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Éric Guéguen

Éric Guéguen

Le monde actuel en 20 penseurs :
 
Platon - Aristote - Lucrèce - Farabi - La Boétie - Montaigne - Spinoza - Rousseau - Hegel - Tocqueville - Nietzsche - Ortega y Gasset - Polanyi - Strauss - Arendt - Vœgelin - Villey - Dumont - MacIntyre - Lasch
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« Le citoyen typique, dès qu’il se mêle de politique, régresse à un niveau inférieur de rendement mental. Il discute et analyse les faits avec une naïveté qu’il qualifierait sans hésiter de puérile si une dialectique analogue lui était opposée dans la sphère de ses intérêts réels. Il redevient un primitif. Sa pensée devient associative et affective. »
 
(Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, Quatrième partie, XXI, 3 (p.346)).
 
Contact : [email protected]
Le Miroir des Peuples, éditions Perspectives Libres, 2015

Tableau de bord

  • Premier article le 14/08/2012
  • Modérateur depuis le 01/12/2012
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Éric Guéguen Éric Guéguen 26 avril 2016 16:29

    @maQiavel
     
    Ne manquent plus que les fonds. Et le choix des acteurs.



  • Éric Guéguen Éric Guéguen 26 avril 2016 09:21

    Belle initiative.
    Quelques grammes de culture dans un monde de...



  • Éric Guéguen Éric Guéguen 8 janvier 2016 14:28

    @Hervé Hum
     
    Je ne sais pas celui des deux qui passera pour le plus insupportable aux deux ou trois personnes qui nous liront : celui qui « provoque » (moi) ou celui qui s’enorgueillit de donner des leçons à tout le monde (vous). J’ai regardé un peu vos échanges avec les autres agoravoxiens et, en effet, le « principe de causalité » est votre grande marotte du moment et vous la refourguez à tout le monde en bombant le torse.
     
    Je vais faire en sorte que ce soit mon ultime intervention car ce genre de dialogues de sourds polluent tout le monde.
    Juste ceci, pour être plus direct et moins diplomate, histoire que vous compreniez enfin ce que je voulais dire au sujet du fœtus... Quand vous dites :
     
    "Il y a trois positions sur le sujet. Celle consistant à dire que la vie commence dès la conception, donc, dès lors que le spermatozoïde a atteint l’ovule, celle qui dit que le fœtus passe du stade d’objet au stade de sujet au moment où les terminaisons nerveuses sont en fonctions et enfin, ceux qui ne reconnaissent aucun droits à personne.« 
     
    => Tout ceci est FAUX. Et vous finissez vous-même par le comprendre en ajoutant : »... cela dit, je pense que dès lors où on parle de fœtus, on parle d’être vivant à part entière.« QUAND MÊME ! Vous avez enfin compris qu’il n’y a pas débat sur le caractère vivant du fœtus ! C’est sur le fait qu’il soit ou non une PERSONNE qu’il y a débat, car à une PERSONNE, individuée et vivante, il peut être reconnu des droits. D’où le choix arbitraire (il faut bien le rappeler) de la science de dire que la personne en devenir qu’est le fœtus n’est qu’un objet. Un objet vivant (comme le microbe), mais un objet quand même...
     
    Pour finir, et concernant les générations à venir, il y a toujours PROSPECTION. C’est ça aussi la »causalité« , n’est-ce pas ? Agir maintenant en fonction des conséquences à venir. Et pas seulement à court terme. Et autant je trouve risible le cinéma autour de la COP21, autant il me semble très sain de s’interroger sur la viabilité des générations que nous ne croiserons pas. Je ne pense pas être le seul à me féliciter de cela. Or, les représentants de ces générations à venir n’ont pas de droits, car ils ne peuvent les faire valoir. Il s’agit d’une nécessité : la pérennité de l’espèce, qu’il nous appartient de promouvoir ou de négliger. Ce choix, paradoxalement, est notre DROIT. De là ce que je vous réponds : l’emploi du mot »droit" ne peut plus avoir cours au bout d’un moment. Il est rendu caduc, il faut voir plus grand.
     
    Bon, je vous laisse à présent me répondre, j’ai autre chose à faire. De toutes façons, la seule chose qui nous intéresse à présent est le confort du ou des éventuelles lecteurs, et laissons-les faire leur choix. En cliquant sur votre nom, ils auront accès à tous vos articles. En cliquant ci-dessous, ils auront accès à tout ce que je leur propose. Et s’ils ne sont pas d’accord avec ce que je raconte, je les invite, ou à en débattre (en connaissance de... causes, bien sûr), ou à repartir en quête de mieux.
     

    Academia :

    https://u-paris10.academia.edu/%C3%89Gu%C3%A9guen

     

    Causeur :

    http://www.causeur.fr/author/egueguen

     

    Boulevard Voltaire :

    http://www.bvoltaire.fr/auteur/ericgueguen

     

    Le Cercle Aristote :

    http://cerclearistote.com/le-bon-socialiste-la-brute-conservatrice-et-le-truand-liberal-par-eric-gueguen/
     

    Le Bréviaire des Patriotes :
    http://www.lebreviairedespatriotes.fr/author/eric-gueguen/page/2/
     

    POLITEIA sur Youtube :
    https://www.youtube.com/channel/UC5KbyalAb8q2plmp1OZ_KBg
     

    Le Miroir des Peuples, aux éditions Perspectives Libres :

    http://cerclearistote.com/parution-de-louvrage-deric-gueguen-le-miroir-des-peuples/



  • Éric Guéguen Éric Guéguen 7 janvier 2016 15:26

    @Hervé Hum
     
    C’est un festival ! Je vous cite :

    "...cette phrase ne dit pas que le foetus est vivant ou non, elle dit qu’un foetus est vivant à la condition qu’il soit reconnu comme tel..."
     
    Un fœtus porte la vie, point barre ! Ce n’est pas le fait qu’il soit vivant qui est contesté, mais le fait que l’on puisse parler de lui en tant qu’être humain. Pour info, une femme peut interrompre sa grossesse jusqu’à douze semaines, c’est-à-dire quand le fœtus a déjà quatre semaines... de vie. On tue le fœtus afin que la femme soit libre de ne pas enfanter.
     
    Enfin, puisque ni les fœtus, ni les morts, ni les êtres à venir n’ont de droits du fait qu’ils ne peuvent les défendre, eh bien comme vous le disiez vous même c’est la dyade droit-devoir qui tombe d’elle-même. Et pourtant il faut bien prendre en compte les générations à venir, non ? Comment faire sans les droits et les devoirs ? Comment prétendre avoir des devoirs à l’égard d’êtres qui n’existent pas ? Il faut avoir recours à autre chose. Quelque chose qui n’est pas à la portée de notre époque étriquée, de notre époque pot-au-feu, quelque chose qui se trouve chez les Anciens. Un ordre qui nous inclut et que l’on subit malgré nous. Voilà où Aristote fait remonter la causalité, et non à des débats mesquins sur la monnaie.



  • Éric Guéguen Éric Guéguen 7 janvier 2016 07:54

    Une dernière pour la route :
    Vous dites : « le fœtus n’a pas de droits, tant qu’il n’est pas considéré comme un être vivant. »

    Le fœtus n’est pas un être vivant ? Vrai de vrai ? Alors le microbe a ce statut, mais pas le fœtus ? Autrement dit à partir du moment où les scientifiques autorisés déterminent, de façon tout à fait arbitraire, que le fœtus est un « être humain » il passe ipso facto du statut de sous-merde intégrale à celui de summum de la création ? Ne vous êtes-vous jamais demandé, dans le fond, pourquoi le fœtus posait tant de problème depuis quarante ans ? Pourquoi il ne valait pas mieux qu’un microbe ? Parce qu’en lui accordant des droits, on contrevient à ceux de sa mère, comme je vous le disais. Les droits finissent par empiéter les uns sur les autres, et le devoir seul ne peut les réguler... puisqu’il suffit en l’occurrence à la mère de refuser son « devoir » et d’avorter. (Au passage, je suis favorable à l’avortement... tout en étant conscient qu’il contrevient au droit naturel accordé à la vie ne demandant qu’à vivre).
    La logique des droits est stérile et lacunaire : comment en effet accorder des « droits » à des êtres incapables de les faire valoir ? C’est que disait Hans Jonas - encore un type primaire qui ne vous arrive pas à la cheville - eu égard aux animaux ou aux générations à venir. J’en reste là.

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