@Eric F

J’aime bien votre résumé. Toutefois, je ne suis pas du tout certain, ni persuadé de ceci (copié-collé) : «  Les personnes pour lesquelles les mécanismes immédiats sont devenus défectueux (ages, vulnérabilités...) reçoivent donc par la vaccination un renforcement des mécanismes différés qui étaient devenus également moins performants. »

Parce que ce n’est pas vraiment l’âge qui amène un affaiblissement immunitaire mais des habitudes de vie délétères sur du temps long, une alimentation totalement inadaptée à l’organisme humain (le nombre de diabétiques ne cesse d’augmenter à travers le monde. Et l’on ne parle même pas des pré-diabétiques ni des personnes victimes de pics glycémiques fréquents et renouvelés. 

Et il faut savoir que les anticorps produits par l’organisme (naturellement ou à la suite d’une vaccination, ou injection, sont des immunoglobulines c’est à dire des protéines. Et ces anticorps sont « attaqués » lorsqu’ils circulent dans le sang chez les personnes dont le taux de sucre sanguin est trop élevé. Cela s’appelle la « glycation non enzymatique des protéines ». Et si la vaccination, ou l’injection, fait bien produire à l’organisme des anticorps, ceux ci ne peuvent pas rester bien longtemps dans la circulation sanguine : les immunoglobulines seront attaquées et produiront, in fine, des AGEs (des produits finaux de la glycation, molécules absolument dangereuses pour l’organisme à l’origine de la dégradation des lipides (les parois des cellules ne sont pas vraiment à la fête), de la dégradation des protéines (dont de nombreuses hormones et des enzymes) qui en perdent leur fonction, et de la dégradation de l’ADN (à l’origine de nombreux cancers). 

Concernant la vaccination anti-grippale les choses sont absolument claires : ces vaccinations, vers lesquelles de nombreuses incitations envers les personnes âgées sont émises avec insistance, n’ont, pourtant, jamais démontré la moindre efficacité. Pour deux raisons : la première parce que les virus grippaux (et encore davantage les coronavirus) ont la faculté de muter rapidement pour échapper aux défenses immunitaires humaines. La seconde, parce que les immunoglobulines sont attaquées, chez les personnes cibles, par le phénomène de glycation (qui est d’autant plus puissant que le taux de glucose sanguin est élevé ou que les pics glycémiques se renouvellent fréquemment).

Il y aurait de nombreuses interventions possible pour renforcer le système immunitaire des personnes possédant une faible immunité. Mais de ceci, il n’est pratiquement jamais question.

https://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/2547/1994_11_1165.pdf?sequence=2