• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Dora

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 17 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • Dora 29 juillet 2008 23:40

    Bien vu, sauf  "il va falloir nous habituer" : NON.

    Nous devons garder notre capacité d’indignation et de révolte. Sinon ils aurons gagné.

    "
    On m’a dit résigne toi
    Mais je n’ai pas pu
    Et j’ai repris mon arme."

    Gardons aussi notre capacité d’émerveillement. La poésie.



  • Dora 29 juillet 2008 22:43

    Charles de Courson a du s’incliner devant les ordres de C.Lagarde, même s’il a renâclé, ce qui fait que je lui garde une certaine estime. Je le crois moins magouilleur que, par exemple, ceux qui ont monté l’arnaque Feta-Apienne (dont J.C. Lagarde), dont se plaignent les membres "ordinaires" de ce petit parti, qui fut respectable jusqu’à la trahison de son président.

    Mediapart : ()
    "Très opposé à cette privatisation de la justice, l’un des deux parlementaires siégeant dans cette instance, Charles de Courson (Nouveau centre), constatant qu’il était minoritaire compte tenu de l’instruction donnée par la ministre des finances, a souhaité – et obtenu – qu’il soit au moins expressément apporté une précision dans la résolution de l’EPFR, et consigné dans le compromis arbitral : l’EPFR accepte de s’en remettre à un tribunal arbitral mais à la conclusion que la sentence des trois arbitres respecte les conditions juridiques fixées par l’arrêt de la Cour de cassation."

    Ils sont complètement roulés dans la farine et frits au Nouveau Centre :  mains liées, on vous laisse râler pour la forme, à condition que vous rentriiez à la niche au coup de sifflet.

    Ceux qui sont honnêtes, et pas trop compromis, feraient mieux de reprendre leur liberté et de venir au Modem (j’y suis , j’y reste ).




  • Dora 6 octobre 2007 22:35

    Dans mes vaines interrogations pour comprendre ce que signifiait droite/gauche, j’ai trouvé cette définition, plutôt mystique : "L’homme de gauche ne croit pas au péché originel, l’homme de droite y croit tellement qu’il a peine à croire à la rédemption. Le pardon brise l’enchaînement des conséquences du péché dans une âme sincère." André Frossard

    Votre réflexion, exprimée avec d’autres références, offre quelques similitudes avec cette approche (gauche : homme naturellement bon, droite : soumission à l’ordre « naturel » et à l’autorité). Et a le mérite d’être beaucoup plus accessible.



  • Dora 4 septembre 2007 11:08

    Mieux qu’un commentaire perso, voici la réaction d’Eva Joly, dépêche Reuters parue dans le Monde, suite à interview sur France info.

    « L’ex-juge Eva Joly compare Nicolas Sarkozy à Silvio Berlusconi » L’ancienne juge d’instruction Eva Joly critique violemment les projets de Nicolas Sarkozy de « dépénaliser » la vie économique et d’interdire dans ce domaine l’ouverture d’enquêtes pénales sur le fondement de lettres anonymes.

    « Il me semble que les valeurs que dessine le président Sarkozy ne sont pas celles de la France que j’aime. Les méthodes qu’il suggère sont celles de M. Berlusconi. Pour moi, c’est un extraordinaire et étrange choix que de choisir de soutenir les délinquants contre les victimes », a-t-elle dit dans un entretien diffusé mardi sur France Info.

    La magistrate, qui a quitté Paris en 2002 pour devenir conseillère du gouvernement norvégien, fait un parallèle entre le projet du chef de l’Etat concernant les entreprises et son idée de permettre des procès pour les criminels déclarés irresponsables.

    « Je ne comprends pas un pays qui responsabilise ses enfants et ses fous et irresponsabilise ses élites et cela me paraît une grave erreur et surtout une absence de compréhension de ce que veut dire la criminalité organisée et économique », a-t-elle dit.

    Dans un discours vendredi devant l’université d’été du syndicat patronal Medef, le président de la République a annoncé son intention de faire interdire l’ouverture d’enquêtes pénales sur le fondement de lettres anonymes et son souhait de « dépénaliser » la vie économique.

    Les chefs d’entreprise réclament depuis longtemps une réforme du délit « d’abus de biens sociaux » (le détournement de fonds au sein des sociétés).

    « Dire que ce n’est pas grave de présenter des comptes inexacts ou de ne pas respecter la différence entre sa propre poche et la poche de l’entreprise, c’est grave. Le droit pénal, il ne faut pas l’oublier, protège les victimes », a dit l’ancienne magistrate.

    Quant à l’interdiction pour les juges d’utiliser les lettres anonymes, elle la qualifie de « grave erreur », en rappelant que l’Onu et l’OCDE demandent à leurs membres de légiférer pour protéger les témoignages anonymes.

    Eva Joly a notamment instruit l’affaire visant la société pétrolière Elf, utilisant parfois des lettres anonymes lorsqu’elles était confirmées par d’autres éléments. Le dossier s’est soldé par de lourdes peines de prison pour les dirigeants de cette société, reconnus coupables de détournements de fonds évalués à plusieurs centaines de millions d’euros.



  • Dora 13 août 2007 17:25

    Elle évoque « La race des seigneurs » : Cela fait froid dans le dos. Même Le Pen n’aurait pas utilisé ce terme aux relents nauséabonds. Je n’avais pas eu l’information. Je préfère zapper le piple’s show. Pas de réactions ? Ou black-out ? J’ai l’impression d’être dans un cauchemar.


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv