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guillaume

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  • guillaume 3 août 2007 11:08

    Comme d’hab on polémique sur ce qui n’existe pas. La TVA sociale c’était une polémique Borloo (il y avait un débat dans le gvt et Borloo était pour). Il faut quand même savoir qu’il faut s’appeler Borloo ou Ségolène Royale pour croire qu’on peut TVAiser la sécu. La seule façon de le faire, très partiellement, c’est soit d’y mettre uniquement les allocation familliales et logement (et encore dans ce dernier cas il faudra pas mal revoir tout le système). Sinon ça va être une CSG sociale, c’est à dire un truc déjà pas très légal et bien ficelé qui va l’être encore plus (je rappelle le casse-tête posé par l’UE qui oblige l’Etat à rembourser la CSG à ceux non astreints à la sécu française). La sécu maladie+vieillesse est une assurance payée à titre individuel. Il faut la comprendre comme une assurrance monopolistique gérée par les syndicats. La CMU a introduit le Bronx en garantissant les soins malgré le non payement de sécu. Du coup on pourrait se retrouver dans la situation où un CMU sera mieux couvert qu’un assuré. C’est un peu pareil pour le RMI et l’assurance chômage, avec au moins l’avantage de ne pas pratiquer les vases communicants antre les deux.

    Bref, il est malsain qu’un assuré ne paie pas pour lui-même, et surtout que son assurance soit financée par des ressources opaques. Mais bien sûr politiquement c’est très facile. Je croyais que Sarko s’est fait élire pour clarifier les situations et désopacifier le système qui n’arrête pas de s’enfoncer depuis plus de 15 ans . En effet, on a connu l’entrée en vigueur du RMI, de la CSG, puis de la RDS, avec au passage la ponction forcée des caisses d’assurance retraite des métiers vers la fonction publique en faillite (pour mauvaise gestion), puis avec les déficits de ces dernières la fusion forcée entre caisses en positif et négatif les rendant toutes incapables de s’autogérer et déficitaires. Au passage on s’attache à l’ISF qui est un impôt sur la propriété. Constitutionnellement, et d’après les droits de l’homme français de 1789, cet impôt est illégal. Il y a pourtant des tas de manière de prélever sur un bien, sans prélever directement sur la fortune. Quand va-t-on césser de transgresser le droit et la logique le plus élémentaire dans le seul but de diluer politiquement les problèmes à courte échéance ou de satisfaire des lubies ? On appelle ça l’intérêt général, mais c’est juste l’opposé.



  • guillaume 2 août 2007 16:05

    Franchement, la franchise est non seulement une bonne chose, mais l’ensemble du système devrait être revu. D’abord la franchise fiscale est bonne pour responsabiliser un peu les dépenses. C’est pas grand chose, au niveau du prix forfaité, mais ça permet d’habituer tout le monde au fait que les médiacaments, les honoraires, les hôpitaux, l’acte médiacal ça a un coût. Ensuite le CMU et la médecine gratuite à volonté, tout comme le RMI sont devenus malsains, de la manière avec laquelle ils sont appliqués. Il faut se souvenir que le RMI c’est un revenu d’insertion, et le CMU un accès à la médecine pour les personne dans la détresse (à la rue). C’est comme ça que ces mesures étaient qualifiées au début, et aujourd’hui elles se sont banalisées, et une frange de la population y voit, ajoutées aux allocations logement et familliales, une façon de vivre sans jamais travailler. Cette frange de la population est en train d’absorber en France celle d’en bas qui fait des efforts pour parvenir, mais qui se voit doublée par celle qui pratique la chasse aux aides, légitimes ou non, exercice administrativement prenant, rendant par ailleurs difficile la recherche ou l’exercice d’un travail.

    Il serait bon que le gouvernmement s’attache à lutter contre cette grande majorité de profiteurs plutôt que de faire subir à tous ces dérapages. Il semble que politiquement ils aient jeté l’éponge comme tous leurs prédécesseurs. Je le comprends comme ça et après tout, l’équilibre des comptes étant primordiale, c’est une manière comme une autre de se sortir d’affaire.



  • guillaume 3 juillet 2007 03:11

    Effectivement, il faut voir le contexte. France 5, une chaîne publique, censée essayer de respecter une certaine neutralité d’opinion, est une chaîne éducative et pas une chaîne polémiste de quelque nature que ce soit. L’émission dirigée par Daniel Schneiderman n’a cessé de se dégrader au point de devenir la tribune de DS. C’est assez navrant alors qu’il y a effectivement de la place pour une vraie émission de ce type, non événementielle mais réellement éducative. D’après les communiqués de la direction et du motif de renvoi d’ASI, l chaîne désirait renouveler l’émission et surtout se débarrasser d’ASI qui l’avait faite dérapper. On peut voir le glissement : élections, campagne, DS se sent l’âme d’un militant, veut profiter de sa place, oriente ses sujets... la direction ne peut rien faire pour l’arrêter sans se faire traiter de partiale. Une fois la partie (les élections) finie, ASI rend des comptes et la direction cherche un remplaçant... et ASI, sachant ses heures comptées, fait une dernière manoeuvre pour pourrir la situation... et condamner l’émission désormais affublée d’un soupçon de rectification. C’était pourtant faisable à 100% de ne pas rentrer dans l’actualité politique brûlante. C’est même une erreur d’y introduire la moindre polémique basée sur des opinions sujettes à débat. Ca rend la mission éducative de l’émission contre productive et caduque.

    Ce problème pose surtout la question du vedétariat, du surdimensionnement du comportment de certains présentateurs, qui visiblement est bien enraciné même, et surtout au sein du service public.



  • guillaume 27 juin 2007 16:50

    C’est très intéressant. Il ya eu des téléphones (des Sagem) qui lisaient la carte bleue, et on pouvait payer avec. Je me demande d’ailleurs comment ça va être géré. Actuellement le système de carte est un business nacaire dans le système bancaire. La réalisation sera maîtrisée par le fabricant de mobile, la technologie par un développeur (comme Sun pour les extensions java sécurisées), il y aura des organismes de certifications ou l’opérateur qui valideront les échanges (suivant que ça utilisera l’internet ou une voie directe avec l’opérateur). Ca veut dire qu’il y aura un intermédiaire qui bénéficiera du système, à la place du système de carte.



  • guillaume 27 juin 2007 15:55

    La TVA sociale est un barbarisme. La TVA est composée d’assurances et d’aides. Les deux se mélangent difficilement. De plus le gouvernement (Beregovoy et Juppé) ont instauré des taxes de remboursement (emprunt prolongé) et complément aux déficits (RDS et CSG). Il est clair qu’on peut pas lever toute la Sécurité Sociale, et encore moins celle que paie l’entreprise pour le salarié (ou même le libéral directement) par de la TVA.

    A la rigueur on peut tout transférer aux individus (salariés ou libéraux), ce qui aurait le mérite de la transparence. Les entreprises payant pour les salariés grèvent en fait de façon invisible leur revenu ce permet au politiques de jouer dessus quitte à déséquilibrer les entreprises pour quelques voix de plus (mais ça se traduira plus tard par des licenciements ou des délocalisations).

    La majorité de la cotisation sociale se comporte comme une assurance quelconque, obligatoire et généralisée. C’est pour ça qu’au niveau Européen on parle de mise en concurrence et de privatisation (totalement encadrée). Les services obtenus, souvent en plus liés à un complément de mutuelle, sont différents pour chaque assuré, qui cotise différemment. Il est hors de question de sortir de ce principe ! ne pas en tenir compte reviendrait à faire du COMMUNISME !

    Donc seules les aides sont transférables à la TVA, parce qu’elles ne sont pas liées à la cotisation de l’assuré.

    Ces aides correspondent aux aides familiales et aux aides logement et rien de plus à priori.

    La vraie réforme serait de tout transférer aux salariés (moyennant un hausse correspondante du salaire). Il n’y aurait alors pas ce discours politicien « le patronat » paye pour les employés. Ceux-ci voient en réalité leur salaire fondre d’une manière ou autre, leur exigences augmenter, leur entreprise aller plus mal. Du coup, la France, c’est le pays champion des bas salaires, plus faibles qu’au Portugal. Ce principe formerait alors une base d’opposition à l’augmentation des charges sopciales, or il faut savoir que : Les syndicats profitent de ces assurances maladie et retraite qu’ils gèrent de façon très discutable. De plus l’assurance maladie est poussée par l’énorme industrie pharmaceutique et tout un système hospitalier très couteux pour son efficacité, avec des choix de remboursement et de soutient contraires à l’intérêt du patient.

    Ce dernier débat de l’irresponsabilité et donc de l’explusion du cotisant du débat a été posé par le président Bush aux Etats-Unis, qui propose de transférer toutes les cotisations au porte-monnaie et aux choix des cotisans. la réaction ne s’est pas faite attendre, et les entreprises (qui perdent un contrôle sur leur employé), l’industrie pharmaceutique et finalement tout le parlement se sont levés comme un seul homme contre le proposition de Bush. le problème, c’est que les citoyens, qui ont compris le problème, soutiennent cette proposition ...

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