui commence a disperser la fortune, Il est victime en 1978 d’un enlèvement (Affaire Empain)

          .
          Un exemple parmi d’autres....


        • ddacoudre ddacoudre 3 juin 14:50

          @Réflexions du Miroir
          je n’ai rien contre la singularité des Humains, chacun est différent et doit individuellement survivre, et il ne peut le faire qu’en ramenant toute chose à lui, il n’est pas forcément égoïste en répondant à une construction biologique de son être. au pire s’il n’y a pas à manger pour tous il s’entre tuera pour survivre. l’histoire est là pour nous le rappeler. Il n’y a même pa


        • ddacoudre ddacoudre 3 juin 16:11

          @ddacoudre
          le commentaire complet.

          Je n’ai rien contre la singularité des Humains, chacun est différent et doit individuellement survivre, et il ne peut le faire qu’en ramenant toute chose à lui, il n’est pas forcément égoïste en répondant à une construction biologique de son être. Au pire s’il n’y a pas à manger pour tous, il s’entre-tuera pour survivre. L’histoire est là pour nous le rappeler. Il n’y a même pas objectivement à le leur reprocher même quand ils cumulent sans limites bien au-delà de leur besoin tout simplement parce que l’organisation capitaliste conduit à cela, et à cause de la nature du bien être obtenu par les savoirs. Nos existences confortables nous la devons déjà au langage qui s’est montré supérieur au mimétisme et a pu permettre d’établir des apprentissages de savoir-faire de plus en plus complexe. Je ne pense pas que par mimétisme nous aurions pu créer des avions ni des ordinateurs. En 1969 Gell-mann a créé le Calthec pour permettre à toutes les disciplines scientifiques d’y venir croiser leurs connaissances. Il militait pour la pluridisciplinarité. Mais bien naturellement, parce que biologiques, les découvertes ne peuvent ne l’être que par un.
          Que ce soit hier ou aujourd’hui. Hier l’on ne mentionnait pas d’où provenaient leurs savoirs pour innover, aujourd’hui comme tu le soulignes c’est de plus en plus le résultat d’une équipe que l’on attribue toujours à un ou à une entreprise qui s’approprie les découvertes de ses salariés. Que nous soyons individualistes par nature ne me parait pas une raison suffisante pour nier l’interdépendance de nos collaborations pour parvenir à réaliser ce qu’un Humain seul ne peut entreprendre. Que nous ne puissions pas nous soustraire à la nécessité de penser à soi pour pouvoir apporter aux autres ,n’est pas de même nature que l’exploitation économique de l’individualisme qui conduit à penser que nous ne devons notre existence qu’a nous même. Cette motivation est maintenue, car elle permet de continuer à justifier le capitalisme, bien qu’il puisse être démontré qu’il est destructeur.


        • ddacoudre ddacoudre 3 juin 17:03

          @Réflexions du Miroir
          quand nous naissons nous ne comprenons rien à l’existence et nos instincts nous portent tout le long de notre vie, ils servent de filtre à nos paradigmes sociétaux qui se sont élaborés au fil du temps. et comme ils conviennent à l’innée sans éducation sur nos fonctions cérébrales, nous pensons qu’il en va de soi. Or nos organisations sociétales sont le résultat de nos comportements biologiques structurés pour survivre dans un cadre précis qui structure tout le vivant, la compétition qui détermine les dominants et les dominées. L’existence est un conflit permanent que nous pouvons avec difficulté maitriser par l’éducation apaisante et équitable qui fait partie intégrante des aptitudes altruistes de la femme que les dominés mâles naît avec des critères de dominants ont développé pour se trouver une place dans la compétition. Ce sont tous les Humains qui ont conduit des « révolutions » violentes telles la bourgeoisie française, Lénine ou pacifistes, tel le conte du Christ, César Chavez, Ghandi et j’en passe.
          Pour comprendre les comportements humains dans le monde il faut en revenir à nos instincts animaliers en nous comparants avec les animaux qui n’ont pas eu les leurs atténués par l’adaptation civilisationnelle, qui commence déjà dans la formation du fétu suivant le mode de vie de la femme.
          Les commentaires de Spartacus sont des commentaires d’économies capitalistiques, auxquels il soumet la socialisation Humaine. Cela se retrouve dans ses propos où il qualifie de lâches ceux qui sont biologiquement plus faibles et grâce à qui nous pouvons développer des organisations sociétales.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 17:39

          @ddacoudre
            On creuse le capitalisme... Excellent.... Continuons..
            Il y a toujours eu des dominants et des dominés même chez les animaux. Mais ils se sont échangés de positions quand l’âge ou les forces suffisantes pour dominer n’existaient plus.
            Je suis parfois devant un bottleneck pour répondre correctement.
            Alors, je pose la question à ChatGPT

          1.  «  suivant le mode de vie de la femme »
          Les Moso, une des dernières sociétés matriarcales

          Qu’est-ce qui a fait dévier le matriarcat vers le patriarcat  ?

          🏞️ 1. Transition vers l’agriculture et la sédentarisation
          • Avant : Dans les sociétés de chasseurs-cueilleurs, les femmes jouaient un rôle central : elles fournissaient souvent la majorité de la nourriture via la cueillette, et les liens sociaux passaient par la mère (descendance matrilinéaire).

          • Après : Avec la sédentarisation ( 10 000 ans av. J.-C.), l’agriculture et l’élevage ont accru l’importance du contrôle de la terre et de la production, souvent entre les mains des hommes. Cela a favorisé un modèle patriarcal.

          🐄 2. Domestication et propriété
          • Les hommes ont progressivement pris le contrôle des ressources productives (animaux, outils, terres), qu’ils voulaient transmettre à leurs fils. Cela a encouragé la patrilinéarité (descendance par le père) et le contrôle de la sexualité des femmes pour garantir la filiation.

          ⚔️ 3. Guerre et hiérarchies
          • L’apparition de conflits pour les ressources a mis en avant les qualités physiques et guerrières, valorisées chez les hommes.

          • Les sociétés guerrières ont favorisé des structures hiérarchiques masculines, avec des chefs masculins, renforçant le patriarcat.

          🏛️ 4. Institutionnalisation religieuse et politique
          • De nombreuses religions anciennes ont renforcé des structures patriarcales en codifiant les rôles sexués : Dieux masculins, prêtres hommes, femmes vues comme impures ou secondaires.

          • L’écriture, le droit et l’État naissant ont souvent formalisé la domination masculine (ex : Code d’Hammourabi, lois romaines, etc.).

          👩‍🔬 5. Déclin des figures féminines sacrées
          • Les premières divinités (souvent féminines, liées à la fertilité) ont peu à peu été remplacées ou subordonnées à des panthéons dominés par des dieux masculins.

          • Cela reflète un changement de vision du monde et des structures sociales.

          🧠 Remarque sur le mythe du « matriarcat originel »

          Beaucoup d’auteurs (notamment au 19e siècle) ont imaginé un âge d’or matriarcal primitif (comme chez Bachofen), mais les preuves archéologiques restent limitées. Il semble plus probable que certaines sociétés aient été matrilinéaires ou égalitaires, mais pas nécessairement dirigées par les femmes.

          Conclusion :

          Le passage du matriarcat au patriarcat n’est pas un événement unique, mais une évolution progressive, influencée par des changements économiques, sociaux, culturels et symboliques. C’est un phénomène qui s’est produit de manière différente selon les régions et les époques.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 17:43

          Deuxième question et réponse par la même interprétation de ChatGPT

            J’ai par deux fois visité des expositions de la banque nationale.
            J’en ai fait deux articles « Le monétarisme vaudou »

          et Confiance en l’argent dans le temps et dans l’espace ?
            Toutes les transactions sont liées par la confiance vis-à-vis de l’échange. Des billets en papier contre un service ou une denrée. 


          2. Est-ce que les hommes auraient pu exister sans l’argent comme monnaie d’échange dans les transactions entre eux ?

          Réponse de ChatGPT :

          Oui, l’homme aurait pu exister sans l’argent comme monnaie d’échange. En fait, l’humanité a existé pendant des millénaires avant l’invention de l’argent. 

          1. Avant l’argent : le troc
          • Le troc était la première forme d’échange : les gens échangeaient directement des biens ou des services. Par exemple, du blé contre de la viande, ou une réparation contre un vêtement.

          • Ce système fonctionnait dans des communautés limitées, où les besoins des uns correspondaient aux offres des autres.

          2. Limites du troc
          • Double coïncidence des besoins : pour échanger, il fallait que chacun veuille ce que l’autre offrait.

          • Difficile de mesurer la valeur équivalente : combien de pommes valent une hache ?

          • Problème de stockage et de conservation : certains biens périssaient ou étaient encombrants.

          3. Pourquoi l’argent est apparu
          • Pour faciliter les échanges, une unité de mesure commune était nécessaire.

          • L’argent a donc été inventé comme intermédiaire de valeur stable, transportable et durable.

          • Cela a permis le développement de sociétés plus complexes, avec du commerce à plus grande échelle.

          4. Alternative à l’argent

          Même aujourd’hui, des systèmes sans argent existent :

          • Systèmes d’échange locaux (SEL) : on échange des services ou du temps.

          • Monnaies alternatives : dans certaines communautés, des monnaies locales sont créées.

          • Économie du don : certaines communautés ou groupes fonctionnent sur le partage gratuit.

          Conclusion

          L’homme aurait pu continuer d’exister sans argent, mais ses sociétés seraient restées limitées dans leur développement économique. L’argent n’est pas nécessaire à l’existence humaine, mais il est devenu essentiel à la complexité des sociétés modernes.

          D’après cette conclusion, l’économie et son développement sont les maitres des hommes.


        • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 4 juin 10:33

          @Fergus

          Vos propos sont 100% FAUX !

          Ils viennent de tous les horizons.
          Les héritiers sont rares. Mais parmis les héritiers, il faut admirer ceux qui ont eu une fortune elevée et qui laisseroint à leurs enfants plus que ce qu’ils ont recu.

          Aujourd’hui on fait fortune avec 2 disques dur. Pas besoin de posséder plus.

          Voici une étude Americiane sur les plus riches du monde de l’époque que je vous conseille de lire.
          https://fee.org/articles/what-9-of-the-10-richest-people-in-the-world-have-in-common/
          Quasi tous sont des gens qui sont partis sans fortune.
          Ce qui démontre que la haine de la richesse vient de gens frustrés qui n’ont tout simpelment pas essayés.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 4 juin 12:52

          @Spartacus Lequidam
          Je n’interviens pas sur le fond du sujet. 
          Je me souviens d’un magazine français qui confirmait que les riches ne sont pas aimés en France.
          En Belgique, le sentiment envers les riches est complexe. Si certains les envient ou les critiquent pour l’inégalité des richesses, d’autres les respectent pour leur réussite et leur contribution à l’économie. Le sentiment est également influencé par la perception de l’origine de leur richesse et par leur comportement vis-à-vis de la société. 

          C’est ce qu’on appelle le pragmatisme du Belge, non ? smiley


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 10:37

          5. Chez Total énergie avec d’actionnaires 2,300,000,000 le plus grands actionnaires Amundi Asset Management SASU, 9,647 %. Les seconds sont ses salariés, avec des plans d’accession à l’achat d’actions de l’employé de l’AS, 7,7 %. Total compte dans le monde 102 579 salarié. Son bénéfice net en 2024, 15 20 000 000 milliards.


          Nous entrons ici dans le partage. L’achat des actions d’une société.

          Je ne vais pas tenter d’expliquer le raisonnement des calculs de Total. Je ne connais pas leur organisation..

          J’ai écrit dans cet article" Acheter des actions d’une société a pour principe initial de soutenir une entreprise sur le long terme et pas vraiment pour s’enrichir par trading avec des achats et ventes compulsifs d’une même action sur la même journée. 

          «  

          C’est une idéologie coopérative et pas uniquement pour faire du profit rapide.

          Le point négatif du capitalisme réside dans la déviance des objectifs initiaux.

          Etre actionnaire, c’est partager le destin d’une organisation.

          Comme je l’ai écrit dans le billet »Spéculons en paix« , c’est à dire, ne pas avoir un esprit comme celui du métier de »tradeur" qui doit répondre à des clients qui veulent gagner mais sans perdre.

          La Bourse apprend à gagner mais aussi à perdre.

          J’ai appris énormément de la stratégie d’une ou plusieurs entreprises par cet intermédiaire.

          Comprendre la Bourse et les stratégies des entreprises permet d’apercevoir leurs objectifs.

          C’est un peu comme mes débuts dans une start up où j’ai appris le métier et la stratégie d’une société et savoir où on veut aller..

          Dans la suite, au passage dans une grande société multinationale, la stratégie devenait opaque.

          Là, on est vraiment un pion dans un jeu de quilles..



          • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 5 juin 11:58

            @Réflexions du Miroir

            On est un pion quand on n’est pas le patron.
            Le salarié est forcément un pion, mais c’est son choix d’être un pion.
            Le choix de ne pas vouloir aceptere risque.
            Etre salarié n’estpas grave en soi, même tres bien sur plusieurs cotés, mais ce n’est pas normal de se plaindre de son manque de liberté alors qu’elle a été choisie.. 


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 12:17

            @Spartacus Lequidam,
              Je l’ai déjà écrit de multiple fois, mais tu n’as probablement pas suivi.
              Je n’ai jamais considéré que j’avais un patron religieux ou profane au dessus de ma tête. Je suis un mécréant complet.
              Ce n’est donc pas un problème d’être salarié ou manager sur une première marche que j’ai été pendant plusieurs années jusqu’à la retraite.
              C’est un état d’esprit de non observance de toutes les autorités religieuses ou politiques.
            « Le cerveau est câblé pour obéir » 
             Je n’ai pas encore compris qu’après des milliers d’années, on croit toujours et que l’on fait des prosternations et des prières.
             Les athées sont en permanence victimes des croyances.
             En octobre 2023, j’ai écrit « Pas de boogie woogie »

             Ou est le problème entre Israël et la Palestine : ils ne prient pas pour le même dieu (et j’écris ce mot avec une minuscule). 
              Si tu piges cela, tu as tout compris. 


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 12:21

            La principale différence entre philosophie et religions réside dans leur approche des questions fondamentales et leur façon de justifier leurs réponses. La philosophie utilise la raison et la logique pour analyser et comprendre le monde, tandis que la religion se fonde sur la foi, la croyance et l’autorité


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 12:25

            Tu ne te rends peut-être pas compte de la liberté que cela procure.
            Quand je fais une erreur (comme tout le monde, c’est toujours possible), je paye cash puisque c’est toujours la meilleure réponse qu’on a trouvé pour effacer une erreur.


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 12:30

            La fin complète de ce billet est sur mon site :
            Dans la mythologie grecque, le dieu de l’argent est Ploutos (Plutus en latin), divinité de la richesse et de l’abondance. Il est appelé « Père de la fortune » ou « Dieu de la richesse ». Dans le Nouveau Testament, le terme « Mammon » est utilisé pour désigner la richesse matérielle, parfois personnifiée comme une divinité.

            C’est dire encore une fois, que dès que les hommes ont inventé l’argent pour leurs transactions, l’argent ne laisse plus indifférent, même au sommet des consciences religieuses. Quand il s’agit de leurs plaisirs et de leurs croyances, on ne compte plus


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 14:20

            On peut avoir des convictions personnelles politiques ou religieuses.
            Là, n’est pas le problème.
            Le problème survient quand on veut diffuser ses convictions et influencer les autres avec elles.
            Elles deviennent alors vindicatives et des clans se forment avec une tête au sommet et des suiveurs.
            Le respect de l’autre qui ne pense pas de la même façon, n’existe plus. Il devient l’ennemi, voire même le terroriste.
            La haine n’est pas loin.
            Toutes les guerres sont construites avec le même scénario. 


          • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 5 juin 17:37

            @Réflexions du Miroir

            Ma réponse n’est pas intuitie personnae. Mais générale. Un salarié n’est pas un patron.
            C’est peu la différence entre un propriétaire et un locataire.
            La différence entre patron met en lumière un même mécanisme psychologique et social : la différence d’attitude selon que l’on se sent ou non responsable des conséquences de ses actes, ou selon que l’on agit en tant que « propriétaire » ou « usager temporaire ».

            Bezos le milliardaire raconte qu’il a loué un de ses appartement en court séjour a des personnes pour Noel.
            Les gens ont acheté un arbre de Noel sans socle. Pour le faire tenir ilssont « cloué » au sol le sapin. Jamais si cela avait été chez eux avec la mentalité d’un propriétairte ils n’auraient fait cela.
            Un salarié de la SNCF (train rançais) fait grève en pleine fêtes, ce que ne ferait pas un petit patron d’épicerie. C’est la meme mentalité, c’est les autres qui paient je m’en fou".

            Dailleurs, ca me donne l’idée d’écrire dessus... smiley


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 18:14

            @Spartacus Lequidam
              « Intuitu personae » est une locution latine qui signifie « en considération de la personne » ou « en raison de la personne ».
              Ok. J’ai écrit beaucoup de chose en 20 ans à ce sujet là.
              En effet, être patron c’est avoir atteint un des sommets hiérarchiques.
              Dans le cycle, le salarié est dans le bas de l’échelle.
              Je suis monté sur une première marche de la hiérarchie du management. Je pense que pour arriver au sommet aux Etats Unis, je devais bien avoir 6 ou 7 niveaux jusqu’au CEO dans l’entreprise multinationale. Plus on montait, plus l’atmosphère devenait insalubre, plus instable aussi. Il y en a qui ont continué à escalader. Amoureux de pouvoir commander ou amoureux du titre ou encore amoureux du fric qu’ils allaient recevoir en plus.
              Je ne sais si tu as suivit les mêmes cours de management que j’ai eu. Se retrouver dans des jeux de rôles dans des situations critiques à jouer « Salomon ». 
              Comprendre ce qu’est « faire du management » et devenir « cadre » n’est pas aussi simple qu’on peut l’imaginer. C’est motiver tes collaborateurs dire salariés ou employés, ça ne tient pas la distance dans le temps. Entre le marteau et l’enclume, c’est surtout rester responsable de ce que font tous les étages en dessous de toi. As-tu connu « L’happycratie : le bonheur jusqu’à la nausée »

             ?
              Quand « la technicité n’est plus seule », Cela veut dire que la compétence technique n’est pas la seule à prendre quand tu engages quelqu’un dans une petite ou grande équipe. 
              Il y a management et manageurs. Les deux concepts ne sont pas toujours pris ensembles.
              Un des CEO de l’époque que j’ai qualifié comme étant le Bon, (la Brute et le Truand étaient d’autres CEO) avait créé une épinglette dorée en trépied à afficher sur le veston.
              Une des pattes du trépied était représentait le personnel, la 2ème, les clients et la 3ème, la réputation.  
              Le patron est redevable à ses clients. S’il n’en tient pas compte, très vite, son entreprise tombera en désuétude. 
              Je ne parle donc plus ici en considérant une personne mais un ensemble. Mais il n’en reste pas moins que ce que j’ai dit avant est à prendre en considération puisque c’est le départ de directions dans lesquelles tu risques de t’embourber si tu fais semblant d’être patron en te foutant de ceux qui sont sous ton contrôle.
              Je pourrais te donner des exemples de réussites et d’échecs dans les relations humaines. Dans le passé, je testais des machines en solitaire. Puis il y a eu cette première marche sur laquelle j’ai compris le changement à adopter.
            Depuis ma retraite, je teste les gens par l’intermédiaire des réseaux sociaux. Je peux te dire qu’après 20 ans, je t’avoue que les sciences humaines sont beaucoup plus difficiles que les machines répondant aux sciences exactes..  


          • pemile pemile 5 juin 18:40

            @Réflexions du Miroir «  En effet, être patron c’est avoir atteint un des sommets hiérarchiques »

            On peut être patron d’une épicerie avec sa femme comme salarié ou salarié d’une grosse boite et diriger 10.000 personnes ?


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 19:02

            @pemile
             Mais bien sûr, cher pemile.
             C’est ce qu’on appelle être indépendant et entrer dans une catégorie de personnes qui ne dépendent que de leurs clients et d’eux-mêmes.
             Je parlais du dossier du Vif dans ce billet. Dans lequel il était question d’épargner pour sa retraite. J’introduisais l’appel à l’article « De pilier en pilier ».
              Il y en a trois
              Ce matin, il y en a un autre qui parle de la retraite.
             
              D’après un autre dossier, il parait qu’il y a trois :

            1. la pension légale du salarié qu’il ne peut sauter et est obligatoire
            2. l’assurance groupe qui fait (ou non) intervenir le patron et l’employer dans une épargne retraite.
            3. l’assurance vie personnelle et volontaire.

            Le Vif d’aujourd’hui parle de l’épargne retraite et conclue qu’en Belgique, un Belge sur deux ne planifie rien pour préserver son confort et s’assure une retraite sereine.

            Qui sont-ils ?

            Probablement les indépendants qui si ils ne cotisent pas, se retrouveront mal lotis à la retraite ou seront obligés de continuer jusqu’à la mort.

            Faire du commerce à son compte demande une étude de marché.

            Je ne sais si c’est votre cas. Si oui, parlez-en. Cela m’intéresse.


          • Octave Lebel Octave Lebel 3 juin 17:09

            C’est l’heure. Une démocratie citoyenne et sociale enfin. 

            Le blabla labyrinthique contre les « super-riches » et la caricature du tyran Mélenchon bien sûr qui va immanquablement avec, en espérant ainsi nous entretenir si c’est encore possible dans la confusion, la démobilisation et la dispersion. Comme c’est original, personne encore ne nous a joué cette partition. Désolé nous n’avons plus de temps à perdre avec ces vieilleries médiatico-politiques qui sentent la naphtaline depuis un moment déjà. Laissons les donneurs de leçons à leurs ruminations et paresse et occupons-nous de nos affaires smiley

            Nous allons user tranquillement et avec détermination du mince pouvoir mais qui est encore déterminant, celui de nos voix dans les urnes pour avancer résolument en laissant résonner toutes les sirènes de la dispersion qui viendront d’un peu partout comme un hommage involontaire à la force de notre rassemblement que toute une classe politique et médiatique redoute à juste raison. Ce que ces gens redoutent c’est une confrontation démocratique portant sur de nouveaux droits citoyens et un référendum engageant le processus constituant en replaçant le peuple au centre de nos institutions. Ils ont raison. Si je pensais comme eux qu’au fond la richesse et le pouvoir ne proviennent que de l’exploitation d’autrui qu’il s’agit de dominer culturellement et matériellement et d’entretenir dans l’ignorance et surtout la division, je ferais évidemment pareil. Désolé, la page est en train de se tourner. Et c’est nous, les citoyens que vous êtes un certain nombre à prendre pour des imbéciles en tentant de nous entretenir dans l’ignorance qui allons vous l’imposer. Une révolution citoyenne tranquille. Et ferme, et responsable. Avec notamment le référendum d’initiative citoyenne permettant l’initiative populaire des lois ou l’abrogation d’une disposition ponctuelle ou une loi, la révocation, en cours de mandat des élus qui n’appliquent pas le programme sur lequel ils ont été élus afin d’en finir enfin avec la culture de l’impunité propre à nos démocraties incomplètes et mensongères. Une réforme du système d’information instaurant la diversité et l’indépendance, protégé par un cahier des charges des oligarques de la fabrication de l’opinion publique qui cherchent encore à étendre leurs pouvoirs sur l’ensemble du champ culturel. Nous voulons le passage à une économie de la satisfaction des besoins et non plus de la facilitation de la concentration financière dont le moteur est la rentabilisation de toute activité à son profit dans une fuite en avant du gaspillage de nos ressources et du socle même de nos vies grâce au pilotage par les marchés concurrentiels. Le tout au détriment de l’ensemble des droits et services de base que l’état assurait pour tous jusqu’ici quand nous contribuions tous équitablement à son fonctionnement fiscal (n’est-ce pas mesdames et messieurs les oligarques et toute la ribambelle qui sont vos obligés). Que nous, citoyens résistants, avions imposé aux dirigeants politiques au sortir des guerres où ils nous avaient menés. Rentabilité poussée à bout, subventionnée et déguisée sous les beaux noms de starts up et innovations. Régulées bien sûr, une fois le maximum de bénéfices et subventions empochés avec quelquefois des dégâts irréversibles pour nous qui n’avons qu’une vie. Nous voulons l’instauration d’une planification écologique, comment faire autrement, s’élargissant au reste du monde si nous voulons maîtriser un peu quelque-chose et surtout prévenir les difficultés qui sont déjà là afin d’en faire des moments et des espaces de coopération en évitant la facilité des guerres dont toutes les classes dirigeantes ont fait jusqu’ici l’outil ultime de la préservation de leur domination. Avec nous et nos vies comme combustible. Travaillons au non alignement international pour instaurer un droit international nous obligeant tous dans le respect mutuel. À ceux qui ont envie de ricaner, rappelons qu’il est déjà à l’œuvre et qu’ils ont raison (leurs raisons) de le redouter.

             

             

             


            • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 18:07

              @Octave Lebel bonjour,
                Merci de venir nous rejoindre.
                Vous aimez les référendums plus que les élections. 
                C’est un peu ce qui se produit dans une Assemblée générale dans un immeuble à appartements. Il faut reprendre toutes les propositions et pas avoir un dictateur qui va exclure ce qui ne le concerne pas ou ne l’intéresse pas.
                La Suisse est un exemple de votre vision. Des personnes proposent un projet, il est étudié et est décidé s’il y a plusieurs personnes qui sont pour le faire, et de le mettre au vote dans une AG. Winston Churchill disait « La démocratie est un mauvais système, elle est le moins mauvais de tous les systèmes ».
              Les élites sont souvent décriées parce qu’elles sont considérées comme formées pour prendre la tête d’un groupement d’hommes. Formées par qui ? Par des professeurs et des universités. Avec Trump nous sommes passés dans un autre univers qui n’a plus que démocratique que des apparences.

              « plus de temps à perdre avec ces vieilleries médiatico-politiques »
              Bonne constatation. Avec la démocratie, on perd du temps par rapport à une dictature qui peut décider très vite de la marche à suivre. 
              Si on veut ne plus en perdre, il suffit d’aller sur une île déserte dans une seule famille où il n’y aura plus aucun lien radiophonique et télévisuel vers l’extérieur. On ne vote plus... Enfin, en principe seulement parce qu’il faut néanmoins prendre des décisions. La guerre est ailleurs. On ne s’en inquiète plus.
              C’est exactement le sujet du livre de Thomas Gunzig dont j’ai écrit le billet : « Le dernier rivage avec Rocky »
              Les problèmes surgissent à la suite d’un manque d’événements déterminants.
              Je conseille sa lecture. Cela fait réfléchir. 


            • Octave Lebel Octave Lebel 3 juin 21:51

              @Réflexions du Miroir

              Vous esquivez une réponse sur le fond me semble-t-il.C’est un procédé comme un autre.A chacun d’en penser ce qu’il veut comme on dit smiley
               


            • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 4 juin 08:21

              @Octave Lebel
                Qu’espériez-vous que je vous réponde ?
                Qu’est-ce qu’une réponse sur le fond quand il s’agit de parler d’argent ?
                Parler de Mélenchon alors que je ne suis pas du tout impliqué par lui puisque je ne suis pas français ?
                C’est à vous d’exprimer ce que vous pensez d’un sujet commun : l’argent avec la manière dont vous le gagner si vous travaillez actuellement ou êtes retraité comme moi et le dépensez pour quoi ou pour quoi.
                Je parle et j’écris en mon nom. A vous de commenter en fonction de vous même.
               
               Votre « A propos » qu’en dit-il de plus ?
                Analysons en résumant :
              1. les outils de diffusion du savoir, de la culture, les outils de communication et d’influence et paradoxalement servent à asservir les êtres humains alterrant l’autonomie, la responsabilité, la coopération, la solidarité, l’équité et le respect mutuel.
               2. combat sans merci contre ceux qui s’imaginent supérieurs qui ont capté les leviers de l’économie et du pouvoir par la jouissance et la maîtrise. Le peuple et ses élites, toute la richesse et la diversité, son intelligence collective, finiront par imposer une véritable démocratie avec des citoyen, écouté et respecté. Supprimer la résignation  par la curiosité et le travail« .

              Vous savez, j’aurais pu signer votre à propos avec la signature »L’enfoiré" qui fut mienne pendant plus de 40 ans.
              Aujourd’hui, retraité depuis 20 ans, je ne le peux plus. 


            • Octave Lebel Octave Lebel 3 juin 17:27

              Sinon, à l’occasion, toujours utile de se faire une idée par soi-même de ce qui tenu invisibilisé. Parce que c’est le seul programme politique existant qui embrasse toutes les composantes des fondamentaux de la gouvernance d’un pays. Réactualisé régulièrement. Après si vous aimez que l’on vous désigne régulièrement qui sont les terribles méchants dont il faut avoir peur (je n’ai pas le temps de faire la liste de leurs défauts et méfaits mais c’est grave croyez-moi) et préférez les sondages et plateaux-télé comme hors-d’œuvre électoraux et les invitations à choisir le meilleur du KOLANTA électoral qui se prépare, vous avez de la chance.Vous n’avez qu’à vous laisser porter par les médias mainstream pour élire un candidat, n’importe lequel, qui ne changera rien sur le fond mais qui vous permettra de vous plaindre et de vous engueuler avec vos voisins sans fin.On est en démocratie ou non ?

              Programme L’Avenir en commun – Actualisation, édition 2025.

              https://programme.lafranceinsoumise.fr/programme2025/livre

              https://actionpopulaire.fr/groupes-thematiques

              → https://programme.lafranceinsoumise.fr/plans

              → https://programme.lafranceinsoumise.fr/programme-version-courte

               


              • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 18:30

                @Octave Lebel
                  Nous avons une énorme différence entre votre gouvernement majoritaire qui par là se rapproche au système des grand électeurs américains qui s’intercalent entre le peuple et le pouvoir.
                  En Belgique, c’est un régime parlementaire à deux tours mais à deux niveaux différents contrairement à la version française.
                  Le Belge vote. Ensuite, on rassemble les votes de chaque partis. Y a-t-il une majorité possible en fusionnant des parties ? Si oui, c’est OK et c’est parti.
                  La semaine prochaine, on aura voté il y a un an. Au niveau fédéral après des nuits de palabres, c’est réglé.
                  A Bruxelles, la « ville monde » où 190 nationalités peuvent voter, toujours pas de gouvernement. L’épine dans le pied ou le talon d’Achille, c’est la gauche contre la droite. Pas d’extrémisme mais tant qu’on n’est pas d’accord sur tout, on n’est d’accord sur rien.
                  Pas vraiment de populisme à la Mélenchon dans ce jeu-là. 
                  Vous n’aimez apparemment pas les médias qui se greffent entre les dirigeants et le peuple. Ce livre « La Meute », je ne l’ai pas lu, mais j’en ai écouté les péripéties. Les suiveurs de Mélenchon se foutent complètement des autres partis parce qu’ils se trouvent en accord avec eux-mêmes. Ils ne veulent même pas discuter.
                Si vous ne voulez pas de dictature effective, cela craint.
                La suite sera l’élimination des dissidents.
                Un journaliste est allé en Chine et en a réalisé quelques séquences « Made in China »  intéressantes à voir.


              • Octave Lebel Octave Lebel 3 juin 22:10

                @Réflexions du Miroir

                Je vous laisse les échos de caricatures dont vous vous nourrissez apparemment quand celle-ci a été produite de manière tellement industrielle qu’elle finit maintenant par se retourner contre ceux qui la fabrique et/ou la diffuse.

                Ce qui fait la force d’un mouvement comme LFI, ce ne sont pas seulement la qualité du travail, le courage, la détermination de ses dirigeants exposés en première ligne, c’est qu’un peuple en nombre encore insuffisant et insuffisamment rassemblé jusqu’ici, soutient, discute, propose et pousse en avant le mouvement pour qu’enfin une démocratie citoyenne fondée sur l’intérêt général et la justice sociale  soit mise en place. Les électeurs n’appartiennent à personne. Ils se gagnent par la clarté, le respect et la cohérence. De grands pas en réalité ont déjà été faits dans un contexte d’adversité extraordinaire et d’autres sont en cours. Il y a un verrou décisif à faire sauter tranquillement mais fermement. Il y aura un avant et un après. Cela dépend de nous les citoyens de ce pays. En France en 2025, il n’y a qu’une gauche, la gauche des citoyens à part entière qui en ont assez du kolanta électoral dans lequel les médias tentent de les maintenir. Cette gauche sera un encouragement pour le reste de l’Europe là où tant de talents se sont égarés et laissés contourner. Qui a quelque chose d’autre à proposer dans la clarté pour avancer ? Pourquoi personne ne le fait ? En réalité, l’extrême-droite et les autres composantes de la droite ici en France, à l’insu de leur plein gré, sont en train de nous rassembler contre elles pour cette démocratie qui vient. Et nous ne laisserons plus une voix se perdre pour ceux qui joueront à la gauche de division.

                 


              • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 18:36

                @Octave Lebel
                  Désolé, j’ai oublié de te répondre.
                  Je savais que parler d’argent allait avoir beaucoup de ce qu’on appelle en Bourse des « produits dérivés ». Les hommes ne sont pas des produits mais leurs idées dérivent très vite sur des sujet annexés.
                  Vous appelez cela « échos de caricatures industrielles ». Ok, pas de problème. 
                  Cela a aussi un relais qui se fait entre la gauche et la droite.
                  Vous avez peut-être appris que si la Belgique fédérale a un gouvernement. La résion de Bruxelles-Capitale n’en a toujours pas.
                  Ce soir, après notre JT, au cours du « Jeudi en Prime » grand débat politique dans un tête à tête entre Magnette du PS qui a été placé dans l’opposition et Bouchez du MR. La Belgique est passé « À droite toute  ». Au centre-droit.
                  Rien à voir avec l’extrême droite.
                  Bruxelles, ville monde (180 nationalités, 120 langues utilisées), est évidemment plus disparate dans les votes qu’ailleurs dans le pays.
                  J’enregistrerai le débat et je reviendrai avec lui demain.
                  En fait, quand on écoute un tel débat, les deux ont raison et tort à la fois ou à leur tour. Je suis non créant et donc apolitique, donc neutre. Je suis comme l’arbitre, je compte les points smiley


              • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 5 juin 18:41

                Octave,
                  Pensez-vous que j’ai pris en fin de ce billet, cette « expo Buv’Art » au hasard. ?



              • xenozoid xenozoid 3 juin 17:43

                et on fait quoi avec les super pauvres ?


                • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 18:13

                  @xenozoid
                   J’aime rigoler de tout, je préviens.
                   Que fait-on des super pauvres  !!!
                   On en fait du boudin, non ?
                    smiley smiley smiley

                   Soyons sérieux, j’aime mieux ceux qui sont autodidactes, et les candides qui posent des questions judicieuses auxquelles les élites n’avaient pas penser et qu’ils se doivent ensuite de trouver des réponses pour ne pas descendre une marche de la connaissance. 
                   Pas d’accord ?


                • xenozoid xenozoid 3 juin 18:16

                  @Réflexions du Miroir

                   je ne lit pas dans la pensée des autres, je fais ma bouffe avec ce que j’ai

                   ok ?



                • xenozoid xenozoid 3 juin 18:26

                  @xenozoid

                  et accesoirement de l’humour aussi


                • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 juin 18:34

                  @xenozoid

                  « Accessoirement de l’humour »
                  Désolé mais cela n’est pas suffisant pour se sentir heureux.
                  Il faut parfois se forcer.
                  Ecoute cette chanson « La pluie »
                  Je vais parler de cela la semaine prochaine et il terminera avec cette chanson..


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