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  • miaou miaou 20 juillet 2007 12:17

    @bi...

    « Il y en a marre des rabat joies qui veulent absolument des équivalents français pour tous les Anglicismes. »

    Le rabat-joie vous dit merde.

    « Oui, l’anglais est plus facile que le français et donc en tant que tel s’impose plus facilement que notre langue. »

    L’anglais, une langue facile !!! Pour ceux qui veulent baragouiner quelques mots en restant à la surface des choses, peut-être... Nous avons à disposition des langues bien plus belles et plus faciles que l’anglais.

    « J’ai du mal à imaginer les prochaines générations qui vont arriver sur le marché de l’emploi sans maîtriser l’anglais. »

    Quand on doit parler anglais, qu’on le parle correctement, et non pas un globish au rabais ; idem pour le français et les anglicismes, qui ne sont qu’une conséquence de paresse linguistique. Au passage, bravo aux Québecquois qui résistent et qui font cet effort.

    « Et dire qu’on se plaint de notre niveau misérable en Anglais. »

    Si on s’intéressait au niveau de langues étrangères des Anglais et des Américains ? mais eux, c’est forcément différent, ils sont les maîtres du monde. Et il se trouve toujours des lavettes pour s’ « adapter » et s’aplatir devant les maîtres du moment.

    « L’anglais c’est l’avenir donc »

    L’avenir, c’est le chinois.

    « oui ce n’est pas un drame si quelques mots anglais se glissent dans la langue française. Quelle étroitesse d’esprit que de penser le contraire !! »

    Quelques mots constituent une richesse ; le bataillon actuel qu’on nous impose, un appauvrisssement. De plus, pourquoi quasiment que l’anglais, et pas un peu de variété : l’allemand, le russe, le portugais, le chinois, l’espagnol, l’urdu, l’arabe, ...

    « Au Pays-bas, Norvège et autre il y a beaucoup de gens bilingue et ça n’a pas tué leur langue natale. »

    En êtes-vous si sûr ? De plus, je suis alsacien et bilingue allemand/français ; ce n’est donc pas qui allez me faire la leçon

    « Allez faut sortir un peut et aller faire un petit voyage à l’étranger, ça va vous changer l’esprit et vous serez beaucoup plus ouvert au monde. »

    Le bulldozer du tout anglais constitue au contraire un rétrécissement culturel La véritable ouverture vers le monde passe par le maintien d’une véritable diversité linguistique, diversité qui impose qu’au sein de chaque langue, on fasse l’effort de créer en permanence de nouveaux termes (néologismes) . L’idéal serait une lingua franca qui ne soir rattachée à aucun pays en particulier (esperanto...), car toute langue véhicule sa propre idéologie (cf : la novlangue de 1984), et l’idéologie anglo-saxonne, je vous la laisse, quitte à passer pour un ringard.



  • miaou miaou 19 juillet 2007 13:15

    Est-il tellement difficile d’imaginer une terminologie française pour désigner la réalité que vous voulez décrire ? Il est vrai que faire du copier-coller sur le nom anglais est bien moins fatigant. J’en ai soupé des « coaches », du « hardware », du « low cost », du « surf », du « brainstorming ».... et j’en passe.

    Un peu d’imagination pour nous faire profiter d’un nom à consonnance française serait la bienvenue...



  • miaou miaou 17 juillet 2007 17:40

    Dans le genre, absolument navrant, du « travailler plus pour jouir plus »...

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-936400,0.html



  • miaou miaou 17 juillet 2007 17:33

    « la vision de notre société empêtrée dans son judéo-christianisme, »

    Une alternative à cette horrible vision judéo-chrétienne est le darwinisme : il s’agit simplement, dans ce cadre_là, de trouver le meilleur co-reproducteur possible pour sa descendance (ce qui passe selon les sexes, par l’évaluation de certains marqueurs : seins, fesses, musculature, sexe, odeur...) : d’où les notions de compétition et de « marché du sexe »

    Le reste est, comme NPM l’a fort justement souligné, n’est que littérature. Si une certaine science prétend avoir désacralisé la religion, il ne faut pas oublier que cela vaut aussi pour l’amour, réduit en l’occurence à la satisfaction d’un simple instinct primal.

    Cela n’est en rien gênant en soit : le fait de savoir que la gastronomie tire sa source d’un besoin primaire (avec, à la clef, interaction harmonieuse des sens du goût, de l’odorat, de la vue, du toucher et de l’oüie) ne peut en rien gâcher mon plaisir.



  • miaou miaou 17 juillet 2007 16:52

    Etonnant, effectivement...

    Mais certains Wallons n’envisageraient-ils pas de rejoindre la France en cas d’éclatement de la Belgique ?

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