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Gus

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  • Gus 20 décembre 2007 01:01

    Merci pour votre réponse :)

    En tout cas les spéculateurs qu’on montre du doigt (les fonds de pension, Hedge funds ou même les fonds souverains qui « font » la liquidité du marché) ne sont pas à l’origine de ces problèmes. Ils en profitent, c’est les soldes à Wall Street (cf Morgan Stanley aujourd’hui)



  • Gus 18 décembre 2007 20:03

    On peut pas critiquer Goldman Sachs de pour s’en être sorti mieux que les autres ! Tant mieux si certaines banques ont senti le coup, si ça peut redonner un peu d’air au marché monétaire c’est plutôt bien !

    Je rappelle que la sonnette « Subprimes » avait déjà été sonnée en février 2007 !!



  • Gus 18 décembre 2007 18:04

    Le prêts de type subprimes ont été accordés sur la base de simples déclarations de revenus. Ok beaucoup se sont fait rouler à cause des taux variables, mais beaucoup ont aussi menti sur leurs revenus (je n’ai pas mes sources sous la main, mais c’est source presse financière de cet été)

    S’ils sont en défaut c’est aussi un peu de leur faute et il faut pas croire qu’il n’y avait que des abrutis qui ne savaient pas qu’ils faisaient (c’est pas bien de prendre les gens pour des cons), il y a aussi ceux qui n’avaient pas les moyens de s’acheter une maison et qui ont vu l’opportunité de spéculer sur l’immobilier sans en avoir les moyens.

    Bon je force largement les traits et je suis tout à fait d’accord qu’entre les courtiers en prêts hypothécaires et les souscripteurs de ces prêts, les courtiers sont les plus coupables. Ils sont plus coupables parce qu’il y avait démarchage intensif et que les commerciaux racontaient certainement n’importe quoi pourvu que le client souscrive. Il y a aussi le mécanisme des premières échéances à taux réduit puis après les intérêts à taux variables...

    Mais finalement tant que l’immobilier montait les souscripteurs de crédit subprimes étaient bien contents de pouvoir acheter et de refinancer leur prêt chaque année. C’est aussi ce phénomène qui a contribué au succès des subprimes. Je trouve ça un peu facile de les placer uniquement en victimes.

    Mais dans l’absolu je suis d’accord, c’est pas à ce niveau que se trouve une solution !



  • Gus 18 décembre 2007 16:03

    Je n’ai pas le temps de faire un long message, mais j’aimerai en inciter certains à la réflexion :

    - Sans « spéculation », il n’y a pas de marché.

    - Les causes sont-elles vraiment financières ? Après tout la crise dite des « Subprimes » a été causée par la crise immobilière aux US et par la demande/attribution abusive de prêts hypothécaires. Les marchés financiers ont pour tort l’éparpillement des subprimes aux 4 coins du globe. Les « spéculateurs », « fonds prédateurs » ou autres « hedge funds » font vos choux gras mais ils ne sont pas en cause en l’occurrence !

    ==> Cherchez plutôt du côté des courtiers en prêts hypothécaires et du côté des ménages américains qui ont menti sur leurs revenus

    ==> Critiquez les banques et les assurances qui ont acheté des crédits douteux (sur les déclarations des agences de noatation) et à qui personne ne veut prêter de la monnaie parce qu’on se sait ce qui se cache dans leur bilan.



  • Gus 17 décembre 2007 23:39

    Je suis juste de passage, mais juste pour répondre au monsieur au-dessus, la conclusion sur les « investissements massifs dans l’éducation, la formation, la recherche et l’innovation » est un petit peu convenue...

    Il ne suffit pas uniquement de moyens financiers, mais aussi de changer les mentalités. L’investissement financier peut se faire indépendamment de l’état ; précisément la « financiarisation » nous amène de plus en plus de « VC » (les « venture » capitalists) qui financent l’innovation

    Il est tout à fait vrai que l’éducation, la formation et la recherche sont des facteurs clefs de succès, mais ce ne sont pas des éléments déterminants ; ça n’est que mon avis.

    Ce qui est déterminant à mon sens, c’est la mentalité. C’est certainement un manque d’entrepreneuriat, mais c’est également la réticence des PME françaises à atteindre une taille critique, c’est la frilosité de ces PME à investir. Elles seules peuvent investir, se développer, localement et à l’international, et créer de la valeur ajoutée à grande échelle. (40 champions nationaux ne font pas le marché du travail en France -ni même 250 ou 500- le tissu économique dépend bien plus de petites entités)

    Alors investir oui ! Mais que l’état investisse à mon avis, c’est créer les conditions du succès, mais le succès ne dépend pas de ça.

    Avant tout, il faut débrider les mentalités et inciter les entrepreneurs à investir, les inciter à ouvrir leur capital pour financer leur développement, quitte à revoir les règles de gouvernance d’entreprise pour les protéger de ce que j’appellerai « l’avidité » (humaine) des investisseurs.

    J’ajoute qu’un chef d’entreprise quand il investit, veut limiter son risque. il étudie les possibilités de se désengager et à ce titre une des variables est la flexibilité du travail... Mais je m’arrête là ça devient tendancieux smiley


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