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Marc Dugois

Marc Dugois

Retraité d'une vie bien remplie d'HEC avocat d'entreprises en difficulté, je constate l'effondrement général d'un monde qui ne tient que par la montée vertigineuse d'emprunts non remboursables et par la croyance enfantine mais généralisée qu'il est normal et facile de laisser davantage à ses enfants que l'on a reçu de ses parents, ce qui dispense de trouver un autre sens à sa vie. Cette croyance se fonde sur une création mythique de richesses chiffrée par le PIB qui n'est que la somme de toutes nos dépenses financée par l'emprunt. On ne peut s'enrichir qu'en en appauvrissant d'autres qui, s'ils le font volontairement, justifient l'enrichissement.
Sur ce constat j'essaie de m'expliquer les racines de notre mal et de voir si, avec d'autres et en comprenant ce qui se passe, il serait encore possible d'affronter la machine suicidaire qui nous détruit et que pourtant nous alimentons.

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  • Premier article le 10/11/2018
  • Modérateur depuis le 23/11/2018
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Derniers commentaires



  • Marc Dugois Marc Dugois 9 mai 05:36

    @Sylfaën.H.
    La sueur et l’urine ne s’achètent pas et ne créent pas de profit contrairement à la propriété intellectuelle qui s’achète en bloc ou en morceaux.

    Quant à la durée entre profit et appauvrissement, cela nécessite explications car tout paiement crée simultanément profit et appauvrissement.



  • Marc Dugois Marc Dugois 7 mai 12:19

    @Sirius
    L’accumulation de profits qui ferait un gâteau, est un mythe dont il faut se réveiller.

    Le profit existe individuellement, c’est une réalité, mais il n’existe pas collectivement puisque tout passe par un échange de même valeur entre d’un côté un bien ou un service, et de l’autre de l’argent. Une production qui ne s’achète pas comme la sueur ou l’urine ne crée pas de profit. Il n’y a profit de quelqu’un que s’il y a appauvrissement de quelq’un d’autre. Cette évidence est oubliée pour pouvoir crier haro sur le baudet, les « accapareurs » et les racketteurs" qui sont ravis qu’on les accuse de ce qu’ils ne sont pas en oubliant leurs vrais défauts. Pour moi la seule question à se poser est celle de savoir si l’appauvrissement est volontaire comme l’achat d’un livre ou de la nourriture ou s’il est contraint comme l’impôt.

    En macroéconomie le profit n’a aucun sens !



  • Marc Dugois Marc Dugois 7 mai 11:32

    @Sirius

    Croire à l’existence du gâteau permet de justifier tous les aveuglements ! Et c’est tellement agréable d’y croire plutôt que de prendre conscience que ce gâteau n’existe pas. La vie n’est qu’échange.....



  • Marc Dugois Marc Dugois 23 avril 06:56

    @Luniterre

    "Du point de vue de la logique économique la plus élémentaire il est donc nécessaire et incontournable que la quantité de monnaie en circulation soit au moins suffisante pour que la majorité des citoyens, et en principe même, absolument tous, aient de quoi se payer les biens essentiels à une vie sociale décente dans le contexte moderne".

    Vous touchez là à l’essentiel en choisissant l’idéologie au lieu de la réalité. Tant que vous n’intégrerez pas que la monnaie n’est qu’un prélèvement étatique de la richesse nationale, c’est-à-dire d’une énergie humaine passée déjà bien dépensée, vous ferez comme nos dirigeants et vous inventerez de la fausse monnaie pour dormir tranquille en ne réalisant pas que vous choisissez la guerre.

    La guéguerre entre le capital et le travail n’a pour moi aucun sens. Pour moi l’argent est de l’énergie humaine déjà bien utilisée (une richesse comme l’or) et stockée dans la monnaie quand le travail est l’énergie humaine du présent. Tout l’intérêt de la monnaie est qu’elle est limitée au prélèvement qu’a fait l’État sur la richesse nationale qui n’est que le regard que porte un peuple sur lui-même. Cette limitation force dans une société normale à faire des choix drastiques entre prélever plus ou dépenser moins. Cela s’appelle la politique et se fait soit directement par le peuple soit par ses représentants. Aujourd’hui ni les représentants ni le peuple ne veulent voir le problème et s’en évadent comme vous êtes tenté de le faire.

    Si vous voulez, comme en effet malheureusement presque tout le monde, que "la quantité de monnaie en circulation soit au moins suffisante pour que la majorité des citoyens, et en principe même, absolument tous, aient de quoi se payer les biens essentiels à une vie sociale décente dans le contexte moderne", vous décidez que les problèmes doivent être réglés par la ruse aujourd’hui et par la guerre demain matin. Et vous restez incapable de dire de quelle énergie viendrait la force de la monnaie.



  • Marc Dugois Marc Dugois 23 avril 06:54

    @Luniterre

    "Du point de vue de la logique économique la plus élémentaire il est donc nécessaire et incontournable que la quantité de monnaie en circulation soit au moins suffisante pour que la majorité des citoyens, et en principe même, absolument tous, aient de quoi se payer les biens essentiels à une vie sociale décente dans le contexte moderne".

    Vous touchez là à l’essentiel en choisissant l’idéologie au lieu de la réalité. Tant que vous n’intégrerez pas que la monnaie n’est qu’un prélèvement étatique de la richesse nationale, c’est-à-dire d’une énergie humaine passée déjà bien dépensée, vous ferez comme nos dirigeants et vous inventerez de la fausse monnaie pour dormir tranquille en ne réalisant pas que vous choisissez la guerre.

    La guéguerre entre le capital et le travail n’a pour moi aucun sens. Pour moi l’argent est de l’énergie humaine déjà bien utilisée (une richesse comme l’or) et stockée dans la monnaie quand le travail est l’énergie humaine du présent. Tout l’intérêt de la monnaie est qu’elle est limitée au prélèvement qu’a fait l’État sur la richesse nationale qui n’est que le regard que porte un peuple sur lui-même. Cette limitation force dans une société normale à faire des choix drastiques entre prélever plus ou dépenser moins. Cela s’appelle la politique et se fait soit directement par le peuple soit par ses représentants. Aujourd’hui ni les représentants ni le peuple ne veulent voir le problème et s’en évadent comme vous êtes tenté de le faire.

    Si vous voulez, comme en effet malheureusement presque tout le monde, que "la quantité de monnaie en circulation soit au moins suffisante pour que la majorité des citoyens, et en principe même, absolument tous, aient de quoi se payer les biens essentiels à une vie sociale décente dans le contexte moderne", vous décidez que les problèmes doivent être réglés par la ruse aujourd’hui et par la guerre demain matin. Et vous restez incapable de dire de quelle énergie viendrait la force de la monnaie.

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