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ddacoudre

ddacoudre

poète essayiste militant à la retraite.
La vie commande d’être convaincu qu’il y a un absolu où tout ce que nous concevons s'écroule, Il faut donc comprendre que celui qui dispose d’une certitude absolue peut se suicider car c’est un mort vivant et ne peut développer pour vivre que la mort qu’il porte.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 06/06/2007
  • Modérateur depuis le 27/06/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • ddacoudre ddacoudre 28 mai 00:36

    Bonjour Hamed.

    Jacques Monod, une bonne référence, il aimait se ressourcer dans le désert.ton article soulève la problématique pourquoi l’Humain s’intéresse à son origine et à l’origine de la vie ; il est indéniable qu’avoir nommé les choses les ont faite exister, mais que pour nous, un arbre n’est arbre que pour nous, et il en va ainsi de toute chose. Certes nous avons une conscience et une pensée associative plus développée que la plupart des animaux , mais nous pouvons considérer que les animaux sont finis et ont tout ce qui leur est nécessaire pour survivre dans leur biotope. L’existence de tribus indigènes démontre l’importance de l’environnement nourricier. Tant qu’ils n’ont qu’à lever le bras pour se nourrir, ils restent en place et développent des organisations sociales appropriées que nous rapportent les anthropologues autour d’un langage minimal, comme des mathématiques aussi minimales. Et pour se déplacer, ils n’ont pas besoin de voiture, car leur environnement ne la leur suggère pas.

    Il n’a donc pas suffi d’un langage pour entrainer notre évolution. La rareté nourricière a joué et joue toujours un rôle important. La rareté c’est devoir produire ce que la nature ne nous donne pas en abondance parce que notre population croit depuis que l’Humain à pu mieux se nourrir.

    Justifier des angoisses existentielles pour créer des réponses apaisantes fut également un élément d’évolution de la pensée depuis les dévotions animistes au conte de la Baryogenèse d’aujourd’hui et les univers multiples. Nous pouvons à juste titre nous interroger sur la finitude de notre cerveau que nous n’entrevoyons pas et que nous trouvons extraordinaire dans ses capacités associatives de la pensée pour créer, innover et comprendre en réponse à ce que j’appelle notre existence géohistorique, où en modelant l’environnement géographique nous constituons l’histoire de notre existence en réagissant par rétroaction aux événements que nous avons élaborés pour transformer notre espace terrestre en cultivant, en construisant et en extrayant du sol nos besoins ;

    il est admis que les hommes ont toujours levé les yeux au ciel, quand ils n’avaient pas peur qu’il leur tombe sur la tête pour trouver leur route ou naviguer. C’est toujours le cas aujourd’hui, mais pour aller vers d’autres planètes. Cela nous parait à ce jour extraordinaire, mais nous devons rester humble face au questionnement comment des particules issues de l’explosion d’un baryon se sont associé pour donner de la matière organique tel le procaryote ; là se trouve peut-être la réponse au voyage extraplanétaire pour affronter la vitesse de la lumière. Que nous puissions penser que cela démontre l’incroyable capacité cérébrale de l’Humain qui a élaboré tout cela avec des mots et des chiffres, pour satisfaire ses interrogations et ses besoins, que doit être alors la réalité objective du monde ou de l’univers que nous ne connaissons pas.

    Cordialement. ddacoudre over blog



  • ddacoudre ddacoudre 27 mai 23:33

    BONJOUR OLIVIER

    J’ai lu avec attention ton article et tes liens. Comme tu le sais ce n’est pas l’objet de mes intérêts, car depuis longtemps nous vivons dans le paradoxe de mal nous nourrir et de croire que les effets médicamenteux sont inoffensifs. Durant des années nous nous sommes soignés à l’aspirine dont les effets secondaires ne rentrent pas dans la boite. Il n’y a pas un médicament synthétique qui soit offensif, généralement ils ne nous tuent pas en masse, car nous ne vivons pas assez vieux pour cumuler les effets nocifs qui ne s’évacuent pas. Nous sommes dans un siècle de transition, nous avons usé et abusé de l’apport des sciences, et la prise de conscience qu’a entrainé l’écologie, lentement à partir du club de Rome, s’accélère en revisitant des connaissances médicales ancestrales certes, mais face aux traitements d’urgences curatifs qu’apportent la médecine traditionnelle il n’y a pas photo en témoigne la longévité moyenne, même si l’on trouve des situations atypiques comme le témoignage que tu donnes en lien, ou une région du japon pleines de centenaires. Nous ne sommes pas tous égaux du point de vue de notre constitution dans nos réactions médicamenteuses. Tu soulignes les travers de la période Covid 19, et les excès qui en ont découlé en culpabilisant ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner, avec des vaccins produits dans l’urgence sans recul sur leurs conséquences qui apparaissent maintenant forts logiquement. Il faut tout de même rester prudent dans les analyses situationnelles complotistes sur l’origine de la pandémie covid 19 qui rejoint celle qu’il y a eu sur l’apparition du Sida, et d’une autre qui a sévi en Afrique noire. Qu’il y ait des erreurs humaines n’est pas contestable, mais la nature n’a pas besoin de nous pour nous infliger des maladies, qui du fait des moyens de circulation se propagent rapidement. En cela se justifie la mise en place de l’OMS, et il est regrettable d’y trouver les dérives que tu soulignes et les comportements cupides de sociétés dont le seul intérêt réside  dans la recherche du profit dans n’importe quelle situation.

    Après la période de la vache folle qui a conduit au principe de précaution jusqu’à l’excès parfois en justifiant n’importe quoi, la gestion du Covid et son après développe la méfiance sur la veille sanitaire et ses réponses ; j’ai relevé que tu étais satisfait d’une condamnation de Novartis. Sache que ce n’est qu’une satisfaction morale, car ceux qui financeront cette condamnation sont les consommateurs des productions de Novartis. C’est le miracle des SA, c’est leurs clients qui paient les amendes et non les actionnaires, c’est-à-dire les patrons. Un bon article comme toujours. Cordialement ddacoudre overblog. à+



  • ddacoudre ddacoudre 27 mai 14:36

    Tu soulèves un ensemble de positionnement sur un sujet qui est largement instrumentalisé et tient historiquement une place importante dans le pays.

    Notre société profondément catholique prospère sur des thèmes chrétiens, même après la séparation de l’église et de l’état. Le catholicisme est une réalité de la colonisation de l’occident. La laïcité, n’est pas d’interdire la pratique des cultes et les communautés religieuses. Pour moi les religions sont les "partis politiques" de ces temps anciens, où espérance des angoisses existentielles trouvaient leurs apaisements dans la foi en un dieu BON dont les commandements ou les recommandations, où la loi positive venaient d’une inspiration d’Hommes qui visaient le bonheur des humains en ayant divinisés des comportements instinctifs. Les juger à l’orée de nos savoirs, c’est distordre leur histoire ou chacune suivant l’ordre de leur apparition distord celles précédentes pour s’ajuster à l’évolution de l’existence et des conséquences des agissements de chacun au fils des siècles. Mais tout ne se passe pas de la même manière, en fonction des développements économiques suivant les latitudes et la richesse des pays, si bien que nous rencontrons bon nombre de difficultés dans les ajustements entre cultures où la syncrétisation n’a pas eu le temps de faire son œuvre sur la mixité des communautés au fil des générations. Mais la difficulté demeure pour toutes les religions et même pour les partis politiques, c’est détenir la vérité et partant de là la propager autour de soi et renvoyer les autres à l’hérésie.

    Je crois que Mélenchon ne soutient pas l’islamisme politique qui veut plier tous les états à la charia, comme les catholiques l’on fait avec la bible, ou les juifs.

    Il faut laisser le temps au temps, la science n’a pas encore creusé son sillon dans les esprits des Hommes. ce n’est pas pour autant que les laïques n’ont pas leur conte avec la création de l’univers par la Baryogenèse.

    Certainement qu’il y a une islamophobie, essentiellement depuis qu’il n’y a plus assesseurs sociaux en Europe, en s’appuyant sur les thèmes du FN.la tentation de l’amalgame à pris le dessus et il n’y a rien d’anormal qu’un parti s’adresse aux électeurs musulmans, comme d’autres le fond aux juifs ou aux catholiques. il faut se souvenir des 1 million de citoyens dans les rues sous Mitterrand à l’appel de Chirac pour soutenir l’école privée par excellence catholique. Si les religions faisaient l’objet d’un enseignement, nous n’aurions pas autant de difficultés avec les enfants qui démentent des programmes éducatifs. Nous avons des pays musulmans psychiquement clos, tout autant que des juifs d’Israël. il est amusant de constater que nous pensons que le voile ou la robe complète son des marques distinctives, mais cela ne nous vient pas à l’esprit qu’il en est de même pour l’habillement occidental que nous voudrions voir porté par tout le monde au nom de quoi.

    Enfin quand la RN exhibe des adhérents musulmans, c’est bien pour prendre des voix à Mélenchon.

    cordialement ddacoudre overblog



  • ddacoudre ddacoudre 27 mai 12:35

    Bonjour

    j’ai bien aimé ton article. Être vieux c’est pour moi un bénéfice, j’espère arriver à 140 ans pour quand l’on sera assez con pour détruire l’humanité. Souvent il m’arrive d’écrire les bacheliers sont les analphabètes de notre temps. Cela me fait plaisir de ne pas être le seul. Dans un récent article, j’avais écrit que j’étais surpris de voir beaucoup de jeunes de 18 à 34 ans voter pour la RN qui est la réponse politique à l’inculture politique et sociale. Certes de notre temps, avoir le BEPC nous classait parmi les bons et nous savions distinguer les classes sociales et connaissions l’origine des progrès sociaux. Mais il faut être juste, à 13 ans je fréquentais les jeunesses communistes, peut être que si j’avais eu une tablette ou un i phone je serais comme nos jeunes aujourd’hui, alors que l’on pratiquait la guerre des boutons. j« ai écris un essai  »rémunérer les hommes pour apprendre" en substance la technologie va drastiquement réduire les emplois et il va devenir essentiel de disposer des connaissances et savoirs pour maintenir le confort de notre existence. Or notre temps consacré à apprendre n’est pas suffisant et nous devrons nous éduquer tout au long de l’existence comme nous nous rendons au travail et être rémunérés, car le seul travail n’y suffira plus. Et pour revenir à ton article, dans un monde où la technologie nous rapproche virtuellement, mais nous isole des contacts humains, les lieux d’enseignement pour adulte seront l’occasion de retrouver les liens qui édifient une société, alors qu’aujourd’hui il y a un repli sur la famille et une atomisation de celle-ci et un abandon des lieux où l’on se construit citoyennement pour s’isoler dans le bruit où dans son reflet narcissique comme tu l’écris.

    Dans l’histoire humaine des technologies ont marqué le comportement des Hommes, et les vieux tels que nous parlaient de leur temps, non pour rabâcher que c’était mieux, sinon autant revenir au silex, mais pour donner des éléments de comparaison sur ce que l’on gagne ou l’on perd dans l’évolution de la modernité technologique. Et comme tu l’expliques si ce sont les liens bénéfiques aux relations interpersonnelles, alors les radicalités trouvent leurs boucs émissaires et la haine se fait son trou noir.https://ddacoudre.over-blog.com/2024/04/remunerer-les-hommes-pour-apprendre.essai-1999.html

    cordialement.




  • ddacoudre ddacoudre 26 mai 22:06

    bonjour j’ai lu avec intérêt ton article. il a le mérite d’avoir été écrit. je ne pense pas que ce soit les premiers journalistes qui ont une telle démarche que ce soit envers un parti ou un homme politique, ni Médiapart ou le Canard enchainé qui soulèvent des lièvres ce sont encore les quelques journaux indépendants. je ne pense pas lire ce livre qui n’est que le énième de la collection. quand l’on a participé à la vie de la société socioéconomique et politique, c’est le genre d’ouvrage qui ne fait plus « bader » tant il est commun sous tous les cieux des pays du monde.

    ce serait magnifique si en politique et en économie nous n’avions que des Saints, des êtres qui en fait ne seraient pas Humains ; ils seraient irréprochables sans défaut correct, impeccable, parfait exemplaire, honnête, inattaquable irrépréhensible, probe, vertueux. dans un monde où que ce soit en politique où en économie ou dans les relations interpersonnelles, c’est le monde du conflit pour ne pas dire un monde de requins auxquels appartiennent ces journalistes comme toi et moi. alors il est important de nuancer les, choses et de connaitre la réalité des faits, d’autant plus quand aucun Humain ne peut raconter sa vie et doit se contenter de ce qu’il pense essentiel à être connu des autres pour se valoriser, en cachant ce qui les déconsidèrent et que recherchent les autres. dans ce jeux de la vie il faut avoir pris toute sa place dans l’activité « politique du pays ». Soutenir des convictions, des idéaux, se poser en guide n’est pas de tout repos et tous les partis se séparent de ceux qui ne partagent pas ceux-ci quand le différent portent sur l’essentiel, soit ils sont virés, soit ils s’en vont d’eux mêmes. il n’y a rien d’extraordinaire en cela c’est la vie courante des associations de personnes, et cela fait vivre la démocratie. je pense pas qu’il soit fondé de comparer Mélenchon à Staline. jusqu’à présent il n’a tuer personne, mais, ne pas lui reconnaitre son déterminisme et surtout ses déclaration c’est forcément être conduit à écrire des bêtises. il a toujours dit qu’il se présenter pour aussitôt mettre en place la 6iéme république etc. j’en parle d’autant plus à l’aise que j’appartiens à ceux qui se sont fait virer, pour des différent sur la démocratie. mais je n’en reste pas moins lucide et reconnais que sans lui , sans son opiniâtreté, sans son entêtement, sans sa diatribe et sans son droit de se mettre en colère comme tout Homme, la Gauche aurait disparue de la vie politique.

    ceci dit s’il pense changer la vie des citoyens, qui sont tous des capitalistes dans leurs comportements économiques, il sera déçus ou il fera comme Mitterrand en 83, il passera à la social démocratie où il se démettra. dans un monde capitaliste l’on ne changer pas pour le socialisme par une élection mais par l’information et l’éducation socialisante sur l’émancipation des dominés pour qu’ils assument leur rôle social économique afin d’être capable de former du capital et de fiancer la solidarité collective et Humaine. sauf que cela prend des siècles, car il faut maitriser nos atavismes. à l’opposé de ce qui se fait. alors face à ce défit des livres comme celui des auteurs, cela n’a d’intérêt que pour les amateurs de fait divers car pour cela il n’y a pas besoin de « culture » . 

    https://ddacoudre.over-blog.com/2016/10/melenchon-sera-t-il-plus-productif-que-le-ps.html

    https://ddacoudre.over-blog.com/melanchon-sera-t-il-une-autre-histoire.html

    cordialement.

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