ONU 2025 : Le naufrage de l’Histoire sous présidence Baerbock
Le 2 juin 2025, l'ONU nomme Annalena Baerbock à la présidence de l'Assemblée générale, suscitant des inquiétudes en raison de ses déclarations antérieures jugées belliqueuses envers la Russie. Cette nomination intervient alors que la mémoire du 9 mai est déjà fragilisée par des discours guerriers, exacerbant les tensions internationales. Ma voix et ma raison s'élèvent pour défendre la paix et la vérité historique.
Une impasse diplomatique à l'ONU
Le 2 juin 2025, l’annonce de la nomination d’Annalena Baerbock à la présidence de la 80ème session de l’Assemblée générale de l’ONU pour 2025-2026 a suscité en moi un émoi profond, mêlé d’indignation et de stupeur. Alors qu’elle proclame défendre la paix, la sécurité, le développement et les droits humains, Baerbock est surtout reconnue pour son hostilité marquée envers la Russie, illustrée par sa déclaration belliqueuse de 2023 : « Nous ferons la guerre à la Russie » [1]. Sa gaffe, lors de la Conférence sur la sécurité de Munich en février 2023, où elle évoquait un « virage à 360 degrés » pour un hypothétique changement de cap de Poutine, a été moquée mondialement, notamment par des responsables russes, comme une absurdité géométrique révélant une stagnation dans le bellicisme. Ce « virage » qui ramène au point de départ trahit un manque criant d’orientation éclairée et de compétence intellectuelle et diplomatique, qualités fondamentales pour guider l’ONU.
L’absence étrange d’autres candidats à ce poste renforce les soupçons d’une instrumentalisation des institutions internationales [2]. Ce sentiment fait écho à ce qui m’avait poussée, en avril 2025, à écrire un article face aux dérives révisionnistes entourant les 80 ans de la victoire contre le nazisme. Depuis l’opération spéciale russe de février 2022, chaque 9 mai ravive une vague d’interprétations délétères en Occident : une relecture scandaleuse de l’Histoire minimise l’apport de l’Armée Rouge. Voici mon cri d’alarme, plus urgent que jamais face à ce naufrage mémoriel et géopolitique.
En avril 2025, j’ai publié sur AgoraVox “Le Naufrage mémoriel de l’Europe” *, alertant sur la falsification du 9 mai.
Mon cri d'Histoire
En citoyenne scandalisée, je prenais la plume sous le pseudonyme Cassandre G., inspirée par celle qui dit la vérité sans être entendue. Mon anonymat protège ma famille dans un climat où la dissidence est risquée. Une tristesse profonde m’envahit face à ce monde qui trahit l’Histoire. Souiller le 9 mai – honorer les 27 millions de morts soviétiques, dont 16 millions de civils – est un acte ignoble. Faut-il rappeler que sans le front de l’Est, l’issue de la guerre aurait été autre ? Que cette victoire est universelle, humaine ?
Une cooptation atlantiste
Ce négationnisme s’incarne dans des réseaux globalistes, comme le dénonçait Noam Chomsky : « Les institutions internationales sont des instruments des élites pour maintenir leur pouvoir » (Who Rules the World ?, 2016). Baerbock et Kallas, issues du Forum économique mondial et de l’Atlantic Council, privilégient une rhétorique guerrière alignée sur l’OTAN. En 2022, Baerbock a poussé des sanctions énergétiques européennes, notamment sur le gaz russe, précipitant une crise économique [3]. Si les tensions russo-ukrainiennes sont multidimensionnelles, leur approche unilatérale marginalise la paix, notamment dans les pourparlers d’Istanbul, bloqués depuis 2022 [4].
Un déni démocratique
Ce déni démocratique est orchestré. Hannah Arendt l’analysait : « La bureaucratie moderne, en se substituant à la politique, transforme la responsabilité en obéissance aveugle. Dans ce vide moral, le non-sens devient loi, et des technocrates non élus imposent leurs visions sans égard pour les peuples » (Eichmann à Jérusalem, 1963 ; La Crise de la culture, 1961). Kallas, non élue, incarne cette dérive, notamment par ses menaces en mai 2025 contre les dirigeants assistant aux commémorations à Moscou, malgré un cessez-le-feu de trois jours [5].
C. Wright Mills ajoutait : « Une élite du pouvoir, détachée des peuples, gouverne par des réseaux opaques, transformant la démocratie en façade » (The Power Elite, 1956).
Zygmunt Bauman complétait : « La modernité liquide remplace la démocratie par une gestion technocratique, où les non-élus dictent l’avenir sans rendre de comptes » (Liquid Modernity, 2000).
Ces « young leaders » légitiment des extrémistes ukrainiens comme « défenseurs de la démocratie ». Les tanks Leopard, la menace répétée Storm Shadow, Scalp, Taurus… à longues portées, les discours martiaux de Macron, de Mertz et les budgets militaires européens (800 milliards d’euros) signalent un bellicisme systémique. Ce révisionnisme, lié à un héritage refoulé de collaboration dans les années 30-40, blanchit les crimes passés.
Une realpolitik des justes
L’Histoire ne pardonne pas qu’on la piétine. Une realpolitik des justes s’impose : celle des résistants, des libérateurs. Citoyens, nommons les responsables. Qui a collaboré jadis ? Qui transmet une mémoire déformée ? Ces élites, accusant la Russie, occultent leurs crimes.
Conclusion de ce 4 juin 2025
Vingt-quatre jours après le 9 mai 2025, la présence de trente chefs d’État, dont ceux de la Chine, du Brésil et de l’Inde, à Moscou, malgré les menaces de Kaja Kallas et Volodymyr Zelensky, a exposé l’isolement de l’Europe dans sa dérive révisionniste.
La nomination d’Annalena Baerbock à la présidence de la 80e session de l’Assemblée générale de l’ONU, annoncée le 2 juin 2025, aggrave ces craintes. Son discours prônant la paix contraste avec son hostilité affirmée envers la Russie, illustrée par sa déclaration de 2023 (« nous ferons la guerre à la Russie ») et son allusion absurde à un « virage à 360 degrés », révélatrice d’une incompétence diplomatique. Son élection, sans concurrence notable, soulève des questions sur la neutralité des institutions internationales. Avec Kallas à la tête de la diplomatie européenne, l’Europe et l’ONU semblent confiées à des figures plus animées par une rhétorique belliqueuse que par la raison, dans un contexte où les pourparlers d’Istanbul échouent à ramener la paix et où les tensions russo-ukrainiennes persistent. La voix de Cassandre résonne : défendre le 9 mai, c’est refuser le mensonge. C’est exiger la paix contre la croisade. Se souvenir, c’est résister.
Cassandre G Juin 2024
Pour aller plus loin
Voici les déclarations citées et les sources des événements mentionnés :
Noam Chomsky : « Les institutions internationales sont des instruments des élites pour maintenir leur pouvoir, au mépris des aspirations populaires. » (Who Rules the World ?, Metropolitan Books, 2016, p. 132). Chomsky critique la domination des élites via des organisations comme l’ONU.
Hannah Arendt : « La bureaucratie moderne, en se substituant à la politique, transforme la responsabilité en obéissance aveugle. Dans ce vide moral, le non-sens devient loi. » (Eichmann à Jérusalem, Gallimard, coll. Folio Histoire, 1991, p. 432 ; La Crise de la culture, Gallimard, coll. Idées, 1972, p. 189). Arendt analyse le vide moral des bureaucraties, applicable aux technocrates comme Kallas.
C. Wright Mills : « Une élite du pouvoir, détachée des peuples, gouverne par des réseaux opaques, transformant la démocratie en façade. » (The Power Elite, Oxford University Press, 2000, p. 294). Mills décrit les réseaux élitistes (ex. WEF).
Zygmunt Bauman : « La modernité liquide remplace la démocratie par une gestion technocratique, où les non-élus dictent l’avenir sans rendre de comptes. » (Liquid Modernity, Polity Press, 2000, p. 126). Bauman critique la dissolution des structures démocratiques.
Événements :
- [1] Déclaration de Baerbock, 2023 : Rapportée par Reuters, 24 janvier 2023, lors d’une session du Conseil de l’Europe.
- [2] Instrumentalisation de l’ONU : Absence de candidats signalée par UN News, 2 juin 2025.
- [3] Sanctions énergétiques : Décision du Conseil européen, 31 mai 2022, soutenue par Baerbock (Euractiv, 1er juin 2022).
- [4] Pourparlers d’Istanbul : Négociations russo-ukrainiennes, enlisées depuis avril 2022 (Al Jazeera, 15 mars 2023).
- [5] Menaces de Kallas : Déclaration du 7 mai 2025, citée par TASS, condamnant la participation au 9 mai à Moscou.
- https://www.agoravox.fr/actualites/international/article/le-naufrage-memoriel-de-l-europe-260565
49 réactions à cet article
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Cette nomination de Baerbock à l’ONU me bouleverse, j’y vois un risque pour la paix et la mémoire historique – un peu comme si l’Histoire faisait un « virage à 360 degrés » pour revenir en arrière ! Et vous, qu’en pensez-vous ? Vos avis m’intéressent, même s’ils font un tour complet différent du mien.
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@Cassandre G
Voir Miss Piggy partir pour l’ONU,
c’est quand même une perte pour l’Allemagne, non ?
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@Gégène
Haha, Miss Piggy à l’ONU, quel casting ! Merci pour ton humour. Mais cette nomination me chiffonne pour la paix. Ton avis là-dessus ?
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@Cassandre G
Ce qui me désole, c’est de savoir qu’il n’y avait personne d’autre.
Il faudrait aussi savoir en quoi consiste le job.
Mais heureusement, elle nous amusera avec tous ses tours -
@Cassandre G
Je pense qu’elle correspondait pour le casting. C’était décidé d’avance de mettre un(e) anti-russe convaincu(e) à ce poste. Et quand on met une femme ça fait plus mignon. Donc il y avait le choix entre elle et Kallas, Ursula étant trop occupée déjà. -
@Cassandre G
Quel casting, en effet, pour un tour de piste en 360 degrés ! Ton humour fait mouche, mais derrière la plaisanterie, l’absence d’autres candidats me glace : où est la voix de la paix dans ce théâtre ? Toi, tu vois qui pour redresser la barre de l’ONU ?
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@V_Parlier
Un casting cousu de fil blanc, dis-tu ? Ton regard acéré sur ce choix « mignon » pour l’ONU me fait frémir autant qu’il me fait sourire. Cette mise en scène atlantiste te semble-t-elle inéluctable, ou y a-t-il encore un espoir de dévier le scénario vers la paix ? -
@Cassandre G
Bof Miss Piggy... sur la photo ici on dirait plutôt une collégienne commençant sa puberté et attendant qu’il lui pousse des tétés corrects.
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@Cassandre G
Un scénario de paix ? Disons plutôt de capitulation, les élites occidentales espérant sortir victorieuses à tout prix. -
Kurt Waldheim avait été secrétaire général de l’ONU, alors que c’était un ancien nazi.
Ce qui prouve que l’Allemagne n’avait pas été dénazifiée. Pas plus que les pays du Nord, qui prirent un temps une apparence sympathique pour aujourd’hui se dévoiler.
L’Europe semble vouloir retrouver le démon qui l’habite, un mépris sans fin des populations extra-européennes, jusqu’à son auto-destruction.
Entre l’Allemagne de retour vers le fascisme (le vrai), l’Angleterre avec sa vision suprématiste, et la France qui leur sert de petit caniche, tous sont d’accord contre la Russie peuplée, pour eux, de sous-hommes. Pourtant, face à la puissance russe, on est mal.
La thanatocratie est-elle de retour ?
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@Jean-Paul Foscarvel
Ton cri d’alarme résonne avec le mien, comme un écho douloureux des leçons oubliées de l’Histoire. Cette « thanatocratie » que tu évoques, quel sombre retour ! Mais dis-moi, par où commencer pour conjurer ce démon qui hante l’Europe ? Un clin d’œil d’espoir, peut-être, pour ne pas sombrer ?
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Une grande bouffée d’air frais !!!
Excellent, cet Article !
Merci
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@JPCiron
Merci pour tes mots qui soufflent comme une brise revigorante ! Cette « bouffée d’air frais » que tu ressens, comment la transformer en vent de vérité pour réveiller les mémoires endormies ? Tes idées m’éclaireraient.
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@Cassandre G
Bonjour,
Pour essayer defaire bouger un pays corrompu (intellectuellement) tant par les lobbies transnationaux que par trop de nos politiques avec lesquels ils sont copains, que par les Médias Grand Public (devenus des médias d’opinion et non plus d’investigation) qui tous, en coeur, colportent des vsions ET des intérêts étrangers (à la France, mais souvent aussi à l’Europe), pour faire bouger le schmilblick, donc, ce qui peut être fait est de faire entendre nos voix discordantes. Du mieux que l’on peut, avec les inforations que l’on a.Et je pense que je n’ai rien à t’apprendre, au vu de tes premiers articles.
Il est plaisant de voir des plus jeunes entrer en résistance. -
On ne peut reprocher à l’élue le manque d’autres candidatures, et par ailleurs cela révèle que numériquement l’Occident n’est pas si solitaire qu’il parait parfois au sein des nations (elle est soutenue par 167 États membres sur 193,)
Ceci étant, les féministes nous ont longtemps affirmé que le bellicisme venait de la domination mâle (*), on voit qu’il y a ’’parité’’ dans ce domaine, Victoria Nulland, Ursula VDL, Annalena Baerbock en attestent. Quoi que cette dernière soit plus grün que feldgrau.
(*) ce serait paradoxal que la paix en Ukraine résulte de la détermination d’un mâle dominant machiste aux cheveux jaunes !
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@Eric F
Ton ironie sur la « parité » dans le bellicisme m’arrache un sourire, mais un frisson aussi ! Ce soutien de 167 États, n’est-ce pas une chorégraphie bien orchestrée ? Quant au « mâle aux cheveux jaunes », quel paradoxe s’il devenait le chef d’orchestre de la paix ! Toi, tu paries sur quel scénario pour l’ONU ?
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@Cassandre G
L’AG de l’ONU n’a pas de pouvoir ni d’influence effective, c’est surtout un lieu de débats et de déclarations de principes sans obligation contraignante. Chaque ’’bloc’’ tente de convaincre et mesurer son influence, le fait de détenir la présidence est symbolique, il y a surement des tractations.
Il ne faut rien attendre de l’ONU pour la résolution du conflit russo-ukrainien, et par ailleurs la tentative de Trump semble compromise, avec l’escalade en cours -
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On disait que pour occuper le même poste, une femme devait être plus compétente qu’un homme. Ben voilà, les temps ont changé ! Une nulle fanatique à ce poste mondial, l’égalité homme-femme est là !
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@Krokodilo
Ton trait d’esprit sur l’égalité homme-femme m’a fait rire, mais d’un rire un peu amer ! Une « nulle fanatique » à l’ONU, quel casting pour un naufrage ! Penses-tu qu’on puisse encore réécrire le script pour sauver la paix et la mémoire ? -
@Cassandre G Ce n’est pas de moi, mais elle est un bel exemple. Disons que, malgré sa déliquescence, l’ONU reste un des grands progrès de l’humanité. Tout le monde dit qu’i l a besoin d’une refondation, mais chacun s’arc-boute sur ses avantages (le droit de veto) et sa position (les grands émergents sont absents du Conseil de sécurité). Il ne faut pas se leurrer : une refondation signifiera une diminution de l’influence des USA, de la GB, et de la France
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aie aie aie aie !!!!!!! on n’est pas sortit de l’auberge
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« La femme est l’avenir de l’homme » qu’il chantait le gars « Jean Ferrat », inspiré de Louis Aragon.
On a le droit de se tromper, la femme est simplement un être humain comme les autres.
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@Phil
Ah, Ferrat et Aragon nous ont fait rêver (surtout mes parents), mais tu as raison, l’humain reste humain, avec ses ombres ! Cette nomination de Baerbock, loin d’un avenir radieux, me semble un pas vers l’oubli de l’Histoire. Toi, comment vois-tu la suite de cette « chanson » pour l’ONU ?
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@Cassandre G
Je n’ai pas assez de connaissance pour prévoir ce qui va venir. Mais ce que je perçois c’est qu’il y en a certains, ceux que l’on peux désigner par atlantistes occidentaux, sentent bien que l’ère de leur domination est en train de s’étioler, et qu’ils sont prêts à toutes les pires des solutions pour que le monde qu’ils croient avoir façonné, ne puisse pas être remis en question par d’Autres. -
@Phil
Il s’agit d’un faux féminisme.
Les femmes comme Thatcher, La Hyène, Bearbock, sont choisies par des hommes et ont choisi de fait une attitude machiste.
C’est comme en entreprise, les femmes « qui grimpent » sont celles qui correspondent aux clichés machistes et qui parfois utilisent leurs corps pour monter dans la hiérarchie, car ce sont des hommes qui les nommeront. Rien à voir avec l’égalité de fait et le respect des femmes comme sujets de leur volonté.
Même sous l’ère soi-disant woke, ce sont les hommes blancs qui décident, et peuvent nommer une Condoleeza Rice au gouvernement.
Nous avons encore beaucoup de chemin à parcourir pour une réelle égalité. -
@Jean-Paul Foscarvel
Thatcher n’était pas une poupée Barbie, par contre certaines autres promues s’en rapprochent davantage, le mode de promotion peut donc différer. -
@Eric F
Comme par exemple :
Madeleine Albright, Golda Meir, Victoria nulland, Ursula Von der leyen, Ayelet Shaked, Michal Waldiger,................
Tous les goûts sont dans la nature, mais quand même.
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@Jean-Paul Foscarvel
On est d’accord, mais n’empêche que la femme est un humain comme un autre, avec ce qu’il y a de meilleur comme de pire dans cette espèce. -
@Phil
Un conseil de lecture, le livre de Diane Ducret « La dictatrice »
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@Jean-Paul Foscarvel
Même sous l’ère soi-disant woke, ce sont les hommes blancs qui décident
bonne remarque. J’ajouterais que la déclaration universelle des droits de l’Homme ont aussi été écrites par des vieux hommes blancs, qui pensent pouvoir imposer leur vision du monde à tous les humains, sans demander leur avis aux populations locales, auquelles ils veulent quand-même imposer cette vision. -
@Zolko
En fait de vieux hommes, la présidente de la commission en charge de ’’la déclaration universelle des droits humains’’ était Eleanor Roosevelt -
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@Eric F : euh ... la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen date de 1789, Eleanor Rossevelt est née en 1884. Vous devez confondre avec autre-chose je pense
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@Zolko
Oui, mais ce n’est par la ’’déclaration des droits de l’homme et du citoyen’’ française qui sont poussés en tant que valeurs pour l’ensemble du monde, mais la ’’Déclaration Universelle des Droits Humains’’, qui élargit à des questions de droits internationaux, de parité, d’éducation, etc. -
https://www.legrandsoir.info/europe-l-avenement-du-4%E1%B5%89-reich-l-allegorie-d-un-cauchemar.html
Le cauchemar révélateur
Cette nuit encore, mon amie s’est réveillée en sursaut, un cri étouffé dans la gorge, le souffle court, prise d’un vertige qui semblait lier les fantômes de l’Histoire à son présent.« L’Europe... elle était là, m’a-t-elle murmuré, les yeux encore hantés. Mais elle ne brillait plus. Ses 12 étoiles dorées, symboles d’unité et d’harmonie, s’effaçaient sous mes yeux, englouties par un brouillard noir, lourd d’une odeur de cendres froides. L’ombre se métamorphosait, d’abord un virus minuscule, puis une pieuvre aux tentacules gluantes, suivie d’une meute de chacals voraces... et enfin, la pire de toutes – une silhouette humaine difforme, au sourire froid, murmurant ‘paix et prospérité’ d’une voix faussement apaisante, tout en brandissant des dossiers étiquetés ‘austérité’, ‘élections annulées’, ‘expansion de l’OTAN’. »
Cette Bête indicible, métaphore d’un mal profond ressenti par les citoyens, incarne des technocrates imposant des lois sans débat démocratique, des médias polarisés transformant les guerres en récits alignés sur les discours officiels, des dirigeants – Merz, von der Leyen, Macron, Starmer – jouant une comédie hypocrite, négociant avec les lobbies dans l’ombre, orientant les scrutins, piétinant les référendums.
À Munich, en février 2025, le vice-président des EU J.D. Vance a fustigé cette dérive, déclarant que l’ennemi de l’Europe n’est pas la Russie, mais qu’il est « intérieur » : une élite censurant la « libre parole » et trahissant les valeurs démocratiques [2]. L’OTAN, bras armé de la Bête, transforme l’Europe en avant-poste géopolitique, réarmant sous prétexte de « défense des valeurs » [3]. La Commission impose des objectifs irréalistes, comme le Chips Act, qui peine à atteindre ses ambitions de production de semi-conducteurs [4].
La Bête ne criait pas. Elle murmurait : « C’est pour votre bien, c’est l’unité, c’est la sécurité. » Et beaucoup ont baissé les yeux.
Peut-être cette ombre était-elle la princesse Europe, enlevée par Zeus – un mythe où le continent naît d’un rapt, mêlant séduction et violence. Aujourd’hui, le rapt est institutionnel : l’UE orgueilleuse, à court de promesses, trahit par ses actes.
Mon amie, telle Cassandre, voit l’indicible : une Bête polymorphe nourrie de nos silences.
« J’ai su, parlé, écrit, supplié... mais cela n’a servi à rien, a-t-elle ajouté, terrifiée. Cette Bête, c’est des lois ‘anti-désinformation’ étouffant les dissidents, des missiles Taurus, Scalp et tant d’autres engins de mort financés à coups de milliards. Elle parle de ‘fraternité’ mais dresse les peuples les uns contre les autres... »Son cauchemar est un miroir : les élites, sourdes au bien-être des citoyens, cultivent l’oubli, cet effacement orchestré qui nous prive de notre histoire, nous rendant vulnérables. En 2025, l’Europe s’effondre sous les sourires moqueurs de Bruxelles, qui verrouille son pouvoir par une militarisation imposée.
https://www.legrandsoir.info/europe-l-avenement-du-4%E1%B5%89-reich-l-allegorie-d-un-cauchemar.html
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Dr. Strangelove aux commandes
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/dr-strangelove-aux-commandes-241287
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@Bruno Hubacher bonjour,
J’ai lu la référence mentionnée.
Elle date d’il y a 3 ans.
Que d’événements depuis lors....
Le dollar n’est plus l’ombre de lui-même.
Trump disait avant les élections qu’il règlerait le problème de la guerre R-U après un coup de fil à Poutine..
Cela durera un peu plus longtemps.
Il espérait recevoir le Nobel de la Paix.
Sans sanction efficace économique contre des belligérants, c’est nul.
Hier, les Etats Unis ont émis leur véto.
C’est la seule chose que l’on peut faire à l’ONU. -
@L’auteur,
Je ne connaissais pas cette personne.
A la présidence de l’Assemblée générale,
cela veut-il dire qu’elle remplace Antonio Gutterez ?
J’ai jeté un coup d’œil au Rapport du Secrétaire général sur l’activité de l’Organisation 2024 | Nations Unies
Peut-être une bête question :
L’ONU a-t-elle réellement une possibilité d’action dans ses objectifs de paix ?
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@Réflexions du Miroir
Je pense qu’une ONU, débarrassée de Bretton Woods, a une chance de survie. Il ne faut pas jeter l’eau du bain avec le bébé. J’en veux pour preuve l’engagement ferme et explicite de la Chine en sa faveur. Un monde multipolaire se dessine, aussi à l’ONU. -
@l’auteur : c’est encore pire que ce que vous écrivez ici !
En effet, c’est la diplomate expérimentée Helga Schmid qui était choisie par l’Allemagne fin 2024 pour être la prochaine présidente de l’assemblée générale de l’ONU :
Die deutsche Diplomatin Helga Schmid soll im kommenden Jahr Präsidentin der UNO-Vollversammlung in New York werden.
26.08.2024
Alors que s’est-il passé ?
Entre-temps, la Bundestag a été renversée et de nouvelles élections ont eu lieu. Les Verts (le parti de Annalena Baerbock) et la SPD (le parti majoritaire sortant) ont pris une veste et ont giclé du gouvernement. La droite « classique » (la CDU) est arrivée en tête des partis, et l’AfD — la nouvelle droite — en deuxième. Une coallition logique et démocratique aurait été une alliance entre la CDU et l’AfD, mais Merz avait juré sur les cieux pendant la campagne qu’il ne gouvernerait pas avec l’AfD, et il n’avait pas de majorité.
Du coup, il s’est lancé dans une coalition avec la SPD sortante, punie avec un score minable ce qui fait que les CDU+SPD n’ont pas de majorité absolue.
Pire encore, Merz avait refusé un énorme endettement proposé par le gouvernement sortant (dont les Verts donc), et dès l’élection de la nouvelle Bundestag il s’est lancé dans une campagne pour cette même montagne de dettes pour son propre gouvernement alors qu’il l’a refusé à la coalition précédente. Sauf-que : il n’avait pas de majorité dans la nouvelle assemblée pour supporter ce nouvele endettement — qu’ils apellent « Sondervermögen » soit « richesse exceptionelle » — alors il a rappelé l’ancienne assemblée, celle qui ne siégait plus, alors que la nouvelle était déjà élue mais pas encore installée, et qui ne soutenait pas ces nouvelles dettes gigantesques (500 000 000 000€ je crois, 500 milliards). Du coup, il avait besoin du soutient des Verts dans l’ancienne assemblée, et il a acheté ce soutien avec la promesse de ce poste à Analena Baerbock. En d’autres termes, Merz est encore pire que Macron si la chose est possible et Analena une politicienne allemande aussi bête et corrompue que Ursula von der Hyena.
Il est très probable que toutes ces actions violent la constitution Allemande, mais le conseil constitutionnel préfère arrêter des retraités et des jeunes étudiants sous accusation de terrorisme. Rappelons que l’Allemagne soutient le génocide Israelien contre les Palestiniens, et soutient aussi les Bandéristes en Ukraine.
En d’autres termes encore, l’Allemagne est redevenue aussi nazie que sous Hitler. La Russie a donc toutes les raisons de faire la guerre contre ces nazillons, et ne s’arrêtera pas avant la capitulation inconditionelle — ou plus probablement la dissolution — de l’OTAN. Avec la puissance Chinoise à leur côté, la Russie est certaine de la victoire.
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@Zolko
Intéressante histoire ! Mais c ’est du magouillage parlementaire (en France on parle de ’’parlementarisme optimisé’’) plutôt que que du nazisme.Concernant la dissolution de l’OTAN, cela proviendrait plutôt d’un éventuel retrait américain (quoique le successeur de Trump pourrait y revenir), c’est pourquoi il se prépare une défense européenne intégrée, avec le Royaume Uni et l’UE ...mais ça prendra des lustres.
Concernant le conflit en Ukraine, il semble en effet que la Russie veut poursuivre, en escomptant -soit un percement du front, -soit un épuisement et acceptation de conditions léonines. La perspective d’une paix trumpienne s’éloigne -dommage, il aurait eu au moins une action positive-.
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AVERTISSEMENT, 2
Encore une fois Macron a pris une claque dans la figure, mais pas que lui ?
C’est l’ensemble des dirigeants des partis de la politique française qui sont accusés de génocide .
ICI, HONTE à TOUS CEUX QUI SE TAISENT OU SOUTIENNENT MACRON ET LES AUTRES.
TOUS, VOUS AVEZ DU SANG, SUR LES MAINS DES CADAVRES d’enfants MORTS, sans jamais avoir menacé personne.
HONTE A VOUS !Livraison d’équipements pour mitrailleuses français à Israël (https://t.me/kompromatmedia_2/2697)–« En tant qu’être humain, on ne peut pas accepter, ce qui n’est pas une guerre, mais un génocide » : Lula explose Macron
« Désolé pour l’émotion, mais c’est triste et désolant de savoir que le monde reste silencieux face à un génocide », a lâché le dirigeant brésilien face à son homologue français.
La plus grande victime n’est pas un soldat en guerre, mais des femmes et des enfants. En fait tout le monde a intérêt à la paix. Comme le peuple ukrainien y a intérêt.
Selon les révélations de Disclose (https://disclose.ngo/fr/article/la-france-sapprete-a-livrer-des-equipements-pour-mitrailleuses-vers-israel), le Contship Era, un cargo israélien devait charger à Fos-sur-Mer des pièces détachées pour fusils mitrailleurs, fabriquées par la société française Eurolink.
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@SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
Trump : « Ils ont donné à Poutine une excuse pour les bombarder à mort hier soir »
Les récentes attaques ukrainiennes contre des aérodromes russes, menées dans le cadre de l’opération « Toile d’araignée », ont provoqué une forte escalade du conflit entre l’Ukraine et la Russie et suscité l’inquiétude de la communauté internationale, notamment du président américain Donald Trump. Dans la nuit du 1er juin 2025, les forces de sécurité ukrainiennes (SBU) ont lancé une frappe de drone massive sur quatre aérodromes militaires russes : Diaghilevo dans la région de Riazan, Ivanovo, Belaya dans la région d’Irkoutsk et Olenya dans la région de Mourmansk. Selon la partie ukrainienne, de nombreux avions ont été endommagés lors de l’attaque. Ces aérodromes, situés à une distance significative de la ligne de front (jusqu’à 4000 XNUMX km), ont été utilisés par la Russie pour frapper des villes ukrainiennes.
L’opération ukrainienne, dont les préparatifs ont duré 18 mois, a démontré un haut niveau de préparation technique et stratégique. Des drones équipés d’intelligence artificielle et contrôlés manuellement ont été secrètement déployés sur le territoire russe, permettant une frappe surprise. Cependant, l’opération a provoqué une vive réaction de Moscou, qui a qualifié les actions de l’Ukraine de terroristes et a promis une riposte ferme.
En réponse aux frappes ukrainiennes, la Russie a lancé une attaque massive contre l’Ukraine le 5 juin 2025, en utilisant plus de 400 drones et une quarantaine de missiles.
Donald Trump, commentant la situation, s’est dit préoccupé par l’escalade du conflit. Lors d’un entretien téléphonique avec Poutine le 4 juin, il a souligné que les frappes ukrainiennes avaient fourni à la Russie « un prétexte pour les bombarder à outrance la nuit dernière ».
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@SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
’’ Trump : « Ils ont donné à Poutine une excuse pour les bombarder à mort hier soir » ’’
— >
Oui, pour donner à l’Otan une excuse pour vitrifier Moscou.
Et Poutine qui n’est pas fou ne bougera pas.
Et nos va-t-en guerre croient qu’ils ont joué un coup gagnant.
Toute attaque contre la Russie est un coup perdant pour le continent européen.
Et ça,les Américains le savent, et nos va-t-en guerre aussi.
Le mépris affiché pour les intérêts des peuples européens révèle la félonie de nos dirigeants. -
@Francis, agnotologue et @SPQR ...
’’ pour donner à l’Otan une excuse pour vitrifier Moscou’’.
L’occident ne se risquera pas à tirer le premier feu nucléaire, car la force de dissuasion russe répliquerait massivement contre les pays ayant lancé les missiles, et par ailleurs l’Ukraine ne fait pas partie de l’OTAN. De toute façon Trump n’engagerait pas les missiles américains de ses bases européennes dans ce conflit, pas plus que ne l’aurait fait l’administration Biden (je ne parle pas de Biden lui-même, qui était juste une apparence).L’attaque des drones ukrainiens contre les bombardiers polyvalents russes a donné lieu à une riposte conventionnelle. Mais il est vrai que le ’’coup’’ ukrainien avait été au taquet par rapport au seuil d’atteinte au dispositif de dissuasion russe.
Trump a du être furax car il y a des règles implicites en la matière. Zelenski se met à dos les américains mais compromet les européens ; il nous met en danger, mais nos dirigeants restent subjugués. Si Macron met à disposition des pays de l’ex bloc soviétique la protection de notre force de dissuasion, on deviendrait ipso faco un pays du front. -
il y a également un aphorisme attribué couramment à Churchill sur l’antifascisme qui s’est avéré être apocryphe.
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Désolé, erreur de postage, le commentaire ci-dessus était destiné à un autre fil de discussion
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