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Barth

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  • Barth 18 mai 2007 17:50

    Contrer les effets désastreux de la financiarisation de l’économie Certains appellent ça : « le néocapitalisme antilibéral », voir Marianne.

    Beaucoup de sociétés françaises ne disposent pas d’un capital suffisamment bien verrouillé. Résultat, elles sont sous la menace des fonds d’investissement qui ne fonctionnent exclusivement que sur des objectifs de court terme (3 à 4 ans). La technique est donc de racheter une entreprise en l’endettant (la technique des LBO dévoyée et détournée de ses objectifs initiaux : reprise de l’entreprise par ses salariés). Puis l’entreprise, tout en remboursant l’emprunt, se sépare des secteurs les moins rentables à court terme, traque ce qu’elle appelle le gaspi (recherche et développement, par exemple car inutile à court terme), et enfin licencie. Sa situation financière étant jugée améliorée par « on ne sait qui », alors qu’elle vient de séparer de son potentiel de développement, on peut alors envisager de revendre après une confortable plus-value. Le comble c’est quand ce sont des chinois ou des indiens qui rachètent l’entreprise ou mieux, s’installent juste à coté, y compris en Europe et y compris en France, ce qui va leur permettre d’acquérir toute la technicité et le savoir-faire. Puis ils transféreront la production si ce n’est déjà fait. Le résultat est bien évidemment désastreux pour la collectivité.
    -  Peu d’IS à cause de l’endettement
    -  Beaucoup de chômage qu’il faudra indemniser.

    Je propose d’interdire la déduction des intérêts de l’emprunt ayant financé le rachat. Ainsi, l’opération devient beaucoup moins juteuse puisque le résultat sera très supérieur, et donc générera un IS conséquent. On pourrait même prévoir un taux supérieur pour ce genre de business. Le nombre d’opérations ralentirait (215 en 2006 pour 31,5 milliards d’€) ou au moins, cette mesure permettrait à la collectivité de réinvestir sur les territoires dévastés.



  • Barth 18 avril 2007 08:32

    Il suffirait simplement de dire que ce qui a été écrit, cité, est faux, n’a jamais été dit, que le dossier est un tissu d’inexactitudes et de mensonges, plutôt que d’écrire ces âneries débiles.

    Mais effectivement, il semblerait que vous ayez un peu de mal à démentir et vous vous réfugiez dans l’insulte.


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