Fier d’être « complotiste »

Tous ceux qui avaient osé contester les décisions gouvernementales au moment de la crise sanitaire, avaient été qualifiés de « complotistes-anti-vax »... sauf qu’aujourd’hui, une autre réalité apparaît…
Alors que l’ANSM assurait encore récemment que les vaccins contre le Covid-19 étaient sûrs (lien), les autorités sanitaires sont dans leurs petits souliers alors qu’ils étaient nombreux ceux qui affirmaient que « ceux qui doutaient des vaccins étaient des complotistes », sauf qu’aujourd’hui les effets secondaires du vaccin contre le Covid 19, sont reconnus (du bout des lèvres) par les instances publiques. lien
Certains liens entre les produits injectés et divers troubles de la santé sont désormais reconnus mais il aura fallu près de 3 ans de délires pour que les autorités finissent par reconnaître en catimini que les vaccins contre le Covid 19, acceptés pour beaucoup sous la contrainte, avaient de véritables effets secondaires.
Lors d’une commission des affaires sociales du Sénat, François Toujas s’est enlisé : pour la présidence de l’ONIAM (Organisme National d’Indemnisation des Accidents Médicaux). 241 dossiers ont été traités, et seulement 72 personnes ont perçu une indemnisation, après la reconnaissance de la responsabilité du vaccin dans la survenance d’un effet indésirable.
Les principaux incidents reconnus sont des troubles cardiaques et il est surprenant que les autorités considèrent que ce sont seulement les produits AstraZeneca, rapidement retirés des préconisations générales, qui en sont à l’origine.
Pourtant le gouvernement avait tout de même assuré que les produits étaient sûrs.
Au delà des atteintes cardiaques, des troubles neurologiques ont aussi été rapportés dans les dossiers envoyés à l’ONIAM, laquelle a relevé également des troubles de la vascularisation graves, avec des accidents vasculaires cérébraux, des thromboses et des embolies pulmonaires (…) qui peuvent conduire jusqu’à la mort, ce qui empêche souvent les victimes de mener à bien leurs dossiers... (c’est une litote NDLR). lien
Et quid de la mortalité infantile ?
Di Vizio a tiré la sonnette d’alarme... supposant que celle-ci ne serait pas seulement due à la fermeture de nombreuses maternités, mais peut-être est-ce lié à une politique vaccinale désordonnée. lien
Et il est loin d’être le seul… lien
Pourtant l’un des promoteurs de la campagne vaccinale continue de douter :
« avez-vous des preuves scientifiques pour étayer votre opinion ? », demande-t-il à l’auteur principal du rapport sur la question.
« les meilleures preuves sont les autopsies, et dans la plus grande série d’autopsies publiées à ce jour, et de toutes les morts que nous avons examinés, lesquelles ont été réexaminées avec un comité d’arbitrage, le fait est qu’il a été déterminé que dans 73,9 % des cas, le vaccin était la cause du décès ». Lien
Fallait-il donc en mourir pour prouver qu’il y avait danger ?
Certains vont plus loin, tel le célèbre avocat Reiner Fuellmich qui affirme : « le vaccin n’a pas été introduit pour le Covid, le Covid a été introduit pour le vaccin... une fois que vous réalisez cela, tout le reste fait sens ». lien
C’est alors logiquement que le Professeur Christian Perronne a appelé dès avril 2024 à se mobiliser contre le traité de l’OMS, sur la question de la gestion des crises sanitaires, il affirme que l’OMS n’est plus ce qu’elle était, car désormais des intérêts privés la contrôlent et un traité portant sur la pandémie vient de lui être soumis, qui donnerait des pouvoirs exorbitants à cette institution, sauf que les médias font preuve, sur la question, « d’un silence assourdissant ».
C’est bien Pierre Bourdieu qui rappelait que « les riches achètent les médias pour donner leur message bien choisi aux pauvres ». lien
Or ce traité mettrait les États-nations sous tutelle, et le professeur de proposer, lors des élections européennes qui approchent, une action apte à empêcher ce scandale, proposant de questionner nos députés, et les candidats : « sont-ils d’accord pour que l’OMS ait un pouvoir contraignant sur les états ? Sont-ils d’accord pour que les états abandonnent leur souveraineté en matière de santé et d’environnement ? Réalisent-ils que chaque pandémie que nous avons eu depuis 20 ans est en réalité un prétexte pour la mise en place d’une gouvernance mondiale, autour d’un concept nouveau : une seule santé ? Savent-ils que la définition même de pandémie a été modifiée, le critère de mortalité ayant été retiré ? Une pandémie pouvant donc être décrétée sans aucun mort ... ».
Et le professeur de conclure : « nous plongerions donc dans un état d’urgence quasi permanent. Avec ce traité, les états s’engageraient à appliquer sans discussion toutes les décisions de l’OMS, et, du jour au lendemain, le directeur général de l’OMS pourrait déclarer une pandémie pour une maladie qui ne tue pas, et contraindrait les états à subir toute une série de mesures liberticides que nous avons malheureusement subies dans un passé pas si lointain, sans pouvoir nous y opposer, comme par exemple la fermeture des frontières, le confinement, administration de produits médicamenteux non éprouvés... ». lien
Dans la foulée, d’autres, comme Jean-Dominique Michel, lors d’un débat TV chez Bistro/libertés, s’interroge sur le thème de « l’après-covid, vers un changement de société ? », et rappelle que, selon la commission européenne en 2014, le centre d’étude de Harvard, ainsi que le professeur Peter Gotzsche disait « la première cause de mortalité en occident, c’est les médicaments, c’est les traitements, car tous les acteurs de la santé sont captifs de l’industrie pharmaceutique. »
Ce professeur, directeur du Centre Cochrane, avec un groupe d’experts indépendants, décrit minutieusement l’influence systémique et particulièrement efficace de l’industrie pharmaceutique, qui serait, selon lui, à l’origine de centaines de milliers de morts dans le monde chaque année, ce qui en ferait la 3ème cause de décès après le cancer et les maladies cardio vasculaires. lien
Ce Peter Gotzsche estime en outre que les connaissances accumulées sur les stratégies d’influence de Big Pharma pour augmenter ses profits, permettent la comparaison avec le crime organisé et la Mafia. lien
Mais revenons au débat de Bistro/liberté…
Jean-Dominique Michel affirme que la corruption est devenue systémique, que la France, sous Macron, a décroché le pompon, et elle touche particulièrement tout le système de santé, ainsi que l’a prouvé Transparency International, cette corruption représentant en Europe quasi 1000 milliards d’euros par an. lien
Fort heureusement, certains labos sont parfois condamnés, comme par exemple Novartis qui a du payer 792 millions de dollars suite à des « pots de vin » offerts à des médecins. lien
Le professeur Péronne présent lors de ce débat rappelle que l’affirmation des 17 000 morts dus à la chloroquine était une affabulation, reconnue par ceux qui avait publié un rapport sur la question, dénonçant une prolifération des fraudes scientifiques.
Pour finir sur ce débat TV, Peronne rappelle que Rockfeller, ayant fait fortune dans le pétrole, avait investi dans l’industrie pharmaceutique, faisant fermer toutes les facultés de « l’autre médecine », celle qui favorisait les médecines naturelles, l’acupuncture, la phytothérapie, la science électro-magnétique, afin de ne parler que des médicaments, que de l’industrie chimique.
ce témoignage mérite le détour...
La pente sera dure à remonter, car depuis la pandémie, les gens n’ont plus vraiment confiance dans la médecine, ni dans les labos pharmaceutique, ou dans les vaccins…lien
Comme aurait pu dire mon vieil ami africain : « pour faire taire un lanceur d’alerte, traite-le de complotiste ».
le dessin illustrant l’article est de Colcanopa
Merci aux internautes pour leur aide précieuse
Olivier Cabanel
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