Nuit Debout : beaucoup de bruit pour rien ?
Pour paraphraser Sartre, le libéralisme est l’horizon indépassable de notre temps. le marché est partout et le spectacle qui en fait partie. Vous faites partie du marché, je fais partie du marché, Finky fait partie du marché... Nous faisons tous partie du marché et le spectacle fait partie intégrante du marché.
Les casseurs aussi font partie du spectacle... et ça fait voter les gens autour de moi pour le FN, qui fait aussi partie du spectacle... un spectacle que l’on contemple (mais pour combien de temps ?) à travers un « plafond de verre ».
Mais faudrait quand même faire gaffe, parce qu’entre nous soit dit, si le plafond saute, fini de rigoler ! Qui a lu la fable de La Fontaine : « Les grenouilles qui demandent un roi » ? On ne lit plus La Fontaine de nos jours, on ne lit plus rien d’ailleurs... Dommage.
Vous verrez qu'on finira par regretter Flamby.
On ne refera pas mai 68 (les accords de Grenelle et la révolution sexuelle) pour une raison évidente, c’est qu’il n’y a plus de classe ouvrière et que la Révolution sexuelle a été faite pour le meilleur et pour le pire avec la légalisation de la pilule et de l’avortement sous Giscard d’Estaing, mais une immense classe moyenne abêti et puérile qui vient manger dans la main de l’Etat Providence.
Que veulent les gens ? Consommer, avoir de l'argent et ne pas trop se fatiguer. Et que disent les lycéens ? Qu'ils veulent de l'argent pour consommer et que dit la CGT et que disent les gens de "Nuit debout"... qu’il n’y a pas assez d’Etat Providence et que Papa président ne s’occupe pas assez bien de ses nenfants (Papaouté ?)
Mais le problème c’est que vous ne pouvez pas avoir le beurre et l’argent du beurre : le libéralisme (le fric) et l’Etat Providence, parce que ce n’est pas l’Etat qui crée les richesses, mais les Entreprises. L’Etat ne sait faire que deux choses : augmenter les impôts et recruter des fonctionnaires, en résumé, créer des freins, mais ça ne s’appelle pas « créer des richesses »...
Le problème aussi, c'est que la capitalisme crée du chômage structurel. La solution, comme le dit quelqu'un sur ce site, serait de donner de l'argent à tout le monde, du début à la fin de la vie (le revenu à vie) et de laisser le travail et le salariat en option. Tout le monde aurait de quoi vivre et ceux qui auraient envie de travailler un peu plus d'argent. Pourquoi pas, après tout ?
Mais si vous nationalisez les Entreprises, vous aboutissez au collectivisme, c’est-à-dire au partage de la misère (au moins, il n'y a pas d'envieux) et à une oligarchie qui s'arrange pour faire taire les envieux (en URSS on appelait ça la "nomenklatura") et au flicage généralisé.
Seriza en Grèce : avouons qu’ils étaient plus nombreux sur l’Agora que "Nuit debout" sur la place de la République... un spectacle écrit d’avance... Much ado about nothing... Oui, s’ils étaient sortis de l’Union européenne, ça aurait eu de la gueule, mais non. Tout ça pour ça... Finir par aller manger dans la main de la commission de Bruxelles.
Et on est tous pareils, comme Cohn-Bendit, comme Barroso (un ancien Mao recruté par l’ambassadeur des Etats-Unis de l'époque). Comme Lula au Brésil et Dilma Rousseff. Les gens feraient n'importe quoi pour de l'argent, sauf les saints, mais c'est une espèce en voie de disparition. L'argent est le nerf de la guerre. Comme dit Pascal Bruckner "l'argent est une promesse qui cherche une sagesse."
Ceci dit, il y a encore des tas de choses intéressantes et vraiment utiles à faire : accueillir un réfugié chez soi (au lieu de se contenter de s’indigner), faire partie d’une association, apprendre à jouer du piano, lire Proust... A condition d'avoir quand même un peu d'argent, mais avec les impôts confiscatoires et le socialisme...
Mais franchement, aller chercher des solutions du côté du communisme, après tout ce que l'on devrait savoir sur l'Histoire du XXème siècle...
38 réactions à cet article
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« Comme dit Pascal Bruckner ’’l’argent est une promesse qui cherche une sagesse.’’ »
Boris Vian, aurait pu dire : les plus mauvaises maximes font les meilleures recettes (*)A haute dose, l’argent est un cancer qui cherche à faire des petits ... et qui y arrive !Je note que ce billet n’est qu’une compilation des commentaires personnels que l’auteur a fait sous son précédent article.(*) « Tout sauf la vérité, il n’y a que ça qui ne se vend pas. »-
vous commencez a avoir les chiquette hein !!!!!!!!!!!!
c’est bien c le but recherché !
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" parce que ce n’est pas l’Etat qui crée les richesses, mais les Entreprises«
qui n’ont pas besoin de clients, c’est connu qu’un esclave achète beaucoup.
. » L’Etat ne sait faire que deux choses : augmenter les impôts et recruter des fonctionnaires, en résumé, créer des freins, mais ça ne s’appelle pas « créer des richesses »..."
avec aucune loi, même imaginaire, il est plus facile de devenir riche.
ex : je te découpe vivant en petit morceau et vend tes organes au plus offrant = je suis riche.
simple ?
il est aussi possible de te tuer et de vendre tes enfants aux pédophiles de la france d’en haut.
bon, c’est pas grave tu auras la solution de te déplacer en voiture blindée et de vivre derrière des murs avec des mitrailleuses automatiques.-
@foufouille— « »« parce que ce n’est pas l’Etat qui crée les richesses, mais les Entreprises« »" sauf que dans les entreprisesce sont les ouvriers qui creent la richesse , les patrons ne font que la faire creer, ce n’est pas pareil.D’aileurs les nombreuses entreprises fonctionants en cooperatives montrent qu’une entreprise peut fonctionner sans patrons, mais sans ouvriers produisants , cela est impossible
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@rocla+
faut embaucher des cassos du RSI, ça travailles pas plus pour un salaire identique. -
@rocla+
j’ai jamais été un cassos comme toi. j’ai connu des commerçants ambulants. dont un un qui pouvait bosser avec juste un poumon en vendant des légumes acheter à rungis. 3 matinées de vente, une tous les quinze jours pour la marchandise. 600 à 1200€ de CA chaque matinée. il a fait ce boulot 7 ans après son cancer et a arrêté à 65 ans vu qu’il ne pouvait plus faire son son ancien boulot de salarié.
mais il chiait pas sur les autres, il profitait un peu de la vie. -
@rocla+
faut suivre.
vendre ses enfants, organes ou louer le ventre de ta femme est réclamé par les libéraux au motif que tu es libre de choisir
c’est le libre marché libéral. en pratique, tu n’as évidemment aucun choix sauf philosophique. -
@foufouille— faites come moi ne repondez plus aux elucubrations de cet individu
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Très bon texte, très juste, très bien écrit.
J’aime particulièrement l’avant dernier paragraphe. Il n’y a toutefois pas besoin d’être riche pour faire toutes ses choses utiles et réellement épanouissantes, quand un vrai désir est là, on trouve toujours les moyens.En cadeau, un extrait d’un petit film situationniste des années 70, qui n’a pas perdu de son actualité : La dialectique peut-elle casser des briques ?
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@Pomme de Reinette
le riche assouvit des besoins inutiles qu’il se crées , il vit dans un monde artificiel , a quelqu’un de normal sur le plan intellectuel , il fait plus pitié qu’ envie -
@aimable
Ca ressemble a des clichés tout ça, des généralités bien grasses .... il y a aussi des pauvres qui ne rêvent que de posséder des choses inutiles et sont même prêts à tout, y compris à gâcher leur vie, pour les obtenir .... -
@Pomme de Reinette L’auteur est en retard d’une guerre Nous vivons depuis la naissance du numerique une revolution comme jadis l’ecriture et l’imprimerie Il est peut etre narquois ce professeur mais dans une generation l’enseignement aura change de modèle . Avec l avènement des robots et de l’ intelligence artificielle qui ne cessent de croître, nous aurons plus besoin de ces professeurs a l’ancienne . Quant a la production industrielle elle est en perpetuelle mutation notamment demain avec les nanotechnologies Se referer aux annees 1970 n’a plus aucun sens tant la societe a evolué et evoluera c’est absurde Jetez un oeil sur le lien http://www.industrie-techno.com/  ;  ;  ;  ; L usine nouvelle en occident a laisser place a l’usine ancienne desormais delocalise dans le sud ( textile ) Quant a la richesse, elle a un seul merite avoir un havre de paix et de vivre comme on l’entend le reste n’est que bavardage
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@mmbbb
Je ne vois pas le rapport ....
Votre lien ne fonctionne pas, comme quoi la « technologie » sans un minimum de compétences « à l’ancienne » et de rigueur, ça ne sert pas à grand chose .... -
@Pomme de Reinette si vous ne savez pas vous servir d’un lien ce n’est pas de ma faute je voulais simplement souligner dans votre propos que votre reference aux annees 1970 est depassee Votre comparaison n’est plus valable L ’usine nouvelle n’a plus rien a voir avec celle d hier et la revolution marxite soutenue par les intellos des annees 1968 est hors sujet, la classe ouvriere a ete liquidee, comme on est en train de liquider les agriculteurs .. Demain la classe moyenne
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@mmbbb
Votre lien ne débouche sur rien de concret.
Ma référence à un petit film situ des années 70 était de l’humour justement ... si vous l’aviez regardé vous l’auriez compris ... quoique pour décoder le second degré, il est souvent nécessaire de bien connaître ses « classiques ».
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@Pomme de Reinette
ces pauvres qui veulent jouer dans la même catégorie que les riches , mentalement leurs ressemblent , je ne pense pas que leur coffre fort les suivent dans le corbillard , bien heureux les héritiers qui danseront pour fêter la bonne fortune -
@aimable
Tout cela est bien binaire et caricaturale.
Je ne sais pas ce que vous appelez « les riches ». Il y a des gens très bien parmi « les riches », qui savent faire profiter les autres de leur bonne fortune, et des gens très cons parmi « les pauvres », prêts à tuer pour s’enrichir, et vice-versa.
La vraie vie ce n’est pas ces clichés sans intérêt. -
attendez deux secondes...
Si je gagne de l’argent en ne faisant rien, et qu’il n’y a plus aucun endroit où le dépenser (vu que personne ne fout plus rien, il n’y a plus de commerces non plus, on est bien d’accord !!), il va y avoir comme un problème, non ??
D’un autre côté, si on mets tout le monde au boulot (commençons-donc par casser toutes ces machines, tracteurs et autres engins qui volent la main d’oeuvre aux humains), il va falloir les payer un minimum avec de l’argent confisqué par le système financier.
Pas de salaire suffisant (les charges fixes ont cette bizarre caractéristique de ne pas être « flexibles »), on va se mettre à produire ce que personne ne pourra acheter.
Il va y avoir encore un problème.
Un peu le gars qui gueule contre les charges (j’ai pas dit patron ou salarié, les deux font pareil) mais qui veut être soigné, avoir des congés et toucher une retraite.J’ai bien une solution.
Remettre les armes en vente libre... Juste pour voir.Mais sur toute la planète, bien sûr !!
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Tiens, ca change de la ligne directrice d’AV. Beaucoup de bonnes réflexions.
A part le raccourci libéralisme/fric. Nous libéraux, nous nous foutons du fric. Tout ce qui nous intéresse, c’est la liberté et l’égalité devant la loi. Historiquement, toute société qui a donné la priorité à ces principes est devenue beaucoup plus riche que les autres, mais ce n’est qu’une conséquence.-
@Jeff84
Vous avez remarqué qu’il ne faut pas confondre Agoravox et LibertéVox .
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@tf1Groupie
Ah ça... Je lis AV justement pour avoir un point de vue anti-libéral, donc socialiste.Ce qui est génial, c’est que le discours n’a quasiment pas changé depuis 100 ans. En lisant Hitler, on retrouve la même lutte contre la Finance Internationale (avec les majuscules dans le texte de Mein Kampf !), la même stigmatisation des riches et des puissants pour légitimer leur dépouillement, la même victimisation et donc « aide » financière aux pauvres pour obtenir leur soutien, la même incitation à la haine d’un autre pays qui serait responsable de tout (à part que ce sont les EU, pas la France), le même recours à tout un tas de règles pour contrôler les méchants patrons, la même dénonciation de la mondialisation, etc.La seule réelle différence, c’est l’aspect raciste de la haine des riches, qui a fusionné avec l’anti-mondialisation. On ne hait plus le méchant banquier juif, on hait le méchant banquier, et on refuse d’échanger avec l’étranger parce qu’il n’est pas assez socialiste (et donc, méchant aussi). -
@Jeff84
Vous avez autant de finesse d’analyse que l’auteur.« l’aspect raciste de la haine des riches »Il ne vous reste plus qu’à lancer le mot « richophobe », c’est dans l’air du temps, succès garanti ! Autrefois, quand on parlait de la domination de la finance internationale en voulant éviter la terminologie marxiste, on parlait de la ploutocratie apatride. Ces deux mots sont désormais bannis, rapport aux « zeures-les-plus-sombres ».« On ne hait plus le méchant banquier juif, on hait le méchant banquier »La Shoah est passée par là, on est en terrain miné. Mais au-delà, si vous avez fait l’économie de l’analyse de l’évolution du capitalisme – passant de productif à financier, spéculatif et global – vous ne pouvez pas saisir réellement les rapports et les enjeux de domination dans le monde d’aujourd’hui, et êtes condamné à n’avoir que ces considérations superficielles et binaires. -
@Jeff84
Vous êtes trop généreux ou trop optimiste.
On trouve encore ici très facilement ce même discours obscurantiste qui a de nombreux adeptes ! -
@Jeff84
Je ne savais pas que « anti-liberal » était synonyme de socialiste .
Il me semble que le nazisme est anti-liberal, mais je me trompe peut-être.
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@tf1Groupie
Le nazisme est évidemment anti-libéral, puisque socialiste. Le parti national-socialiste des travailleurs allemands, de son nom complet.Mais je suis allé un peu vite. Tous les socialistes sont anti-libéraux, mais tous les anti-libéraux ne sont pas socialistes. Par exemple, un dictateur peut être socialiste, ou non, mais tous les cas il sera anti-libéral. -
@Ben Schott
Le capitalisme est toujours « productif », puisque aucun autre « isme » n’est capable de produire de la richesse efficacement, et la finance est un des facteurs de production, au même titre que, par exemple, le transport. Quant à la globalisation, la richesse se crée essentiellement par l’échange (j’espère que vous n’allez pas me réclamer la démonstration d’une chose aussi basique), donc le capitalisme a toujours poussé au plus d’échanges possible depuis sa création.Votre évolution du capitalisme, c’est de la bonne grosse foutaise pour noyer le poisson. -
@Jeff84
Vous ne comprenez pas plus le capitalisme ni son évolution (des origines à aujourd’hui – une immense bibliographie est accessible, y compris pour les béotiens –) que la monnaie et ses mécanismes, c’est dire... -
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@Robin Guilloux, auteur de l’article
Le commentaire que vous a adressé l’anonyme « Iubui » (qui n’a pas de compte inscrit) est inadmissible et contraire à la Charte de modération, tout comme la surenchère de son clone « vip ».
Vous devriez plutôt en demander la suppression. Il n’est pas utile de se justifier face à de tels insanités insultantes.
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Intéressant mais vous auriez pu préciser que Mai 68 c’est aussi la société de consommation, de la déresponsabilisation et du laxisme.
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« le capitalisme crée du chômage structurel.... »
Non. C’est même l’inverse.Le capitalisme en crée pas de chômage. Chômeur est l’état naturel de l’homme.Le capitalisme y met fin par l’offre d’emploi.-
@Spartacus En parallèle de votre media Contrepoints, cet auteur ecrivant cet article arcerbe sur cette generation, , en critiquant au passage l’ Etat providence et en se faisant le chantre du libéralisme’, oublie comme beaucoup d’ auteurs de votre media liberal Contrepoints qu il est professeur Qui le paie ? les impots Connaissant le statut epouvantable des professeurs de ce pays, en resume cette critique est facile et perd de sa force. Cet auteur comme beaucoup de vos amis de Contrepoints ont une sale tendance a cracher dans la soupe Et cette soupe n’est pas populaire elle est tres bonne .
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@mmbbb
Je ne sait pas pourquoi vous voulez que je réponde a des publications d’un site, ou d’un auteur de contrepoints ?C’est assez hors sujet. -
bonjour
rendons à césar ce qui appartient à Olivier Cabanel
La solution, comme le dit quelqu’un sur ce site, serait de donner de l’argent à tout le monde, du début à la fin de la vie (le revenu à vie) et de laisser le travail et le salariat en option. Tout le monde aurait de quoi vivre et ceux qui auraient envie de travailler un peu plus d’argent. Pourquoi pas, après tout ?
n’oublions pas que le remboursement de la dette = les banques s’en foutent ...ce qui les intéresse ce sont les intérêts !
à quand le grand soir ...quand un président des États Unis annoncera que les billets en dollars peuvent servi de PQ !
cela arrivera mes amis ...la dette mondiale n’augmentera pas indéfiniment !
à moins que le yelostone se réveille comme le suggère un article de AV et cela mettra tout le monde d’accord !-
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Oui, on voit pas où l’auteur veut en venir...
C’est peut être ça le mal de notre siècle, un prof de lettres qui se voudrait écrivain et philosophe.Ca m’en rappelle une de fable, la grenouille etc
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