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Étienne Chouard

Étienne Chouard

Professeur de lycée, 51 ans, réveillé en sursaut par la claque du débat référendaire du printemps 2005, premier révélateur de la trahison des élites, confirmée depuis, tous les jours, par les différents abus de pouvoir qui encombrent l'actualité : CNE imposé par ordonnances pendant les vacances d'été, vente de tous les biens publics sans référendum (jusqu'aux routes !), CPE, OMC, UE, ADPIC, AGCS (sabordage politique négocié dans le plus grand secret), Traité de Lisbonne imposé par viol parlementaire en 2008 contre le référendum explicite de 2005 (véritable coup d'État), révisions de la Constitution par les parlementaires sans même consulter les citoyens, etc.
Je crois avoir trouvé la vraie clef du contrôle des pouvoirs : ce n'est pas aux hommes au pouvoir d'écrire les règles du pouvoir ; ce n'est pas aux parlementaires, ni aux ministres, ni aux juges, ni aux présidents, d'écrire les institutions, d'écrire eux-mêmes les limites de leur propre pouvoir.
Notre impuissance politique est programmée dans la Constitution, mais c'est à cause de nous, de notre propre négligence, de notre indifférence sur un point décisif : tout se joue au moment où chacun d'entre nous renonce à écrire lui-même la Constitution (quand vous dites : "Non, je n'ai pas le temps, j'ai du travail, et puis je n'y connais rien, c'est trop compliqué, je vais laisser ça aux experts..." Tout se joue à ce moment-là !).
Ce qui compte, ce n'est pas qui VOTE la Constitution, mais bien qui ÉCRIT la Constitution : la seule voie d'émancipation des hommes de l'emprise des voleurs de pouvoirs (et des voleurs tout court) est d'imposer un processus constituant honnête, c'est-à-dire une Assemblée Constituante tirée au sort et surtout pas élue, de façon à éviter que ses membres ne soient désignés par les partis (des hommes de pouvoir) : l'élection (même à la proportionnelle !) permettrait, encore et toujours, aux hommes de pouvoir d'écrire des règles pour eux-mêmes.
C'est ce vice de naissance des Constitutions (des "auteurs en conflit d'intérêt") qui explique pourquoi le citoyen ne se voit jamais reconnaître aucun pouvoir entre deux élections (élections elles-mêmes faussées par le choix imposé des candidats des partis).
Il faut donc séparer rigoureusement le pouvoir constituant des pouvoirs constitués.
De cette façon, et de cette façon seulement, nous pourrons instituer des pouvoirs dont les citoyens gardent le contrôle à tout moment et à tout propos, en se protégeant ainsi de tous les abus de pouvoirs, qu'ils viennent de gauche comme de droite.
C'est la seule manière pour nous (et pour tous les hommes de la terre) de sortir de ce que j'appelle la préhistoire de la démocratie.
Celui qui voit un problème et qui ne fait rien fait partie du problème (Gandhi)

Tableau de bord

  • Premier article le 06/03/2006
  • Modérateur depuis le 14/04/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • Étienne Chouard Étienne Chouard 27 septembre 2007 02:06

    .

    À nouveau les trois liens (qui fonctionnaient en aperçu mais ne fonctionne plus au final) :

    • Lire absolument : « La crise mondiale d’aujourd’hui - Pour de profondes réformes des institutions financières et monétaires » par Maurice Allais :

    http://etienne.chouard.free.fr/Europe/messages_recus/La_crise_mondiale_d_au jourd_hui_Maurice_Allais_1998.htm

    • Voir aussi ce billet, riche en références et extraits utiles : « Non, ce n’est pas « trop cher » : le financement des besoins collectifs est rendu sciemment ruineux par un sabordage monétaire étonnant » :

    http://etienne.chouard.free.fr/Europe/forum/index.php?2007/05/01/72-non-ce-n-est-pas-trop-cher-le-financement-des-besoins-collectifs-est-rendu-sciemment-ruineux

    • Voir enfin cet important fil de discussion, sur le forum : « Reprendre le pouvoir sur notre monnaie » :

    http://etienne.chouard.free.fr/forum/viewtopic.php?id=81

    Étienne.



  • Étienne Chouard Étienne Chouard 27 septembre 2007 01:57

    .

    Merci à AJH pour cet excellent article.

    Je conseille à tous de consulter les documents passionnants publiés sur le site www.fauxmonnayeurs.org : c’est une vraie mine pour comprendre ces mécanismes, essentiels pour l’émancipation des hommes.

    Il n’est pas de souveraineté politique sans souveraineté monétaire. Autrement dit, en abandonnant la maîtrise publique de la création monétaire aux banques privées, nos soi-disant « représentants », - corrompus on ne sait comment -, ont rendu impossible le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, nos propres élus ont sabordé la démocratie.

    Tout cela est largement de notre faute à tous : la vigilance ne se délègue pas. (Alain)

    @ Snoopy86,

    Manifestement, Snoopy86, vous êtes agressif en proportion de votre méconnaissance du mécanisme dont vous parlez (et de votre courageux anonymat)... Les documents que vous citez disent précisément le contraire de ce que vous prétendez (à tort)... Relisez-les attentivement car Philippe a raison.

    À mon avis, vos devriez vous méfier du mot « refinancement » qui est, en l’occurrence, un faux ami ; vous semblez lui donner un sens qu’il n’a pas ici : les banques privées créent autant de monnaie qu’elles le veulent car la BCE n’impose, de fait, quasiment aucune limite au « refinancement » des fuites(*). Les banques privées n’ont donc pas besoin du tout de se refinancer au sens où elles devraient « trouver un financement pour elles-mêmes » : quand elles n’ont pas les sommes qu’elles veulent prêter, elles les créent, simplement.

    Quant aux ratios qui semblent vous rassurer, ils sont dérisoires et, quand bien même ils constitueraient une limite sérieuse, ils ne rendraient nullement légitime ce racket privé, inique dans son essence même : il n’y a aucune bonne raison pour justifier aujourd’hui ce privilège de type féodal.

    Il n’y a aucune bonne raison pour imposer à TOUS les acteurs économiques - y compris l’État ! - de payer ce véritable IMPÔT que constituent les intérêts à verser sur de la monnaie créée ex nihilo (à partir de rien) par des acteurs privés privilégiés.

    Les sommes en jeu sont faramineuses, le racket est prodigieux.

    Et il est proprement aberrant de laisser ainsi la planche à billets à des personnes privées, en la refusant à la puissance publique : c’est soit de l’ignorance, soit du masochisme, soit une complicité intéressée.

    Vous dites : « La masse monétaire est toujours sous contrôle de la banque centrale »... Vous êtes amusant. Vous vous contentez apparemment d’une portée très théorique du mot contrôle smiley (M3 augmente de 10 ou 11% par an depuis 6 ans sur la zone euro... vous trouvez ça raisonnable ? C’est la modération que permet la gestion privée ? Bravo.)

    On peut tous se tromper, c’est sûr, et il faut être prêt à l’admettre, tranquillement. Mais vous, vous semblez penser que le plus brutal aura raison... Ce n’est pas le cas : il ne suffit pas d’insulter votre interlocuteur pour nous convaincre, au contraire.

    André-Jacques a raison : lisez donc Maurice Allais ; voyez les liens ci-dessous, ils ébranleront peut-être un peu votre orthodoxie.

     smiley

    Étienne.
    http://etienne.chouard.free.fr/Europe

    • Lire absolument « La crise mondiale d’aujourd’hui - Pour de profondes réformes des institutions financières et monétaires » par Maurice Allais

    • Voir aussi ce billet, riche en références et extraits utiles : Non, ce n’est pas « trop cher » : le financement des besoins collectifs est rendu sciemment ruineux par un sabordage monétaire étonnant.

    • Voir enfin cet important fil de discussion, sur le forum : « Reprendre le pouvoir sur notre monnaie ».

    (*) les « fuites » sont la fraction des sommes prêtées (en monnaie scripturale) qui sera transformée en « monnaie banque centrale » (en billets et en pièces) par les clients : en gros 10-15% ; et seule la banque centrale peut créer cette monnaie-là, raison pour laquelle les banques privées doivent lui demander un « refinancement ».

    .



  • Étienne Chouard Étienne Chouard 24 septembre 2007 11:53

    Bonjour (et pardon d’avoir perdu le contact si longtemps),

    Tout ça est un peu loin maintenant et je ne voudrais pas commettre d’erreur en répondant trop rapidement, mais je me souviens d’avoir tenu à l’écart la valeur ajoutée (VA) des ménages parce qu’ils ne distribuent pas de dividendes, alors que mon angle d’observation était précisément le vol prélèvement, extravagant et léonin, des dividendes sur la VA.

    Inclure la VA des ménages (essentiellement celle des entreprises individuelles) aurait imputé le ratio dividendes/VA sur de mauvaises bases, il me semble.

    Ce véritable racket (planétaire, d’ailleurs) explique, à mon avis, que les entreprises en question, -(celles qui ont vendu leur âme au Diable Bourse et qui doivent donc ensuite distribuer des dividendes à vie, au lieu de simplement rembourser un prêt pendant un temps limité si elles avaient financé leurs investissement par le mécanisme du crédit bancaire)- manquent cruellement de ressources pour payer correctement à la fois leurs salariés et leurs fournisseurs ; cette carence (cette pauvreté relative) se répercutant ensuite de proche en proche dans tout le système.

    Étienne.
    http://etienne.chouard.free.fr/Europe/Liens.php

    PS : À mon avis, ceux qui me tapent dessus (en me traitant, selon le cas et de mémoire depuis trois ans, de populiste, de démagogue, d’incompétent, de poujadiste, de trotskiste, d’usurpateur, de fasciste, d’extrémiste, de communiste, de fumiste, de mystificateur, de plaisantin...) pourraient bien être... des actionnaires... et percevoir eux-mêmes, sans travailler, quelques gras dividendes... smiley Ce qui éclairerait autrement leur contribution au débat, évidemment.

    Sinon, quel pourrait être leur intérêt, en tant que citoyen non actionnaire, à défendre un système de financement aussi malsain et dangereux pour la collectivité que ce vulgaire casino qu’est la Bourse ?

    Le problème avec les « pseudos », c’est qu’on ne sait pas qui est qui, ce qui oblige naturellement à la plus grande prudence dans la présomption d’honnêteté envers celui qui s’en sert pour cacher dieu sait quoi.

    PPS : à lire absolument, à propos de la Sainte Bourse de l’église néolibérale :
    « La bourse ou la vie - La grande manipulation des petits actionnaires », un livre formidable, enthousiasmant de clarté et de pertinence, écrit par Bernard Maris et Philippe Labarde.
    Voici des fiches de lecture pour ceux qui n’ont pas le temps de lire le livre (mais c’est tellement bien écrit, tellement drôle et plaisant, que c’est dommage de lire un résumé plutôt que l’original) :
    http://econo.free.fr/scripts/notes2.php3?codenote=23
    http://www.ac-versailles.fr/PEDAGOGI/ses/traveleves/fichlect/bours-vie.htm



  • Étienne Chouard Étienne Chouard 26 avril 2007 17:29

    Bonjour,

    Merci pour ces liens intéressants et leur intelligente articulation.

    Je pense qu’on n’aura jamais un réel contrôle des pouvoirs tant qu’on laissera écrire les règles du pouvoir par les hommes au pouvoir.

    Ce n’est ni aux parlementaires, ni aux ministres, ni aux juges, d’écrire eux-mêmes les limites de leur propre pouvoir, en rédigeant ou en révisant la Constitution.

    Pour se protéger des tyrans, il faut séparer les pouvoirs, on le sait depuis longtemps, mais attention : pas seulement les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire (à qui il faudrait ajouter aujourd’hui le pouvoir médiatique) ; il faut aussi, il faut surtout - car on perd TOUT si on néglige ce point décisif - séparer le pouvoir constituant des pouvoirs constitués : les membres de l’Assemblée Constituante ne doivent pas être désignés par les partis, sans quoi ce sont à nouveau des hommes de pouvoir qui vont écrire les règles du pouvoir et, à nouveau, ils vont tricher en écrivant des règles pour eux-mêmes, en instituant des contrôles factices et l’impuissance politique des citoyens entre deux élections. Il faut que l’Assemblée Constituante soit tirée au sort ou, au moins, que ses membres soient élus parmi des citoyens hors partis.

    Il me semble que tous les citoyens devraient s’approprier l’acte constituant et commencer à écrire quelques articles de la Constitution qui leur semblent nécessaires. Le fait, pour chacun d’entre nous, d’avoir réfléchi à la question et d’avoir écrit quelques articles augmente notre discernement au moment de juger les projets de constitution que nous soumettent les politiciens professionnels.

    Je vous propose de consulter la partie wiki de mon site (http://etienne.chouard.free.fr/wikiconstitution, voyez notamment mon propre projet : clic sur ‘Étienne’ dans le menu à gauche) qui nous permet d’écrire nous-mêmes un projet de constitution d’origine citoyenne, projet pédagogique qui voudrait montrer 1) que c’est possible : que des citoyens dont ce n’est pas le métier peuvent écrire les règles du pouvoir, et 2) que c’est mieux : notamment que les contrôles n’y sont pas factices et que le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes y est enfin respecté au lieu d’y être bafoué.

    Vous trouverez (et vous pouvez formuler) des propositions en matière de contrôle des médias sur le forum : « Les médias d’information doivent être libres, politiquement et économiquement » (http://etienne.chouard.free.fr/forum/viewtopic.php?id=19).

    Amicalement.

    Étienne.



  • Étienne Chouard Étienne Chouard 27 février 2007 01:15

    .

    Bonjour,

    Article intéressant, échanges intéressants ; il existe effectivement des modes de scrutin bien plus finement respectueux de la volonté générale que nos grossiers processus actuels. L’idée des deux machines, liées par l’homme seul et en conservant la trace papier de ce lien, est intéressante.

    Attention, cependant, aux tableaux géants qui afficheraient publiquement les compteurs en direct pour que chacun puisse contrôler l’avancement des votes : cela semble incompatible avec le secret du vote (qui est la source de la plupart des difficultés du contrôle, dans cette affaire).

    On aurait pu parler aussi du nombre de tours de l’élection, pour approcher plus progressivement notre choix définitif : avec trois ou quatre tours, au lieu de deux (nombre réduit qui bipolarise la vie politique), on nous ôterait facilement le bâillon du « vote utile ».

    Mais malgré l’intérêt de votre échange, il me semble que vous oubliez de discuter de l’essentiel :

    QUI tranchera ce débat, QUI doit décider du mode de scrutin ?

    Parce que on cause, on cause, mais sans tenir compte de ce que ces causeries sont absolument stériles puisque tout est verrouillé au plus haut niveau : nous pouvons toujours causer, citoyens de pacotille que nous sommes, on ne nous demande pas notre avis. Objectivement, c’est un fait : le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes a été remplacé par le droit des élus à disposer des peuples.

    Notre impuissance politique est programmée dans la Constitution et nos élus ont décidé que c’était eux, et pas nous, qui pouvaient seuls écrire la constitution.

    Pourtant, qui a la LÉGITIMITÉ pour décider du mode de désignation (élection ou tirage au sort, vote préférentiel ou vote uninominal, vote majoritaire ou proportionnel ou mixte) des représentants du peuple ? (Vous avez bien remarqué que je ne parle pas de ceux qui en ont le DROIT aujourd’hui : je pose une question politique, pas juridique.)

    Les élus ? Allons donc : les élus sont évidemment à la fois « juges et parties » en la matière et s’ils décidaient des règles de l’élection, ils fixeraient des règles pour eux-mêmes, non ? Et dans ce cas, loin d’être certains qu’ils recherchent la satisfaction de l’intérêt général, nous pourrions être quasiment sûrs qu’ils négligeront l’intérêt général puisque leur intérêt personnel est en opposition frontale avec l’intérêt des électeurs : plus ils nous laissent un pouvoir d’appréciation et de décision, moins il leur en reste.

    Et cette remarque à propos des modes de scrutin vaut pour toute matière constitutionnelle : dans l’intérêt général, ce n’est pas aux hommes au pouvoir d’écrire eux-mêmes les règles du pouvoir.

    Ce n’est pas aux parlementaires ou aux ministres, pas plus qu’aux juges, d’écrire la Constitution.

    (Je rappelle au passage que l’expression même de « traité constitutionnel » est un véritable aveu de forfaiture, d’abus de pouvoir : on n’écrit évidemment pas les institutions par traité, loin des peuples ; nos élus ne sont pas propriétaires de la souveraineté, ils ne peuvent absolument pas la transférer sans commettre un détestable abus de pouvoir.)

    La seule voie qui vaille pour décider tout cela est une assemblée constituante tirée au sort (surtout pas élue, pour éviter à tout prix que cette assemblée ne soit composée de candidats imposés par les partis, hommes de pouvoir qui recommenceraient immanquablement à écrire des règles pour eux-mêmes, à nos tristes dépens) et dont les membres soient inéligibles aux fonctions qu’ils instituent eux-mêmes.

    Hygiène démocratique élémentaire qu’est la stricte séparation du pouvoir constituant et des pouvoirs constitués.

    De cette façon, vous verrez que les députés constituants, enfin désintéressés (mot magique, décisif), sans que vous ayez même à leur dire les institutions que vous souhaitez, vous écriront les meilleures institutions qui soient, mode de scrutin compris : non cumul et non renouvellement des mandats, vote proportionnel et préférentiel, respect du vote blanc, référendum d’initiative populaire authentique, contrôle effectif des élus et mise en œuvre de leur responsabilité à tout moment et à tout propos, contrôle public des médias, contrôle public de la création monétaire (ça c’est vital !), définition et contrôle des services publics, etc.

    Le simple fait que les constituants ne soient plus DU TOUT « juges et parties » suffira à engager une véritable révolution, en toute légalité.

    Si le cœur vous en dit, venez écrire avec nous un projet de Constitution d’origine citoyenne, sur le blog du « Plan C », http://etienne.chouard.free.fr/Europe/ pour montrer que ce n’est pas une utopie ; pour montrer à la fois que c’est possible et que c’est beaucoup mieux.

    Ne renoncez pas au Plan C en rapprochant ce projet de quelque chose qui aurait déjà existé et qui aurait lamentablement raté : ce processus constituant honnête n’a JAMAIS été testé nulle part ; je suis sûr que c’est une authentique voie de progrès pour la démocratie (la vraie) dans le monde.

    Et encore merci pour la description claire de l’idée astucieuse des deux machines ; on va approfondir ça.

    Amicalement.

    Étienne.

    PS : je note que peu de participants, finalement, ont envisagé que, confrontés à l’inacceptable, nous puissions casser ou dérober toutes ces machines démocraticides smiley Nous sommes vraiment bien dociles.

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