• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Tzecoatl

Tzecoatl

Eduqué à étudier et travailler, j'ai été organiste, salarié agricole, commercial, informaticien, musicien auteur, monétariste, prof de maths, et jardinier agro-écologue, nutritionniste et physicien à l'occasion.
Je n'ai pas de prévalence pour la politique, sanction de la rareté. Il s'agit d'un abus et fructus de classe pathologique mais nécessaire pour la raison publique. Fournir l'abondance est plus subtil et passionant.
 
Concernant mon pseudo à consonance aztèque, mais de sonorité bretonne, il exprime ma curiosité  : Tu sais quoi ? T'es libre.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 02/08/2006
  • Modérateur depuis le 12/09/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 20 4067 578
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 500 446 54
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Tzecoatl Tzecoatl 4 août 2006 11:14

    Je serais près à te croire si :
    - on avait pas observé des instructeurs iraniens et des transferts d’armes de l’Iran vers le Liban afin d’aider le Hezbollah à préparer son agression ;
    - la destruction d’Israël n’était pas un des objectifs inscrits dans la constitution iranienne ;
    - si son président Ahmadinejad ne le déclarait pas à qui veut l’entendre ;
    - si l’Iran adoptait une position nettement plus claire et plus raisonnable sur ses ambitions nucléaires, et arrêtait ce petit jeu avec l’AIEA, en acceptant d’externaliser l’enrichissement de son uranium en Russie par exemple, comme il lui a été maintes fois proposé ;

    En bref, l’Iran joue un jeu où les soupçons ne peuvent que s’accumuler sur ses véritables intentions. A ce jeu-là, les des deux parties, occidentale et iranienne ont beaucoup plus à perdre qu’à gagner, étant donné l’épée de Damoclès nucléaire qu’un Iran militairement nucléarisé ferait peser sur Israël.

    Je concois que tu souhaites restaurer l’honneur d’une patrie héritière de grandes civilisations, il n’empêche qu’il serait préférable qu’elle fasse quelques concessions sans qu’on lui demande de s’humilier ou de réduire ses droits régaliens.



  • Tzecoatl Tzecoatl 3 août 2006 23:36

    @ David A

    « Oui, les démocraties ont des droits que les autres pays n’ont pas, parce qu’elles respectent en retour des droits que ces autres pays ne respectent pas. Dans le cas de la comparaison Iran/Israël, le cas est extrême, puisqu’alors qu’Israël valorise la vie de ses citoyens jusqu’à la démesure, l’Iran expose sans cesse ses citoyens aux dangers des représailles inernationales. »

    A mes yeux, Iran et Israël sont toutes les deux des théocraties, s’affirmant être état musulman (chiite) ou juif, disposant l’un et l’autre de religions d’état. Ils n’empêchent que des communautés religieuses autres vivent correctement dans l’un ou l’autre de ces pays (juifs en Iran, chrétiens en Israël). Donc, fonder un delta de droits entre ces deux états ne vaut rien. Et qu’est ce qui légitimerait qu’une démocratie aurait plus de droits que d’autres ? Rien, c’est exactement sur ce type de dérive que l’on assiste au « surcroit » de droit des néo-conservateurs américains, les plus imposants va-t’en-guerre actuels. La vraie différence entre Iran et Israël, c’est que la constitution iranienne stipule que l’un objectif de ses objectifs est la suppression d’Isräel, et cela depuis la révolution islamique de 1980, et que son président Ahmadinejad (élu « théocratiquement » ressasse à qui veut l’entendre la nécessité de la destruction d’Israël.

    « A propos, il n’existe qu’une définition de la démocratie, et elle est »libérale« au sens de garantie des droits, pas »populaire« ni »religieuse« . »

    Non, une économie démocratique peut être dirigiste, socialiste. D’ailleurs, si vous vous informez mieux sur le libéralisme, ses nouveaux prétendants réclament le remplacement de la démocratie par le libéralisme (www.liberaux.org), petit jeu que l’on pouvait soupconner mais qui est un objectif affiché clairement par eux-même.

    Pour en revenir à l’article, que penser de l’ONU, qui a voté la fameuse résolution 1559, et ne l’a pas appliquée ? Et pourquoi ? Soit, il y a un scenario machiavélique dont je laisserais la rédaction aux conspirationistes ou aux vrais experts de la question, soit tout simplement parceque c’est une institution veule incapable de réaliser ce qu’elle a décidé. En l’état, je ne peux donc qu’abonder dans le sens de l’auteur, parlant d’une institution de façade, laissant toute lattitude aux jeux géopolitiques unilatéraux, à l’ancienne, où la superpuissance d’une époque réalise les objectifs afin de mieux servir ses intérêts (si elle en est persuadée, à l’instar d’Israël -rires-).

    Cependant, n’étant pas expert, on constate que les deux états d’Israël et des USA ne pourraient raisonnablement être motivés que par un puissant lobbying de complexe militaro-industriel. Quoiqu’il en soit, rien n’indique qu’Israël est mis en demeure l’ONU à respecter ses engagements avant le 12 juillet, début des hostilités (alors qu’un regain d’activité du Hezbollah était constaté, notamment par l’afflux d’instructeurs iraniens), ni au début de l’évènement déclencheur.

    Il est évident que, devant l’immobilisme onusien, Israël prenne la défense de son territoire en main. Et si son objectif déclaré est de nettoyer le Sud Liban de cette milice privée à la solde de l’Iran afin de faire le sale boulot que l’ONU s’est exempté de faire, et de léguer à des forces internationales la responsabilité de cette résolution, peu de griefs pourront être adressés envers l’état d’Israël.

    Afin de donner de la fermeté à l’AIEA dans la négociation avec l’Iran, il me semble indispensable de faire taire rapidement l’agresseur pro-iranien qu’est le Hezbollah.



  • Tzecoatl Tzecoatl 3 août 2006 22:45

    Donner un côté rigolo, voire gaulois au racisme comme le fait Mel Gibson est toujours apprécié. Inutile de chercher à supprimer le racisme ou à le taire, le naturel reviendra au galop. Mel Gibson vient de tenir un grand rôle, éphémère certes. Bon article et bons posts en général.



  • Tzecoatl Tzecoatl 3 août 2006 17:09

    Jean Rueff est effectivement un libéral de gauche. Sans avoir sa carrière (loin de là -rires-), c’est aussi une étiquette dans laquelle on pourrait me placer.



  • Tzecoatl Tzecoatl 3 août 2006 16:35

    @Jean Pierre

    « Le risque lié à l’emprunteur n’est couvert que partiellement par les assurances (uniquement décès pour un prêt immobolier). Et parfois on peut s’en passer (entreprises). Autrement les banques ne feraient pas faillite. Le crédit Lyonnais n’aurait pas plongé de 200 milliards de francs. »

    pour un emprunt immobilier, vous oubliez les cautions, les garanties hypothécaires, etc. Je serais même tenté de dire que l’intérêt augmente le risque d’insolvabilité. Cependant, les prêts industriels et commerciaux, sont eux, effectivement plus exposés aux risques. Mais dans les cas de défaillance d’entreprises, ceux sont eux les premiers servis afin de solvabiliser leurs créances, les fournisseurs sont souvent les dindons de la farce. L’exemple du Crédit Lyonnais est lié à un « pétage de plomb de la direction », à l’instar de la Barings.

    « Le risque extérieur (inflation/dévaluation par exemple) est totalement assumé par la banque. »

    En quoi doit-elle « assumer l’inflation » ? Le capital détruit est égal au capital créé, point d’inflation là-dessus. Dans une de mes propositions, si elle souhaite suivre l’inflation, elle peut augmenter ses frais de dossier proportionnellement chaque année, à chaque émission d’emprunt. Ce n’est pas comme si elle possède le capital, tel un financier, et doit pour en tirer un revenu, prélever plus que l’inflation. Non, elle s’autorise à réclamer plus que le fruit du travail de toute entreprise française (croissance à 2%, amplifiée par l’augmentation des dépenses de santé, au passage) sur un écran de fumée de richesse.

    « Je ne vois toujours pas en quoi la BCE ne va pas grosso modo dans le sens de l’intérêt commun. » La BCE, contrairement à la FED, n’a qu’un seul objectif : maitriser l’inflation. Et d’aucuns sont d’accord pour dire que maitrise de l’inflation est antagoniste de croissance soutenue (eq chômage).

    « Et c’est erroné de dénoncer le système bancaire en imaginant un pouvoir absolu. Pour le calcul des bénéfices, ces banques ont des comptes publiques. Il y en a peu à ma connaissance qui ont les marges bénéficiaires de Microsoft ou de Total. » Je ne tape pas sur les riches, je dénonce un privilège. Je n’irais sans doute pas tirer à boulets rouges sur les privilèges des plus pauvres de la planète le cas échéant, certes. BNP-Paribas a tout de même des bénéfices particulièrement élogieux : http://www.boursorama.com/profil/resume_societe.phtml?symbole=1rPBNP

    « D’ailleurs,il y a des exemples de groupes industriels qui sont amenés à créer leur propre banque. A part quelques cas rares, ce n’est pas là que se trouve le max de bénéfices. » Encore une fois, je ne suis pas le pauvre qui tire sur le riche, et je n’ai pas eu écho que la grande distribution française est réussie à former les statuts bancaires qu’elles souhaitaient. Je suis d’accord, là n’est pas le max de bénéfices, mais il me semble que c’est un rouage, non seulement absurde sur le plan de la raison, mais également qui aurait des impacts très positifs sur les tares de nos économies atones. Le Japon ne s’en est pas pris autrement, avec un certain succès il me semble.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv