• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Actualités > Technologies > IA, la condition artificielle
#42 des Tendances

IA, la condition artificielle

Le piège informatique global se referme avec la fétichisation de l’IA. Sans que les possédés de l’artificialisation ou autres techno-prophètes de l’avènement d’une conscience machinique n’aient jamais posé la question de son utilité réelle, de son coût écologique insoutenable et du consentement des populations concernées : à qui profite la folle course énergivore à l’IA ? Le philosophe Mathieu Corteel invite à s’échapper du « vide du non-sens bien ordonné de la combinatoire artificielle ».

 

La condition artificielle sera-t-elle la condition planétaire à venir ? La technologisation du monde aboutit à la « combinatoire générative des IA qui propage ex machina des myriades d’images, d’écrits, de musiques et de vidéos ». Cette combinatoire poussée à l’infini se solde par une surproduction jusqu’à l’absurde de simulacres d’informations ou d’oeuvres à une vitesse de création qui « dévalue la part créative du travail humain » - quand cette masse exponentielle de contenus ne menace pas les moyens d’existence de l’espèce présumée laborieuse ou n’attente à sa survie élémentaire.

L’historien des sciences Mathieu Corteel tient cette surproduction par l’IA pour « l’événement philosophique majeur de notre temps ». Car le dit événement « engage le jugement dans les abîmes de la combinatoire ». Aujourd’hui, la question engage pour le moins l’avenir résiduel de l’espèce qui s’en laisse exproprier en creusant son abyssale facture environnementale : « est-il encore possible de distinguer le vrai du faux ? » Par quelle projection anthropomorphique ou quel envoûtement peut-il être possible de faire croire à « l’intelligence » des machines ? Par quelle duperie peut-il être possible d’asséner le fatalisme du « remplacement » de l’intelligence naturelle par la dite IA ? Et dans quel but, pour quel « profit » ?

 

Un saut dans l’absurde

 

Le neurobiologiste Francisco Varela distinguait deux types de machines, « celles produisant autre chose qu’elles-mêmes, qu’il appelle allopoïétiques, et celles qui ajustent leur propre organisation interne en fonction d’un environnement externe, qu’il nomme autopoïétiques  ». Ainsi, une IA est « une machine allopoïétique qui produit des contenus ayant un sens dans le système de représentation humain, mais aucun pour elle-même ». Quant aux dignes spécimen de l’espèce présumée pensante, calculante et prévoyante, ils peuvent être définis comme des « machines autopoïétiques, vivantes,biologiques, des sacs de viande et de neurones » aux prises avec l’entropie par un « ajustement perpétuel de leur organisation interne avec le milieu externe ».

Chercheur associé au département d’hitoire des sciences de Harvard, Mathieu Corteel analyse l’agencement humain-IA procèdant de « la captation et de l’exploitation de la création humaine au profit du Béhémoth du capitalisme cogntif, ce régime d’accumulation dans lequel l’objet de l’accumulation est pincipalement constitué par la connaissance  ». C’est là l’apparent paradoxe de l’actuelle dissociété d’exploitation généralisée, présumée fondée sur la propriété privée : «  pourtant on nous exproprie en permanence de nos productions sous la forme de données a-signifiantes  »...

Derrière « les interfaces, les écrans, les tablettes où nous projetons nos émotions se cache le vide du non-sens bien ordonné  ». La « nature même » de toute machine est abstraite, « elle code de l’immatériel, c’est-à-dire des potentiels d’interaction et d’information  ». Alors, l’IA se résumerait-elle à un « composé de connaissances mécanisées codant des immatériels  » ?

Mais comment ne pas s’y perdre, dans ce « double jeu machinique d’imitation et de connexion » ? L’ « intelligence » fallacieusement prêtée aux machines exproprie l’humanité de son intelligence naturelle et collective. Cette fuite en avant vers l’artificialisation fait vaciller les fondamentaux anthropologiques des populations aliénées et les mène vers le « précipice du non-sens ».

Le philosophe et historien des sciences propose sa « boussole anthropotechnique » sur l’échelle de nos croyances en guise d’instrument de navigation. Les déboussolés de la numérisation ont sans doute pu constater à leurs dépens que les algorithmes « génèrent des externalités négatives à haute fréquence qui impactent le monde depuis l’immatériel vers le matériel : marchandisation à outrance, désubstantialisation du travail, saccage de l’écosystème  ». Et il interpelle : « Sommes-nous condamnés à assister les bras croisés au spectacle algorithmique de notre naufrage civilisationnel ? »

Le néolibéralisme a fait émerger un nouveau type de société autour du contrôle, avec sa boîte noire algorithmique : « Le contrôle est toujours le contrôle de l’avenir dans le présent  ». La preuve par les transactions financières, massivement automatisées et virtualisées : elles sont opérées par algorithmes sur des «  plateformes de négociations virtuelles qui gèrent la richesse du monde à la vitesse de l’éclair  ».

Que signifie une telle automatisation du capitalisme ? Le remplacement des traders, décideurs ou autres « responsables » de... rien ? Le «  totémisme connexionniste du capitalisme cognitif pourrait-il donc tout automatiser, même les dirigeants  » ? D’évidence, « la seule chose qui compte c’est le chiffre pris dans la vitesse des algorithmes  » - le constat clinique est illustré par le roman Cosmopolis de Don de Lilo : « Il s’agit de précipiter le futur à partir de nombres abstraits qui donnent l’illusion de ne pas impacter le monde matériel (...) Le temps est désormais une valeur d’entreprise. Le présent est aspiré du monde pour laisser place au futur des marchés incontrôlés et à un énorme potentiel d’investissement. Le futur devient instant. Ce futur-instant de la finance à haute fréquence c’est l’acmé du processus technologique d’accélération qui nous prive de la résonance avec le monde et nous-mêmes. De l’accélération des moyens de transport jusqu’à l’accélération de l’information c’est le mouvement du capital immatériel qui s’achemine vers un accroissement indéfini  ».

C’est le mouvement perpétuel du pire des cybermondes vers sa mortifère accumulation terminale. Pourquoi ne pas faire bénéficier, pendant qu’il en est encore temps, la société humaine de ce « jeu d’optimisation des marchés financiers en instaurant une taxe minimale automatique qui s’appliquerait à tous les ordres émis, qu’ils aboutissent ou non à l’obtention d’un titre » ? Il y aurait de quoi financer un revenu universel et « redistribuer une part de la richesse de la finance pour favoriser la justice sociale et l’écologie  »... Et pourquoi pas une taxe qui « porterait sur l’utilisation par les technologies de l’information et de la communication des données que nous générons massivement et qui sont exploitées, stockées et vendues à notre insu  » ?

 

L’artificialisation de l’humain

 

L’idée d’un traitement physique de l’information à partir de l’hybridation de la logique et de la mécanique prend corps avec Ada Lovelace (1815-1852), la fille du poète Byron (1788-1824). Elle aurait conçu le premier algorithme de l’histoire en travaillant sur le principe de la « machine analytique » du mathématicien Charles Babbage (1791-1871), inspirée du fonctionnement des métiers à tisser.

Depuis, l’excroissance de la « civilisation » technicienne prospère aux dépens de l’humanité jusqu’à l’infiltration machinique de nos existences, hybridées de force à des gadgets connectés, jusqu’à la délégation de nos pouvoirs d’action, de création et de décision à des interfaces auxquels ertains prétendent attribuer une « pensée » - et jusqu’à l’expropriation massive de l’activité cognitive humaine avant l’autodestruction de la dite « civilisation » technicienne... Un bon usage de l’IA est possible – si l’ « on » s’en tient là... Ainsi, en médecine, l’identification des mélanomes par des IA à réseau de neurones s’avère plus performante que celle effectuée par le meilleur des dermatologues : « Ce savoir-faire ne relève pas d’une induction clinique, car la maladie n’a pas la moindre signification pour la machine. Il s’agit pour elle de reconnaître l’image de élsions cutanées. La machine ne voit pas une maladie, et encore moins un malade ou de la douleur : elle répond à des seuils d’activation  » pour le moins indifférents à la réalité humaine.

Si l’écoute, la parole et l’écriture humaines relèvent d’un travail vivant et incarné, la combinatoire par l’IA « n’est qu’un travail mort ». Le langage humain permet une profondeur de significations : « Il n’existe pas de seuil de saturation du langage. A chaque époque, l’écriture et la parole s’inventent et se réinventent ». Une IA ne vit ni ne meurt mais elle « est toujours et déjà le résultat d’un travail mort ».

La voracité énergétique de la mégamachine numérique consume toujours plus de ressources – à commencer par le foncier car il faut toujours plus de terres à bétonner pour les datas centers, plus d’eau pour les refroidir, plus de métaux technologiques et de pétrole, de guerres énergétiques pour leur contrôle et toujours plus d’extractivisme. C’est bien la planète entière qui se meurt de ce « travail mort »... La silicolonisation numérique précipite l’épuisement des ressources vitales : faudra-t-il bientôt choisir entre se connecter ou ... boire de l’eau potable ? Mathieu Corteel cite l’empereur Marc Aurèle (121-180) qui exerçait son magistère en une époque bien moins rageusement écocidaire : « Le présent est à tous ; mourir c’est perdre le présent ». Une manière de rappeler que l’IA « pourra bien tout coder, transcoder et ordonner, il nous restera le présent du récit et les associations libres de séries  ».

Le présent « lui demeure étranger alors qu’il nous appartient en propre ». Après tout, L’homo numéricus a le choix de se laisser envahir d’écrans, de se laisser incarcérer dans une vie machinique, de se laisser dissoudre en agrégats de données exploitables comme de suffoquer sous les déchets miniers, de s’éroder dans une eau et un air contaminés voire d’acquiescer aux désastres humanitaires liés aux guerres pour l’accès aux ressources pour une nanoseconde de « connexion » de plus...

Comme il a le choix de prendre soin de ses facultés naturelles, dont le discernement, et de les entretenir plutôt que de s’en remettre à la logique autophage d’une mégamachine dysfonctionnelle qui précipite son anéantissement. Faute d’un « bon choix » éclairé à temps, il n’aura été qu’un nihiliste « miracle sans intérêt » (Jean Rostand) entre une phase d’expansion et de refroidissement du cosmos.

Mathieu Corteel, Ni dieu ni IA – une philosophie sceptique de l’intelligence artificielle, La Découverte, 240 pages, 22 euros


Moyenne des avis sur cet article :  2/5   (13 votes)




Réagissez à l'article

15 réactions à cet article    


  • exocet exocet 24 mai 11:48

    Ceux qui craignent l’Intelligence Artificielle craignent également l’intelligence humaine.

    .

    Ceux là perçoivent la grande intelligence comme un phare susceptible de mettre en lumière leurs travers et ce qu’ils souhaitent cacher.

    .

    L’IA actuelle n’est pas encore comparable à l’intelligence humaine, en ce sens ou elle ne ressent ni désirs, ni motivations, ni sensations, ni haine, ni amour, ni conscience. Et sa représentation du Monde qui l’entoure n’est pas étayée par une représentation à base de symboles comme dans notre psyché.

    .

    Il existe à ce sujet un malentendu entre les deux rives de l’océan Atlantique : pour nous autres Européens, une IA aboutie serait fatalement une sorte d’humanoïde conscient. En Anglais Américain le mot « Intelligence » ne signifie pas exactement la même chose que le mot « Intelligence » en Français. En Anglais Américain, ce mot signifie plutôt « collecte et mise en forme de données ». Par exemple, l’Intelligence Service, organisme d’espionnage, tire son nom de la recherche et la mise en forme de renseignements. Pour les Américains, les IA comme ChatGPT ou bien Grok sont abouties, et la course à l’IA outre Atlantique est actuellement une course à la puissance de calcul et la massification des données. Pour eux, une IA n’a rien à faire de conscience humaine ou autres différences avec ce qui fait un esprit humain.

    .

    On note que la crainte de l’IA est plus présente de notre côté de l’Atlantique, avec un accent mis sur des garde-fous nécessaires, une volonté d’éduquer l’IA au politiquement correct, lui inculquer avant tout une sorte de déontologie lui interdisant de mal penser... au risque de brider et fausser ses performances. Pensées à cette pauvre Lucie, celle qui devait être « l’Intelligence Artificielle éthique et souveraine Française. ». Développée en commun par la société Linagora et le CNRS sur les fonds France 2030, sa sortie a fait un flop et la malheureuse Trisomique Artificielle a été débranchée sous les lazzis des internautes...


    • lephénix lephénix 24 mai 14:42

      @exocet
      déjà, le « malentendu » est patent de part et d’autre de la Manche « intelligence service » comme les compteurs « intelligents », agrégateurs de données...
      la crainte dans l’hexagone est qu’un nombre croissant d’opérations cognitives prises en charge par cette puissance de calcul croissante ne se solde par le « remplacement » de l’humain dans un nombre non moins croissant de métiers, dont les « professions intellectuelles », à en juger les « productions » de l’IA qui infestent le meilleur des cybermondes..


    • juan 24 mai 16:37

      L’Idiotie Assumée, ? le dernier titre ronflant pour se donner de l’importance ! Tout le monde se gonfle le jabot de l’I.A. avant même de connaître ce qui va lui revenir en boomerang. A commencer par l’informatique quantique dont la rumeur diffusée à bas bruit laisse à penser que ça posera des problèmes avec l’I.A : hi, hi, hi...Maintenant on commence déjà à goûter les avantages du morphing (trafic des portraits) problèmes d’identité, falsification des pièces officielles, pendant que de doux rêveurs s’étourdissent de ce faux progrès afin d’occulter les vrais dangers qui nous pendent au nez. Bref, ça fait des lustres que nos géniaux ingénieurs savent faire des logiciels ultra rapide du type du traitement des données dans les salles de marchés.

      Oui mes petits messieurs, l’Islam Armé vous connaissez ? c’est aussi de I.A. !


      • Durand Durand 24 mai 18:52

        « Le mouvement transgenre n’est pas un mouvement populaire, il vient d’en haut. Cela n’a rien à voir avec la liberté d’expression, la sexualité ou les droits civils. C’est une opération psychologique maléfique avec un programme clair pour nous rapprocher du transhumanisme en nous faisant remettre en question la notion la plus fondamentale de l’identité humaine, notre genre. Si vous ne savez pas qui vous êtes, si vous vous identifiez déjà comme un hybride entre un homme et une femme, vous serez facilement convaincu de devenir un hybride entre l’humain et la machine. »

        Aldous Huxley

        ..


        • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 25 mai 02:59

          il nous restera le présent du récit et les associations libres de séries  

          associations libres d’élément de listes = COMPOSITION, possiblement.


          • Nicolas Cavaliere Nicolas Cavaliere 25 mai 08:58

            @Sylfaën.H.

            Ou combination. La frontière entre la composition et la combination s’étiole.

            Merci à l’auteur de l’article pour la recension de ce livre très intéressant. Ce qui permet l’avènement de quelque chose comme une IA, c’est au fond une approche très orientale de la connaissance, où le texte canon donne naissance aux commentaires mais où la place pour de nouveaux canons se restreint au fur et à mesure que l’empire se consolide. Et c’est aussi lié à des démographies foisonnantes, où l’individu dès le départ se vit comme un chaînon dans un ensemble plus grand que lui. La tradition se charge du poids du sens, la nouveauté se l’interdit parce qu’elle appelle la nouveauté. C’est un fait que les orientaux ont intégré depuis longtemps, tout en restant monoculturels, et que nous commençons à peine à comprendre, confrontés aux migrations et aux cultures extérieures (nos « cousins » Américains ayant des siècles d’avance sur nous de par leur histoire). C’est la culture européenne qui me semble la plus inquiétée par l’IA parce qu’ailleurs il y a d’autres piliers sur lesquels s’appuyer pour éviter la falaise de la « perte de sens » vers laquelle l’Europe glisse depuis qu’elle confond le matériel et l’immatériel, cherche à résoudre l’un dans l’autre, s’instrumentalisant corps et âme dans le processus.


          • lephénix lephénix 25 mai 19:05

            @Nicolas Cavaliere
            Merci ! Même si d’aucuns dénient toute « culture européenne », le dénominateur commun sur le continent depuis l’art militaire romain est le matérialisme et la culture arterfactuelle jusqu’au culte des artefacts, avec une systématique de l’avoir et de la prédation la systématique du corps a supplanté celle de l’esprit jusque dans le délire faustien qui fait pédaler au-dessus de la falaise... dès 1897 Durckheim avait introduit le concept d’anomie pour saisir cette perte de sens alors qu’il travaillait sur le suicide...


          • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 26 mai 12:44

            @Nicolas Cavaliere
            La différence entre série et liste s’appelle l’Ordre.
            Une combination créé des possibles. Lequel ?


          • Jean Keim Jean Keim 26 mai 09:05

            << Ceux qui craignent l’Intelligence Artificielle craignent également l’intelligence humaine. >>

            Intelligence ou ingéniosité ???

            Est-il absurde de craindre l’ingéniosité humaine qui par manque d’intelligence humaine a su concevoir et utiliser la bombe atomique ?


            • lephénix lephénix 26 mai 13:37

              @Jean Keim
              on en revient immanquablement au vieux Rabelais : « science sans conscience n’est que ruine de l’âme »...
              non il n’est pas absurde de redouter l’ingéniosité « humaine » dans la jouissance de faire le mal ou dans l’obstination à perpétrer le « crime parfait »... l’ingéniosité ne manifeste en rien l’ intelligence de la vie... mais juste le Rien...


            • lephénix lephénix 26 mai 13:41

              @lephénix
              ps : bien entendu, l’ingéniosité dans l’obstination du mal qui manifeste une forme d’« intelligence » instrumentale résiduelle... ; on ne peut qu’en appeler à la manifestation d’une ingéniosité à réparer le monde.. mais ce n’est pas ainsi qu’est programmée la mégamachine : même repeinte en vert fluo, elle continue à détruire...


            • Jean Keim Jean Keim 26 mai 18:10

              @lephénix

              C

              Le mal est essentiellement un comportement irrationnel dont l’archétype pourrait être la guerre.

              Le meneur de jeu est notre mode de penser.


            • lephénix lephénix 26 mai 20:08

              @Jean Keim
              notre « meneur de jeu » veut-il la guerre ou ... du spectacle ? il a déjà les deux... la « compétition » ou le confort dans le « vivre-ensemble » en mode coopération et synergie ? 
               


            • mmbbb 26 mai 09:15

              «   la captation et de l’exploitation de la création humaine au profit du Béhémoth du capitalisme cogntif, ce régime d’accumulation dans lequel l’objet de l’accumulation est pincipalement constitué par la connaissance »

              Je ne comprends guère , je ferai appel à l IA ! 



              • lephénix lephénix 26 mai 13:46

                @mmbbb
                en deux mots : il y a toujours un choix « politique » derrière l’apparente « neutralité » de la machine et du système de traitement statistique... et quel est donc ce choix ?
                en tout cas il ne prévoit ni plan B à « l’ordre économique et social » qui l’a programmé ni marche arrière ...

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité