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Aspiral

Aspiral

Paysan de la nature humaine depuis près de 30 ans, je milite depuis des années contre la présence des « psy » ailleurs que dans leurs cabinets de consultation.
Sans trop de succès, d’ailleurs !

Tableau de bord

  • Premier article le 04/01/2007
  • Modérateur depuis le 12/02/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • Aspiral Aspiral 2 février 2007 17:54

    Excellente description du problème et de sa mise en perspective. Pour l’explication, j’ai une proposition « simple » : le discours de Freud sur la mère phallique et castratrice ! Cette vision de peit garçon bloque et les femmes et les hommes dans une mentalité d’adolescents. Ayant encore un besoin fou d’être "aimés par leurs enfants, il ne peuvent que se prostituer affectivement à eux, qui en profitent alors pour aller à fond dans leur désir de cumuler les avantages de l’enfants avec ceux de l’adultes... que ne sont pas encore leurs parents ! J’ai écrit deux textes à ce sujet sur mon site, dans les suites et commentaires « la guerre des sexes » et « Adolescents ». Je crois malheureusement qu’on ne redressera pas ceux qui se sont mal formés ; il sera nécessaire d’attendre qu’ils se soient entretués avant de créer une autre civilisation avec les survivants, sur d’autres bases que le mythe scientifique et les erreurs gravissimes de la psychanalyse et des psychanalystes qui ont pris la population en otage de leurs phantasmes.



  • Aspiral Aspiral 20 janvier 2007 17:28

    Je me permets de penser que le débat politique doit avoir un cadre « logique ». Un ingénieur qui construit une machine doit respecter les lois de la nature. Un politique aussi. Le juge qui juge ainsi commet en réalité un acte politique, fondé sur une priorité arbitraire et discutable, la protection de l’enfant. On constate partout cette porosité entre les champs sociaux, qui au départ étaient strictement séparés. Je pense qu’il est urgent que les professions initiatiques (justice, enseignement, medecine) refusent d’arbitrer des conflits qui ne se situent pas dans leur champ, quitte à laisser un trou, où le politique serait confronté à assumer ses choix de société et les faire évoluer. Le 4 janvier, j’ai publié sur agoravox,une réflexion à ce sujet : « déclin de la pensée occidentale » qui est reprise sur mon site, dans les suites et commentaires : www.aspirale.be



  • Aspiral Aspiral 17 janvier 2007 08:10

    De « Je ne comprends pas, donc c’est stupide », à « je ne comprends pas, donc tu es stupide », il n’y a qu’un pas, celui qui sépare le complexe de Colomb de la guerre civile, qui inexorablement se prépare, chacun ayant bien sûr les meilleurs arguments pour étayer ses convictions.



  • Aspiral Aspiral 17 janvier 2007 06:42

    Racines de l’exclusion !

    Article refusé pour la raison suivante : confus, imprécis pour la forme.

    D’où vient-elle, cette effrayante « exclusion » qui sévit en Occident ? De la fatalité des lois économiques ? De l’égoïsme des gens ? ... D’où nous vient donc cette manie que nous avons de rechercher les causes du mal pour l’exclure ? De l’histoire de la science ! En effet, pour rechercher les lois de la nature, la science a mis au point une méthode qui consiste à isoler des systèmes simples afin d’y pouvoir étudier les lois qui relient la cause à l’effet. Cette méthode est dite du tiers exclu : il y a ce qui est sur la ligne des causes et des effets, ce qui est « normal » et il y a ce qui est « exclu » comme conditions égales par ailleurs, ce qui est hors de la ligne normale des cause et des effets. De là à les considérer comme anormales ; il y a un pas que la nature ne franchit pas ! Les bonnes intentions du système prévoient comme effet le bonheur du plus grand nombre, c’est normal donc d’être heureux dans le système ! Ceux qui ne sont pas heureux sont donc fous, malades et délinquants, puisqu’ils sont en dehors de la ligne des effets prévus ! Logique ! L’enfer est pavé des bonnes intentions de ceux qui l’ont inventé, les « coupables » étant ceux qui ne s’y retrouvent pas jusqu’au moment sans doute où le nombre des exclus devient plus grand que celui des inclus... Devient-il alors « normal » d’être « malade, fou ou délinquant » ? Bonne question ; je vous remercie de me l’avoir posée ! Le malheur a voulu que la méthode causale ait permis de déterminer de vraies « causes », c’est-à-dire des causes curables. Le développement remarquable des vaccins et des antibiotiques ou encore le traitement spectaculaire de maladies comme le diabète a suscité d’énormes espoirs. Dans la foulée de ses succès, la science s’est mis à vouloir chercher les « causes » de tout, pour les exclure, bien sûr et donc permettre à chacun de nager dans la félicité ; c’est ainsi que s’est développé cet éléphant qu’est par exemple la classification actuelle des « maladies mentales ». Dans l’espoir de trouver les « causes » de ces maladies, on a tenté de classer les gens en systèmes simples pour pouvoir les « normaliser » en les délivrant avec leur reconnaissance éternelle, des causes de leur souffrance. De tentative de normalisation en normalisations réussies, on a oublié que la vie ne devait sa solidité que de sa biodiversité. L’éléphant n’a accouché que d’une souris : quelques misérables « médicaments » symptomatiques... et répressifs ; surtout beaucoup d’exclusion ! Forcément, la complexité de la nature humaine n’a pas permis de trouver « la cause », mais des causes en nombre infini. Les bonnes intentions de soigner le mal pour rendre normal n’ont abouti qu’à la création de catégories d’anormaux, culpabilisés et déculpabilisés en même temps, jusqu’au délire de qualifier de « malades » les enfants mal élevés. Alors qu’elle n’était au départ qu’une méthode pour chercher les lois de la nature à respecter pour être efficace, l’exclusion par catégorisation ne sévit pas qu’en médecine. Elle s’est répandue dans tous les secteurs de la vie sociale, depuis la vie à deux où c’est forcément à cause de l’autre qu’on divorce, jusqu’aux délocalisations et racismes, qui s’enracinent eux aussi dans la nécessité de trouver un bouc émissaire à sa souffrance d’exister, comme s’il suffisait d’exclure le porteur du mal pour que le mal disparaisse. La méthode scientifique nécessite de considérer tout ce qui arrive comme normal pour en étudier les causes. Confondant scientifiquement normal avec normal scientifiquement, on se croit autorisé de penser qu’on a raison, si on est logique. Le problème, c’est que chacun n’a de la vérité que la vision très partielle de sa petite expérience. Quand une machine est en panne, l’ingénieur cherche la cause de la panne. Mais quand il construit une machine, il la construit en respectant les lois de la nature. L’homme n’a pas inventé la vie, il est né dedans. Pour construire sa vie, il se doit de respecter les lois de sa nature. Supprimer les déterminismes du présent de chacun est phantasme de toute-puissance. Le présent quel qu’il soit, de chacun ou de chaque groupe, est le moins mauvais équilibre « naturel » entre tout ce qui lui est tombé sur la gueule et la conservation de son potentiel génétique. Même scientifiquement étayée, une décision est un pari sur le futur car tout savoir, même scientifique, est un ensemble de connaissances limitées par un horizon d’inconscience, un savoir sans savoir-faire. Chaque décision est un pari qui ne peut se faire que quand les conditions en sont réunies. Elle consiste en la capacité de saisir librement une opportunité, et d’y donner suite dans un sens solidaire, la vie ou dans un sens solitaire, la mort. Le mal se mesure à ses conséquences uniquement, ses effets destructeurs. L’histoire ne repasse pas les plats. Le bien est donc toujours à tester. Le bien est cet art que pratiquent depuis la nuit des temps les sages et les saints de chaque époque, souvent zappés, parfois même exécutés, au nom de la vérité limitée d’un temps. Pour cela, il nous faut reconstruire une échelle au temps, afin de rendre à l’histoire son histoire : dans l’espace, d’abord par une liberté qui ne soit accordée que progressivement en fonction des preuves données sur le bon usage du niveau de liberté précédent ; et dans le temps ensuite, en redéfinissant l’amour comme une démarche en deux temps : le temps du mûrissement est le temps de l’amour féminin, protecteur ; et le temps de la fructification est le temps de l’amour masculin, fécondeur.



  • Aspiral Aspiral 30 janvier 2006 08:51

    Quelle étrange discussion ! La souffrance humaine, éternelle, change de dénomination selon les cultures et les moments historiques. Ce qui s’apprend n’est jamais qu’un outil. La psychologie comme la physique nucléaire ne disent rien sur leur bon usage. Comment vérifier la sagesse de leurs utilisateurs ? La « agents du culte » sont-ils à reprendre dans la liste des « psys » officiels ou des « rebouteux » ? Répondre d’abord à cette question éviterait bien des débats inutiles.

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