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Dragoncat

Dragoncat

Photographe professionnel. Passionné par l’actualité, le corps humain, les paysage urbains et les métiers de l’image. Je suis hostile à toute forme de cynisme ou de renonciation. L’Homme se définit par ses actes. Et en matière d’humanité, je suis convaincu que tout reste à faire.

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  • Premier article le 31/10/2006
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Derniers commentaires



  • Dragoncat Dragoncat 18 mars 2010 10:28

    @ Marc Gelone.

    Vous avez tout à fait raison. Et je vous trouve courageux de continuer à lutter contre les curés du politiquement correct. Personnellement, j’ai renoncé - en tout cas sur Avox - face à autant de mauvaise foi.

    Cordialement,

    Dragoncat



  • Dragoncat Dragoncat 31 janvier 2010 19:40

    Eva,

    Je « ne m’en prend pas qu’à Villepin » mais contrairement à vous, je n’ai pas une vision de notre ancien premier ministre baignée d’eau de rose.

    Vous êtes sous le charme ? C’est votre droit le plus strict. Mais trouver Villepin séduisant, face aux témoignages de Giesbert et d’autres sources, vous me permettrez de penser que c’est un argument un peu léger.

    Que Sarko ne soit pas très classe ?
    Je suis d’accord avec vous.

    Que De Villepin ait pu proférer des horreurs ? Si son allure ne m’échappe pas, la violence de son caractère, perceptible dès qu’il a une caméra sous le nez, ne m’échappe pas non plus.

    Votre grand séducteur n’est certainement pas un tendre. Il fait partie de cette classe politique ou les grands « serviteurs » de l’état sont tous membres d’une caste, énarques ou pas. Et cette caste n’a que mépris pour le peuple - le peuple n’étant que le vulgus pecum qui sert de marchepied pour accéder à l’honneur des plus hautes fonctions.

    Dragoncat



  • Dragoncat Dragoncat 31 janvier 2010 19:08

    A l’auteur...

    Je suis ravi pour vous que vous puissiez vous pâmer devant le charme d’un Villepin en maillot mais la politique c’est censé être un peu plus que cela. Et je crains que votre haine anti-sarkozienne (virulente mais si peu originale) et les charmes villepiniens ne vous égare.

    Quand vous nous parlez de la classe d’un Villepin. Je ne suis pas sur que son comportement dans l’affaire Clearstream soit si classe que cela. C’est quand même un complot boiteux et maladroit pour faire tomber par des moyens illégaux un ennemi politique. En terme de vision pour la France et de sens politique, j’attend personnellement un peu plus...

    Un peu de mémoire aussi... C’est le Villepin que vous trouvez si élégant qui avait tenu ces divers propos :

    À propos de la France, M. de Villepin, distingué Premier ministre de la France, a, selon Franz-Olivier Giesbert, déclaré : « Elle a envie qu’on la prenne. Ça lui démange dans le bassin » ; à propos des journalistes jugés trop timides à ses yeux sur les démêlés conjugaux du couple Sarkozy : « Ils n’ont pas de couilles » ; à propos des hommes politiques : « Leur seul organe développé, c’est le trouillomètre » ; à propos de la manière dont il a obtenu de Chirac sa nomination à Matignon : « C’était physique… j’ai violé Chirac » ; enfin, à propos de Sarkozy : « Un type qui ne peut pas garder sa femme ne peut pas garder la France. »

    Un physique agréable et des allures de grand bourgeois peuvent aussi receler un esprit d’une grande vulgarité et en l’occurence, un certain mépris du peuple. Des qualités qui rapprocheraient Villepin d’un Balladur. Avec la finesse en moins dans l’analyse économique.

    Dragoncat

    PS : désolé pour le double post. Soucis sur agoravox, la fonction « réagir à l’article » ne fonctionne plus pour moi. 



  • Dragoncat Dragoncat 31 janvier 2010 19:05

    A l’auteur...

    Je suis ravi pour vous que vous puissiez vous pâmer devant le charme d’un Villepin en maillot mais la politique c’est censé être un peu plus que cela. Et je crains que votre haine anti-sarkozienne (virulente mais si peu originale) et les charmes villepiniens ne vous égare.

    Quand vous nous parlez de la classe d’un Villepin. Je ne suis pas sur que son comportement dans l’affaire Clearstream soit si classe que cela. C’est quand même un complot boiteux et maladroit pour faire tomber par des moyens illégaux un ennemi politique. En terme de vision pour la France et de sens politique, j’attend personnellement un peu plus...

    Un peu de mémoire aussi... C’est le Villepin que vous trouvez si élégant qui avait tenu ces divers propos :

    À propos de la France, M. de Villepin, distingué Premier ministre de la France, a, selon Franz-Olivier Giesbert, déclaré : « Elle a envie qu’on la prenne. Ça lui démange dans le bassin » ; à propos des journalistes jugés trop timides à ses yeux sur les démêlés conjugaux du couple Sarkozy : « Ils n’ont pas de couilles » ; à propos des hommes politiques : « Leur seul organe développé, c’est le trouillomètre » ; à propos de la manière dont il a obtenu de Chirac sa nomination à Matignon : « C’était physique… j’ai violé Chirac » ; enfin, à propos de Sarkozy : « Un type qui ne peut pas garder sa femme ne peut pas garder la France. »

    Un physique agréable et des allures de grand bourgeois peuvent aussi receler un esprit d’une grande vulgarité et en l’occurence, un certain mépris du peuple. Des qualités qui rapprocheraient Villepin d’un Balladur. Avec la finesse en moins dans l’analyse économique.

    Dragoncat



  • Dragoncat Dragoncat 24 janvier 2010 19:38

    A l’auteur.

    Mes félicitations pour votre article et pour la pondération et la modération de vos réponses. Notamment pour vos arguments indispensables sur « les limites de la liberté individuel ». L’argument de la liberté individuelle pour défendre la burqua reviendrait à dire : « je suis dans une société de liberté, j’ai donc le droit de rouler sur une nationale à 250 km/h si ça m’amuse ». Sauf qu’en effet, ça porterait évidemment atteinte à la liberté des autres usagers de la route pour mon exemple - notamment la liberté de ne pas se faire écraser par un chauffard.

    La liberté individuelle en démocratie, ce n’est pas la fête du slip ou chacun impose ses choix à la collectivité. Hors, le port de la burqua franchit évidemment cette limite de la liberté de l’autre, et comme l’a écrit Elisabeth Badinter : cela revient à utiliser la force de la démocratie contre elle-même. Un procédé insidieux et dangereux dont les défenseurs de la burqua font usage avec talent. Tarik Ramadan est un parfait exemple du talent que l’on peut développer à utiliser les libertés individuelles pour les retourner contre la société qui en est le garant.

    Encore bravo !

    Dragoncat

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