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Les commentaires de tmd



  • tmd 1er mars 2011 12:18

    Et où croyez-vous qu’il est concentré en masse l’argent ? Chez les banquiers ? Non, ils se refilent des bonus, mais au final nos banques sont bien mal en point. Chez les riches ? Il y en a. Mais sincèrement, ils en donnent déjà beaucoup. Ce serait contre productif de chercher à leur en prendre plus. Non, là où il y en a le plus, c’est dans l’État ! C’est pour cela que nos hommes politiques se battent pour être élus, à droite comme à gauche.

    Et comme je l’ai déjà écrit ici plusieurs fois, en quelques années Sarkozy, la part de l’État dans l’économie a encore augmentée. L’État gère de plus en plus de choses. Nous nous rapprochons encore et toujours du socialisme.

    Il n’est plus possible de voter à droite en France. (Si par à droite vous voulez dire libéral, qui voudrait diminuer la part de l’État.)



  • tmd 25 février 2011 13:02

    De Villepin est encore plus socialiste que Sarkozy qui n’a fait qu’accroître la part de l’État dans l’économie de pays. D’ailleurs tous les partis politiques en France sont socialistes, y compris maintenant le FN : le discours d’investiture de Marine n’avait économiquement rien à envier à Mélanchon.

    Ce pays est foutu.



  • tmd 8 février 2011 10:49

    Le tout premier populisme, c’est le socialisme. Cette doctrine qui fait croire à tous qu’il suffira de prendre l’argent aux riches pour que tout le monde mange gratis ...



  • tmd 21 janvier 2011 15:23

    Les USA une dictature ! C’est une blague !

    Pour vous, la Corée du Nord, le Vénézuela, la Birmanie, le Soudan sont des havres de paix démocratiques, c’est ça ?



  • tmd 21 janvier 2011 15:16

    Encore et toujours cette loi de 1973. Pourquoi considérer que l’État aurait plus le droit que nous citoyens d’emprunter de l’argent gratuitement ? Pourquoi l’État aurait-il le droit de créer autant d’argent qu’il veut ? Ce serait malheureusement le rêve de tous les politiciens qui pourraient ainsi financer n’importe quoi pour être élu. Ce serait la distribution gratuite d’argent à tout un tas de groupes d’intérêts différents, chacun espérant être dans le bon groupe, ou réclamant pour le(s) sien.

    Imaginez-vous qu’un jour, tous les citoyens en France gagnent au loto simultanément. Chaque personne reçoit disons 1 million d’euros. Que se passerait-il ? Est-ce que votre boulanger continuerait à faire du pain ? Bien sûr que non, il n’aurait plus besoin de travailler pour vivre. Malheureusement pour lui, tout le monde ferait pareil, et il se rendrait vite compte que tout cet argent ne lui servirait à rien, puisque plus personne ne voudrait de cet argent qui ne vaut donc plus rien. Alors le boulanger recommencerait à fabriquer du pain. Il vendrait ses baguettes pour, disons 50 000 euros, histoire que cela représente une certaine valeur. Et l’économie, c’est à dire les échanges entre les individus recommenceraient, comme avant, personne ne serait plus riche, ni plus paure qu’avant. Seuls les prix auraient cinq zéros de plus. Comme .



  • tmd 20 janvier 2011 09:44

    La parité entière entre le Mark et l’Euro, c’est complètement faux : 1 euro = 1,95583 mark.

    L’Allemagne profite de l’euro faible, c’est tout à fait vrai. Par contre, elle ne s’est pas enrichie. Ses surplus de devises et d’euros qui sont arrivés dans le coffres de la Buba ont été transférés aux banques centrales des autres pays, les PIIGS notamment et la France. Ces pays auraient été en cessation de payement vis à vis de l’étranger depuis bien longtemps si la Buba, n’avait pas compensé leurs besoins.

    On peut estimer grosso modo que depuis l’euro en 1999, les allemands ont travaillé (produit de la richesse) pendant 1 an pour les autres pays de l’euro, sans en profiter eux-même donc. Vont-ils continuer ?

    Quant-au crédit public sans intérêt, il a pour conséquence l’inflation. Et si on laisse faire les politiques, cela finit toujours comme ça.



  • tmd 20 janvier 2011 09:33

    Tout à fait d’accord. L’État n’aurait pas dû intervenir dans le sauvetage des banques privées (et il ne devrait pas y avoir de banques publiques). C’est bien dommage car ces prêts aux banques privées ont pour une fois été un bon investissement pour l’État : il sont déjà remboursés, et avec des intérêts !

    Par contre, la défense du territoire est une des fonctions régaliennes de l’État. Pour la guerre en Afghanistan, cela peut se discuter ... vu que c’est loin et que la menace sur le pays France n’est pas très directe.

    Enfin, encore et toujours ce 1973. Pourquoi considérer que l’État aurait plus le droit que nous citoyens d’emprunter de l’argent gratuitement ? Pourquoi l’État aurait-il le droit de créer autant d’argent qu’il veut ? Ce serait malheureusement le rêve de tous les politiciens qui pourraient ainsi financer n’importe quoi pour être élu. Ce serait la distribution gratuite d’argent à tout un tas de groupes d’intérêts différents, chacun espérant être dans le bon groupe, ou réclamant pour le(s) sien.

    Imaginez-vous que un jour, tous les citoyens en France gagnent au loto simultanément. Chaque personne reçoit disons 1 million d’euros. Que se passerait-il ? Est-ce que votre boulanger continuerait à faire du pain ? Bien sûr que non, il n’aurait plus besoin de travailler pour vivre. Malheureusement pour lui, tout le monde ferait pareil, et il se rendrait vite compte que tout cet argent ne lui servirait à rien, puisque plus personne ne voudrait de cet argent qui ne vaut donc plus rien. Alors le boulanger recommencerait à fabriquer du pain. Il vendrait ses baguettes pour, disons 50 000 euros, histoire que cela représente une certaine valeur. Et l’économie, c’est à dire les échanges entre les individus recommenceraient, comme avant, personne ne serait plus riche, ni plus paure qu’avant. Seuls les prix auraient cinq zéros de plus.



  • tmd 19 janvier 2011 13:57

    Les déficits de l’État sont dûs en premier lieu à des dépenses inconsidérées, dans de nombreux domaines dans lequel l’État ne devrait pas intervenir.



  • tmd 19 janvier 2011 13:51

    Pour la coordination des politiques macro économiques, cela existait. Ce s’appelait le pacte de stabilité, vous savez, les 3% de déficit maximum, et 60% de dette maximum. Il suffisait de l’appliquer au lieu de laisser les États le brûler les uns après las autres.

    Les déséquilibres de paiements sont déjà largement compensés. L’Allemagne finance les autres pays depuis des années. Depuis l’introduction de l’euro en 1999 en fait. Le problème se pose depuis 2009 car l’Allemagne n’arrive plus à compenser toute seule face au nombre croissant de pays qui laissent aller leurs déficits.

    La crise de l’Euro amènera à son éclatement, c’est la seule chose qui soit sûre. Reste à savoir quand. Un signe précurseur peut-être. Angela Merkel a « exclu catégoriquement une réintroduction du Mark en Allemagne » ...



  • tmd 13 janvier 2011 11:45

    Vous avez n’avez pas dû lire les passages de l’article Wikipedia qui disent exactement la même chose que moi ! Je cite : "Le modèle économique de développement suédois, reposant sur la social-démocratie, après avoir assuré une forte croissance, affronte ses premières difficultés dans les années 1990. C’est l’époque où le pays entreprend de grandes réformes, pour alléger une fiscalité parmi les plus lourdes du monde et rendre plus flexible son marché du travail. Les années 1990 voient aussi la réforme du système de retraite." (qui est maintenant en partie par capitalisation !)

    Maintenant, concernant vos attaques personnelles, j’y répondrai simplement en disant que j’aime Wikipedia parce que c’est libre. J’aime Linux parce que c’est libre. Le libéralisme n’est pas une valeur de droite comme vous le pensez. Le libéralisme cherche à laisser la liberté,le choix et le pouvoir dans les individus, plutôt que de donner sa liberté à un État que certains croient tout puissant et qui dérive malheureusement toujours vers le totalitarisme.



  • tmd 12 janvier 2011 15:32

    La Suède se classe si bien car elle a su au début des années 1990 limiter son État providence. La pilule a été amère à l’époque, mais ce dégraissage de l’État a permis à l’état suédois de se concentrer sur des missions plus réduites. La part de l’État dans l’économie a été réduite. La Suède en gagne aujourd’hui le retour sur ce passage difficile : elle est bel et bien sortie de la crise, alors que la l’État français creuse ses pertes en accroissant encore année après année la part de l’État dans l’economie.



  • tmd 12 janvier 2011 15:21

    Quelques remarques :

    37100-36073=1027 ; 1027/36073=0,028 ; La population de SDF de l’État de NY a donc augmenté de 1,4% par an. Et la population totale ? Elle a certainement augmenté plus que cela, donc le nombre relatif de SDF a diminué ! Belle démonstration.

    Plutôt que la chute de l’empire américain, qui se remet très bien de la crise, et dont l’économie est rétablie sur de bons fondamentaux, c’est à la chute de l’Europe, et de sa social-démocratie que nous allons assister.



  • tmd 11 janvier 2011 13:17

    @oeuf : Les fonctionnaires sont virés un à un dites vous. Pourquoi alors le nombre de fonctionnaires ne cesse d’augmenter ? Regardez les chiffres !

    @TSS : Les agences sont payées par celui qui émet la dette. C’est là le problème. Le client des agences, c’est celui qui demande conseil à une agence pour savoir si une dette est sûre ou risquée. C’est le client qui devrait payer, pas celui qui émet la dette.

    De plus, ces agences disposent d’un monopole, accordé par l’État. S’il y avait un peu plus de concurrence entre agences, les notes seraient moins trafiquées. (Il est plus facile de corrompre 3 agences que 15 !)

    Enfin, c’est l’État lui-même qui fixe des règles prudencielles en obligeant les gérants à avoir tel pourcentage d’investissements avec telle note. Bref l’État intervient à tous les niveaux, et ne règle pas le problème.

    @gimo : Quant-à cette fameuse loi de 1973, c’est celle qui nous sauve et nous sauvera de la cupidité des hommes politiques de tout bord. Sans cette loi qui donne un coût à l’argent que l’État peut emprunter, les politiques ne se gêneraient pas pour créer et nous distribuer autant d’argent que nous le demandons ! En effet, les électeurs réclameraient plus d’argent, et les politiciens pourraient facilement le leur donner. Plus de problèmes d’argent pour personne donc ! Sauf que ça se termine toujours comme ça (Zimbabwe 2008).



  • tmd 10 janvier 2011 12:34

    Il n’y aura pas d’élections présidentielles en France en 2012, car en 2011, l’État français n’arrivera plus à financer son déficit chronique, qui dure depuis plus de 30 ans sans interruption !. L’État français va perdre officiellement son AAA (qu’il ne mérite déjà plus) et va devoir se déclarer en faillite (pas officiellement, bien sûr, elle va « restructurer sa dette », mais c’est pareil. Dans les faits, elle n’aura plus d’argent. Plus rien pour payer les fonctionnaires, médecins, instituteurs, mais aussi et surtout les policiers, les gendarmes, l’armée ... Et dans la situation de guerre civile qui va s’installer, comment pourra-t-on organiser des élections.



  • tmd 10 janvier 2011 12:25

    "Quand des proportions importantes (70 %, dit-on, en France) de l’opinion déclare qu’elle n’a plus confiance dans les politiciens et qu’elle considère le capitalisme comme inhumain et néfaste pour le genre humain, il y a péril en la demeure car ces données indiquent un rehaussement du niveau de conscience politique."

    L’opinion déclare qu’elle n’a plus confiance dans les politiciens et elle a bien raison. Leur seul but est une série de mesures clientellistes pour s’assurer leur réélection.

    Par contre, là où l’opinion se trompe, c’est sur le capitalisme. Car en effet, non seulement l’histoire le prouve, mais l’actualité le montre aussi très clairement : c’est le capitalisme et le libéralisme qui haussent le niveau de vie de millions, voire de milliards de personnes. En Chine, en Inde et dans toute l’Asie, le libéralisme donne la possibilité à tous d’accéder à une vie de plus en plus proche de notre vie d’occidentaux. Et au contraire, là où le socialisme et le communisme s’imposent, le niveau de vie de la population reste très bas, sous un régime (forcément) dictatorial. Là ou le socialisme revient en force, comme a Vénézuela, avec des nationalisations à tout va (prétendument pour le bien du peuple, évidemment) le niveau de vie finit par régresser fortement (indisponibilité de l’électricité et maintenant des denrées alimentaires).

    Et ce sont des faits, pas des discours ou des théories.



  • tmd 3 janvier 2011 11:37

    "La protection par le droit d’auteur et les droits voisins est essentielle pour favoriser la créativité individuelle, pour le développement des industries culturelles et pour la promotion de la diversité culturelle.« 

    Ceci n’a jamais été prouvé !

    Je peux écrire l’exact inverse de ce que vous écrivez.

     »La protection par le droit d’auteur et les droits voisins est néfaste et ne favorise pas la créativité individuelle. Elle nuit au développement des industries culturelles et à la promotion de la diversité culturelle."



  • tmd 6 décembre 2010 23:40

    @ latitude zéro

    Concernant les pays du BRIC, je rigole bien quand les syndicats français luttent contre les délocalisations. Dans les faits, ils luttent effectivement contre les travailleurs chinois ! Alors SVP ne me servez pas ces arguments de vouloir aider ces pays. Un peu de cohérence.

    Aussi à propos de l’Amérique du Sud, et de son socialisme que vous vénérez et aimeriez voir appliqué en France, renseignez-vous sur le Vénézuela. Vous savez ce pays, riche en pétrole, mais dirigé par Chavez. Après bientôt dix années de socialisme, avec des nationalisations à tout va, avec pourtant des discours d’une bonne foi inégalable, et des arguments très sociaux, justes et égalitaristes, on commence à percevoir le résultat : coupures d’électricité quotidiennes, magasins d’alimentation en rupture de tout, niveau de vie en baisse, importation de médecins de Cuba (qui ne pensent qu’à fuir d’ailleurs, vous vous demandez pourquoi ?).

    La simple rançon du socialisme qui ne peut pas finir autrement qu’en totalitarisme qui asservit son peuple réduit préalablement à la misère.



  • tmd 6 décembre 2010 23:26

    Vous parlez de ce gouvernement non-élu composé de chrétiens et de communistes qui a instauré notre chère Sécurité-Sociale-que-le-monde-entier-nous-envie.



  • tmd 6 décembre 2010 14:25

    L’État fort, très fort, existe. Il est présent en Corée du Nord, à Cuba, et dans de nombreux pays d’Afrique, en Russie ... Malheureusement, et c’est toujours le cas, un État très fort dérive contre le bien être de ses habitants. Je ne souhaite pas que la France ressemble à un de ces pays.

    Et à mon grand regret, il n’y a aujourd’hui en France, aucune alternative à la gauche socialo-communiste qui mène au désastre, et à la droite du clientèlisme-conservateur actuel qui mène au même désastre.



  • tmd 6 décembre 2010 14:17

    Le rapport est dans la première phrase de mon commentaire qui est issue directement de votre article.

    De plus, ne faites pas mine de ne pas comprendre le rapport. Votre article condamne de début à la fin l’euro qui gène l’État, qui coûte cher à l’État, qui empêche l’État de faire ce qu’il veut, qui menace l’État, et qui risque de tuer l’État.

    C’est le bien être des gens qui m’intéresse, pas celui de l’État.