• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Martin Lucas



  • Martin Lucas Martin Lucas 4 mars 2008 11:46

    Allègre est un stupide agitateur, tant mieux s’il rentre dans le gouvernement Sarkozy (j’ai pas dit Fillon ?), au moins il partira à la poubelle lors du prochain nettoyage, et sera, comme tous ses ministres, inrecyclable.

    C’est dommage quand même cette descente au caniveau en politique nationale. Heureusement, localement, les politiques font un peu mieux leur boulot.



  • Martin Lucas Martin Lucas 3 mars 2008 20:33

    J’ai une grande confiance dans les jugements de LERMA. Je voterai donc Obama ! Mais que suis-je bête, je suis Français, je ne peux pas voter aux EU !



  • Martin Lucas Martin Lucas 3 mars 2008 13:43

    Les commentaires font pitié.

    Ils suintent la haine de soi, la misogynie, le malaise, dès qu’on parle de sexe ou de porno (un média qui brasse pourtant des sommes colossales, et totalise 50% des recherches internet).

    Lerma est toujours aussi limité, pour lui la vulgarité est question de sujet. Selon moi elle est fonction du traitement d’un sujet, quel qu’il soit.

    Merci Arno tout de même !



  • Martin Lucas Martin Lucas 3 mars 2008 13:07

    Manuel Vals n’est pas tout seul dans l’affaire.

    Pour avoir travaillé pendant 1 ans et demi sur la restructuration du quartier des Passages (près de la gare RER), en tant qu’architecte, je peux dire que c’est toute une administration (Communauté d’agglomération, entre autres), qui reste aveugle au patrimoine des années 70, présent dans la ville d’Evry, et sourde aux revendications des associations et des habitants.

    Elle est en train de massacrer ce qui pourrait avoir un intérêt touristique dans les 20 années à venir.

    Tenez bon !



  • Martin Lucas Martin Lucas 27 février 2008 14:33

    Si la première tranche de Paris Rive Gauche m’avait beaucoup déçu, je trouve par contre les constructions plus récentes, du côté de la nouvelle fac, très réussies, et je ne suis pas le seul. Beaucoup de mes amis, même s’ils n’ont pas fait d’études d’architecture, apprécient la construction moderne, quand elle fait preuve d’inventivité et de poésie.

    Par contre, comment peut-on parler d’authenticité concernant le Plessis-Robinson ? Tout n’est que faux comble brisé, fausses fenêtres à petit bois, faux pan de bois, façade en béton. Qui plus est, comment concilier les normes actuelles (largeurs de portes entre autres) avec les proportions d’autrefois ? Tout ce faux s’effritera un jour, retirant à ses habitants le sens de leur propre existence.

    Contrairement à ce qu’on raconte ici ou là, la nouvelle architecture, quand elle est de qualité, n’est pas monotone, ne dit pas adieu à la rue, ne fait pas dans l’esbrouffe facile.

    Alors qu’elles glorifient nos petits villages et nos vieilles villes, les mêmes personnes trouvent tout à fait normal de détruire un immeuble de l’intérieur, confiscant à jamais un escalier comme on ne sait plus en faire, détruisant des espaces et des décors d’époque. Mais on s’en fout n’est-ce pas ? Ce qui compte, c’est la façade, même si elle ne correspond plus à rien !

    De même elles se permettent de confisquer le pittoresque de demain en démolissant ce qui fait l’attrait de quartiers des années 60-70 (Evry-Courcouronnes, Saint-denis, Beaugrenelle, en sont de bons exemples) : Passerelles, passages, béton brut patiné comme de la pierre. Allez hop ! un coup de bulldozer ! Un coup de peinture !

    Pourquoi comparer ce qui n’est pas comparable ? Croyez vous qu’à l’époque où ces faubourgs qui vous plaisent tant furent construits, on était soucieux de leur pittoresque ? Laissons les constructions modernes devenir le pittoresque de demain, à leur rythme.

    Je suis assez outré de voir des architectes reconduire des préjugés, par peur de faire leur métier :

    Sublimer les attentes de son client ou du futur utilisateur, et pas seulement répondre littéralement à une demande vite périmée.



  • Martin Lucas Martin Lucas 27 février 2008 13:53

    Ils sont marrants les pauvres.

    Ils vont toujours se plaindre de n’avoir pas de boulot, ou que les produits sont trop chers.

    Mais se plaindre de ne pas avoir d’argent, jamais !

    Pourtant, le manque d’argent, c’est bien la source de vos (nos) désagréments non ? Alors qu’attendez vous pour vous battre, relever vos prétentions, exiger des salaires ou des indemnités à la hauteur ?

    L’idiot regarde le doigt... Je n’en dirai pas plus !



  • Martin Lucas Martin Lucas 25 février 2008 20:41

    Merci Mr Perben pour votre loi, qui permet de garder quelqu’un à vue pendant 72 heures sans accès à un avocat !



  • Martin Lucas Martin Lucas 25 février 2008 20:23

    Pourquoi reprocher à Nader l’indigence d’un système qu’on n’a de cesse de répéter partout, qui valorise l’égo au détriment des idées : le suffrage exclusif ?

    En effet, le suffrage exclusif empêche de voter pour plusieurs candidats, avec lesquels on aurait des affinités.

    Résultat, on élabore des stratégies, on vote "utile", choisir qui mènera le destin d’une nation ressemble au quinté+.

    Face à ce genre de situation, faire des reproches à mr Nader est bien petit. Si mr Nader parvient à affaiblir les démocrates alors qu’ils ont une plus grande capacité de rassembler que les Républicains, c’est que le système électoral n’est pas le bon.

    Il faut repenser celui-ci de manière à ce que les candidats qui rassemblent le plus soient élus, et non ceux qui bâtissent leur pactole au hasard des divisions du camp adverse.



  • Martin Lucas Martin Lucas 19 février 2008 13:20

    La Joconde, en plus de n’être pas particulièrement belle, avait les dents noires.

    Leonard de vinci a peint des tableaux bien plus beaux que cette Joconde, phénomène social plus qu’artistique.

    La Joconde est le symbole même de la manipulation des masses, et de leur incapacité à forger leur propre jugement, à construire leur propre monde esthétique.



  • Martin Lucas Martin Lucas 19 février 2008 13:15

    Alors que presque toutes les émissions diffusées sur leur canal sont achetées à 4 fois leur valeur à des maisons de production privées ?

    Ce sont ces maisons qui devraient s’inquiéter, pas les employés de France Télévisions.

    Arte est l’exemple même d’une télé de qualité sans pub, qui n’a aucun mal à se maintenir financièrement à flot.

    Les émissions les plus coûteuses sont, comme par hasard, les plus mauvaises, hormis quelques fictions historiques, adaptations de romans du 19ie siècle, qui tirent un peu leur épingle du jeu, mais semblent totalement muselées par une espèce de doctrine "qualité france", qui obligent les acteurs à jouer mal, les réalisateurs à faire dans le "réalisme historique" à tout crin, tout en évitant de salir les costumes...

    Une bonne télé n’a pas besoin de tant d’argent que ça...



  • Martin Lucas Martin Lucas 19 février 2008 13:06

    Bon... et après ?

    Pourrait-on descendre des hautes sphères de la monarchie pour débattre de questions plus terre-à-terre, comme les villes de demain, les retraites, l’éducation ? Le pouvoir ne s’exerce pas que d’en haut, mais aussi d’en bas, et de côté, si je puis dire.

    Si le but de NS était de faire l’actualité tous les jours, il est totalement atteint. Toutes ses initiatives, qui ne méritent qu’un entrefilet dans le rayon faits divers, se retrouvent en une d’Agoravox, faisant de ce site la voiture-balai du journalisme.



  • Martin Lucas Martin Lucas 19 février 2008 00:02

    Le véritable enjeu est celui-ci :

    Comment éviter que, de nouveau se fasse jour une idéologie qui prétend considérer des hommes comme des animaux qu’on mène à l’abattoir ?

    Comment donner à chacun la conscience suffisante pour désobéir aux ordres quand c’est vital ? Les monstres, ce ne sont pas les donneurs d’ordre (qu’on peut plus considérer comme des bonimenteurs pathologiques), mais tout un peuple qui a obéi, laissé faire, collaboré, dénoncé, tué, avili.

    Ces crimes arrivent quand on ne se sent plus responsable de ses actes, quand on laisse d’autres en porter le poids, nous diriger, nous prendre en charge mentalement. Quand les ordres se passent d’une explication, quand les mesures et décisions politiques sont imposées d’en haut, sans débat.

    Pour éviter qu’un peuple sombre dans le fascisme, ce n’est pas le sens du "devoir", les règles de "bonne conduite" qu’il faut valoriser, mais au contraire, le sens de la responsabilité, le sens critique, l’exigence intellectuelle, la conscience que la démocratie ne s’arrête pas aux élections, mais que l’on est tous les jours citoyen.

    Toutes ces notions, du risque de l’objectivation de l’être humain, à sa place dans le monde en tant que citoyen sont éclipsées par un pathos inconvenant, qui veut faire passer les enfants morts pour des héros ou des martyres alors qu’ils n’ont été que considérés comme tout au plus un combustible. Etrangement, ne parlait-on pas de "chair à canon", pour les poilus de la guerre de 14-18 ? N’a-t-on pas, de tous temps appliqué une logique comptable à des gens qu’on considérait en cachette comme moins que rien ?

    Oui c’est là le plus grave en fait. Sous prétexte d’un "plus jamais ça", on présente l’extermination des juifs comme procédant d’une logique inédite. Or l’objectivation est à l’oeuvre, là où on utilise d’autres pour aller mourir sur un front à notre place, là où on compte nonchalament les morts d’un conflit qui se fait avec des armes fabriquées chez nous, là où on utilise le corps d’autre gens à travailler des journées de 14 heures pour couvrir le notre, là où on expulse en raisons d’objectifs chiffrés.

    Pourquoi pas un petit cours sur la citoyenneté et le risque d’objectivation de l’être humain pour commencer ? On aura tout le temps d’aborder, au sein de ce cours, la déportation...



  • Martin Lucas Martin Lucas 19 février 2008 00:00

    Comme d’habitude, on fait dans le pathos, et jamais dans l’analyse.

    L’extermination des juifs (et les tziganes, les homos, les handicapés, ils comptent pour du beurre ?), mérite mieux qu’un discours larmoyant.

    Le véritable enjeu est celui-ci :

    Comment éviter que, de nouveau se fasse jour une idéologie qui prétend considérer des hommes comme des animaux qu’on mène à l’abattoir ?

    Comment donner à chacun la conscience suffisante pour désobéir aux ordres quand c’est vital ? Les monstres, ce ne sont pas les donneurs d’ordre (qu’on peut plus considérer comme des bonimenteurs pathologiques), mais tout un peuple qui a obéi, laissé faire, collaboré, dénoncé, tué, avili.

    Ces crimes arrivent quand on ne se sent plus responsable de ses actes, quand on laisse d’autres en porter le poids, nous diriger, nous prendre en charge mentalement. Quand les ordres se passent d’une explication, quand les mesures et décisions politiques sont imposées d’en haut, sans débat.

    Pour éviter qu’un peuple sombre dans le fascisme, ce n’est pas le sens du "devoir", les règles de "bonne conduite" qu’il faut valoriser, mais au contraire, le sens de la responsabilité, le sens critique, l’exigence intellectuelle, la conscience que la démocratie ne s’arrête pas aux élections, mais que l’on est tous les jours citoyen.

    Toutes ces notions, du risque de l’objectivation de l’être humain, à sa place dans le monde en tant que citoyen sont éclipsées par un pathos inconvenant, qui veut faire passer les enfants morts pour des héros ou des martyres alors qu’ils n’ont été que considérés comme tout au plus un combustible. Etrangement, ne parlait-on pas de "chair à canon", pour les poilus de la guerre de 14-18 ? N’a-t-on pas, de tous temps appliqué une logique comptable à des gens qu’on considérait en cachette comme moins que rien ?

    Oui c’est là le plus grave en fait. Sous prétexte d’un "plus jamais ça", on présente l’extermination des juifs comme procédant d’une logique inédite. Or l’objectivation est à l’oeuvre, là où on utilise d’autres pour aller mourir sur un front à notre place, là où on compte nonchalament les morts d’un conflit qui se fait avec des armes fabriquées chez nous, là où on utilise le corps d’autre gens à travailler des journées de 14 heures pour couvrir le notre, là où on expulse en raisons d’objectifs chiffrés.

    Pourquoi pas un petit cours sur la citoyenneté et le risque d’objectivation de l’être humain pour commencer ? On aura tout le temps d’aborder, au sein de ce cours, la déportation...



  • Martin Lucas Martin Lucas 12 février 2008 13:44

    Il s’agit apparement, comme dans presque tout ce qu’on qualifie d’érotique, d’érotisme féminin.

    Il serait bon qu’au lieu de représenter une femme nue à chaque fois qu’on parlera d’érotisme, on introduise un peu de parité.

    Si l’érotisme n’était que l’apanage des femmes, ça se saurait, et quantités d’artistes se seraient bien passés de représenter en tenue légère une foule de jeunes hommes.

    Si l’attirance n’était qu’un phénomène lié au sexe du sujet, ça se saurait aussi. Chaque homme serait alors enclin à avoir des rapports sexuels avec n’importe quelle femme et inversement. Il n’en est rien et le critère de genre est avant tout un principe confortable dans notre société, un principe absolument pas universel.

     



  • Martin Lucas Martin Lucas 12 février 2008 13:31

    Artiqle aintairessant, ainformatiffe, mé bourrait de fotes d’ortografe !!

    Avec Lerma vous faites la paire ! 

    N’hésitez pas à vous relire avant de poster un article, parce que leur contenu vaut le coup...



  • Martin Lucas Martin Lucas 7 février 2008 14:24

    N’hésitez pas à prendre des cours du soir... si vous pouvez vous les payer !



  • Martin Lucas Martin Lucas 4 février 2008 11:24

    A lire vos témoignages, opinions, d’un côté comme de l’autre, il semble que la psychiatrie telle qu’elle est pratiquée actuellement, n’est qu’un enfermement de la personne posant problème, sans aucun effort pour la guérir.

    Alors je me pose cette question : y a-t-il des méthodes en psychiatrie, un parcours, une véritable thérapie adaptées aux différentes pathologies ?

    Y a-t-il un suivi cohérent du patient, qui prenne en compte son évolution ?

    Les défenseurs du système actuel et de l’augmentation des moyens d’en font jamais mention, et ne cherchent même pas à nous persuader que la psychiatrie a eu des résultats positifs chez certains patients...

    Il est vrai que, des témoignages d’amis, et de personnes plus publiques (voir Emmanuelle Cuau, "Très Bien Merci"), l’HP ne fiat qu’augmenter la désocialisation et le dérèglement des personnes qui y entrent, ce qui parait logique puisque la seule prise en charge psychiatrique est sur le modèle de l’hopital ou de la prison. Or nous parlons ici de maladies mentales, et non physiques, et encore moins de capacités de nuire !

    Le principal objectif semble d’inculquer à la personne qu’elle est malade. Le lit devient le point focal de son univers, et si elle ne s’y tient pas, on la forcera à s’y tenir. On se demande pourquoi le lit, et pas le jardin, la bibliothèque (les horaires de la bibliothèque de l’HP Sainte Anne à Paris, environ 4 heures par jour, et réparties au petit bonheur la chance !), l’atelier, le terrain ou la salle de sport ?

    Si l’HP constituait la voie vers la guérision, y vivre serait très agréable, en réalité, et tout le monde pourrait souhaiter y faire un séjour. On voit bien qu’il n’en est rien.



  • Martin Lucas Martin Lucas 29 janvier 2008 10:44

    Rooi, Castor et James, merci de faire la promotion de "La classe américaine", film culte selon moi, aussi profond que 2001, l’odyssée de l’espace. Cependant, peut-être l’endroit est-il mal choisi pour étaler clins d’oeil et allusions narquoises (et vous, d’où riez vous ?).

    Les remous que provoque la mort de cet acteur ne sont pas anodins, et tiennent à deux raisons :

    Tout d’abord la personnalité (et en conséquence, le jeu) de l’acteur, torturée, dans le sentiment d’une imposture permanente sur son talent, indécis etc... Quelqu’un de très attachant en somme, et ses proches n’y ont pas été insensibles.

    D’autre part, le rôle qu’il a joué dans Brokeback Mountain, dépeignant un homme réservé, viril, aux antipodes du cliché gay dominant (qui n’est pourtant pas dominant démographiquement).

    Ce rôle a permis à des millions d’homosexuels et de bisexuels de trouver un repère, une référence, et un appui supplémentaire pour assumer leurs sentiments en porte-à-faux avec les préjugés.

    Lorsqu’un symbole s’éteint, il sort forcément de la catégorie "people" pour entrer dans celle de l’histoire sociale.



  • Martin Lucas Martin Lucas 26 janvier 2008 12:58

    Merci Manuel,

    J’ai un drôle de sentiment depuis la mort de cet homme. Je crois que tous ceux qui ont à un moment ou un autre vécu un amour interdit, vécu dans la peur de vivre (et qui connaissaient l’acteur), ont senti se volatiliser une part d’eux-mêmes à l’annonce de sa mort.



  • Martin Lucas Martin Lucas 23 janvier 2008 16:54

    Lerma travaille ? Je rêve....